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vendredi 25 novembre 2016

Elle avait 17 ans. Elle a chuté du quatrième étage d'un immeuble de l'avenue Valrose mercredi

Elle avait 17 ans. Elle a chuté du quatrième étage d'un immeuble de l'avenue Valrose mercredi.             
Elle est décédée des suites de ses blessures et un homme de 34 ans est actuellement en garde à vue.
L'individu et la jeune fille de Cagnes-sur-Mer squattaient semble-t-il un appartement d'une résidence paisible quand une voisine a alerté un patrouille de police.
Quand les policiers ont toqué à la porte, les deux occupants ont cherché à fuir en passant sur un balcon voisin. Si l'individu y est parvenu et a pris la fuite, la jeune a chuté.
Tandis que la police rattrapait l'individu, le SMUR a pris en charge l'adolescente qui décédera, vient-on d'apprendre, des suites de ses blessures.
L'homme va être présenté à la justice aujourd'hui devra s'expliquer sur la détention de cannabis, le vol d'une valise et la mise en danger de la vie de l'adolescente
http://www.nicematin.com/sujet/faits-divers

dimanche 11 septembre 2016

Aude: un homme frappe à mort un sexagénaire

Un sexagénaire a été frappé à mort samedi soir à Lézignan-Corbières (Aude) par un homme qui a été interpelé et placé en garde à vue. Selon les premiers éléments de l'enquête, vers 20h30, le meurtrier présumé est arrivé dans la commune au volant d'un fourgon avec lequel il a percuté plusieurs véhicules.
Pour une raison encore inconnue, le conducteur, dont on déterminera plus tard qu'il était en état d'ivresse, s'en est pris ensuite à un des deux hommes qui discutaient devant une maison de retraite. Et c'est le second, un retraité de 67 ans, qui a été mortellement blessé, d'un ou plusieurs coups à la tête, de canne ou de bâton, lorsqu'il a tenté de secourir son ami.
Le meurtrier présumé, un habitant de la commune a pris la fuite vers les rues du centre-ville, où il y a des bars. Mais, grâce à des témoins, il a été très rapidement interpelé par les gendarmes et placé en garde à vue. Une enquête a été ouverte pour déterminer s'il s'agit d'un "simple coup de folie d'un homme ivre" ou si les protagonistes se connaissaient et s'il s'agit d'un meurtre avec un mobile

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

lundi 22 août 2016

Luynes: un détenu tué pendant la promenade

Un détenu est décédé hier à la prison de Luynes (Bouches-du-Rhône) après avoir été blessé au thorax par un co-détenu pendant la promenade, a annoncé aujourd'hui le parquet d'Aix-en-Provence
L'homme, âgé de 27 ans, a été blessé par un objet non-identifié et est décédé des suites d'une plaie thoracique, a ajouté le parquet confirmant une information du quotidien La Provence. L'agresseur n'a pas encore été identifié et le mobile reste inconnu, a précisé le parquet, qui a confié l'enquête à la sûreté départementale de Marseille.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

lundi 11 juillet 2016

Essonne: un homme tué par balle dans la rue

Un homme de 26 ans a été tué par balle hier soir en pleine rue à Vigneux-sur-Seine (Essonne), a-t-on appris aujourd’hui de sources policières.
La victime est décédée vers 23h30 "touchée au niveau du flanc", selon une source policière. Le ou les coups de feu ont eu lieu dans le quartier de l'Oly "connu pour son trafic de stupéfiants", rapporte une seconde source policière, mais "on ne connaît pas encore les causes" de l'homicide, selon les deux sources. L'enquête a été confiée à la police judiciaire de Versailles (Yvelines).

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

dimanche 10 juillet 2016

L 'ex-beau-père de la victime, interpellé jeudi soir à Toulon, a été mis en examen samedi 9 juillet pour assassinat.
Le suspect interpellé jeudi à Toulon après la mort quelques heures plus tôt, de Nicolas Pianina, âgé de 35 ans, abattu par arme à feu devant chez lui à Mudaison (Hérault), n'a livré aucune explication sur le drame. Refusant même d'être assisté d'un avocat, selon une source judiciaire. Présenté, samedi, à l'issue de sa garde à vue devant le parquet de Montpellier, cet homme, âgé de 53 ans, qui n'est autre que l'ex-beau-père de la victime avait été intercepté par les gendarmes de la section de recherches de Montpellier, alors qu'il s'apprêtait à monter dans un ferry à destination de Bastia. La Corse, où il a visiblement des attaches mais ne réside pas.
"Charges suffisantes"
Le procureur de la République, Christophe Barret, a indiqué samedi soir, que l'individu "s'est refusé à toute déclaration sur les faits". Cependant, selon les investigations qui ont pu être menées, "on estime, poursuit le magistrat, que les charges sont suffisantes pour sa mise en examen pour assassinat". Ce qui laisse penser que la victime est bien tombée dans un guet-apens. "Nous ne sommes pas dans un règlement de compte de type crapuleux, a ajouté le parquet, mais dans un cadre familial au sens large." En fin de journée, le quinquagénaire a été écroué.
Il revient désormais à un juge d'instruction, dans le cadre d'une information judiciaire, de faire la lumière sur les circonstances et les raisons d'un tel crime contre un plombier-chauffagiste, au petit matin, alors que celui-ci prenait le volant pour aller travailler. La victime a été atteinte en pleine tête par une arme d'épaule dont on ne sait pas si elle a été retrouvée. L'artisan, originaire de Bouillargues (près de Nîmes), s'était installé à Mudaison depuis un an et demi environ, où il vivait avec sa compagne et la fillette de celle-ci.
http://www.midilibre.fr/2016/07/09/plombier-tue-le-suspect-se-mure-dans-le-silence,1363724.php

mardi 5 juillet 2016

Toulouse: un quinquagénaire tué par sa compagne d'un soir

L'homme a été retrouvé poignardé de plusieurs coups de couteau, à 02h40 du matin, gisant dans la cage d'escalier du domicile de la jeune femme dans le quartier résidentiel de la Roseraie à Toulouse.
Dans l'ambulance, la jeune femme de 35 ans, fortement alcoolisée, a affirmé s'être défendue alors qu'elle était frappée à l'arme blanche par le quinquagénaire qu'elle dit avoir rencontré le soir même.
Elle a été placée en garde à vue à l'hôpital, où elle a été admise dans la nuit dans un état qui n'inspire pas l'inquiétude. Elle présente plusieurs blessures au visage et aux mains, selon la même source.
Une autopsie a été ordonnée. La brigade criminelle de la sûreté départementale a été chargée de l'enquête en flagrant délit.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

dimanche 22 mai 2016

Le gendarme décédé à Gassin laisse deux orphelins

La gendarmerie est sous le choc, après la mort de l'adjudant Alain Nicolas, de l'antenne régionale du GIGN, ce samedi matin lors d'une intervention à Gassin.
Originaire de Saint-Étienne, l'adjudant Alain Nicolas, en poste à Orange, avait derrière lui 17 années de service dans la gendarmerie.
>> RELIRE. Homme retranché à Gassin: le gendarme est décédé
Âgé de 38 ans, ce militaire était rompu aux interventions de terrain, après avoir servi au sein de peloton d'intervention et de gendarmerie mobile.
Il avait intégré le PI2G d'Orange en 2014, ce corps d'élite de la gendarmerie nationale, dont les missions ont été élargies récemment, et qui a pris le nom d'antenne régionale du GIGN.
L'adjudant Alain Nicolas laisse derrière lui une compagne et deux enfants, âgés de 7 ans et de 12 ans.
Les quatre gendarmes décédés lors du crash de leur hélicoptère vendredi (la veille), dans les Hautes-Pyrénées étaient eux-aussi pères de famille. Cinq militaires ont péri ces dernières 24 heures.
En 2015, la gendarmerie nationale avait perdu deux de ses hommes en service.
http://www.nicematin.com/sujet/faits-divers

dimanche 15 mai 2016

Meurtre de Croix-Rouge: un drame sur fond d'alcool et de jalousie

L’auteur présumé des coups de couteau mortels est toujours en garde à vue ce dimanche matin dans les locaux du commissariat de Reims. Il devrait être présenté dans la journée ou lundi matin au plus tard au pôle d’instruction de Reims. Sa petite amie – âgée de seulement 16 ans – a elle aussi été placée en garde à vue dès samedi matin.
Les enquêteurs commencent à y voir un peu plus claire après les auditions du suspect (40 ans) et de sa jeune (très jeune) petite amie. Il ressort des éléments recueillis, que la jeune fille aurait passé la nuit de vendredi à samedi chez la victime au centre-ville. Samedi matin, la victime la raccompagne au domicile de son compagnon au 4 place Georges-Braque, quartier Croix-Rouge, à Reims. C’est là que l’altercation éclate. Le meurtrier présumé – très alcoolisé – aurait fait une crise de jalousie et porté des coups fatals à la victime de 29 ans.
L’enquête ouverte pour « homicide » est confiée à la sûreté départementale de Reims. Toute la journée de samedi, plusieurs témoins ont été auditionnés, ainsi que la jeune fille de 16 ans entendue sous le régime de la garde à vue en raison de sa présence au moment des faits.
> Un suspect en garde à vue après le meurtre d’un homme quartier Croix-Rouge à Reims
Si l’origine précise du drame reste à déterminer, les premiers éléments orientent cependant les enquêteurs sur la piste d’une querelle d’après-boire, d’un banal différend qui aurait mal tourné en raison d’une forte consommation d’alcool.
http://www.lunion.fr/1/accueil-lunioncom

samedi 30 avril 2016

Un homme abattu en pleine rue à Nancy

Un jeune homme a été abattu en pleine rue ce matin à Nancy par au moins deux assaillants portant des cagoules, qui ont ouvert le feu sur lui avant de prendre la fuite. "Aucune piste n'est privilégiée" mais les enquêteurs pensent que la victime n'a pas été visée de manière "fortuite", a dit  le vice-procureur Michel-Simon Journo.
 Les faits ont eu lieu vers 9h20, dans un quartier réputé calme proche du centre-ville, à quelques centaines de mètres de la gare de Nancy. "J'ai entendu des détonations. J'ai vu deux hommes qui tiraient sur un autre, au niveau du passage piétons. Il s'est écroulé", a raconté une femme qui a assisté à la scène, depuis le salon d'esthéticienne tout proche où elle travaille.

Selon cette femme, les assaillants sont ensuite montés dans une camionnette blanche où les attendait un troisième homme, et ont pris la fuite.

Le corps de la victime, recouvert d'une housse, était encore sur la chaussée en fin de matinée. On comptait au moins une vingtaine de douilles à proximité.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

mardi 15 mars 2016

Marseille : un jeune homme tué d'une rafale de kalachnikov

Un homme d'une vingtaine d'années a été tué d'une rafale de kalachnikov tirée par des agresseurs à moto, lundi soir dans les quartiers nord de Marseille. La victime était inconnue des services de police.
Des agresseurs à moto l'ont abattu d'une rafale de kalachnikov. Un homme d'une vingtaine d'années est mort lundi soir dans les quartiers nord de Marseille, a-t-on appris de sources policière et judiciaire.

"Le mode opératoire ressemble à un règlement de comptes" mais la victime, qui a succombé après son transfert à l'hôpital, n'était pas connue des services de police, ni pour des délits graves, ni pour trafic de drogue, a précisé un membre des forces de l'ordre.

La police judiciaire tente d'établir le mobile du crime

Selon les premiers éléments de l'enquête, la victime a été prise pour cible vers 21h00 alors qu'elle se trouvait, à pied, près d'un snack de la cité du Mail, dans le 14e arrondissement de la ville. L'homme "respirait encore lors de son transfert à l'hôpital", mais est mort peu après, a précisé le procureur de la République adjoint Dominique Auter, qui s'est rendu sur les lieux.
  
Pour tenter de trouver les auteurs du meurtre, une enquête a été confiée à la police judiciaire de Marseille. Elle s'oriente a priori vers un règlement de comptes, même si le mobile du crime doit encore être établi avec certitude. L'identité de la victime doit aussi être confirmée, a précisé M. Auter. Vers 22h30, les policiers spécialisés collectaient les différents indices utiles à l'enquête, sur les lieux du crime, entre une tour d'habitation et un collège.
  
Délinquance en baisse, mais homicides en légère hausse

Au moins quatre morts dans des règlements de compte ont été recensés depuis le début de l'année à Marseille :
un homme a été tué mi-janvier à la kalachnikov sous une passerelle du 3e arrondissement. Début février,  un homme a été abattu dans les quartier nord (13e arrondissement), là encore par une rafale d'arme automatique et, quelques jours plus tard, deux autres sur le parking d'un centre commercial de l'est de la ville.

D'une manière générale, à Marseille et dans les Bouches-du-Rhône, presque tous les types de délinquance ont baissé l'an dernier, parfois de manière très importante. Le nombre d'homicides, en revanche, a un peu augmenté.

Dans l'ensemble du département, 22 règlements de comptes ont été répertoriés en 2013, 26 en 2014 et 21 en 2015. Ces faits ont provoqué la mort de 17 personnes en 2013, 18 en 2014 et 19 en 2015.
 

jeudi 3 mars 2016

Pas-de-Calais : un an après la disparition d'un ado, son beau-père avoue l'avoir tué et avoir caché le corps

Plus d’un an après, le mystère de la disparition d’Antoine Dupont a enfin été résolu, rapporte La Voix du Nord. Le beau-père du jeune homme, âgé de 15 ans au moment des faits, a avoué mardi l’avoir assassiné et avoir jeté le corps lesté dans le canal de Beuvry, à Gonnehem (Pas-de-Calais).

Bloqué avec un filet et des parpaings

Antoine avait disparu le 28 janvier 2015 et de vastes recherches policières avaient été menées pour le retrouver. Aucun membre de la famille n’était réellement soupçonné et il n’y avait pas de mobile. Mardi soir, Marc Demeulemeester, le beau-père d’Antoine, a pourtant soulagé sa conscience en se rendant au commissariat. Il a avoué avoir étranglé le garçon dans son sommeil avec un fil de fer et avoir jeté le cadavre dans le canal. Pour s’assurer que le corps ne remonte jamais à la surface, il l’avait lesté et l'avait bloqué avec un filet et des parpaings. Placé en garde à vue, le meurtrier a décrit précisément l’endroit où se trouvait le corps. Il a été mis en examen mercredi soir pour assassinat, bien que les raisons de son acte ne soient toujours pas connues
http://www.ladepeche.fr/article/2016/03/03/2296828-calais-an-apres-disparition-ado-beau-pere-avoue-avoir-tue.html

mercredi 17 février 2016

Aveyron : l'éleveur a «traîné et tué» la conseillère agricole, selon le procureur

Une jeune femme, technicienne spécialisée dans le contrôle laitier, âgée de 25 ans, est décédée après avoir été poussée dans un étang ce mercredi matin dans une exploitation laitière de Mayran, près au lieu-dit Les Farguettes, à 20 kilomètres à l'ouest de Rodez (Aveyron), révèle RTL

Stéphane Le Foll a assuré quelques heures après le drame qu'elle n'avait pas été tuée durant un «contrôle» mais lors d'«une démarche de conseil».

Le ministre de l'
Agriculture et porte-parole du gouvernement a dénoncé «un événement grave» et précisé que ce n'était «pas le chef de l'exploitation», Bertrand E., 46 ans, qui était «l'auteur du crime». En effet, d'après Centre Presse Aveyron, c'est le frère de l'exploitant, Xavier E., âgé de 47 ans, qui aurait poussé la jeune femme dans un étang glacé, situé à quelques centaines de mètres de l'exploitation, vers 7h30 ce matin. Il a été placé en garde à vue.
Il n'y a pas «pas eu d'altercation entre eux»
Le procureur de la République à Rodez, Yves Delpérié, a donné une conférence de presse ce jeudi en fin d'après-midi. Selon lui, «il n'y avait pas de contentieux particulier entre l'auteur et la victime». Le procureur a précisé qu'il n'y a pas «pas eu d'altercation entre eux» et que selon l'agresseur, la victime a fini sa mission, est sortie, «il l'a attrapée, il l'a agressée et il l'a tuée», ajoutant : il «l'a prise à bras-le-corps, l'a traînée vers un étang proche». La jeune femme aurait été «traînée» et serait ensuite «morte étouffée, noyée». Les motifs de cette agression demeurent flous, a ajouté Yves Delpérié. Une expertise psychiatrique de Xavier E. est prévue jeudi. 


http://www.leparisien.fr/faits-divers/actualites-informations-videos-faits-divers

Des ecchymoses sur la dépouille
Après être tombée en arrêt cardio-respiratoire, l'inspectrice est décédée vers 9 heures ce matin. Une enquête a été ouverte pour rechercher les causes de la mort, révèle une source gendarmerie, parlant de suspicion d'homicide. Une autopsie doit être pratiquée jeudi, selon une source sécuritaire. D'après les premiers éléments, la dépouille de la jeune technicienne portait des «traces d'ecchymoses». «Elle a vraisemblablement résisté», a-t-on précisé de source sécuritaire.

La section de recherches de Toulouse a été dépêchée en Aveyron pour mener l'enquête en appui de la brigade de recherches de Rodez. Des plongeurs de la brigade nautique de Leucate ont été également envoyés sur place.

Sur place, le maire de Mayran, Yves Mazars, agriculteur retraité, s'est dit «attristé», évoquant les deux frères E., ses «voisins» qui avaient repris l'exploitation de leur père, comme une «famille très vaillante et tranquille». Le maire a déclaré devant la presse «ne pas penser que les frères E. avaient des problèmes d'argent», soulignant qu'ils produisaient du lait et de la viande.

Les deux frères vivaient seuls «enfermés» avec leur père de 78 ans, dont ils avaient repris l'exploitation, a rapporté à l'AFP Gilbert Pouget, qui avait employé Xavier E. pendant une dizaine d'années comme saisonnier dans son entreprise de construction. «Ce sont deux frères qui s'engueulent tout le temps (...), ils ne sortent que pour la traite des bêtes», a expliqué ce voisin. Gilbert Pouget ne s'«étonne» pas du drame car le gardé à vue est «dépressif» depuis le décès de sa mère et «a dû péter un câble

http://www.leparisien.fr/faits-divers/actualites-informations-videos-faits-divers

lundi 8 février 2016

Seine-et-Marne: Un homme tué par balles dans la nuit de dimanche à lundi

Un homme est mort dans la nuit de dimanche à lundi, tué par balle au Mée-sur-Seine, en Seine-et-Marne. Les faits se sont déroulés à 3h du matin, indique BFMTV. Devant un hall d’immeuble, une altercation entre deux groupes de trois ou quatre personnes aurait rapidement dégénéré jusqu’à ce qu’une des personnes impliquées sorte une arme et tire à deux reprises sur la victime.
Une enquête a été ouverte par la PJ de Versailles. Il n’y a pas eu encore d’interpellation, indique BFMTV.
http://www.20minutes.fr/paris/1781979-20160208-seine-marne-homme-tue-balles-nuit-dimanche-lundi

vendredi 15 janvier 2016

Seine-et-Marne : un homme de 65 ans tué par son fils, qui a cohabité plusieurs jours avec le cadavre

Un homme de 65 ans a été retrouvé mort dans son appartement de Saint-Mard (Seine-et-Marne), tué par son fils de 26 ans, qui a reconnu avoir poignardé son père et cohabité plusieurs jours avec son cadavre.
Les gendarmes ont trouvé le meurtrier prenant un bain dans son pavillon de Saint-Mard à quelques mètres du corps de son père, mort depuis plusieurs jours. L'homme de 26 ans a reconnu mercredi en garde à vue avoir poignardé son père, a indiqué jeudi la procureure de Meaux.

 
Il est 13H15 mercredi lorsque les gendarmes reçoivent un appel inquiet de l'amie d'un homme de 65 ans, retraité des postes, vivant avec son fils souffrant de "troubles psychiques". Son compagnon ne répond plus à ses coups de
téléphones depuis le dimanche soir, a relaté à la presse la procureure, Dominique Laurens.

Des gendarmes se rendent devant le pavillon, dont ils cassent la porte. "A l'intérieur, les portes des chambres sont fermées à clé, et ils trouvent un jeune homme en train de prendre un bain, qui leur indique qu'il est seul dans la maison", a-t-elle raconté.

En ouvrant la porte de l'une des chambres, ils découvrent "une scène de crime avec énormément de sang": le corps de la victime présente de nombreuses plaies à l'arme blanche, "devant et derrière le tronc", signe d'un "acharnement", selon la procureure.
 
Un décès qui remonte à "trois ou quatre jours"

Le décès remonte alors à "trois ou quatre jours", selon les premiers éléments de l'autopsie, toujours en cours.

Interpellé en placé en garde à vue, l'homme de 26 ans, qui vivait seul avec son père, séparé, "a reconnu être à l'origine du décès". "Sa famille le présente comme schizophrène, et son traitement n'était visiblement pas pris avec régularité", a ajouté Mme Laurens.

La garde a vue du jeune homme, sans profession, a été prolongée de 24 heures. Il devrait être mis en examen pour homicide aggravé.

La brigade de recherches et la gendarmerie de Meaux poursuivent leurs investigations, afin notamment de retrouver l'arme du crime.  
 

dimanche 10 janvier 2016

Saint-Etienne : un homme tué par balle en plein centre-ville

Dimanche après-midi, un homme est décédé après avoir été victime d’un coup de feu tiré dans le hall d’un petit immeuble de la rue du Grand-Gonnet.
Un individu interpellé peu de temps après place Jacquard
Un individu a été interpellé peu de temps après non loin de là, place Jacquard. Très excité, il a été placé en garde à vue, mais n’a pas encore pu être entendu par les services de police. Rien n’a filtré sur les âges ou les identités de la victime et du suspect. « On n’en est qu’au début de l’enquête », déclare le procureur de la République, qui n’a pas pu préciser non plus si les deux hommes se connaissaient
http://www.leprogres.fr/loire/2016/01/10/saint-etienne-un-homme-tue-par-balle

samedi 9 janvier 2016

Aulnay-sous-Bois : drame de la jalousie, un jeune homme tué

Un jeune homme de 25 ans a été tué par l'ex-ami de sa nouvelle copine vendredi après-midi à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Selon les premiers éléments de l'enquête, confiée au service départemental de la police judiciaire (SDPJ), la victime se trouvait sur le parking du centre commercial O'Parinor avec sa nouvelle petite amie lorsque son agresseur est arrivé avec une autre jeune femme. Avant que quiconque ait le temps de réagir, il a poignardé son rival au niveau du coeur. Le coup a été fatal : la victime est décédée peu avant 17 heures. L'auteur présumé des faits, qui avait pris la fuite, a été interpellé quelques heures plus tard au Blanc-Mesnil. Il est depuis en garde à vue dans les locaux du SDPJ. Une enquête a été ouverte par le parquet de Bobigny pour homicide volontaire
http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93

mercredi 6 janvier 2016

Montbéliard : un SDF soupçonné d'avoir tué sa concubine

C’est l’odeur, immonde, qui a alerté les voisins. À leur arrivée dans ce logement rue Claude-Debussy à Montbéliard, le 9 décembre en soirée, les pompiers font une découverte macabre : une femme gît sur le sol. Elle était mère de famille, elle avait 43 ans. Le corps est dans un état de composition avancée. Dans un premier temps, un décès « naturel » est envisagé. Rien de suspect n’apparaît. « La victime souffrait de gros problèmes physiques, psychologiques, d’alcoolémie. Elle bénéficiait d’un lit médicalisé », informe le procureur de la République de Montbéliard, Carine Greff. Mais l’autopsie ordonnée dans le cadre de l’enquête diligentée pour recherches des causes de la mort, va donner une autre tournure au dossier.

« Le corps a été déplacé »

Le rapport du médecin-légiste est sans appel : la Montbéliardaise porte des traces de coups (certes non létales) et le décès est dû a une hémorragie cérébrale. « La dame a subi des violences mais il est établi, d’après les constations effectuées sur la scène de crime, que le corps a été déplacé. Il y a eu intervention d’un tiers », ajoute la représentante du parquet.
D’abord menées par la brigade de sûreté urbaine (BSU) de Montbéliard, les investigations seront ensuite confiées à l’antenne bisontine de la Police judiciaire (PJ). Le profil du concubin de la quadragénaire, un SDF de 41 ans, les intéresse tout particulièrement. Connu sur la place publique pour ses frasques et déjà condamné pour des violences, l’homme est « réputé » pour cogner son amie. « On est dans le quart-monde, la misère, deux compagnons d’infortune abîmés par la vie qui se sont croisés », note le procureur de la République qui ouvre, le 29 décembre, une information judiciaire pour homicide volontaire et violences volontaires habituelles sur personne vulnérables.
Dans l’intermède, la PJ a recueilli des éléments matériels, non dévoilés, faisant peser de lourds soupçons sur le compagnon, des analyses ADN et toxicologiques sont toujours en cours. Le soir du Réveillon de la Saint-Sylvestre, sur ordre du juge d’instruction montbéliardais Jérémie Mairel, l’homme est interpellé dans « un squat » de la cité des Princes. Il est ramené dans les bureaux bisontins de la police judiciaire. En garde à vue, le suspect admet une liaison avec la victime « La dernière fois que je l’ai vue, elle était vivante. On s’est disputé et je suis parti », explique-t-il, s’embrouillant dans les dates, les heures, incohérent. Mis en examen le 2 janvier et incarcéré sur décision du juge des libertés et de la détention, le quadragénaire conteste toujours avoir tué sa compagne. L’enquête se poursuit sous commission rogatoire. Selon le parquet, il est pour le moment impossible de définir la date de la mort (ndlr : qui pourrait remonter à quelques semaines avant la découverte du corps) et de savoir si une arme a été utilisée. En France, une femme meurt tous les trois jours de violences conjugales. À Montbéliard, ces violences ont fait une nouvelle victime et des orphelins.
http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2016/01/05/montbeliard-une-femme-avait-ete-retrouvee-morte-le-9-decembre-son-concubin-mis-en-examen-pour-homicide-volontaire-sur-personne-vulnerable-le-2-janvier

samedi 2 janvier 2016

Nantes : un homme torturé à mort chez lui

Le corps supplicié d'un homme de 44 ans a été découvert à son domicile, le 23 décembre, à Nantes (Loire-Atlantique), selon Ouest France. C'est sa mère qui a fait la découverte macabre.
Outre son corps en sang, elle a remarqué que des objets ont disparu (ordinateur, téléphone, portefeuille...).
L'autopsie a révélé que l'homme avait été roué de coups : traumatisme crânien, brûlures, blessures à la gorge. De plus, l'homme aurait été "sodomisé avec un manche à balai et forcé à avaler de la litière pour chat".

Un geste déplacé ?

Trois personnes - un SDF de 33 ans, une jeune fille de 15 ans et un adolescent de 16 ans - ont été interpellées jeudi. Visiblement, ils étaient habitués à passer des soirées ensemble. La victime vivait seule.
Selon le premier scénario de la soirée, un geste déplacé de la victime sur la jeune fille a déclenché une gifle. Puis un déferlement de violence qui aurait duré une heure.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2016/01/02/nantes-un-homme-torture-a-mort-chez-lui

vendredi 1 janvier 2016

Le corps d'un homme retrouvé dans une forêt du Nord-Drôme : l'homicide envisagé

Le corps de cet homme a été découvert par un promeneur dans une forêt de la commune d'Anneyron, au lieu dit "Percivaux", près de Saint-Rambert-d'Albon, dans le nord Drôme, vers 17h, selon les pompiers.

Selon les premiers éléments de l'enquête, il s'agirait d'un homicide.
S'agit-il du corps d'un Isérois, disparu avant Noël ? Le parquet de Vienne avait alors ouvert une enquête pour disparition inquiétante, précise France Bleu. Le parquet de Valence a saisi la section de recherche de gendarmerie de Grenoble pour l'enquête. Le corps de l'homme porterait notamment une plaie au niveau du ventre. Une autopsie doit être pratiquée en début de semaine prochaine à l'Institut médico-légal de Grenoble. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/rhone-alpes/drome/le-corps-d-un-homme-retrouve-dans-une-foret-du-nord-drome-homicide-envisage-894465.html