dimanche 28 avril 2013

Un Conflanais se tue en Meuse

L’équipe médicale du Samu 55 a tout tenté pendant plus de quarante-cinq minutes pour réanimer la victime. Mais Thibaut Pierre, 24 ans, originaire de Conflans-Jarny, n’a pas survécu à l’accident.
Le jeune homme était seul à bord de sa voiture, vendredi vers 18h15, lorsqu’il en a perdu le contrôle, sur la départementale 65 qui relie la commune de Maucourt-sur-Orne à Gincrey, en Meuse. Le véhicule a quitté la route en sortie de virage, heurté un arbre et terminé sa course dans le pré voisin. La pluie n’avait cessé de tomber de la journée et la chaussée était glissante.
Le choc a été très violent, comme en témoignent les traces laissées par la voiture dans l’herbe et son état à l’arrivée. Le moteur du véhicule a en effet été retrouvé quelques mètres plus loin.
Huit pompiers venus d’Étain et de Verdun étaient mobilisés sous les ordres du lieutenant Bernard Norroy, chef de groupe, ainsi qu’une équipe de gendarmes sous les ordres du capitaine Thierry Schmitt, de Verdun.
Les maires des communes de Maucourt-sur-Orne et de Mogeville étaient également sur place. Cette route, soulignent-ils, a déjà connu deux accidents de la route mortels par le passé. Les gendarmes sont désormais en charge d’une enquête qui devra déterminer les causes exactes de cette perte de contrôle qui a coûté la vie à un jeune automobiliste.

http://www.republicain-lorrain.fr/actualite/2013/04/28/un-conflanais-se-tue-en-meuse

Une touriste allemande entre la vie et la mort après une explosion au gaz au Lavandou

Ce matin vers 9 heures, une explosion au gaz s'est produite dans un studio de vacances à La Fossette, au Lavandou. L'occupante, une touriste allemande de 50 ans, a été très grièvement blessée. La victime a été évacuée à Marseille. Son pronostic vital est engagé. Une enquête a été ouverte par la gendarmerie.

http://www.nicematin.com/derniere-minute/une-touriste-allemande-entre-la-vie-et-la-mort-apres-une-explosion-au-gaz-au-lavando.1237687.html

Hérault. Le jeu du foulard tourne mal

Le garçon de 11 ans, qui a été retrouvé pendu dans sa chambre vendredi après-midi à Clermont-L'Hérault, serait mort d'un étouffement accidentel en se livrant à une expérience solitaire de jeu du foulard, qui consiste à se serrer le cou avec un lien jusqu'à perdre conscience.
C'était hier soir l'hypothèse privilégiée par les gendarmes et le parquet de Montpellier. Le drame s'est joué vers 15 heures. «La maman était dans la maison mais à l'étage inférieur. Elle a vu son fils vivant dans la chambre à 14 heures. N'entendant plus rien, elle est montée voir ce qui se passait et a découvert son fils inanimé. Il a dû s'étouffer et n'a pas eu assez de force pour desserrer le lien autour de son cou», explique une source proche de l'enquête. Le garçon, élève de CM2 à l'école Jules Verne de Clermont-L'Hérault, avait passé la ceinture de son kimono de judo, dans une des barres de son lit mezzanine. Dans la chambre, les gendarmes n'ont rien découvert de particulier. L'enfant ne présentait aucun signe particulier de mal-être et s'entendait plutôt bien avec ses parents. À l'école, il était considéré comme un bon élève. Le jeune garçon se trouvait seul au moment où il a tenté cette expérience. Une autopsie devrait être pratiquée en début de semaine prochaine

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/28/1615957-herault-le-jeu-du-foulard-tourne-mal.html

Portet. Un motard se tue sur l'autoroute

Un nouvel accident tragique de deux-roues s'est produit hier soir, vers 22 heures, sur l'A64, entre Toulouse et Portet. Un homme d'une vingtaine d'années a trouvé la mort dans des circonstances que l'enquête devra préciser. Selon des témoins, il roulait sur sa moto, dans le sens Toulouse-Portet lorsqu'il a, pour une raison indéterminée, perdu le contrôle de son engin. Il a été projeté avec une telle force qu'il est passé au-dessus du terre-plein central. Un conducteur qui venait dans le sens inverse n'a rien pu faire pour l'éviter. Le motard a été traîné sur plusieurs centaines de mètres avant que la voiture ne s'immobilise. La victime est restée coincée plusieurs minutes sous le véhicule. Malgré l'arrivée rapide des secours, il n'a pu être ranimé. Hier soir, les occupants de la voiture étaient très choqués. Les policiers procédaient aux premières constatations.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/28/1615652-accident-un-motard-se-tue-sur-l-autoroute.html

samedi 27 avril 2013

Haute-Saône : drame dans une fosse à lisier

La quiétude du Grand Fahys, paisible hameau de Fougerolles, à deux pas des Vosges, a été brutalement rompue hier midi. Les pompiers ont engagé d’importants moyens pour porter secours à Patrick Aubry, un éleveur d’une cinquantaine d’années en difficulté dans une fosse à lisier.
Patricia, son épouse, inquiète de ne pas le voir remonter, a donné l’alerte vers 12 h 35. Quand les pompiers de Fougerolles sont arrivés, ils se sont aperçus que trois personnes se trouvaient dans la fosse : l’épouse et le fils de l’agriculteur ont tenté de lui venir en aide par eux-mêmes.
Des renforts ont aussitôt été engagés. Au total, trois ambulances et deux engins incendie sont venus de Luxeuil, Saint-Loup-sur-Semouse et Fougerolles, soit environ 25 pompiers. Devant la gravité de la situation, le SMUR de Lure et celui de Luxeuil sont intervenus ensemble.
Les pompiers sont descendus dans la fosse, profonde d’environ 3 m. Ils y ont découvert trois personnes inconscientes. Hélas, il était déjà trop tard pour Patrick Aubry : les médecins n’ont pu que constater son décès. Le fils de l’agriculteur a été pris en charge dans un état grave et transporté à l’hôpital de Vesoul. L’état de santé de Patricia Aubry inspirait encore plus d’inquiétude : elle a aussi été hospitalisée à Vesoul, mais son pronostic vital était engagé.
Le parquet de Vesoul a ordonné une autopsie du corps de l’exploitant agricole, prévue lundi, afin de confirmer la cause de son décès. Une enquête de gendarmerie a été confiée à la communauté de brigades de Saint-Loup-sur-Semouse. La seule hypothèse retenue hier était celle de l’accident de travail. Reste à établir les circonstances avec précision, mais il semblerait que Patrick Aubry soit descendu dans la fosse pour la nettoyer.

« Le lisier dégage un gaz très toxique »

« On constate que souvent, les agriculteurs ne réalisent pas le risque que ça représente », confiait sur place le commandant des pompiers, Denis Laprévote-Tarnaud. « Quand on intervient, on s’équipe d’appareils respiratoires, car le lisier dégage de l’hydrogène sulfuré, un gaz très toxique. Le risque, c’est de perdre connaissance. »
Claude Petitjean, le maire de la commune, s’est déplacé pour soutenir les proches de la victime, sous le choc. Avec la chambre d’agriculture, un remplaçant a été trouvé pour s’occuper temporairement des animaux de l’élevage. Dans le voisinage, hier après-midi, on se souvenait de Patrick Aubry comme d’un grand travailleur, capable de se pencher sur de la mécanique ou de la maçonnerie en plus des travaux de la ferme. « Il n’y en a plus guère pour faire ce qu’il faisait », confiait un septuagénaire.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/04/27/drame-dans-une-fosse-a-lisier

Semur-en-Auxois : la mort de la jeune femme est naturelle

L’autopsie du corps de la femme retrouvée morte mardi matin à Semur-en-Auxois s’est déroulée ce jeudi matin. Cet examen poussé avait été ordonné mardi après-midi par le parquet de Dijon. Ce vendredi, Marie-Christine Tarrare, Madame le procureur de la République de Dijon nous a indiqué que cette jeune mère de famille de 27 ans n’avait « absolument rien de suspect ».

« Décès d’origine uniquement médicale »

« C’est un décès d’origine uniquement médicale », a-t-elle précisé. « C’est un problème qui peut, malheureusement, arriver à des personnes jeunes. »
Pour rappel, comme nous le relations ce mardi sur notre site internet et mercredi dans nos colonnes, le corps sans vie d’une femme de 27 ans avait été retrouvé ce mardi matin dans son appartement de Semur-en-Auxois. C’est l’ex-petit ami de la jeune femme qui l’avait découverte peu avant 8 heures, inanimée et allongée au milieu d’une pièce de son logement de la place Notre-Dame. Les gendarmes étaient intervenus sur place, notamment des techniciens en identification criminelle.
D’après les premiers éléments, il semblait que le décès soit dû à une cause naturelle. D’après son ancien compagnon, rien ne laissait penser sur place à une mort violente. Selon son père, la victime souffrait depuis vendredi d’une gastro-entérite ; elle s’était apparemment soignée par elle-même et n’avait pas consulté de médecin. Les deux enfants de la jeune femme, âgés de quatre et trois ans, étaient absents de l’appartement au moment des faits.
http://www.bienpublic.com/haute-cote-d-or/2013/04/27/semur-en-auxois-la-mort-de-la-jeune-femme-est-naturelle

vendredi 26 avril 2013

Motard décédé : un drame et des questions

Alors qu’il circulait sur la route de Corcelles, cette voie zigzagante qui part de Marsannay et qui rejoint Corcelles-les-Monts (ou l’inverse), le conducteur a perdu le contrôle de son véhicule à deux roues et est venu s’encastrer dans une voiture qui descendait en face. Il en est mort.
Contacté ce vendredi midi, Jean-François Gondellier, le maire de Marsannay, s’est exprimé sur la dangerosité de cette voie. « Je suis très affecté par ce problème, car ce n’est malheureusement pas la première fois que nous avons un accident mortel à cet endroit », dit-il.
« La semaine dernière, nous avons mis en place une signalisation particulière de vitesse conseillée dans le virage pour alerter et informer » Et d’ajouter : « Ce qui est arrivé mercredi soir est dramatique. La question qu’il faut que l’on se pose aujourd’hui est : “Que peut-on faire pour que cela ne se renouvelle pas ?”. » Le premier édile annonce qu’une réunion devrait être faite avec les autorités « pour analyser les causes et les raisons et voir si l’on peut faire quelque chose ».
Une jeune femme morte sur le même route en 2011
Pour rappel, le 26 novembre 2011, Kévin Fallet, et deux jeunes femmes, se rendaient en boîte à Beaune. Refoulés à l’entrée, ils décidaient de venir à Dijon. Vers 3 heures du matin, alcoolisés, ils se retrouvaient en voiture du côté des lacets de la route de Corcelles-les-Monts. Le jeune homme perdait alors le contrôle de son véhicule. Après plusieurs tonneaux, il se retrouvait 30 mètres en contrebas de la route. Arrivés sur les lieux, les gendarmes constataient le décès d’une des deux jeunes femmes. L’autre était gravement blessée. Pour homicide involontaire, et blessures involontaires commis avec 1,10 gramme d’alcool par litre de sang, Kévin, en état de récidive légale, était condamné par le tribunal de Dijon. Il écopait de 3 années de prison ferme, ainsi que d’une annulation de permis pour une durée de 10 ans. La peine avait été confirmée en appel.


http://www.bienpublic.com/grand-dijon/2013/04/26/motard-decede-un-drame-et-des-questions

jeudi 25 avril 2013

Drôme: suicide d'un gendarme à Pierrelatte

Un jeune militaire de 23 ans s'est tiré une balle dans la tête avec son arme de service, dans les locaux de la brigade du Sud Drôme. Ses collègues sont effondrés.
Ce gendarme adjoint, originaire de Valencienne, avait pris son poste à Pierrelatte, il y a quelques jours seulement. Il venait de sortir de l'école de gendarmerie.
Vers 14h, ce mercredi, au moment de sa prise de service, comme chaque jour avant de partir en patrouille, son supérieur lui a confié son arme. Le jeune homme se retrouvant seul quelques instants, dans le bureau, en a profité pour passer à l'acte. Un suicide incompréhensible pour l'ensemble de ses collègues, extrêmement choqués. Ce jeune gendarme, récemment arrivé, faisait l'unanimité. Ses supérieurs appréciaient son dynamisme, son engagement et sa mâturité, malgré son jeune âge. Il semblait s'être bien intégré à son nouveau poste. Dans son attitude rien ne laissait transparaître une dépression ou une quelconque souffrance morale.
Aucun courrier expliquant son geste n'a pour l'instant été découvert.
Une enquête est en cours, bien que le suicide ne fasse aucun doute. Cette procédure est systématique dès qu'il y a une mort violente.
Le personnel de la gendarmerie de Pierrelatte est accablé. Une cellule psychologique a été mise en place par la gendarmerie pour leur venir en aide

http://www.francebleu.fr/personnes/france-bleu-drome-ardeche-152921

Vénissieux : une septuagénaire en instance d'expulsion retrouvée pendue

Une femme, menacée d'être expulsée de son appartement, s'est donnée la mort par pendaison. La victime a été découverte, ce jeudi matin, par l'huissier et les policiers lorsqu'ils se sont présentés à son domicile dans le quartier de Moulin à vent à Vénissieux. "La première expulsion réalisée depuis la suspension de mes arrêtés (ndrl : cassés par le tribunal administrif le 15 avril), le 16 avril 2013, se termine par un suicide. Voilà l’atroce réalité de la détresse humaine et du désespoir…" souligne Michèle Picard, la maire communiste de Vénissieux

La suite sur le site du Progrès

http://www.bienpublic.com/actualite/2013/04/25/venissieux-une-septuagenaire-en-instance-d-expulsion-retrouvee-pendue

Cyclisme. L’ancien coureur Philippe Gaumont dans le coma

L’ancien cycliste Philippe Gaumont, victime d’un malaise cardiaque et plongé dans le coma, mardi, lors de sa prise en charge à l’hôpital d’Arras, se trouvait toujours dans un état critique, a indiqué ce jeudi une source hospitalière confirmant une information de La Voix du Nord.
Âgé de 40 ans, Gaumont devait être entendu mercredi au Sénat par la commission d’enquête sur le dopage.
Sa carrière a été lancée par une médaille de bronze dans le contre-la-montre par équipes des JO de Barcelone en 1992. Par la suite, il a remporté une classique (Gand-Wevelgem en 1997), l’année suivant un contrôle antidopage positif, et a participé sur la piste aux JO de Sydney en 2000.
Aveux de dopage
Plus récemment, son nom a été surtout lié à l’affaire de dopage touchant l’équipe Cofidis, dont il était l’un des piliers. Mis en examen, en 2004, il a avoué s’être dopé et a mis fin à une carrière longue de dix ans. L’année suivante, il publie un livre « Prisonnier du dopage », dans lequel il détaille toutes sortes de pratiques interdites.
Il y a deux ans, après avoir tenu un bar PMU en Picardie, Philippe Gaumont, aux côtés de sa femme et de ses trois enfants, s’était installé à Lens (Pas-de-Calais). Gérant d’une brasserie, reprise à l’occasion de l’arrivée du musée du Louvre-Lens, il est à la tête d’une équipe de 33 salariés. Il avait avoué récemment dans une interview à 20 Minutes « toujours vivre dans l’excès ».
 

Seysses. Un père de famille se tue dans un choc frontal

Un père de famille de 44 ans a perdu la vie hier après-midi à Seysses après un choc frontal entre deux véhicules. Dans l'autre voiture, des blessés sont à déplorer.
Un terrible accident de la circulation a coûté la vie à un automobiliste de 44 ans domicilié dans le Gers, hier après-midi dans le Muretain. Il s'est produit route de Labastidette, entre Seysses et Lamasquère, sur la route départementale 23.
Il était aux environs de 15 h 00 lorsque deux véhicules sont entrés en collision frontale dans une courbe. La victime décédée circulait seule au volant de sa voiture, une Citroën Saxo dans le sens Seysses-Labastidette. En face, une conductrice et trois enfants étaient à bord d'une Toyota.
Pour une raison inconnue, les deux voitures se sont retrouvées sur la même voie et se sont percutées dans un choc d'une extrême violence. Un poteau téléphonique a été sectionné dans l'accident. Malgré l'arrivée rapide du SAMU et des sapeurs-pompiers, Jean-Luc Teulier, 44 ans, n'a pu être ranimé. Il est décédé dans l'accident. Dans l'autre véhicule, la conductrice et les passagers, trois mineurs, ont été blessés et conduits à l'hôpital. On ignorait hier la gravité de leurs blessures.
Jean-Luc Teulier était le père de trois enfants. Il avait quitté l'agglomération toulousaine il y a huit ans afin de s'installer à Pébées dans le Gers avec sa famille. Il était employé à la ville de Toulouse. L'annonce de sa disparition a profondément choqué dans son petit village de moins de 100 habitants.
Une enquête de gendarmerie a été ouverte afin d'éclaircir les causes de ce tragique accident.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/25/1614011-seysses-pere-famille-tue-choc-frontal.html

mercredi 24 avril 2013

Yonne: Une mère et son nourrisson décèdent dans un accident de la route

Une mère de famille de 28 ans et son bébé, âgé de 2 mois, ont été tués mercredi après-midi dans un accident de la route à Briesnon-sur-Armençon (Yonne), a-t-on appris auprès de la gendarmerie et des pompiers.

http://www.20minutes.fr/ledirect/1144495/20130424-yonne-mere-nourrisson-decedent-accident-route

Affaire Gregory : "immense déception" pour les parents

Alors que les dernières analyses ADN pratiquées dans le cadre de l'affaire Grégory n'ont rien donné de probant, Jean-Marie et Christine Villemin, les parents du garçonnet ont fait part de leur "immense déception".
Alors que les dernières analyses ADN pratiquées dans le cadre de l'affaire Grégory n'ont rien donné de probant, Jean-Marie et Christine Villemin, les parents du garçonnet ont fait part de leur "immense déception", a déclaré mercredi leur avocat, Me Thierry Moser. "Immense déception pour les parents de Grégory dans la mesure où les chances de parvenir à la manifestation de la vérité s'éloignent", écrit l'avocat mulhousien dans un communiqué.
Cependant, "le combat judiciaire est loin d'être terminé". Car il reste selon lui "des pistes à creuser et des investigations à réaliser" en évoquant des pistes "techniques et extra-techniques". "Nous sommes plus que jamais dans un esprit de combativité, et nous avons le sentiment que c'est également le cas du procureur général et de la chambre d'instruction", a déclaré à Me Moser, en considérant que "la guerre n'était pas perdue".
Des parents "tristes mais combatifs"
Les parents de Grégory Villemin sont "tristes, mais combattifs et leur enfant, Grégory, mérite qu'on continue", a encore indiqué l'avocat. Il y a "toujours un espoir dans la mesure où le dossier n'est pas fermé. Mais, d'un point de vue scientifique, l'espoir s'éloigne" de trouver le meurtrier, a-t-il pourtant reconnu.
Par ailleurs, l'absence sur les scellés d'ADN de Bernard Laroche, un temps suspecté de l'assassinat de l'enfant, "confirme à nouveau, s'il en était besoin, l'innocence" de ce cousin de la famille, assassiné par le père du petit Grégory, a dit mercredi l'avocat de la famille Laroche, Me Gérard Welzer. "
"Un gâchis judiciaire"
"Il y a eu trois victimes dans ce dossier. D'abord Grégory Villemin et sa famille, d'autant qu'on ne connaît pas les conditions de sa mort. Ensuite, Bernard Laroche: accusé à tort, emprisonné, libéré, puis assassiné. Enfin la justice, discréditée par les ratés de l'enquête", a dit Me Gérard Welzer. Pour l'avocat la famille Laroche, "c'est un gâchis judiciaire, car aujourd'hui malheureusement, on ne connaît pas la vérité".
Bernard Laroche, 29 ans, le cousin de Jean-Marie Villemin, avait été le premier suspect du meurtre de Grégory Villemin. Il a été tué d'un coup de carabine par Jean-Marie Villemin, le 29 mars 1985 à son domicile d'Aumontzey dans les Vosges.
 

Pyrénées-Atlantiques : un motard tué sur la route D 817

Il était 16 h 50, hier, lorsque les secours ont été alertés qu’un accident impliquant une moto et une voiture s’était produit sur la D 817, la route de Tarbes, à l’entrée de Ger. Une dizaine de pompiers de Pontacq et de Soumoulou ont été envoyés sur les lieux. À leur arrivée, ils ont découvert le motard, éjecté dans un fossé, très gravement blessé et en arrêt cardiaque. L’hélicoptère de la Sécurité civile a été appelé en renfort avec une équipe du Samu. Malgré leurs efforts, la victime n’a pu être réanimée. Originaire de Soumoulou, Jean-Pierre Monaco aurait dû fêter ses 60 ans en juin. L’annonce de sa disparition a suscité une vive émotion dans son quartier, selon le maire Alain Trepeu.
D’après les constatations des gendarmes de Morlaàs, le motard roulait vers Tarbes, à allure normale, sur la 817, lorsqu’il a été percuté par une voiture qui lui a refusé la priorité, au niveau du carrefour avec la D 47. Au volant de l’auto, une dame de 70 ans n’a pas été blessée mais a dû être transportée à l’hôpital de Tarbes au vu de son état de choc. Hier, des riverains mettaient en cause la dangerosité du carrefour en question, situé à l’aplomb d’une côte.
http://www.sudouest.fr/2013/04/24/un-motard-tue-sur-la-route-817-1033887-4148.php

Sembas (47) : un conducteur se tue lors d'une sortie de route

La route a fait une nouvelle victime. La huitième dans le département depuis le début de l’année. Il était un peu plus de 18h30, ce mardi après-midi, quand était annoncé le décès accidentel de Paul-Louis Canzian, né en février 1985 à Condom, dans le Gers.
L’homme venait de succomber à un accident de la circulation, survenu au lieu-dit « Prat Néou », sur la commune de Sembas, à proximité de la route départementale 212. Selon les premières constatations des gendarmes de la compagnie de Villeneuve-sur-Lot, l’automobiliste aurait effectué une sortie de route après un virage.

Son véhicule, de type Ford Focus, serait alors parti dans des vrilles avant de s’immobiliser, enfin, après avoir violemment percuté une habitation.
Paul-Louis Canzian a été éjecté hors de l’habitacle et projeté à même le sol, où il a été retrouvé en état d’arrêt cardiaque par les pompiers de Sainte-Livrade-sur-Lot et le Smur de Villeneuve-sur-Lot, dépêchés à son secours. Une vitesse mal maîtrisée pourrait être à l’origine de ce nouveau drame routier, survenu dans une portion du réseau particulièrement escarpée et sinueuse.
Le défunt, qui venait de quitter son travail, à moins d’un kilomètre de sa sortie de route, voulait regagner son domicile, à Laugnac. Paul-Louis Canzian était employé du haras de Thouars où la nouvelle de sa disparition a provoqué un choc parmi les employés.
« On est tous abattus », commentait tristement hier soir un des responsables du site quelques heures après d’avoir appris la terrible nouvelle.
Ce nouvel accident de la route, qui intervient après des dernières semaines particulièrement meurtrières sur le front de la sécurité routière, replace le Lot-et-Garonne sur de mauvaises bases statistiques, avec selon la gendarmerie, plus de tués en cette période de l’année que l’année dernière à la même époque

http://www.sudouest.fr/2013/04/24/il-decede-apres-une-sortie-de-route-1034245-3875.php

Un jeune homme perd la vie dans une dramatique sortie de route

D'après les premiers éléments recueillis par les gendarmes, le jeune homme, à la sortie d'un virage, a perdu le contrôle de son véhicule. Après avoir mordu l'herbe sur le bas-côté, la voiture a tout d'abord percuté le talus d'un terrain, poursuivant sa course jusqu'à un poteau, qu'elle percutait aussi, le projetant contre une maison. Le véhicule s'arrêtait enfin contre le muret de cette même maison. Sous l'impact du violent choc, le conducteur Paul Canzian a été éjecté de l'habitacle. Paul Canzian sortait de son travail et rentrait chez lui à Laugnac. Cette route, il la faisait tous les jours. L'enquête ouverte par les gendarmes devrait déterminer avec précision les circonstances exactes de cette embardée mortelle mais la vitesse semble être la cause de cette dramatique sortie de route.
Était également présente sur les lieux, la maire de Sembas, Nadine Chaubard
http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/24/1613210-sembas-sortie-de-route-mortelle.html

mardi 23 avril 2013

Un salarié de Renault se suicide

Un salarié de Renault s'est suicidé dans la nuit de dimanche à lundi sur son lieu de travail à l'usine de Cléon (Seine-Maritime), laissant une lettre dans laquelle il dénonce "pression" et "chantage" de la part du groupe, a-t-on appris mardi auprès de la CGT.

Agé de 35 ans et père de deux enfants, ce mécanicien qui travaillait de nuit, a été retrouvé pendu lundi au petit matin sur le site, où il était employé depuis 2000, a précisé à l'AFP Pascal Le Manach, délégué syndical CGT.

"Il a laissé sur place deux lettres, l'une pour sa famille et l'autre à l'attention de la direction, dans laquelle il dénonce les pressions", a dit le syndicaliste.

Dans ce second courrier, l'ouvrier a écrit selon cette source : "Merci Renault. Merci ces années de pression, chantage au nuit. Où le droit de grève n'existe pas. Ne pas protester sinon gare. La peur, l'incertitude de l'avenir sont de bonne guerre, paraît-il ? Tu expliqueras ça à mes filles, Carlos", allusion à Carlos Ghosn, le PDG du groupe.

La salarié, "excellent ouvrier" et "non-syndiqué", "faisait l'objet de pressions de la direction depuis qu'il avait pris activement part aux grèves contre le projet d'accord compétitivité-emploi cet hiver", a précisé M. Le Manach.

"La direction l'avait notamment menacé de le faire redescendre en équipe (de jour), avec une perte financière très importante à la clé", a ajouté le syndicaliste.

La CGT a demandé la tenue lundi d'un Comité d'hygiène et de sécurité exceptionnel "pour montrer la responsabilité de Renault dans ce décès", a-t-il dit.


http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2013/04/23/97002-20130423FILWWW00610-un-salarie-de-renault-se-suicide.php

Il saute et meurt d’un immeuble de 10 étages

Un homme de 35 ans, habitant de la commune de Longvic, a été retrouvé mort au sol vers 1 h 40 dans la nuit de lundi à mardi au niveau du numéro 9 de la rue du Bief du Moulin.
Selon nos informations, la piste privilégiée est celle d’une défenestration. L’homme est monté sur le toit de cet immeuble de dix étages avant de se jeter dans le vide. Sur place ce mardi matin, l’état de mort apparente a été confirmé par un médecin.
La victime était connue pour avoir des soucis psychologiques. Il avait des tendances dépressives. Ce mardi matin, l’examen du corps n’a rien révélé de suspect.

http://www.bienpublic.com/grand-dijon/2013/04/23/longvic-un-homme-de-35-ans-retrouve-mort-au-sol

Enfants maltraités : "Nous sommes tous co-responsables"

Pour André Vallini, sénateur PS de l'Isère, il y a eu des dysfonctionnements dans le suivi des deux garçons maltraités à Pavillons-sous-Bois. Rappelant qu'un a deux enfants sont tués chaque jour par leurs parents, il va demander à ce que la maltraitance soit déclarée "grande cause nationale" en 2014.
MyTF1News : Vous êtes un ardent défenseur de la cause des enfants. Quelle réaction avez-vous eu en apprenant l'histoire de ces deux petits garons de Pavillons-sous-Bois qui dormaient à la cave ?
André Vallini, sénateur PS de l'Isère : Ce fait divers est horrible. L'opinion publique en est bouleversée. Heureusement. Hélas, cette émotion retombera dans un jour ou deux, et on ne parlera plus du calvaire de ces deux petits garçons. Or, quand on prend les choses dans le temps on s'aperçoit qu'il y a beaucoup d'affaires semblables. On ne dispose pas, et c'est un problème, de statistiques suffisamment fiables sur la
maltraitance des enfants, mais les experts s'accordent à dire que tous les jours, un a deux enfants meurent sous les coups de leur parents chaque année en France. C'est énorme et insupportable. Il s'agit d'un phénomène grave de société et de santé publique.
Il y a eu dysfonctionnement, c'est une évidence
MyTF1News : L'enquête a montré que les enfants de Pavillons-sous-Bois étaient suivis par les services sociaux et que plusieurs demandes de placement avaient été faites. Y-a-t-il eu dysfonctionnement ?
A.V. : Je ne me prononcerai pas dans le détail sur cette affaire car je n'ai pas accès au dossier. Mais il va falloir savoir pourquoi ces enfants n'ont pas fait l'objet d'un suivi plus approfondi et pourquoi ils n'étaient pas placés eux-aussi, puisque leur frère aîné l'était déjà. Il est évident que la Justice et les services sociaux du Conseil général de
Seine-Saint-Denis étaient alertés des problèmes dans cette famille. Donc il y a eu des dysfonctionnements. C'est une évidence. Lesquels exactement ? L'enquête le dira.
Dans toutes ces affaires, il y a toujours des dysfonctionnements. Mais rien ne doit être laissé à la responsabilité de la fatalité. La fatalité n'existe pas dans ce domaine. Il faut que tout le monde, les services sociaux, la justice, les policiers, les éducateurs sociaux, les médecins libéraux ou de médecine ... se remettent en cause. Je dis cela aussi pour moi-même car je suis président du Conseil général de l'Isère et il y a quelques années j'ai été confronté à un fait divers terrible : un bébé mort dans son lit de faim et de soif, par abandon de sa mère toxicomane. Nous sommes tous co-responsables. Y compris les voisins de ces familles qui hésitent à dire ce qu'ils ont vu ou pensent avoir vu.
A lire aussi : Pavillons-sous-Bois : les enfants étaient suivis par un éducateur
MyTF1News : C'est pour cela que vous organisez un colloque sur la maltraitance des enfants le 14 juin au Sénat ?
A.V. : C'est pour qu'il y ait une prise de conscience générale de l'opinion publique et des pouvoirs publics. Dans un pays moderne et développé comme l'est la France en 2013, on ne doit pas supporter que des enfants soient maltraités ou tués par leurs parents. L'objectif de ce colloque est qu'il débouche sur des mesures concrètes à soumettre au gouvernement pour qu'ils les transforment en lois. Mais il faut aussi entretenir la mobilisation. C'est pourquoi je vais demander à cette occasion que la maltraitance soit déclarée grande cause nationale en 2014 pour que tout le monde soit mobilisé et que des campagnes de prévention et d'information soient menées partout : dans les écoles, les bus, les cabinets médicaux... comme on le fait pour l'alcool au volant.
 

lundi 22 avril 2013

Yvelines: un homme tue son fils autiste

Un septuagénaire a tué son fils autiste d'une quarantaine d'années aujourd'hui en fin d'après-midi à leur domicile de Poissy (Yvelines) avant de tenter de mettre fin à ses jours.

Vers 17h30, à leur domicile familial, le père a fait ingurgiter à son fils des comprimés et lui a placé un sac plastique sur la tête.

L'homme, né en 1941, aurait commis cet acte car il ne supportait plus de voir son fils autiste souffrir, selon une source proche du dossier.

Le père a ensuite tenté de se suicider, vraisemblablement de la même façon, mais en a été empêché par l'arrivée à ce moment là de l'auxiliaire de vie de son fils. Il a été transporté à l'hôpital.

L'enquête a été confiée à la sûreté départementale des Yvelines.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/22/97001-20130422FILWWW00556-yvelines-un-homme-tue-son-fils-autiste.php

Une jeune femme poignardée dans un train entre Rambouillet et Paris

Une jeune femme de 18 ans a été poignardée dans un train de banlieue, lundi matin, à hauteur de la gare de Coignières, alors qu'elle tentait apparemment de s'interposer dans une dispute.
Les faits se sont déroulés lundi matin peu avant 10 heures. Une jeune femme a été poignardée dans un train de banlieue entre Rambouillet et Paris, à hauteur de la gare de Coignières, dans les Yvelines.

Agée de 18 ans, elle a été "grièvement blessée à l'abdomen par un couteau à lame longue", selon une source policière. Ses jours ne seraient plus en danger.

Selon les premiers éléments recueillis, elle pourrait avoir tenté de s'interposer dans une dispute entre deux personnes. "L'enquête devra déterminer si le coup de couteau a été porté volontairement ou non", a indiqué une autre source.

Un jeune homme de 17 ans a été placé en garde à vue. Il s'est débarrassé de l'arme quelques centaines de mètres avant l'entrée du train en gare de Coignières
 

Aboncourt (54) : une octogénaire meurt noyée

Jeanne Eulry, 88 ans, a été retrouvée noyée hier vers 16 h dans un étang proche de sa commune. L’octogénaire qui avait l’habitude d’aller se promener vers ce secteur, avait quitté son domicile vers 13 h 30. À 15 h 30, sa fille et son neveu, ne la voyant pas revenir à la maison sont finalement partis à sa recherche. C’est finalement dans cette étendue d’eau que son corps a été repêché peu après par les sapeurs-pompiers de Vicherey. Les gendarmes de la compagnie de Toul ont procédé aux premières constatations d’usage. L’enquête permettra de déterminer les causes exactes du décès de la victime

http://www.estrepublicain.fr/meurthe-et-moselle/2013/04/22/une-octogenaire-meurt-noyee

Choc frontal entre voiture et poids lourd à Dourlers: un mort, la RN2 reste coupée dans les deux sens

Prudence si vous empruntez la Route Nationale2 entre Maubeuge et Avesnes-sur-Helpe en ce lundi matin. Un très grave accident s’est produit peu avant dix heures sur l’axe qui traverse la commune de Dourlers.
Un poids-lourd chargé de gravier est entré en collision avec un break de marque Citroën. Selon les premiers témoignages de conducteurs qui suivaient les deux véhicules, la Citroën Xsara se serait déportée de sa voie de circulation pour entrer en choc frontal avec le camion.
L’état des véhicules indique un choc d’une extrême violence. Les sapeurs-pompiers et le SMUR se sont rendus sur place, et se sont employés pendant de longues minutes à dégager l’une des victimes, le conducteur de la Xsara, de son véhicule. Celui-ci serait mort sur le coup. Son âge et sa commune d’origine ne sont pas encore connus. L’autre victime, le chauffeur routier, a été transporté au centre hospitalier de Sambre-Avesnois de Maubeuge mais ne serait que choqué.
La RN 2 est coupée dans les deux sens de circulation, avec des déviations par les petites routes adjacentes. La situation pourrait durer une bonne partie de la journée, le chargement de gravier du poids-lourd s’étant renversé sur la chaussée.

http://www.lavoixdunord.fr/region/choc-frontal-entre-voiture-et-poids-lourd-a-dourlers-un-ia12b45185n1194814

Trois ans d'enfer pour deux enfants enfermés la nuit dans une cave insalubre -

La production de Koh-Lanta encore accablée

Un couple asphyxié dans un incendie

Un homme et une femme âgés d'une quarantaine d'années sont morts asphyxiés dans la nuit de dimanche à lundi après un début d'incendie dans la salle de bain de leur appartement, situé à Chevilly-la-Rue (Val-de-Marne), a-t-on appris lundi auprès des pompiers.
Les secours ont été appelés lundi vers 03h30 par des voisins en raison d'une odeur de brûlé provenant de leur appartement de la rue Georges-Brassens, a précisé à l'AFP le lieutenant-colonel Pascal Le Testu, porte-parole des sapeurs-pompiers de Paris. Les pompiers ont découvert le couple en arrêt cardio-respiratoire dans leur séjour. L'homme et la femme n'ont pu être ranimés par les secours, a-t-il précisé.
Selon les premiers éléments de l'enquête, une bougie pourrait avoir mis le feu à un rideau dans la salle de bains. Le couple a été intoxiqué par les fumées dégagées par cet incendie, rapidement maîtrisé et qui ne s'est pas propagé au reste de l'appartement.
 

dimanche 21 avril 2013

Drame des Festéjades : l'hommage d'une sœur jumelle

Vendredi matin, alors qu'était jugé le conducteur qui avait fauché deux jeunes en mai 2010, la sœur de l'une des victimes a pris la parole à la barre.Je désire vous décrire un peu qui était Florian". Vendredi matin, Maeva Aguilar ne s'est pas présentée à la barre du tribunal correctionnel de Narbonne sur demande de la présidente. La jeune fille avait elle-même choisi d'intervenir alors qu'était jugé celui qui a ôté la vie de son frère jumeau (et d'Hélène Tisné), dans la nuit du 22 au 23 mai 2010. "Si vous aviez connu Florian et Hélène, vous comprendriez pourquoi tant de personnes sont là pour eux, aujourd'hui. Quand on avait la chance de passer un moment en leur compagnie, on en ressortait toujours heureux". Dans une salle d'audience bondée et pourtant envahie d'un profond silence, Maeva poursuit en évoquant l'aura immense que dégageait son frère, et sa générosité spontanée. "Quand il était à la maison, Florian jouait souvent de la guitare pour interpréter ensuite les morceaux dès que l'occasion se présentait. C'était quelqu'un de très drôle, toujours de bonne humeur. Il aimait acheter des croissants pour les offrir aux SDF". Un témoignage fort, peut-être l'instant le plus poignant d'une audience empreinte d'émotion.

http://www.lindependant.fr/aude/narbonne/

Une noyade à l’étang de pêche

La partie de pêche a viré au drame, hier à 17 heures, sur l’étang de Milly-sur-Thérain, près de Beauvais, dans l’Oise. Quatre hommes sont tombés à l’eau. Le dernier, le plus jeune, était hier soir, toujours porté disparu. Les recherches de pompiers plongeurs ont duré près de quatre heures dans cette eau trouble et opaque, à 5 ºC. En vain.
C’est en fin de journée que quatre amis montent dans une petite embarcation « pour aller récupérer une ligne de pêche qu’ils avaient posé la veille », selon les gendarmes sur place. L’un d’eux en est le propriétaire et habite autour de l’étang. Une soixantaine de foyers vivent à l’année dans des cabanons de pêche aménagés en maisons. C’est en faisant demi-tour que la barque chavire. Tous tombent à l’eau.
Deux parviennent à rejoindre le rivage. Un troisième est en grande difficulté, sur le point de se noyer. C’est alors que des témoins de la scène, riverains de l’étang de Milly-sur-Thérain, lui viennent en aide. « Deux personnes ont pris leur embarcation pour le remonter, expliquent les pompiers. Il était en arrêt cardiaque. Les deux témoins lui ont fait le massage cardiaque dans la barque avant de le ramener vers le bord ». Cet homme, âgé d’une quarantaine d’années et originaire de Sainte-Geneviève, a été conduit à l’hôpital de Beauvais par le Samu dans un état critique. Son état se serait stabilisé dans la soirée.

Les rescapés entendus par les gendarmes

Reste la quatrième victime, un jeune homme âgé de 20 ans et originaire de Francastel, qui était toujours portée disparu hier soir. D’importants moyens ont été mis en œuvre pour le retrouver. Des équipes de plongeurs des centres de secours de Beauvais, Creil et Compiègne se sont relayées jusqu’à 22 h 30. L’hélicoptère de la sécurité civile survolait le site. « Les plongées durent 50 minutes, c’est le temps maximum autorisé. Ensuite, on passe le témoin à d’autres équipes », expliquaient, hier soir, les pompiers. Les recherches reprendront ce matin à 8 h 30.
L’émotion était palpable hier, autour de l’étang. Le soleil du printemps se mêlait à un vent trouble qui rafraîchissait une atmosphère pesante autour de l’eau. Les proches des victimes et les rescapés du drame, pieds nus et couverture de survie sur le dos, attendaient des nouvelles des recherches.
Les deux hommes sains et saufs ont été entendus par les gendarmes dans la foulée, à la brigade de Marseille-en-Beauvaisis.
Quant aux riverains, amoureux du lieu très prisé par les pêcheurs, ils étaient choqués par ce drame qui ne s’est pas produit autour de cet étang depuis plus de quarante ans. « Je n’ai jamais connu un tel événement en 36 ans de mandat. Cela ressemble à une imprudence collective », notait, hier soir, Philippe Topin, le maire de Milly-sur-Thérain, présent sur les lieux.


http://www.courrier-picard.fr/region/une-noyade-a-l-etang-de-peche-ia0b0n61731

Un dernier adieu à José Barreyre

Ils s'étaient donné rendez-vous devant l'hôpital et se sont rendus à pied devant son domicile pour déposer quelques roses. Une marche d'une heure empreinte de beaucoup d'émotion.
«AVANT que l'on me prenne mon fils, j'étais contre la peine de mort. Aujourd'hui, j'aimerais qu'elle soit rétablie. » Anne-Marie Barreyre n'espère plus qu'une seule chose : « Que ceux qui ont fait ça soient arrêtés, jugés et punis. Mon fils n'a jamais rien demandé à personne. Il s'est fait tout seul à force de persévérance et de courage. Il avait retrouvé l'amour… Un petit gars… Il était aimé. »
Hier après-midi, devant l'église Saint-Martin, près de l'ancienne entrée de l'hôpital de Laon, une centaine de personnes s'était donné rendez-vous.
De la famille et des amis de José Barreyre, mais aussi des clients du tatoueur et quelques anonymes. Dans les rangs du cortège, beaucoup de tristesse et de colère. « C'est injuste. Il ne méritait pas ça », lâche une amie de José Barreyre.

« Qui et pourquoi ? »
Une fois devant la petite maison grise de la rue Thierret, certains n'ont pas su retenir leurs larmes. C'est devant son domicile que José Barreyre s'était fait agresser, dans la nuit du 15 au 16 mars. Il était tombé dans un véritable guet-apens. Cette nuit-là, vers 1 heure, deux individus avaient sonné à son domicile, à visage découvert. Ils avaient prétexté avoir abîmé sa voiture pour l'attirer dans la rue. Une fois dehors, ce jeune père de famille avait été roué de coups. Après le violent passage à tabac, ses agresseurs lui avaient tiré une balle dans la tête quasiment à bout portant avant de prendre la fuite. Transporté au centre hospitalier d'Amiens, José Barreyre était victime d'une hémorragie cérébrale, qui quelques jours après, s'avérerait fatale. José Barreyre a été enterré le vendredi 12 avril.
« Votre présence nombreuse montre à quel point José était estimé, a ajouté Laura, sa compagne. Comment expliquer à Rocca que son père n'est plus là ? Et surtout, ces questions que tout le monde se pose : qui et pourquoi ? »
Puis, une par une, dans un silence troublé par quelques sanglots, des dizaines de roses, blanches et bleues, ont été déposées devant la petite maison.


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/un-dernier-adieu-a-jose-barreyre

Drame d’Ingrandes. Le corps de l’enfant retrouvé sans vie dans la Loire

Le corps d’enfant retrouvé vendredi après-midi dans la Loire, à hauteur du Fresne-sur-Loire (Loire-Atlantique), est celui d’Erwan Leclercq, tombé dans le fleuve avec sa mère en début de semaine.
Identification du médecin légiste
C’est ce que confirme, ce soir, le parquet d’Angers. Il a été formellement identifié ce samedi par le médecin légiste. Erwan Leclercq est cet enfant de 8 ans, tombé mardi dans la Loire, en voiture, avec sa mère, Fathya Leclercq, 42 ans. L’accident est survenu à la suite d'une fausse manœuvre de la conductrice, dont la sortie de garage, à Ingrandes-sur-Loire, donnait sur le fleuve. Les deux occupants du véhicule n’étaient pas parvenus à regagner la rive, emportés par le courant.
Autopsie lundi, la mère recherchée
Le corps d’Erwan Leclercq avait été retrouvé par la brigade fluviale de la gendarmerie de Nantes. Il sera autopsié lundi. Sa mère est toujours recherchée activement. Une battue est organisée ce week-end dans cette optique.
 

Accident. Une infirmière tuée à Thil

Un accident qui a impliqué trois véhicules s'est produit hier en fin de matinée, vers 11h15, sur la route départementale 1 sur la commune de Thil, dans l'ouest de la Haute-Garonne. Les voitures sont entrées en collision à un carrefour. Les pompiers et une équipe du Smur 31 qui s'est déplacée sur les lieux de l'accident en hélicoptère ont porté secours à six victimes. Dans une Renault Twingo, le conducteur âgé de 33 ans et son épouse 34 ans ont été blessés. Pris en charge par les urgentistes du Samu, la passagère, âgée d 34 ans a été médicalisée sur place avant d'être évacués par hélicoptère vers l'hôpital Rangueil. Malgré les soins, Élisabeth Marcek-Arnold qui demeurait à Merville et était infirmière à la clinique des Cèdres, est décédée en début d'après-midi. Son mari a été hospitalisé à Purpan. Son état de santé serait rassurant.
Dans une Volkswagen Passat, deux enfants de 3 mois et 2 ans, et leur maman ont été blessés et évacués également vers l'hôpital Purpan. Leur état de santé n'inquiétait pas les secours. Enfin une jeune femme de 19 ans, qui conduisait une Renault Clio, a été prise en charge par les pompiers et transportée à la clinique des Cèdres, à Cornebarrieu. À l'issue d'examens de contrôle, elle a pu rentrer chez elle. Une enquête a été ouverte par les gendarmes. Un refus de priorité serait à l'origine de ce carambolage mortel.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/21/1610934-une-infirmiere-tuee-a-thil.html

samedi 20 avril 2013

Une jeune fille de 19 ans tuée par un train

était aux environs de 22 jeudi, lorsqu’une jeune fille de 19 ans a été percutée par le train Paris-Belfort au passage à niveau de Vaivre-et-Montoille situé dans l’agglomération de Vesoul.
Selon les premiers éléments, la jeune fille qui était enceinte de trois mois était domiciliée à Vaivre. Elle avait dit à son entourage qu’elle se rendait chez une copine. Elle traversait les rails lorsque le drame est survenu. Les services de la Brigade de sûreté urbaine (BSU) poursuivent leurs investigations pour savoir s’il s’agit d’un accident ou d’un acte volontaire. Pour l’heure, rien ne permet de pencher pour une thèse. Ce qui pourra sans doute être affiné après les différentes auditions ainsi que l’examen de son téléphone.
La circulation des trains sur cette ligne Paris-Belfort a été interrompue jusqu’à 23 h 38. Heure à laquelle l’Officier de police judiciaire a autorisé le train à rallier la gare de Vesoul, distante de 4 km. Là, le conducteur a été auditionné. Le train comptait 80 voyageurs à son arrivée à Vesoul et plus qu’une trentaine ensuite. Le directeur de la communication Bourgogne-Franche-Comté à la SNCF a indiqué que « tout le monde a été ravitaillé ». Le train a pu seulement repartir une heure plus tard.

http://www.lepays.fr/faits-divers/2013/04/20/une-jeune-fille-de-19-ans-tuee-par-un-train

Marsannay-la-Côte : un homme se tue en tombant du 2e étage

Les sapeurs-pompiers du centre de secours de Dijon-Transvaal sont intervenus ce samedi matin, vers 7h30, à Marsannay-la-Côte pour un Côte-d'Orien qui aurait sauté du 2e étage d'une maison d'habitation. A leur arrivée, les pompiers et le Samu n'ont pu que constater le décès de cet homme, âgé de 31 ans. Une enquête de gendarmerie a été ouverte.

http://www.bienpublic.com/actualite/2013/04/20/marsannay-la-cote-un-homme-se-tue-en-tombant-du-2e-etage

Une plaque en mémoire de Sonia Brunbrouck

Hier, ils étaient une soixantaine à avoir répondu à l'appel des parents de Sonia. Un an, jour pour jour après le drame, une plaque commémorative a été apposée sur le rempart.
DES ŒILLETS, des roses blanches… Des dizaines de fleurs ont été déposées hier après-midi au pied du rempart, sur lequel une plaque figure désormais en souvenir de Sonia Brunbrouck.
Il y a un an, jour pour jour, derrière les ruines de l'Abbaye Saint-Vincent, la jeune femme
avait été retrouvée, sauvagement assassinée. Un drame que personne n'a oublié, « qui a marqué les esprits », lâche Marie-Claude Brunbrouck.
Hommage
La mère de Sonia a lu quelques mots aux personnes réunis autour d'elle et de son mari hier après-midi : « Nous sommes réunis en ce 19 avril 2013 pour rendre hommage à Sonia, pour que ce drame atroce ne se reproduise plus jamais. »
Le rassemblement au départ de la promenade de la Madeleine était prévu à 14 heures. Dans le silence, les personnes sont descendues jusqu'à l'endroit où se trouve la plaque commémorative.
Obtenir l'autorisation d'installer cette plaque était important pour les parents de Sonia. Bernard Brunbrouck explique leur démarche : « Nous voulons qu'à chaque fois que quelqu'un passe à cet endroit, on pense à notre fille et qu'on se souvienne de ce qui est arrivé. »

> Diaporama : les images du rassemblement
Le site étant classé, il a fallu obtenir l'accord des Bâtiments de France, mais la Ville les a beaucoup soutenus. « Nous remercions d'ailleurs Antoine Lefèvre, mais aussi Christophe Coulon qui a suivi ce dossier. Peut-être que les gens seront choqués de voir que la plaque a été mise aussi haute sur le rempart, mais c'est pour éviter qu'elle ne soit abîmée ou vandalisée », détaille Bernard Brunbrouck.
Ses parents se rendent deux fois par jour sur la tombe de leur fille, au cimetière de Châtillon-lès-Sons, où ils habitent. Dès qu'ils viennent à Laon, ils déposent une fleur à proximité des lieux où s'est déroulé le drame.

Ils n'oublient pas
Pas un jour ne passe sans qu'ils ne pensent à Sonia. Hier, l'émotion était encore plus vive. Marie-Claude et Bernard ont retrouvé quelques amis de l'adolescente.
Parmi eux, Dylan Tatté : « Je suis heureux de voir les parents de Sonia. Il n'y a qu'avec eux que je réussis à parler de Sonia. C'était ma meilleure amie, quelqu'un de très simple, très gentil, sur qui on peut compter. Pour moi, elle est toujours là. »

Le jeune homme était au lycée Julie-Daubié, l'an dernier, comme Sonia. Il a toujours une photo d'elle en fond d'écran de son téléphone portable : « Je n'arrive pas à la changer, je veux pouvoir la voir à tout moment. »
Valérie Bouillot, vice-présidente de l'association En mémoire de Sonia, gère la page Facebook : « Depuis ce matin (ndlr : hier matin), de nombreux messages de soutien arrivent. » Des messages d'amis surtout, mais pas seulement. À l'image de trois dames, venues hier, des anonymes ont aussi été touchés par ce drame survenu il y a un an : « On ne se remet jamais de perdre un enfant et encore moins dans ces circonstances. »
Hier, les parents de Sonia n'ont eu aucun mot pour Lewis Peschet. Quand on leur pose la question, ils répondent seulement : « Nous souhaitons qu'il soit jugé pour ce qu'il a fait. »

L'association En mémoire de Sonia tiendra son assemblée générale le vendredi 14 juin, à 19 heures, à la salle Simone-Signoret à Marle. Plus de 300 dons avaient été recueillis pour aider les parents de Sonia à offrir à leur fille une sépulture décente. Lors de cette réunion, l'association devrait être dissoute.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/une-plaque-en-memoire-de-sonia-brunbrouck-1

Marmande (47) : il s'immole par le feu près de la plage

C’est à quelques mètres de l’eau sur le chemin menant à la plage de Marmande qu’un homme a été repéré en flammes, vendredi soir, avant 19 heures.
Il était en train de brûler vif lorsqu’un promeneur sorti avec son chien l’a découvert. En même temps qu’il a prévenu les secours, ce dernier a tenté de prodiguer à la victime les premiers soins. Les pompiers et service mobile d’urgence et de réanimation, sont arrivés plaine de la Filhole très rapidement. L’homme était encore vivant, mais inconscient et déjà sérieusement brûlé. Il est décédé quelques minutes après sur les lieux.

Agé de 38 ans, il habitait à Pont des Sables sur la commune de Fourques-sur-Garonne. La victime, selon les gendarmes, était dépressive aurait déjà effectué une tentative de suicide par le passé. Sans profession, il fréquentait le milieu des marginaux. Selon le maire de Marmande, Gérard Gouzes, il se serait aspergé d'alcool avant d'y mettre le feu.
La piste du suicide est privilégiée par les enquêteurs.

http://www.sudouest.fr/2013/04/20/il-meurt-brule-vif-sur-la-voie-1030306-3698.php

Accident du travail : un technicien de Lespinasse meurt électrocuté

Employé au sein de la société 3 l Foudre, à Lespinasse, spécialisée dans l'installation de paratonnerres, un technicien de 37 ans est mort électrocuté lors d'une intervention jeudi après-midi, à Lescar (Pyrénées Atlantiques).
La victime travaillait sur le site Euralis et se trouvait juchée sur une nacelle à une à une dizaine de mètres du sol, à proximité d'une ligne électrique haute tension de 63 000 volts. Le technicien toulousain était occupé à poser un paratonnerre sur un des hangars du site, en chantier depuis plusieurs mois. Un bâtiment situé à une cinquantaine de mètres de la ligne haute tension qui traverse les entrepôts de la coopérative.
Lorsque l'accident s'est produit, jeudi, vers 16 h 30, la ligne haute tension a été mise hors service pour sécuriser les lieux et permettre l'intervention des secours.
Selon un communiqué de RTE (Réseau de transport d'électricité) qui exploite la ligne, c'est la création d'un arc électrique qui aurait frappé le malheureux dont la nacelle en acier se serait rapprochée trop près des fils, sans les toucher.
L'enquête ouverte par les policiers de la sûreté départementale du commissariat de Pau devra préciser les circonstances de ce drame. Les enquêteurs devraient notamment entendre le collègue du technicien décédé, qui a assisté à la scène. En état de choc après l'accident fatal, cet homme a été transporté à l'hôpital.
Dans son communiqué publié jeudi soir, RTE rappelle «que les distances de sécurité doivent impérativement être respectées au voisinage des lignes électriques». Contactée hier, la société 3 l Foudre de Lespinasse n'a pas souhaité donner suite à nos sollicitations. Des membres de cette entreprise se sont rendus sur les lieux pour tenter de comprendre ce qui a pu se passer. La victime était également décrite comme maîtrisant parfaitement les techniques d'installation de paratonnerres. L'enquête dira si toutes les précautions ont été prises pour effectuer ce type d'opération à proximité d'une ligne à haute tension.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/20/1609850-accident-du-travail-un-technicien-meurt-electrocute.html

Un automobiliste trentenaire se tue à Saint-Didier-en-Velay

Un automobiliste âgé de 33 ans, a perdu le contrôle de sa Fiat « Panda », vendredi, à 16h45, alors qu’il circulait avenue du Bois-Lafayette, à Saint-Didier-en-Velay.

La victime a très violemment percutée un arbre à hauteur du numéro 24. L'homme, originaire de La Séauve-sur-Semène, est décédé sur les lieux de l’accident.

http://www.leprogres.fr/haute-loire/2013/04/19/un-automobiliste-trentenaire-se-tue-a-saint-didier-en-velay

Les deux marins portés disparus samedi se sont suicidés

Les deux marins du chalutier Neway portés disparus après être tombés à la mer samedi, au sud-ouest de la Grande-Bretagne, se sont suicidés, a annoncé vendredi le procureur de Saint-Brieuc.
Selon les résultats de l'enquête, "il s'agit d'un double suicide", a expliqué le procureur de Saint-Brieuc, Gérard Zaug, lors d'une conférence de presse. Les deux jeunes marins, âgés de 25 et 27 ans, pères de deux enfants, séparés de leurs conjointes et qui rencontraient des problèmes personnels, ont sauté l'un après l'autre chacun d'un côté du bateau, à quelques minutes d'intervalle, avec leurs cirés jaunes et leurs bottes. Ils s'étaient auparavant isolés une vingtaine de minutes seuls dans le navire, et, une fois à l'eau, ont refusé les bouées lancées par les autres membres de l'équipage, selon le procureur. Les deux marins étaient très proches, a précisé Gérard Zaug.
Les trois autres marins partis sur le Neway, chalutier de 24 mètres immatriculé à Paimpol (Côtes-d'Armor), sont rentrés lundi au port de Roscoff dans le Finistère, où ils ont été entendus par les gendarmes dans le cadre d'une enquête ouverte pour disparition inquiétante.Selon une source proche du dossier, le patron du Neway avait évoqué le soir du drame l'hypothèse du suicide d'un des marins.
Le Neway avait lancé un appel de détresse vers 19h15, samedi, pour signaler la chute à la mer de deux hommes, à 30 milles (55 km) au nord des îles Scilly. Les secours avaient été coordonnés par les Britanniques du Maritime Rescue Coordination Center (MRCC) de Falmouth, qui avait dépêché sur place un hélicoptère et une vedette de sauvetage. Quatre navires de pêche français s'étaient joints au dispositif.
 

Pelouse (Lozère) : accident mortel sur la RN88

Hier, peu avant 15h, une automobile a percuté un poids-lourd, à Pelouse, sur la RN88, à une quinzaine de kilomètres de Mende. Le conducteur de la voiture a été tué sur le coup.
La pluie et la chaussée glissante sont sans doute à l'origine de l'accident mortel, qui est survenu peu après 15h sur la RN88, à une quinzaine de kilomètres de Mende en direction de Langogne, précisément sur la commune de Pelouse.
Au lieu-dit Eygas, à la sortie de virages dangereux, le conducteur d'une Citroën C3, immatriculée dans le Tarn-et-Garonne, a perdu le contrôle de sa voiture, qui s'est déportée sur la gauche. L'automobile est allée percuter un poids-lourd immatriculé en Haute-Garonne, avant d'effectuer une sortie de route, et de s'immobiliser dans un champ en contrebas. Arrivés très rapidement sur les lieux de l'accident, les pompiers n'ont pu que constater le décès de l'automobiliste, un habitant de Haute-Loire.

Important embouteillage
Jules Maurin, le maire de Pelouse, est venu sur place, pour constater le décès. De nombreux gendarmes sont aussi intervenus, tels le commandant de la compagnie de Mende Stéphane Dardenne, son adjoint Salvador Perrone, le commandant de groupement Jean-Xavier Renard. L'accident a provoqué un sérieux embouteillage sur la RN88, le temps que la remorque du poids-lourd soit dégagée de la chaussée

http://www.midilibre.fr/2013/04/19/pelouse-accident-mortel-sur-la-rn88,681970.php

vendredi 19 avril 2013

Rhône. Un mort et un blessé grave dans un accident sur la D338

Ce vendredi après-midi, vers 16h30, un véhicule de pompier qui circulait sur la RD338 a été percuté par une voiture, à l'intersection avec la D76, à Theizé. Sous le choc, cette dernière a été projetée en contre-bas, sur le bas côté. A son bord, un couple. L'homme est décédé. La femme est dans un état grave.

http://www.leprogres.fr/beaujolais/2013/04/19/accident-en-cours-sur-la

Drame familial sur l'aire des gens du voyage de Nice: Le père, principal suspect, toujours en réanimation

Le gardien de l'aire des gens du voyage de Nice, soupçonné d'avoir tué sa compagne et sa fille, va rester dans le service de réanimation au moins jusqu'à lundi sans pouvoir être auditionné, a-t-on appris vendredi auprès du parquet.
Deux personnes ont été tuées jeudi sur une aire des gens du voyage dans l'ouest de Nice et leur meurtrier présumé a été interpellé. Les victimes seraient une femme d'une quarantaine d'années et sa fille âgée de 12 ans. Elles auraient été tuées par arme blanche et leurs corps retrouvés dans la maison du gardien de l'aire.
Un homme, dans un état alcoolisé avancé, a été blessé et transporté sous escorte policière dans un hôpital de la ville.

http://www.20minutes.fr/ledirect/1141347/20130419-drame-familial-aire-gens-voyage-nice-pere-principal-suspect-toujours-reanimation

Béarn : un technicien électrocuté par une ligne à 63 000 volts

Un dramatique accident s’est produit jeudi après-midi vers 16 h 30 sur le site Euralis à Lescar. Un homme est mort électrocuté alors qu’il travaillait sur une nacelle à une dizaine de mètres du sol, à proximité d’une ligne électrique haute tension de 63 000 volts.
Le technicien était occupé à poser un paratonnerre sur un des hangars du site, qui est en chantier depuis plusieurs mois. Un bâtiment situé à une cinquantaine de mètres de la ligne haute tension qui traverse les entrepôts de la coopérative.

Aussitôt l’accident produit, la ligne haute tension a été mise hors service. Mais il a fallu une plusieurs minutes aux équipes de RTE pour la sécuriser complètement et permettre l’intervention en toute sécurité des pompiers.
Un arc électrique ?
Selon un communiqué de RTE (Réseau de transport d’électricité) qui exploite la ligne, c’est la création d’un arc électrique qui aurait frappé le malheureux dont la nacelle se serait rapprochée trop près des fils, sans cependant les toucher.
Le technicien a-t-il fait une fausse manœuvre en manipulant la nacelle élévatrice ?
L’enquête ouverte par la police permettra de préciser les circonstances du drame. Les enquêteurs devraient notamment entendre le collègue de l’agent décédé, qui a assisté à la scène depuis le sol. Très choqué, ce dernier a été transporté à l’hôpital.
Le technicien décédé âgé d’une trentaine d’années travaillait pour la société toulousaine 3 L Foudre spécialisée dans la pose de paratonnerres.
Plusieurs paratonnerres avaient d’ailleurs déjà été possés sur les silos et hangars du site d’Euralis, qui est actuellement en plein chantier.
Dans son communiqué publié hier soir, RTE rappelle « que les distances de sécurité doivent impérativement être respectées au voisinage des lignes électriques ». Chaque année, Réseau de transport d’électricité, en association avec ERDF, mène d’ailleurs une campagne de sensibilisation aux risques pour la sécurité des personnes qui exercent des activités à proximité des lignes électriques.
Où l’on apprend qu’auprès de lignes de plus de 50 000 volts, le danger d’un arc électrique pouvant survenir à moins de cinq mètres

http://www.sudouest.fr/2013/04/19/electrocute-par-une-ligne-a-63-000-volts-1029080-4238.php

Territoire de Belfort : un jeune homme meurt percuté par une voiture

Vers 4 h du matin, un jeune homme de 19 ans qui marchait le long de la RN 1019 à Bourogne (90) a été fauché par une voiture. L’accident s’est déroulé près de la caserne du 1er Régiment d’artillerie. Le conducteur de la voiture n’a pas vu le piéton, sans éclairage, sur cette route départementale dépourvue de lumière.

C’est le second accident du genre sur les routes du Territoire. Le 5 avril, un jeune homme de 22 ans avait également perdu la vie après avoir été fauché par une voiture sur la route qui relie Méziré à Morvillars.
 

Hennebont. Un homme meurt dans l'incendie de sa maison

Dramatique incendie ce jeudi à Hennebont, près de Lorient : un homme âgé de 39 ans est décédé. Selon les premiers éléments, deux autres personnes ont été hospitalisées : des voisins qui auraient été intoxiqué ou brûlé aux mains après avoir tenté de porter secours à la victime.
L'incendie se serait déclaré vers 11h30 dans le garage de l'habitation, située rue Eugène Guillevic. Les fumées auraient ensuite rapidement envahi la maison.

Une quarantaine de sapeurs pompiers de Lorient et d'Hennebont sont intervenus sur place.


http://www.letelegramme.fr/ig/generales/regions/morbihan/hennebont-un-homme-meurt-dans-l-incendie-de-sa-maison-18-04-2013-2075291.php

Dunkerque. Un SDF se noie en sauvant une jeune femme

C'est un acte héroïque qui a coûté la vie à un homme sans domicile fixe âgé de 40 ans, ce jeudi à Dunkerque.
Ce dernier avait vu une jeune femme de 21 ans sauté d'une passerelle pour mettre fin à ses jours. Pour éviter que le jeune fille ne coule, l'homme s'est alors jeté dans l'eau et est parvenu à la sortir du canal grâce à l'aide d'un autre témoin de la scène. Malheureusement, le sans-abris, bloqué dans la vase, s'est noyé après avoir coulé à pic. Les pompiers n'ont retrouvé le corps que quatre heures plus tard. Son corps sans vie a été retrouvé à une trentaine de mètres de la passerelle en raison d'un fort courant.
Sans logement depuis maintenant trois mois, le quadragénaire vivait sous une tente avec sa compagne.


http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/19/1609757-dunkerque-un-sdf-se-noie-en-sauvant-une-jeune-femme.html

Empalot. Un motard tué dans une collision avec une voiture

Un homme de 38 ans est mort hier en milieu de matinée à Toulouse, avenue de Lattre-de-Tassigny à Toulouse. Jean-Luc Belmont, appariteur à l'Institut catholique partait travailler quand il a été victime d'un accident de la route, à l'angle de l'allée Henri-Sellier, dans le quartier d'Empalot. Sur sa Yamaha, il se dirigeait vers le centre-ville quand il a été heurté par un véhicule qui tournait vers le quartier Empalot. Les pompiers ont été alertés à 9 h 50 et ont envoyé rapidement sur place une ambulance, renforcée par une équipe du Smur 31. Les médecins et les secouristes ont tenté pendant de très longues minutes de réanimer le motard, victime d'un arrêt cardiaque. Mais malgré les efforts, sa mort a été constatée sur place. Les policiers de la compagnie de lutte contre l'insécurité routière se sont rendus sur place pour réaliser les constatations. Selon les témoins, une Citroën Picasso qui venait du centre-ville a voulu s'engager vers l'allée Henri-Sellier mais sans utiliser la voie de présélection qui permet de tourner à gauche. Ce conducteur, un homme de 78 ans qui arrivait de Figeac, dans le Lot, a coupé la route du motard qui roulait sur la file de droite. La collision était malheureusement inévitable. Entendu dans le cadre de l'enquête par les policiers, le conducteur aurait reconnu son erreur. Ce motard est déjà la sixième victime de la route à Toulouse depuis janvier.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/19/1609539-un-motard-tue-dans-une-collision.html

Koh-Lanta: obsèques du médecin Costa

Quelque trois cents personnes, dont l'animateur de TF1 Denis Brogniart, se sont rassemblées hier à Hagondange (Moselle) aux obsèques de Thierry Costa, le médecin de l'émission "Koh-Lanta", mort au Cambodge le 1er avril. "Thierry portait toute son attention sur les autres avec assurance. Il était notre confident. Il était sérieux sans se prendre au sérieux, c'était un grand gamin aux yeux rieurs", a déclaré lors de la cérémonie
Denis Brogniart, devant les cendres de Thierry Costa, dont le corps a été incinéré au Cambodge, conformément à ses volontés.

La cérémonie religieuse s'est déroulée à l'église catholique d'Hagondange, où le médecin avait grandi et où résident encore ses parents. Le prêtre a indiqué que ses proches souhaitaient un moment de recueillement "loin de tout tapage médiatique, de haine et de violence". Thierry Costa, médecin de l'émission "Koh-Lanta" depuis quatre ans, s'était suicidé le 1er avril au Cambodge, quelques jours après le décès d'un candidat, Gérald Babin, au premier jour de tournage de la 16e saison de l'émission, dans l'île de Koh Rong au Cambodge. Dans une lettre posthume, le médecin s'était estimé "sali" par les médias. "J'ai cette sensation aujourd'hui que tous ces efforts ont été réduits à néant par des articles mensongers. Je n'oserai plus croiser un regard en France sans que je me pose la question de savoir s'il est rempli de méfiance envers moi", avait indiqué le Dr Costa.

Dans son discours, Denis Brogniart a affirmé que "rien ne pouvait laisser présager cette fin, mais Thierry avait un code de l'honneur". Début avril, la famille de Gérald Babin avait déposé plainte contre X, entraînant l'ouverture d'une information judiciaire pour homicide involontaire par le parquet de Créteil. La victime a succombé à "une défaillance cardiaque" due à une pathologie du coeur, indiquait début avril un pré-rapport d'autopsie. Lors d'un entretien mardi sur RTL, Denis Brogniart avait souligné ne pas avoir été entendu, au contraire de certains de ses collaborateurs et de certains candidats. Pour le présentateur de TF1, "Koh Lanta n'a rien à voir" avec ce décès.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/18/97001-20130418FILWWW00743-koh-lanta-obseques-du-medecin-costa.php

Salles-d'Aude : le retraité s’immole par le feu dans son jardin

Geste terrible d’un homme de 65 ans qui s’est immolé par le feu, mercredi vers 19 h 30, dans le jardin de sa maison à Salles-d’Aude.
Intrigués par les hurlements de douleur, des voisins proches se sont précipités pour secourir le malheureux. D’après les premiers témoignages, le retraité se serait arrosé d’essence, avant d’y mettre le feu à l’aide d’un brûleur à gaz.
L’alerte a été immédiatement donnée. Sapeurs-pompiers, gendarmes et une équipe du Samu se sont rendus sur les lieux du drame, au fond de l’impasse du Chênes vert, dans le lotissement résidentiel Les garrigues, situé sur les hauteurs du village.

Son pronostic vital engagé
La victime, dont au moins 70 % du corps est meurtri, a été longuement médicalisée sur place. Une tâche rendue très difficile du fait de son état et de ses souffrances. Le désespéré a ensuite été évacué vers l’hôpital de Narbonne, puis transféré vers le CHU de Montpellier et admis au service des grands brûlés. Où il a été plongé dans le coma.
Le pronostic vital a été engagé par les médecins qui sont très réservés quant à ses chances de survie.
Impliqué dans la vie associative du village
La tentative de suicide du sexagénaire a frappé de stupeur son entourage. L’homme qui a été militaire de carrière puis artisan maçon, est, en effet, très impliqué dans la vie associative du village. Il a dirigé pendant plusieurs années le comité communal de lutte contre les feux de forêts, avant de présider l’association patriotique, le Souvenir Français de Salles.
En outre, il épaulait son épouse qui préside l’association départementale des donneurs de sang. Le jour du drame, l’homme préparait justement une prochaine réunion. Alors que son épouse se trouvait à Narbonne.
La gendarmerie a ouvert une enquête afin de déterminer les circonstances précises du drame.

http://www.midilibre.fr/2013/04/18/le-retraite-s-immole-par-le-feu-dans-son-jardin,681304.php

jeudi 18 avril 2013

Collision moto-voiture : un mort, un blessé grave à Sochaux

Ce mercredi soir, à 22 h 10, un accident tragique s’est produit à Sochaux. Une voiture venait de la rue de l’Hôtel de ville. Au moment de s’engager rue Général Leclerc, elle est entrée en collision avec une moto, une Honda CB 600, sur laquelle se trouvaient deux jeunes hommes. Le choc été très violent. Les deux passagers, gravement blessés, ont été soignés sur place avant d’être conduits à l’hôpital. Malheureusement, l'un d'entre eux, âgé de 25 ans et originaire de Grand Charmont, est décédé lors de son transfert. Le second, âgé de 22 ans, est dans un état grave. Une enquête de police est en cours pour déterminer les causes exactes de la collision. Il se peut que les motards soient tombés avant le choc, en essayant d'éviter le véhicule. Il ne s'agit que d'une hypothèse. Le conducteur de la voiture a été contrôlé négatif à l'alcoolmie.

http://memorix.sdv.fr/5c/www.estrepublicain.fr/home/L26/1254940115/Position4/SDVG_LER/PCP4_fed-cup-tennis_042012/fedcup-1.gif.html/58494e396c3146763055384142717872

Une collision entre un scooter et poids lourd fait un mort sur l'A8 à Nice

Un homme d'une cinquantaine d'années a trouvé la mort ce jeudi matin, peu avant 8 h, dans un accident entre son scooter et un poids lourd sur l'A8.
La collision est survenue sur l'autoroute de contournement de Nice, en direction d'Aix, à la sortie du tunnel de Canta-Galet. Sapeurs-pompiers, gendarmes et équipes d'Escota sont actuellement sur les lieux, où la circulation s'écoule sur une voie.

Les bretelles d'entrée Nice-Nord et Nice-L'Ariane ont été temporairement fermées. A 8h45, on signalait 5 km de bouchons A 10h30, les échangeurs ont rouvert.

http://www.nicematin.com/nice/une-collision-entre-un-scooter-et-poids-lourd-fait-un-mort-sur-la8-a-nice.1222580.html

Un intérimaire de Chanel meurt sur le site de Verneuil

Nous sommes toujours sous le choc. Nous avons du mal à comprendre ce qui s'est passé. Une enquête a été ouverte par la gendarmerie comme c'est le cas dans ce type de circonstances, pour essayer de comprendre ce qui a pu se passer. L'Inspection du travail suit également le dossier », a indiqué hier un porte-parole de Chanel, confirmant qu'un intérimaire est décédé lundi matin sur le site de Verneuil-en-Halatte, spécialisé dans la maroquinerie.

Aucune information sur la cause du décès

Selon nos informations, le jeune homme, âgé de 24 ans, travaillait sur le site depuis trois semaines. Il était employé par l'agence d'intérim Supplay, à Creil, dont la direction « souhaite rester discrète sur cet accident, par respect pour la famille, et pour ne pas perturber l'enquête qui est en cours. Nous sommes très touchés par cet accident Nous avons une pensée pour ses proches. ».

Ni Supplay Creil, ni Chanel, ni la gendarmerie, ni le Parquet n'ont souhaité communiquer sur les circonstances de l'accident.

Le porte-parole du groupe indique simplement qu'il s'agit d'une affaire sans précédent. « Ce qui est arrivé est d'autant plus difficile à comprendre que nous prenons le maximum de précautions pour assurer la sécurité des personnes », poursuit-il.

Une cellule de suivi d'assistance psychologique a été mise en place immédiatement après l'accident pour accompagner les salariés du site. Un numéro vert est également mis à leur disposition, nous a-t-on indiqué. « Surtout pour l'équipe qui travaille avec cette personne. Ses proches collègues sont particulièrement sous le choc. »

http://www.courrier-picard.fr/region/un-interimaire-de-chanel-meurt-sur-le-site-de-verneuil-ia0b0n58966

Montiron. Une mère et son fils grièvement blessés dans une collision frontale

Les accidents de la circulation se multiplient ces dernières semaines sur les routes du Gers. Celui d'hier après-midi aurait pu être beaucoup plus dramatique. Peu après 14 h 15, une terrible collision s'est produite sur la RD4, reliant Gimont à Samatan, à hauteur de la commune de Montiron. Pour une raison indéterminée, deux véhicules circulant à sens inverse n'auraient pu éviter le face-à-face. Arrivés rapidement sur les lieux, les pompiers de Gimont, Samatan, l'Isle-Jourdain et Saramon ont porté secours aux occupants de la première voiture, la plus durement touchée. Dans l'habitacle, une mère de famille âgée de 37 ans et son fils de 2 ans et demi. Grièvement blessées, les deux personnes résidant du côté de Lombez ont dû être désincarcérées et transportées par le SMUR vers le centre hospitalier d'Auch.
Par chance, les trois occupants du second véhicule, deux hommes respectivement âgés de 47 et 60 ans et un enfant de 10 ans n'ont été que légèrement touchés. Leur état a cependant nécessité une prise en charge des secours en direction des urgences de la préfecture gersoise. Face à l'ampleur des dégâts, la brigade de gendarmerie de Lombez suivi de la compagnie de Gimont ont dû interrompre la circulation. Celle-ci n'a repris qu'après deux heures de blocage, vers 16 h 15.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/18/1608646-montiron-mere-fils-grievement-blesses-collision-frontale.html

mercredi 17 avril 2013

Loire : découverte du cadavre d'une femme immolée par le feu

Le cadavre calciné d'une femme d'une cinquantaine d'année, apparemment victime d'une immolation par le feu, a été retrouvé mercredi en début d'après-midi dans une forêt à Saint-Forgeux-Lespinasse.
C'est un promeneur qui a découvert le corps. Le cadavre calciné d'une femme d'une cinquantaine d'année, apparemment victime d'une immolation par le feu, a été retrouvé mercredi en début d'après-midi dans une forêt à Saint-Forgeux-Lespinasse dans la Loire, a-t-on appris de source judiciaire. Le corps a été retrouvé en lisière de la la forêt de Lespinasse, un lieu très fréquenté au nord de Roanne, et qui a prévenu les secours.
Ces derniers ont pu rapidement identifier la victime grâce à son véhicule, une Renault Clio, restée garée à proximité. Il s'agit d'une habitante d'un village voisin, Le Cergne, âgée de 57 ans. Sur place, les enquêteurs, qui privilégient la thèse d'un suicide, n'ont retrouvé aucune indication permettant d'expliquer le geste de la quinquagénaire. Une autopsie devait être pratiquée jeudi matin à l'Institut médico-légal de Saint-Etienne, a-t-on indiqué de même source.