lundi 30 septembre 2013

CHALONS-EN-CHAMPAGNE (51). Le père infanticide se donne la mort

Abdelkader Zenguel, 34 ans, condamné par la cour d’assises de la Marne, le 18 septembre dernier, à 30 ans de réclusion criminelle pour le meurtre de son fils de 4 ans en juillet 2011, s’est donné la mort samedi dans sa cellule de la prison de Châlons-en-Champagne. Le meurtrier a été retrouvé vers 20 heures, pendu à l’aide du fil électrique de sa radio. Son avocat avait fait appel de sa condamnation le jeudi précédent. En raison de son instabilité psychologique, Abdelkader Zenguel avait été placé en cellule d’isolement.

http://www.lunion.presse.fr/region/chalons-en-champagne-51-le-pere-infanticide-se-donne-la-mort-ia231b0n217734

Saint-Germain-en-Laye: une adolescente meurt au cours d'une opération

dimanche 29 septembre 2013

Saint-Jean-d'Angély : un Charentais de 27 ans meurt dans une collision

Ce dimanche, à 2h45, une collision entre une AX et une Mercedes a fait un mort et deux blessées graves au carrefour de Fossemagne à l'entrée de Saint-Jean-d'Angély.
Un jeune Charentais de 27 ans, né à Angoulême, a trouvé la mort dans cet accident. Il était situé à l'arrière de l'AX. Les deux autres occupants du véhicules, deux jeunes filles de 26 ans, résidant près de Saint-Jean-d'Angély, ont été transportées à l'hôpital de la ville pour des blessures graves.

Une enquête est ouverte pour mieux cibler les circonstances de l'accident. L'AX, arrivant de Fossemagne, aurait traversé la N150, la Mercedes qui arrivait de Saint-Jean-d'Angély n'a pas réussi à éviter le véhicule et l'a percuté sur le côté. Des témoins sont vite arrivés sur les lieux et ont alerté les secours.

http://www.sudouest.fr/2013/09/29/accident-mortel-pres-de-saint-jean-d-angely-1183690-1552.php

Quéant : une femme de 38 ans meurt après une sortie de route

L’automobiliste, une femme de 38 ans résidant à Quéant, a fait une sortie de route et a été éjectée à une trentaine de mètres de son véhicule, retrouvé sur le toit, dans un champ bordant la D 14. Une équipe médicale du SMUR d’Arras a tenté de ranimer la victime. En vain.
C’est un agriculteur, qui travaillait dans un champ voisin, qui est arrivé le premier sur les lieux et a alerté les secours. Mais il n’y a eu aucun témoin direct de l’accident. « Seule en cause dans une ligne droite, l’automobiliste a vraisemblablement perdu le contrôle de son véhicule », ont indiqué les gendarmes présents, venus des communes de Vis-en-Artois, Marquion et Croisilles. Retrouvée sur le toit, la voiture aurait fait un ou plusieurs tonneaux.

http://www.lavoixdunord.fr/region/queant-une-femme-de-38-ans-meurt-apres-une-sortie-de-route-ia29b6474n1578896

samedi 28 septembre 2013

Échirolles : un an après le drame, les habitants demandent des renforts de police

Un an après le lynchage de Kevin et Sofiane au cours d'une rixe dans un quartier d'Échirolles, près de Grenoble, les habitants, dans l'attente d'un procès, demandent plus de policiers.
 
L'ambiance paisible qui règne en ce début d'automne à la Villeneuve d'Échirolles, cité populaire de l'agglomération grenobloise, offre un contraste saisissant avec l'extrême violence dont elle a été le théâtre il y a un an. Ce vendredi 28 septembre 2012, à la nuit tombée, Kevin et Sofiane, deux amis d'enfance de 21 ans, étaient sauvagement tués de plusieurs coups de couteau par un groupe de jeunes de la cité sensible du même nom, voisine de quelques kilomètres.
L'expédition punitive, menée par un grand frère pour venger son cadet d'un mauvais regard, s'était transformée en rixe entre les deux quartiers sous les fenêtres des habitants qui aujourd'hui attendent avec impatience le procès des auteurs présumés.

Une audience aux assises, pas avant 2015

Après plusieurs vagues d'interpellations, treize jeunes hommes dont deux mineurs ont été mis en examen pour assassinats et écroués. L'audience aux assises, qui n'est pas prévue avant 2015, devra non sans mal déterminer le degré d'implication des suspects, alors que «chacun d'entre eux se renvoie la responsabilité des coups mortels», explique au Figaro.fr une source judiciaire.
«La sérénité reviendra quand la justice sera passée», estime Aurélie, une habitante, installée sur des marches en face d'une stèle en hommage aux deux victimes, évoquant depuis les événements un climat «pesant».
La jeune femme, qui a vu son quartier «se dégrader au fil des ans», voudrait également voir «davantage les policiers promis» par le ministre de l'Intérieur lors de sa visite.
Manuel Valls avait en effet annoncé le classement des deux quartiers concernés en zone de sécurité prioritaire et l'arrivée de nouveaux policiers, mais pour le syndicat SGP-FO «le compte n'y est pas».
«Depuis le 1er septembre, seize policiers sont arrivés, mais on ne peut pas parler de renforts, ils compensent simplement les départs prévus», nuance le policier Daniel Chomette, délégué SGP-FO.
«Il faut du bleu marine dans ces quartiers si on veut être efficace et éviter les dérives comme ce qui s'est passé ici», ajoute le syndicaliste qui espère de nouveaux renforts en 2014.

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/index.php

Cassel : un motard de 26 ans perd la vie dans un accident de la route

Il est 19 h quand les pompiers de Cassel arrivent sur les lieux, une poignée de minutes après avoir été appelés. Le corps du jeune homme est sous une voiture. Quelques mètres plus loin, sa moto est couchée. Dans un premier temps, les secours dégagent le corps du jeune homme puis tentent de le réanimer. Malgré plus de deux heures de soins, les pompiers ainsi que le SMUR (service mobile d’urgence et de réanimation) ne parviennent pas à réanimer la victime.
Selon les premières constatations, le Casselois descendait la rue Bollaert quand il a perdu le contrôle de sa moto qui a percuté une voiture stationnée sur la droite. Il a alors été projeté sur la voie de gauche et a été écrasé par un autre véhicule qui montait la rue. L’automobiliste est indemne mais très choqué.
L’origine de l’accident reste à déterminer. Aucune trace de freinage n’a été trouvée sur les lieux. Les gendarmes de Steenvoorde poursuivent leur enquête afin d’éclaircir les circonstances de ce drame. Plusieurs auditions sont en cours, dont celle d’un conducteur qui a assisté à la scène.
À Cassel, le décès du jeune homme suscite l’émoi de la population. Il avait déjà été victime d’un grave accident de moto à Terdeghem le 4 octobre 2010.

http://www.lavoixdunord.fr/region/cassel-un-motard-de-26-ans-perd-la-vie-dans-un-accident-ia18b47643n1576737

Haute-Saône : il ne survit pas à une chute de 15 m

Il était aux environs de 16 h 15, ce vendredi rue Louis-Chauveau à Arc-lès-Gray, lorsque la victime a basculé dans le vide.
Selon les premiers éléments de l’enquête, ce charpentier-couvreur était monté sur le toit d’un bâtiment de la société Europorte pour y changer des tuiles. Pour une raison « qui reste à préciser », cet employé serait alors passé à travers la toiture, pour chuter à l’intérieur même de la bâtisse d’une hauteur comprise entre 10 et 15 mètres.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2013/09/27/haute-saone-il-ne-survit-pas-a-une-chute-de-15-m

vendredi 27 septembre 2013

Charente-Maritime : un quinquagénaire abat son voisin d'un coup de fusil

Le drame qui s’est déroulé, mercredi soir, dans une maison de la Coudraie (commune de Chevanceaux au sud de Jonzac) s’est soldé par la mort de Laurent Lachaud, 43 ans, tué d’un coup de fusil de chasse tiré par Walter Plos, 56 ans, un de ses voisins. Les raisons de la querelle entre les deux hommes n’ont pas encore été établies. Emmené par les gendarmes vers 23 heures, le tireur présumé a lâché : « J’ai eu un coup de sang. J’étais à bout, j’ai tiré. »
Ce qui est acquis, c’est que leur mésentente avait déjà conduit, fin août, à une rixe entre les deux protagonistes. Le plus ancien, plâtrier-carreleur, dans l’entreprise locale Ouvrard, avait eu le visage tuméfié et des côtes enfoncées.

« Il était en arrêt de travail depuis, confiait hier soir, André Ouvrard, le chef d’entreprise. Il travaille chez moi depuis trente-deux ans et demi. Un excellent ouvrier. Je ne comprends pas ce qui s’est passé. Je ne sais pas quel était leur différend. »
Il est établi qu’avant le coup de feu mortel, il y a eu, mercredi, en fin d’après-midi, une première rencontre entre les deux hommes, au domicile de Walter Plos. La tension atteint un tel degré que la gendarmerie intervient.
Les deux hommes assurent alors qu’ils vont se calmer. Les gendarmes quittent la maison de Walter Plos avec un fusil de chasse lui appartenant. L’arme a peut-être été sortie lors de la dispute. Laurent Lachaud, lui, rentre chez lui.
D’après les informations délivrées par le parquet de La Rochelle, il est cependant revenu au domicile de Walter Plos vers 21 h 30. Il a en main un merlin, un outil de bûcheron, pourvu d’un fer carré à un bout, et pointu à l’autre. Là, le quadragénaire saccage tout dans la maison de Walter Plos. Il quitte l’habitation à pied et rejoint, non loin de là, le domicile d’un ami.

http://www.sudouest.fr/2013/09/27/le-coup-de-sang-finit-par-un-coup-de-fusil-1181455-1303.php

Une femme meurt sous les roues d'un camion

Hier, à 11h30, rue Hoche à Pertuis, un semi-remorque a renversé puis mortellement écrasé une dame de 68 ans. D'après les premières constatations des enquêteurs, le véhicule s'est arrêté sur un passage piéton de cette rue étroite pour laisser sortir une voiture en stationnement. La victime aurait voulu contourner le poids- lourd par la remorque lorsque ce dernier a redémarré. La dame, qui frôlait le semi-remorque a alors percuté le garde-boue arrière du véhicule et a chuté avant de se faire écraser par l'engin.
Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de cet accident ainsi que les responsabilités de chacun. "Il sera question des conditions de transports, du nombre d'heures au volant...", glisse une source policière. Les dépistages d'alcoolémie et de stupéfiants se sont révélés négatifs.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2550331/une-femme-meurt-sous-les-roues-dun-camion.html

jeudi 26 septembre 2013

Giromagny ( 90): malaise au volant d'un tracteur, il percute une maison

Un agriculteur originaire de Giromagny (90) a fait un malaise cardiaque alors qu’il se trouvait au volant de son tracteur, faubourg d’Alsace, à Giromagny. Il a percuté le mur d’une maison et terminé dans le garage, contre un tas de bois.
Les pompiers sont intervenus pour prendre en charge la victime, qui a été transportée au centre hospitalier. L’homme  âgé de 69 ans est malheureusement décédé.
 

Tué sur le périphérique par une camionnette qui a pris la fuite

Un homme, qui venait de sortir de sa voiture en panne sur le périphérique parisien, a été tué dans la nuit de mercredi à jeudi, fauché par une camionnette qui a pris la fuite.

Drame sur le périphérique de Paris cette nuit. Un homme, qui venait de sortir de sa voiture en panne, a été tué, fauché par une camionnette qui a pris la fuite, a-t-on appris de source policière.

L'accident s'est produit peu avant 3 heures du matin au niveau de la porte de la Chapelle, selon la
police . Selon les premiers éléments, l'automobiliste s'est arrêté "en pleine voie de circulation en raison d'une panne". Mais à peine sorti de sa voiture, il a été violemment percuté par une camionnette "qui a immédiatement pris la fuite".

L'automobiliste est mort sur place malgré l'intervention des secours. Le service de traitement judiciaire des accidents a été saisie de l'enquête.
 

mercredi 25 septembre 2013

Cinquième suicide à la maison d'arrêt de Nantes

Un détenu de 41 ans a mis fin à ses jours, dans la nuit de mardi à mercredi à la maison d'arrêt de Nantes. Seul en cellule pour la première nuit (son co-détenu avait été libéré le matin même), il n'était pas connnu ou repéré pour ses intentions suicidaires.
C'est le cinquième suicide qui endeuille cette nouvelle prison mise en service il y a un peu plus d'un an.
 

Le randonneur est décédé

Le randonneur gravement blessé après une chute sur le sentier des Roches, hier matin sur les hauteurs de Stosswihr, est décédé au cours de la nuit à l’hôpital de Strasbourg où il avait été transféré.
L’homme, qui était pourtant bien équipé, avait glissé sur environ 80 mètres.
Les pompiers de l’Epim, l’équipe de première intervention en montagne et des hommes du peloton de gendarmerie de montagne de Hohrod s’étaient portés à son secours.
Le sexagénaire, originaire de Meurthe-et-Moselle, se trouvait inconscient à leur arrivée. Il avait été évacué en hélicoptère à l’hôpital.

http://www.dna.fr/actualite/2013/09/25/le-randonneur-est-decede

Molières. L'émouvant adieu à Marie-Christine Grimal

Dernièrement, avaient lieu les obsèques de Marie-Christine Grimal décédée brutalement d’un problème cardiaque. Seulement âgée de 45 ans, la nouvelle du décès de «Mamy» (c’est ainsi qu’on la surnommait gentiment depuis des lustres), a créé un choc émotionnel à Molières et à de larges alentours.
Cette Moliéraine était en effet notoirement connue, autant que pouvait l’être une sympathique factrice qui sillonnait nos routes de campagne au quotidien, depuis un quart de siècle, pour apporter le courrier et rendre bien des services! Marie-Christine s’impliquait également au sein des associations locales. Toujours très appréciée, elle mit sa remarquable et souriante énergie au service de l’APE (parents d’élèves) et du club de football où elle assura longtemps la restauration d’après match. Enfin, elle s’impliqua durant plusieurs années au comité des fêtes, association qu’elle devait d’ailleurs réintégrer prochainement.

La foule aux obsèques

C’est très jeune qu’elle rencontra son compagnon, Jean-Louis Teysseyre, agent technique au conseil général, lui aussi très connu à Molières pour y être sapeur-pompier volontaire et impliqué dans le milieu associatif. Ensemble, ils eurent deux enfants, Jérémie et Marine, et ils avaient enfin formé le projet de se marier en 2014. Malheureusement, le destin en aura décidé autrement.
Une foule considérable assistait aux obsèques. Une cinquantaine de sapeurs-pompiers se remarquaient au côté de diverses autres délégations (gendarmerie, postiers, agents du conseil général), des membres de diverses associations et des centaines de parents et amis de Marie-Christine, tous recueillis et tristement émus. Le grand escalier de l’église fut submergé de gerbes et de bouquets de fleurs, comme autant de dizaines de témoignages d’affection et d’hommages d’adieu à celle qui nous quittait. À l’issue de l’office religieux célébré par l’équipe pastorale, la défunte devait être, selon sa volonté, conduite à Lafox (47) pour y être incinérée. Ses cendres reposent désormais au cimetière moliérain.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/25/1716808-molieres-l-emouvant-adieu-a-marie-christine-grimal.html

Un homme saute du pont d’Hyères

Hier, aux alentours de 19 heures, des clients du bar du bout de l’avenue du Comte-Vert ont vu un homme courir et enjamber la balustrade du pont d’Hyères. Un témoin s’est précipité, mais il était déjà trop tard pour retenir le malheureux. L’homme s’est écrasé sur le bitume de l’avenue du Repos. Des automobilistes se sont arrêtés pour lui porter secours et pour sécuriser le lieu avant l’arrivée des sapeurs-pompiers et des policiers.
La victime a été médicalisée par le Samu, avant d’être transportée au centre hospitalier de Chambéry. La circulation a, durant ce temps-là, été déviée par l’avenue du général Cartier.

http://www.ledauphine.com/faits-divers/2013/09/24/un-homme-saute-du-pont-d-hyeres

mardi 24 septembre 2013

Accident de chasse à Galapian (47) : le village pleure un de ses enfants

Ils voulaient chasser le faisan. Un voisin leur avait d’ailleurs dit en avoir aperçu un dans les parages. Alors après avoir déjeuné ensemble, Jordan Lenozy et son père ont pris la route qui conduit au lac de Ganet, à Galapian. C’est là, alors que les deux hommes avaient fini de se préparer, que le plus jeune est décédé d’un coup de fusil accidentellement parti de sa propre arme.
Cette hypothèse est en tout cas celle que privilégient les gendarmes en charge d’enquêter sur ce drame qui, depuis dimanche, a englouti le village de Galapian, où la victime avait presque achevé la rénovation d’une maison, sous une vague d’émotion.

Car Jordan Lenozy, 29 ans, était comme on dit, un enfant du village, le fils de l’employé municipal. « Il jouait au rugby, mais avait été contraint d’arrêter quand il s’est engagé dans l’armée. Il travaillait maintenant dans un garage comme mécanicien. La mécanique, c’était d’ailleurs sa passion. C’était un garçon jovial, sympathique, toujours un sourire accroché au visage. La veille du drame, samedi soir, il avait fêté l’anniversaire d’une copine avec d’autres jeunes du village », témoigne Pierre Lapeyre, le maire de la commune.
Le parquet d’Agen a indiqué hier qu’une autopsie du corps du défunt allait être pratiquée mercredi, à l’institut médico-légal de Bordeaux, afin d’établir les causes d’un décès sur lequel le père de la victime a eu des difficultés à s’exprimer. En raison d’une immense douleur d’abord, mais aussi parce que l’homme tournait le dos à son fils quand le coup de feu a claqué dimanche après-midi.
« Il n’arrive pas à refaire surface. Il ne cesse de pleurer… » expliquait encore le maire au sujet de son employé communal, que les gendarmes ont entendu dans le cadre de l’enquête. Toujours sur le terrain de l’investigation, l’arme, un fusil avec deux canons superposés, a été saisie en vue d’une expertise.
« C’est un drame encore plus douloureux en raison de l’âge de la victime », résumait au nom de tous les chasseurs Michel Auroux, président de la fédération de chasse de Lot-et-Garonne. « Les accidents de chasse ont souvent des conséquences dramatiques… Un coup peut partir accidentellement si un fusil tombe au sol sur la crosse… C’est la deuxième fois qu’un chasseur trouve la mort depuis mon arrivée à la présidence de la fédération. De strictes précautions sont nécessaires lors du maniement des armes. Des précautions que nous enseignons lors de la préparation au permis de chasse, avec des séances de chargement, déchargement, de montage et démontage des armes. »

http://www.sudouest.fr/2013/09/24/le-village-pleure-un-de-ses-enfants-1177945-3603.php

VONCQ (08). Un couple de nonagénaires se suicide

Un homme et une femme nonagénaires ont été découverts noyés dans une voiture, au canal de Vouziers, dimanche après-midi. C'est un passant qui a remarqué le véhicule.
Le couple était originaire de Reims et avait des attaches à Voncq. La vieille dame subissait la maladie d'Alzheimer. Le mari a décidé de mettre fin à leurs souffrances.

http://www.lunion.presse.fr/region/region-en-direct

lundi 23 septembre 2013

Un collégien meurt en cours de sport

Un élève de 3e du collège de Cajarc, dans le Lot, est mort lundi après-midi durant un cours d'éducation physique et sportive. Le collégien de 14 ans semble avoir succombé à un malaise dont l'origine reste à déterminer.
Le drame s'est produit au collège Georges Pompidou de Cajarc, pittoresque localité lotoise de 1.200 habitants, au début du cours. Les élèves venaient de commencer à s'échauffer lorsque le jeune garçon a été pris de malaise.
La victime a été d'abord prise en charge par l'infirmière de l'établissement avant que rapidement les pompiers ne soient appelés en renfort. Les pompiers ont tenté de ranimer le collégien pendant 45 minutes sans succès.
 

Une détenue se suicide à Mulhouse

Une détenue s'est suicidée aujourd'hui par pendaison à la maison d'arrêt de Mulhouse, a révélé le procureur de la ville, Hervé Robin.

La femme, âgée d'une trentaine d'années, était emprisonnée pour des agressions contre des membres du personnel hospitalier, a expliqué le magistrat. Son corps a été découvert ce matin par les équipes pénitentiaires


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/09/23/97001-20130923FILWWW00448-une-detenue-se-suicide-a-mulhouse.php

Ruffiac (56). Un homme tué dans un violent accident de la route

Accident mortel ce lundi matin sur la D8, entre La Gacilly et Ruffiac, peu avant l’entrée du bourg. Une voiture a fait une sortie de route, heurtée un arbre avant d’atterrir dans le champ voisin. Le conducteur est mort sur le coup.
Ce lundi matin, vers 6 h 15, un accident de la route particulièrement violent s’est produit à quelques centaines de mètres du bourg de Ruffiac, sur la route départementale D8, au lieu-dit Les Bergottais. Une voiture, qui roulait en direction de Ruffiac, a heurté un chêne et finit sa course dans le champ, derrière les arbres situés le long de la route. Le conducteur, seul présent à bord, est mort sur le coup.
Des débris dispersés dans le champ
Dans la violence du choc, la voiture s’est brisée en deux morceaux avec des débris dispersés sur plusieurs dizaines de mètres. À 10 h 30, la dépanneuse arrivait pour retirer la carcasse. La procédure d’identification du conducteur est en cours. La circulation n’a été ni dévié ni perturbée.
 

Montbéliard : un chasseur victime d’un malaise mortel

Hier matin, vers 11 h 30, un chasseur, qui participait à une battue dans le bois d’Allondans à Montbéliard (25) est décédé. Le chasseur, âgé de 76 ans, a été vraisemblablement victime d’un malaise.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/09/22/montbeliard-un-chasseur-victime-d-un-malaise-mortel

dimanche 22 septembre 2013

Boulogne : l’automobiliste qui a chuté dans le port est décédé

Ce dimanche matin, vers 10 heures, un automobiliste est tombé dans le port de Boulogne, juste derrière Nausicaá. Les pompiers de Boulogne ont été appelés par des témoins qui se trouvaient sur le port, et venaient de voir une voiture tomber à l’eau.
Au volant, un homme de 87 ans, visiblement désorienté. « Il avait essayé de se diriger vers la jetée avec sa voiture, ensuite il est retourné vers le quai, on l’a vu regarder vers le bassin et avancer. Et la voiture a plongé... » Très vite, les sauveteurs de la SNSM sont intervenus avec leur bateau tandis qu’une équipe de plongeurs des pompiers de Boulogne se mettait à l’eau pour tenter de sauver le malheureux.

Ancien élu de Wimille

Malgré les efforts des secouristes, la victime, Henri Belly, un habitant de Wimille, ancien élu dans cette commune, était décédée.
Il était aussi connu pour avoir été directeur d’EDF à Boulogne pendant plusieurs années. Il avait aussi été expert auprès des tribunaux.
Ce dimanche soir, on ignore toujours les circonstances exactes de ce drame.

http://www.lavoixdunord.fr/region/boulogne-l-automobiliste-qui-a-chute-dans-le-port-est-ia31b49030n1561114

Montignac (24) : le piéton renversé est décédé

Albert Sousme, le piéton de 52 ans résidant à Sainte-Alvère, percuté vendredi par une automobiliste à Montignac  et héliporté à l’hôpital de Périgueux, est décédé des suites de ses blessures.
La conductrice, une habitante de Valojoulx de 61 ans, a été entendue hier par les gendarmes. Elle aurait confondu frein et accélérateur dans sa voiture automatique.

http://www.sudouest.fr/2013/09/22/faits-divers-1176266-4584.php

Moissac. Le cadavre d'une octogénaire repêché dans le canal

Hier matin, le corps d’une dame âgée a été retrouvé dans le canal latéral à la Garonne à la sortie ouest de Moissac. Une enquête a été ouverte par la gendarmerie pour déterminer les circonstances de ce drame.
Dans le froid humide du brouillard matinal, un cycliste se déplaçant sur la promenade Saint-Martin a eu son regard attiré par une masse qui flottait à la surface de l’eau. Le brouillard assez épais hier matin au-dessus de l’eau, l’a obligé à descendre de sa bicyclette pour constater ce qu’il craignait : un corps flottait non loin de la berge. Les pompiers moissagais, très vite appelés sur les lieux, avaient fait suivre une barque et des équipements de plongée. Ils n’en auront pas eu besoin. Postés sur un empierrement qui endigue le canal à cet endroit-là, ils n’ont pas eu de mal à sortir le corps de cette femme, très vite reconnue par l’un des sapeurs-pompiers comme étant sa voisine.

Accident ou suicide ?

Arrivés sur les lieux, les gendarmes de la communauté de brigade de Moissac ont retrouvé sur la victime un bout de papier sur lequel figurait un nom, le même donné au préalable par le pompier. Habillée d’un survêtement de couleur violette, cette Moissagaise de 80 ans habitait seule une maison du chemin de Ricard, à proximité de la voie ferrée. Les premières constatations révélaient alors qu’elle ne présentait pas de coups et ne semblait pas avoir séjourné trop longtemps dans l’eau.
Se rendant à son domicile, les gendarmes n’ont retrouvé aucune lettre pouvant conclure à un suicide. Une thèse pourtant plausible tant cette veuve était restée très affectée par le décès de son mari survenu trois ans plus tôt. L’enquête s’oriente donc vers un accident. Partie pour faire un peu de marche le long des berges du canal, elle serait donc tombée à l’eau. L’enquête devra définir si la victime a été prise d’un malaise avant de tomber à l’eau entraînant une noyade.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/22/1714340-moissac-le-cadavre-d-une-octogenaire-repeche-dans-le-canal.html

samedi 21 septembre 2013

AZF : douze ans après, Toulouse se souvient

Douze ans après l'explosion de l'usine chimique AZF à Toulouse, la commémoration de la catastrophe du 21 septembre 2001 a réuni samedi environ 500 personnes, en ordre dispersé comme chaque année, signe d'une division persistante sur l'explication du sinistre.
Samedi, les ex-salariés de l'usine, dont l'association "Mémoire et Solidarité" conteste la vérité judiciaire, étaient sans doute un peu plus nombreux que les autres associations de victimes, opposées au groupe pétrolier Total, un peu démobilisées après leur victoire judiciaire de 2012.
La cour d'appel de Toulouse a tranché onze ans de combats judiciaires le 24 septembre dernier en estimant que le directeur de l'usine Serge Biechlin et son propriétaire, Grande Paroisse (groupe Total), étaient coupables d'homicides involontaires, ayant causé la mort de 31 personnes et fait plusieurs milliers de blessés en raison de négligences dans la gestion des déchets. Mais M. Biechlin et Total refusent toujours l'explication officielle selon laquelle ces manquements auraient permis la rencontre de deux produits incompatibles (nitrate d'ammonium et produits chlorés) à l'origine de l'explosion.
 

Gironde : un motard tué sur la route

Un Langonnais de 37 ans, chauffeur routier, a trouvé la mort samedi matin sur la départementale 10 à Rions. Selon les premières constatations, il a perdu le contrôle de sa moto qui a quitté la chaussée et s'est encastrée dans une rambarde en bois sur le bord de la route.
Le malheureux a été découvert sans vie par un automobiliste peu après 7 heures. Un épais brouillard recouvrait la campagne samedi matin.

http://www.sudouest.fr/2013/09/21/gironde-un-motard-tue-sur-la-route-1175943-3063.php

Mort de Zyed et Bouna : les 2 policiers renvoyés en correctionnelle

Les deux policiers impliqués dans la mort de Zyed et Bouna en octobre 2005 à Clichy-sous-Bois ont été renvoyés en correctionnelle ce vendredi par la cour d'appel de Rennes, a indiqué leur avocat.
"La chambre de l'instruction de Rennes vient de confirmer le renvoi de mes clients devant le tribunal correctionnel", a déclaré Me Daniel Merchat, après le rendu de l'arrêt.
Le 27 octobre 2005, Zyed Benna, 17 ans, et Bouna Traoré, 15 ans, avaient péri électrocutés dans un transformateur EDF où ils s'étaient réfugiés après une course-pursuite avec la police. Le drame avait embrasé les banlieues françaises.

Le parquet avait requis un non-lieu dans cette affaire, finalement renvoyée devant la cour d'appel de Rennes par la Cour de cassation. "Je suis personnellement surpris car je persiste à penser que les éléments constitutifs de l'infraction ne sont pas réunis", a réagi Me Merchat, soulignant qu'un appel restait possible. Les deux policiers sont mis en cause dans ce dossier pour "non-assistance à personne en danger".
L'avocat des parties civiles, Me Jean-Pierre Mignard, qui a toujours plaidé pour la tenue d'un procès, s'est pour sa part félicité de la décision de la cour d'appel. "Je salue la décision des juges de Rennes. Je veux penser aux gamins, je veux penser aux familles. On n'aurait peut-être pas eu les émeutes terribles de 2005 si on avait confié tout de suite le dossier à la justice", a-t-il déclaré au micro de BFMTV. "Aujourd'hui, la justice française s'est grandie", a-t-il ajouté.
Me Merchat, s'est dit assuré que le parquet demanderait la relaxe de ses clients en cas de procès. "J'ai la possibilité de me pourvoir en cassation et le parquet général aussi la possibilité de se pourvoir en cassation dans un délai de cinq jours", a-t-il déclaré. A défaut, "si cette affaire est renvoyée devant un tribunal correctionnel, le parquet va plaider la relaxe", a assuré l'avocat.
Sur les faits, les parties civiles estiment que les policiers savaient que les adolescents s'étaient réfugés sur le site d'EDF et avaient négligé de les prévenir qu'ils couraient un danger de mort. La défense, de son côté, soutient à l'opposé que les policiers étaient "convaincus" que les adolescents ne se trouvaient pas sur le site.
L'affaire avait pris une tournure politique lorsque le ministre de l'Intérieur de l'époque, Nicolas Sarkozy, avait affirmé au lendemain des faits que "la police ne poursuivait pas physiquement" les trois jeunes. Or, fin 2006, un rapport de l'Inspection générale des services (IGS) reconnaissait que les trois mineurs - le troisième avait été blessé - avaient bien été poursuivis par des policiers. Mais aucun "manquement" des policiers n'était relevé, estimait alors le directeur de l'IGS, Eric Meillan. L'affaire allait dès lors faire l'objet d'un long marathon judiciaire.
Les deux policiers avaient été renvoyés une première fois en correctionnelle par des juges de Bobigny d'instruction en 2010, mais cette décision avait été invalidée en appel, avant que la Cour de cassation n'ordonne finalement une nouvelle procédure.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/20/1713411-mort-zyed-bouna-2-policiers-renvoyes-correctionnelle.html

vendredi 20 septembre 2013

Mort du journaliste musical Gilles Verlant

Le journaliste musical belge Gilles Verlant, spécialiste du rock et de la chanson française, est mort à l'âge de 56 ans, a annoncé vendredi la radio France Bleu avec laquelle il collaborait.

Né à Bruxelles, auteur de plusieurs biographies de chanteurs (notamment Serge Gainsbourg, mais aussi David Bowie, Françoise Hardy ou Daniel Balavoine), Gilles Verlant est mort à l'âge de 56 ans.
Ce journaliste musical belge, spécialiste du rock et de la chanson française, avait participé à plusieurs émissions de télévision, dont "Rapido" et "Nulle Part ailleurs" sur Canal+ ou "Taratata" sur France 2, et animé des émissions ou chroniques à la radio. Présentateur de "L'Odyssée du rock" sur Oüi FM de 2001 à 2009, il collaborait aussi régulièrement avec Radio France depuis une dizaine d'années.
Il avait notamment réalisé plusieurs chroniques pour France Bleu, dont "La Scandaleuse histoire du rock" de 2010 à 2013 (également diffusée sur France Info, France Musique et la radio belge RTBF), ou "Pop Machine", diffusée quotidiennement depuis la rentrée.
 

Un conseiller général tente de se suicider

La tentative de suicide, hier matin, de Thierry Lefèvre, conseiller général divers gauche de Vermand et maire de Pontruet, émeut bien des élus de l'Aisne.
Il ne fait pas de doute que sa détermination était réelle. Un homme, qui se tire une balle dans la bouche chez lui, avec une carabine, veut vraiment en finir avec la vie. Avant son geste, il aurait adressé un SMS à sa femme. L'élu a été transporté au centre hospitalier d'Amiens et son état était jugé critique hier soir. Une enquête est menée par les gendarmes de la brigade de recherche de Saint-Quentin.
L'élu, démis de ses fonctions de président du syndicat de déchets ménagers Valor'Aisne par le président du conseil général socialiste en juillet, est présenté par ses amis comme « fort et faible à la fois ». Pour camper la solidité, il y a d'abord son physique imposant, des épaules carrées, son attitude assurée, un certain don pour l'éloquence. Dans le second registre, il y a une vraie fragilité, un tempérament affectif, une nature à se jeter dans des aventures humaines, à se brûler, à tomber et à essayer de se relever. L'homme avait déjà tenté plusieurs fois de mettre fin à ses jours par le passé.
Plusieurs causes
Qu'est-ce qui pousse Thierry Lefèvre à s'en prendre à lui-même ? Dans chaque individu, il y a certainement des ressorts secrets. L'aspiration à quitter la scène est souvent une addition de plusieurs causes. Il y en a, au moins une qui paraît évidente.
Thierry Lefèvre s'est certainement senti trahi, par quelques uns de ses anciens amis politiques. Ce n'est pas prendre la parole à sa place que de l'affirmer.
Dans l'entretien qu'il nous a accordé le 11 septembre, ce sentiment est bien présent. Loin de nous l'idée d'accuser qui que ce soit, seulement de rappeler ses propres mots.
« Jean-Jacques Thomas (démis de ses fonctions de premier président, en septembre 2012), a eu le droit de se défendre en réunion de majorité. Le département a voté un million 400 000 euros pour renflouer les caisses de Thiérache développement. Moi, je n'ai pas de déficit à Valor'Aisne. J'ai trois millions d'euros de crédit d'avance. » C'était le cri d'un homme ravagé par le sentiment d'injustice. A tort ou à raison. De simples mots annonciateurs d'une tragédie

http://www.lunion.presse.fr/region/un-conseiller-general-tente-de-se-suicider-jna3b26n208705

Arbéost. Un élu se tue sur la route du col du Soulor

L’adjoint au maire de Lons, Jean-René Bellocq, a été retrouvé mort, tout près de sa voiture, au fond d’un ravin au col du Soulor, sur la commune d’Arbéost.
Lons, la deuxième commune de l’agglomération paloise forte d’un peu plus de 12.000 habitants, est en émoi. Hier matin, l’adjoint au maire de Lons s’est tué sur la route du col du Soulor. Son corps a été retrouvé au fond d’un ravin sur la commune d’Arbéost. C’est l’épouse de Jean-René Bellocq qui avait signalé sa disparition depuis la veille au soir. Peu avant la découverte du corps, c’est un passant qui avait retrouvé sa voiture au fond d’un ravin 4 km avant le sommet du col du Soulor, côté Arbéost.
Un important dispositif de recherches a été immédiatement déclenché par la gendarmerie avec les militaires de la communauté de brigades d’Argelès-Gazost et les secouristes du Peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM) de Pierrefitte-Nestalas. Le corps a été hélitreuillé par l’hélicoptère du détachement aérien de gendarmerie de Laloubère.
Pour l’heure, les circonstances de l’accident restent floues. Selon nos informations, Jean-René Bellocq se savait malade mais il n’a pas laissé de courrier pour exprimer une quelconque intention de mettre fin à ses jours. Selon les premiers éléments de l’enquête de gendarmerie, aucune trace de freinage n’est visible sur la route… Les enquêteurs s’attachent à déterminer plus précisément les circonstances du drame.
Rien ne laissait présager dans l’attitude de Jean-René Bellocq la volonté de porter atteinte à sa vie. Bien au contraire : le directeur financier du groupe industriel Cancé, spécialiste du métal dans le bâtiment, ne faisait plus secret de ses ambitions politiques. Le 30 janvier dernier, à nos confrères de «La République des Pyrénées», il avait même annoncé sa candidature à la mairie de Lons pour prendre la succession de James Chambaud, premier magistrat de la commune depuis 1983. Son parcours politique au sein de l’UMP s’inscrivait d’ailleurs dans la continuité de son prédécesseur. Il se disait même prêt à arrêter son travail pour se consacrer entièrement à sa commune. Âgé de 58 ans, il était marié et père de deux enfants de 30 et 25 ans.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/20/1713226-arbeost-elu-tue-route-col-soulor.html

jeudi 19 septembre 2013

Un adjoint au maire d'une commune des Pyrénées-Atlantiques retrouvé mort dans un ravin

Un adjoint au maire de Lons (Pyrénées atlantiques) a été retrouvé mort jeudi matin près de sa voiture au fond d'un ravin, dans les Hautes-Pyrénées, a-t-on appris auprès de la gendarmerie.
 
Jean-René Bellocq, 58 ans, adhérent à l'UMP, devait être candidat aux élections municipales en 2014 à Lons, une commune de 12.000 habitants des Pyrénées-Atlantiques. Cet homme, marié et père de deux enfants, a été retrouvé mort jeudi matin près de sa voiture au fond d'un ravin, selon la gendarmerie.

Son corps, éjecté du véhicule, a été découvert sur la commune d'Arbéost, près du col du Soulor, dans les
Hautes-Pyrénées. Les enquêteurs cherchaient jeudi à déterminer les circonstances du décès.   
 

4 morts dans une maison de retraite

Cinq décès sont survenus depuis août, dont quatre lors de la première semaine de septembre, parmi les pensionnaires de la maison de retraite qui fait l'objet d'une fermeture administrative dans le Rhône, a indiqué aujourd'hui sur place une employée de l'établissement.

Carole Allouche, aide-soignante de 34 ans qui travaille depuis quatre ans au "Calme de l'Etang", un établissement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) dépendant du groupe DomusVie et situé à Bessenay (Rhône), a perdu sa propre belle-mère qui était pensionnaire de l'établissement, décédée à la suite d'une "détresse respiratoire majeure".

"J'ai envoyé au titre de la famille, mais aussi de soignante, une lettre à l'Agence régionale de santé (ARS) pour poser la question, au vu de ces cinq décès dont quatre en une semaine, pour savoir s'ils étaient sûrs qu'on ne pouvait pas imputer ça à la présence de légionellose, et si tout avait été fait pour éviter cette présence de légionelles. Je ne peux pas affirmer quoi que ce soit, mais je leur ai posé la question", a déclaré à la presse Carole Allouche, délégué CGT du personnel. Tous les décès seraient la conséquence d'une détresse respiratoire, selon elle.

Une nouvelle administratrice

Interrogé à Lyon lors d'une conférence de presse sur d'éventuels décès liés aux dysfonctionnements dénoncés par l'ARS pour fermer l'établissement, le docteur Michel Vermorel, directeur de la direction handicap et grand âge à l'ARS Rhône-Alpes, a dit n'avoir "aucun élément pour permettre d'abonder dans ce sens".

Ce matin, les portes du "Calme de l'Etang", un bâtiment de deux étages à la façade rose, bordé d'un parc et d'apparence très accueillant, situé dans une petit commune boisée, étaient fermées.
Après la fermeture temporaire annoncée hier par l'ARS, une administratice provisoire a été nommée pour quatre semaines par la préfecture. Déjà sur place ce matin, cette dernière, Laure Montagnon, a précisé qu'elle avait jusqu'au 2 octobre pour reloger la soixantaine de pensionnaires. "On va faire au mieux pour les placer dans les meilleurs endroits", a-t-elle dit, évoquant 70 places disponibles dans des établissements de la région.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/09/19/97001-20130919FILWWW00432-4-morts-dans-une-maison-de-retraite.php

Tarbes. Il était mort écrasé sous une grue

C’est le procès d’un accident tragique qui a lieu au tribunal correctionnel de Tarbes : le 9 décembre 2008, la flèche d’une grue s’écrase sur un homme qui décède sur le coup. Quelques heures plus tôt, au petit matin, un camion de la société Avilog, qui transporte 800 canards vivants, glisse et bascule dans le fossé, chemin de Menjoutet à Puydarrieux. L’entreprise du chauffeur envoie sur place son mécanicien et l’entreprise Castellini, qui dépêche un camion élévateur et l’un de ses grutiers. Alors qu’il commence à relever le camion, la grue se renverse et sa flèche vient s’écraser sur le mécanicien de la société Avilog, Olivier Lalin, 38 ans, père de trois enfants. C’est le grutier qui est le principal mis en cause avec, à un degré moindre, son employeur, représenté par Serge Castellini. «Cet accident aurait pu être évité. Des fautes ont été établies à votre encontre dans l’installation de cette grue», affirme la présidente du tribunal. Alors que le chemin étroit ne permettait pas de mettre en place les quatre stabilisateurs obligatoires, le grutier a fait le choix très risqué d’en installer un seul et d’empiler des cales pour stabiliser l’engin sur un sol fragilisé. Mieux : il a forcé la manœuvre en enregistrant de fausses données informatiques et en désactivant le système de sécurité de surcharge. Tout cela sans faire respecter le périmètre de sécurité. Résultat : la grue n’a pas résisté au poids du camion et sa flèche s’est écrasée sur le malheureux mécanicien. «On a l’impression que vous avez fait ce dépannage dans l’urgence sans réfléchir aux conséquences», lui lance la présidente Gadoullet. «Cela fait cinq ans que ça me hante. J’ai fait une connerie et je l’assume», lui répond, abattu, le grutier qui lui-même a été éjecté de l’engin avant de perdre connaissance et d’entamer une longue période d’arrêt maladie. Mais la responsabilité de l’entreprise est également évoquée par le tribunal d’autant qu’un précédent accident, en 2007, impliquait le même type d’engin et le même employé, heureusement sans conséquences mortelles. «L’entreprise Castellini n’a pas suffisamment évalué la situation sur le terrain et adapté le matériel et le personnel en conséquence, souligne l’avocat du grutier Me Sagardoytho. Le pouvoir de subordination et d’injonction de l’entreprise ne l’autorise pas à se dissimuler derrière le petit doigt de son employé. L’entreprise a foulé un certain nombre de prescriptions».
Défenseur de Castellini, Me Harold Alos tente au contraire de minimiser la responsabilité de l’entreprise qui aurait bien formé son employé et ne lui aurait mis aucune pression.
Pour l’avocat de la famille de la victime, «la mort tragique de ce mari et ce père adoré n’aurait pu être envisagée dans leurs cauchemars les plus fous. Il ressort un concours de manquements graves» de la part de l’employé mais aussi de son entreprise.
Considérant que le grutier est le principal responsable de cet accident, le vice-procureur de la République François Jardin requiert à l’encontre du grutier une peine de 18 à 24 mois de prison avec sursis et une simple amende pour l’entreprise Castellini. Le tribunal a prononcé une peine de 24 mois de prison avec sursis à l’encontre du grutier et a infligé 30.000 € d’amende dont 15.000 avec sursis à l’entreprise Castellini et ses fils

http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/19/1711977-il-etait-mort-ecrase-sous-une-grue.html

mercredi 18 septembre 2013

Collision mortelle entre une voiture et une moto dans l'arrière-pays de Nice

Un motard a perdu la vie ce mercredi vers 17h après être entré en collision avec une voiture sur la D17 entre Toudon et Gilette, dans l'arrière-pays de Nice.
Rapidement sur place, les sapeurs-pompiers n'ont rien pu faire pour sauver pilote de la moto. En état de choc, le conducteur du véhicule a été pris en charge par une ambulance.
A 18h45, la route était toujours coupée dans les deux sens pour permettre l'intervention des secours.

http://www.nicematin.com/nice/collision-mortelle-entre-une-voiture-et-une-moto-dans-larriere-pays-de-nice.1448363.html

Lagny-sur-Marne : drame conjugal en plein centre-ville

Le centre-ville de Lagny-sur-Marne est en émoi après la dont a été le théâtre la rue du Chemin de Fer, un axe piétonnier très fréquenté en ce mercredi après-midi. Il était environ 14h30 quand un homme a ouvert le feu sur son épouse avec un . La femme était en arrêt cardio-ventilatoire à l’arrivée des pompiers. Les secouristes l’ont ranimée.
Pendant ce temps, le tireur a pris la fuite à pied en direction du parking du Le Cinq à une rue de là, en bord de Marne. L’homme se serait réfugié avec son arme dans le parking en rez-de chaussée d’un immeuble. Son interpellation serait en cours.

http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77

Bruay-La Buissière: un garçon de 5 ans perd la vie après avoir été renversé par une voiture

Ce mardi, vers 16 h 45, un jeune Bruaysien de 5 ans a été renversé par une voiture, rue des Festeux, à Bruay-La Buissière. Emmené au centre hospitalier de Beuvry avec un pronostic vital engagé, l’enfant a succombé à ses blessures.
Un dramatique accident a eu lieu rue des Festeux, à Bruay-La Buissière, ce mardi vers 16 h 45. Un petit garçon âgé de seulement 5 ans, accompagnant sa mère, serait sorti de la voiture en stationnement, côté trottoir. Puis il aurait contourné le véhicule et traversé la rue, sans regarder. Au même moment, une conductrice arrivait. Et n’a pu l’éviter. Renversé, l’enfant était en arrêt cardio-respiratoire à l’arrivée des pompiers de Bruay et d’Houdain, rejoints par une équipe de médecins urgentistes qui l’ont longuement secouru avant de l’emmener au centre hospitalier de Beuvry en ambulance, même si l’hélicoptère du SAMU d’Arras avait dans un premier temps appelé pour héliporter la petite victime au CHR de Lille. Le petit garçon a malheureusement succombé à ses blessures à l’hôpital. Il aurait eu six ans au mois de décembre.
Sur les lieux de l’accident, les policiers ont aussitôt réalisé les constatations. La voiture qui a renversé l’enfant ne roulait a priori pas vite et les dépistages du taux d’alcoolémie et stupéfiant de la conductrice, choquée, se sont révélés négatifs. Une enquête a été ouverte, confiée aux policiers de la brigade accident du commissariat de Bruay

http://www.lavoixdunord.fr/region/bruay-la-buissiere-un-garcon-de-5-ans-perd-la-vie-apres-ia32b0n1550082

Danse sur corde dans le Tarn : Marie-Lise Guirronnet est décédée à l'âge de 31 ans

Président du Comité départemental de la montagne et de l’escalade du Tarn, section tarnaise de la Fédération française de la montagne et de l’escalade (FFME), Claude Perrier nous transmet un texte en hommage et en mémoire à Marie-Lise Guirronnet, son animatrice récemment décédée; un drame personnel survenu en Ardèche, d’où elle était originaire et qui a ému tous les amoureux de la montagne dans le Tarn et au delà, tous ceux qui ont eu l’occasion de la connaître, bien au delà d’une seule fédération, tous touchés par cette fin prématurée.
Marie-Lise Guirronnet avait eu plusieurs fois les honneurs de «La Dépêche du Midi», notamment pour avoir pratiqué et initié la danse sur corde, discipline acrobatique dont on a pu admirer les évolutions en particulier sur le mur de Graulhet. Mais cédons la parole à l’employeur de Marie-Lise, exprimant la peine de tous:
«Nous avons la tristesse de vous annoncer la disparition de Marie-Lise Guirronnet, salariée du Comité départemental de la montagne & de l’escalade du Tarn.
Elle avait été embauchée le 22 janvier 2008 comme agent de développement. Elle était titulaire d’un brevet d’Etat Escalade ; en sus Instructeur fédéral. Ses principales missions étaient la formation d’encadrants en escalade, l’aide au développement des écoles d’escalade, l’entretien et la compétente vérification des sites naturels, sans parler de toute la partie administrative qui va de pair. Très compétente professionnellement, elle était reconnue et appréciée de tous. Elle accomplissait sont travail avec une grande passion.
Mais sa plus grande passion était sans conteste la danse escalade. Elle avait débuté par l’approche de l’escalade par la danse à destination de tous les clubs du département. Devant le succès se créa par la suite un groupe plus avancé qui nous gratifia d’un spectacle lors de l’Assemblée générale en décembre 2012. En récompense de ses efforts elle reçut le premier prix de Concours régional Femmes & Sports.
Elle avait 31 ans, nous ne l’oublierons pas
http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/18/1711377-marie-lise-guirronnet-la-danseuse-sur-corde-n-est-plus.html

mardi 17 septembre 2013

Landes : un Béarnais de 25 ans entre la vie et la mort

Un jeune Béarnais de 25 ans a dû être évacué vers l’hôpital Pellegrin à Bordeaux, « dans un état très grave », hier matin, après une collision avec un poids-lourd, qui a eu lieu sur la rocade de Saint-Pierre-du-Mont (40), au niveau du pôle culturel du Marsan.
Le jeune homme, qui était au volant d’une petite camionnette, était incarcéré dans son véhicule à l’arrivée des secours. Les pompiers l’ont dégagé de l’habitacle et l’équipe du Smur l’a pris en charge puis évacué vers l’hôpital. Hier soir, le parquet de Mont-de-Marsan indiquait que le pronostic vital du jeune homme était engagé.

Le chauffeur du poids lourd, âgé de 34 ans, a quant à lui été légèrement blessé et évacué vers le centre hospitalier Layné de Mont-de-Marsan. D’après les premiers éléments de l’enquête, confiée aux fonctionnaires de la brigade accidents du commissariat de police montois, le véhicule du jeune Béarnais se serait déporté sur la voie de gauche pour une raison encore inconnue, et aurait percuté le camion qui arrivait en face. Le chauffeur du poids lourd n’aurait commis aucune faute. L’enquête se poursuit pour affiner cette première hypothèse.
L’accident a également occasionné des ralentissements, la circulation sur la rocade ayant été coupée dans les deux sens, puis se faisant sur une seule voie. Tout est rentré dans l’ordre vers 11 h 45.

http://www.sudouest.fr/2013/09/17/un-bearnais-de-25-ans-entre-la-vie-et-la-mort-1170841-3536.php

Orgelet : une personne âgée meurt écrasée par une camionnette

Vers 9 heures ce mardi matin, une octogénaire qui traversait une rue en travaux à Orgelet n'a pas été vue par une camionnette qui faisait une marche arrière et a été écrasée. Elle est morte sur le coup.
C’est un fait divers particulièrement tragique qui a eu lieu ce mardi matin dans une petite rue d’Orgelet. Il était environ 9 heures quand une camionnette du Syndicat InterCommunal Optionnel Pour l'Agglomération Lédonienne(SICOPAL) doit faire marche arrière dans une rue en sens unique en raison de travaux.
En reculant, le chauffeur ne voit pas une piétonne qui traverse et l’écrase. Agée de 88 ans et domiciliée au centre d’Orgelet, celle-ci est tuée sur le coup. Elle rentrait de faire ses courses à la fromagerie du bourg.


http://www.leprogres.fr/jura/2013/09/17/orgelet-une-personne-agee-meurt-ecrasee-par-une-camionnette

Saint-Jory. Un électricien ariégeois électrocuté sur un chantier

Un électricien de 37 ans, domicilié en Ariège et qui travaillait pour Colas Rails, une entreprise sous-traitante de la SNCF, est mort samedi en début d’après-midi, à proximité de la gare de Saint-Jory, alors qu’il intervenait sur un chantier électrique de maintenance. Le trafic SNCF était interrompu entre Toulouse et Paris pour permettre la réalisation de dix-neuf chantiers de rénovations entre Étampes, dans l’Essonne, et Toulouse. Le drame a eu lieu à Saint-Jory. La victime a été électrocutée. Malgré les tentatives immédiates de réanimation, l’ouvrier n’a pas pu être sauvé. L’accident s’est produit devant de nombreux témoins.

Double enquête

Une double enquête a été ouverte : judiciaire confiée à la gendarmerie et à la brigade de Saint-Jory et une autre, administrative, qui est menée par l’inspection du travail dont les inspecteurs se sont rendus sur place.
Les premières investigations auraient mis en lumière «plusieurs erreurs» qui auraient entraîné la mort de cet électricien.

lundi 16 septembre 2013

Saint-Etienne : il s’asperge d’acide chlorhydrique en préfecture

C’est semble-t-il à cause d'un dossier incomplet qu’une personne, mécontente de ne pouvoir obtenir un titre de séjour, s’est versée de l’acide chlorhydrique sur le pantalon.
Une intervention rapide d’un pompier et d’un policier a permis d’éviter le pire. Cette personne a été évacuée sur l’hôpital, ainsi que le policier légèrement incommodé.

http://www.leprogres.fr/loire/2013/09/16/saint-etienne-il-s-asperge-d-acide-chlorhydrique-en-prefecture

Tuée en Haute-Marne

Saint-Dizier. Le drame s’est produit samedi vers 5 h 30 du matin. Ex-brigadier à Nancy et actuellement en poste au commissariat de Saint-Dizier (Haute-Marne), Sandrine Marchand rentrait chez elle après son service de nuit. A Joinville, sa voiture a été percutée par une grosse berline avec à son bord quatre jeunes qui sortaient d’une discothèque de Chaumont.
Selon nos collègues du journal de la Haute-Marne, le conducteur de la berline, âgé de 29 ans et domicilié dans la Meuse, n’est pas resté sur les lieux de l’accident. Il a abandonné sur place ses trois passagers alcoolisés et, pour deux d’entre eux, légèrement blessés. Il a fini par se livrer à la gendarmerie de Joinville quelques heures plus tard. Placé en garde à vue, il a été laissé libre à l’issue de son audition.
Évacuée dans un premier temps sur l’hôpital de Saint-Dizier, la policière n’a pas survécu à ses graves blessures. Elle avait 40 ans et deux enfants.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/09/16/tuee-en-haute-marne

Une femme se suicide ce matin sur la voie ferrée

Peu avant 8 heures ce matin, un train qui partait de Veynes-Dévoluy (05) en direction de Marseille a heurté une femme installée sur la voie ferrée, à proximité de Manosque. La victime, âgée d'une quarantaine d'années, se serait suicidée.
La centaine de passagers qui voyageait à bord de ce train a été prise en charge par la SNCF à bord de trois autocars, aux alentours de 9h30. Côté trafic, seul ce train aurait été impacté, selon la SNCF, la ligne des Alpes étant peu fréquentée.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2533014/une-femme-se-suicide-ce-matin-sur-la-voie-ferree.html

Paris. Un homme meurt lors d'une bagarre à la sortie d'un cercle de jeux

Un homme de 36 ans a été tué dans une bagarre survenue dans la nuit de vendredi à samedi à la sortie d'un cercle de jeux parisien. L'auteur présumé du coup mortel et deux de ses amis ont été placés en garde à vue, ont indiqué ce lundi des sources proches de l'enquête.
La bagarre a éclaté vers 2 heures samedi entre la victime et le principal suspect, âgé de 25 ans, "pour un problème d'argent", a précisé une des sources. Les deux hommes venaient de sortir du cercle de jeux Cadet, situé rue Lafayette dans le IXe arrondissement de la capitale. "Ils sont ce qu'on appelle des connaissances de jeux, et avaient apparemment l'habitude de se retrouver là-bas", a ajouté cette source.
Selon les premiers éléments de l'enquête, l'auteur présumé du coup mortel aurait volé de l'argent à la victime qui s'en serait rendue compte. Alors que le suspect allait quitter le cercle de jeux, la victime l'a rattrapé dehors et a tenté de récupérer son bien. Une bagarre a alors éclaté et la victime a reçu un coup de poing fatal, la faisant tomber au sol. "Sa tête a heurté lourdement le trottoir, il a perdu connaissance et a fait une hémorragie cérébrale", selon cette source.

Deux amis du tueur présumé sont arrivés à la fin de la bagarre. Face à la victime inanimée, le principal suspect a décidé de la fouiller "et de lui voler près de 1000 euros", selon l'une des sources. Il a ensuite partagé la somme avec ses deux amis qui sont, eux, retournés dans le cercle de jeux. Le suspect a alors appelé les secours. Malgré leur intervention, la victime est décédée quelques heures plus tard dans un hôpital parisien.
L'auteur présumé du coup mortel et ses deux mais ont été interpellés et placés en garde à vue. Ils devraient être déférés devant la justice ce matin.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/16/1710024-paris-homme-meurt-lors-bagarre-sortie-cercle-jeux.html

Un jeune homme meurt dans une spectaculaire sortie de route

Grande-Rivière. Un homme de 25 ans a perdu la vie, hier dimanche, entre Saint-Laurent-en-Grandvaux et Saint-Claude. Alcool, vitesse excessive et non port de la ceinture de sécurité seraient en cause dans cet accident.
La voiture est difficilement reconnaissable. Les nombreux impacts et enfoncements de la carrosserie attestent de la violence du choc et des tonneaux répétés qu’ont dû subir les trois occupants de la voiture, une Citroën « C2 ».
Le véhicule circulait entre Saint-Laurent-en-Grandvaux et Saint-Claude et traversait le territoire de Grande-Rivière, sur la Départementale 437. Il était environ 16 h 45.
Sur cette portion de route, alternant virages et lignes droites, une courbe sur la gauche, plus prononcée que les précédentes, a été piégeuse, entraîné une perte de contrôle et une sortie de route tragique.
La vitesse pourrait être un premier d’explication, selon les éléments recueillis sur place.
La voiture a d’abord mordu le bas-côté droit. Les traces de roue étaient visibles. Le véhicule a poursuivi sa folle embardée dans les champs sur une centaine de mètres, forçant des barbelés et réalisant plusieurs tonneaux.
Le jeune homme de 25 ans qui a perdu la vie se trouvait sur le siège arrière de la petite voiture.
Selon les premières constatations, il semblerait qu’il ne portait pas de ceinture de sécurité, ce qui pourrait expliquer qu’il a été éjecté à plusieurs dizaines de mètres de la voiture.
Le passager avant droit, un Sanclaudien de 19 ans, a été plus légèrement blessé. Pris en charge par les pompiers de Morez et Saint-Laurent-en-Grandvaux, il a été transporté à l’hôpital de Saint-Claude. Le conducteur, un homme de 42 ans de Saint-Claude, a aussi été transporté aux urgences de la cité pipière. Considéré comme blessé grave, son pronostic vital n’était pas engagé. Le dépistage d’alcoolémie s’est révélé positif. Des analyses plus précises devaient être effectuées. Les gendarmes de la communauté de brigades de Morez étaient sur place, ainsi que les militaires du PSIG. L’épave a été sortie du champ par le garage Lugand

http://www.leprogres.fr/jura/2013/09/16/un-jeune-homme-meurt-dans-une-spectaculaire-sortie-de-route

dimanche 15 septembre 2013

Saint-Igny-de-Vers : un homme meurt enseveli sous un mur

Ce samedi soir, un homme de 61 ans a été retrouvé mort, enseveli sous un mur de sa propriété, dans le bourg de Saint-Igny-de-Vers, au nord de Villefranche.

La victime était en train de restaurer ce mur lorsque celui-ci s'est écroulé sur elle. C'est son épouse qui a donné l'alerte aux alentours de 20 heures.

http://www.leprogres.fr/beaujolais/2013/09/15/saint-igny-de-vers

Villefranche-de-Rouergue. Une nonagénaire meurt renversée par une voiture.

Ce samedi, vers 9 h 25, un dramatique accident de la circulation s’est produit aux abords de la place Jean-Jaurès, à Villefranche-de-Rouergue. Pour une raison inconnue, et que l’enquête de la gendarmerie va s’attacher à déterminer, une piétonne a été heurtée par une automobile. La victime, une Villefranchoise âgée de 91 ans, n’a pas survécu à ses blessures en dépit de l’intervention des sapeurs-pompiers.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/15/1709441-villefranche-de-rouergue-une-nonagenaire-meurt-renversee-par-une-voiture.html

samedi 14 septembre 2013

Une femme décède sous le tramway

Une piétonne est décédée cet après-midi à Strasbourg après avoir été percutée par une rame de tramway à proximité de l’arrêt Porte-de-l’Hôpital.
L’accident s’est produit vers 17h15, rue de la 1ère -Armée. Pour une raison encore inconnue, la victime a été percutée par une rame de la ligne A se dirigeant vers Hautepierre, et qui s’apprêtait à s’arrêter à la station Porte-de-l’Hôpital. Le choc s’est produit à l’avant du véhicule, devant la cabine du conducteur.
Plusieurs véhicules de pompiers ont été dépêchés sur place alors que la police mettait en place un périmètre de sécurité. Des bâches ont en outre été déployées afin de protéger le corps de la victime de la vue des passants, nombreux à circuler hier après-midi à cet endroit, proche du centre-ville.
La femme victime de l’accident, âgée de 70 ans environ, aurait traversé les voies du tramway juste devant la rame, sans que celle-ci n’ait assez d’espace pour s’arrêter. Coincée sous l’avant de la rame, elle est morte sur le coup. Les secours n’ont pu que constater son décès.
Deux témoins de l’accident, choqués, ont par ailleurs été pris en charge par les pompiers.
La circulation des tramways a été interrompue sur la ligne A entre Etoile-Bourse et Langstross-Grand’rue, et sur la ligne D entre Etoile-Polygone et Langstross-Grand’rue. Elle a pu reprendre vers 19h15.

http://www.dna.fr/edition-de-strasbourg/2013/09/14/une-femme-decede-sous-le-tramway

Pays basque : un quinquagénaire retrouvé mort au volant de son véhicule

Ce samedi vers 7h30 à la sortie Cambo-les-Bains, dans les Pyrénées-Atlantiques, sur la D10, en direction d'Hasparren, un homme a été découvert  inconscient au volant de son véhicule, qui avait terminé sa course contre un muret du pont d'Urcuray.
Les pompiers de la caserne d'Hasparren et de Cambo-les-Bains ont été dépêchés sur les lieux, de même que le Samu, dont le médecin n'a pu que constater le décès.

La victime, qui avait eu ce samedi matin 54 ans, rentrait de son travail d'aide-soignant dans l'un des établissements de soins de Cambo-les-Bains.
Le quinquagénaire, habitant d'Hasparren, s'est peut-être assoupi au volant de son véhicule, a fait un malaise ou encore a mal vu la route à cause du brouillard du matin. L'enquête de gendarmerie le déterminera.

http://www.sudouest.fr/2013/09/14/pays-basque-un-quinquagenaire-retrouve-mort-au-volant-de-son-vehicule-1168973-4073.php

Meuse : un homme découvert six mois après son décès

Bar-le-Duc. Les huissiers de justice sont rarement accueillis les bras ouverts, et rares sont ceux qui répondent à leurs coups de sonnette. Comme le veut la loi et pour parer à toute non-réponse c’est donc accompagné d’un policier et d’un serrurier qu’ils se présentent à telle ou telle porte.
Hier matin, c’était jour d’expulsion pour un huissier de Bar-le-Duc, mais quand le serrurier a eu ouvert la porte d’un appartement de l’avenue du Château à Bar-le-Duc, ils ont été accueillis par une odeur nauséabonde rapidement identifiée. ....

http://www.estrepublicain.fr/societe/2013/09/13/un-homme-decouvert-six-mois-apres-son-deces

Castres. Une infirmière décède des suites d'un accident

Monique Gerfaud, infirmière castraise âgée de 58 ans, est décédée avant-hier au CHU de Toulouse des suites de l’accident grave de la circulation dont elle a été victime dimanche dernier à Castres.
Dimanche dernier en effet, vers 7 h 30, alors qu’elle était en train d’effectuer sa tournée de soignante, elle est entrée en collision avec une autre voiture sur la place Alsace-Lorraine, devant le collège des Cèdres. Au cours de la violente collision, Monique Gerfaud a été éjectée de son véhicule. Les pompiers l’ont prise en charge et elle avait été évacuée vers Toulouse dans un second temps. Mais ces blessures étaient beaucoup trop graves pour qu’elle puisse être sauvée.
Le hasard a voulu que ce soit une autre infirmière libérale, elle aussi en cours de tournée, qui se trouvait au volant de l’autre voiture concernée par la collision. Nathalie Biau, 51 ans, elle aussi de Castres, n’a été pour sa part que légèrement blessée.
En l’absence de témoin direct connu de l’accident, une enquête est toujours en cours auprès du commissariat de Castres afin de comprendre comment cette collision a pu se dérouler au niveau d’un carrefour régulé par des feux tricolores.
Un appel a témoin a, dès lundi, été lancé par les services de police afin de tenter de retrouver toute personne qui aurait été présente sur place dimanche dernier au petit matin (05.63.62.01.20).
Monique Gerfaud était une infirmière bien connue à Castres tant par sa clientèle qu’au travers de ses multiples engagements au niveau professionnel mais aussi social. Sa disparition dans de telles circonstances a suscité beaucoup d’émotion dans la ville depuis l’annonce de l’accident.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/14/1708908-castres-une-infirmiere-decede-des-suites-d-un-accident.html

vendredi 13 septembre 2013

AMIENS Une personne décédée dans un incendie quartier Etouvie

Jeudi soir vers 19h30, un homme est décédé dans l'incendie d'un immeuble quartier Etouvie à Amiens. Le feu a pris dans un appartement situé au 3e étage d'un immeuble de l'allée de bretagne. Vingt logements ont du être évacués.
Le feu serait d'origine accidentelle.

http://www.courrier-picard.fr/region/amiens-une-personne-decedee-dans-un-incendie-quartier-etouvie-ia201b0n183819

Accident à Maxeville: une jeune femme de 23 ans est décédée

Maxéville. Pourquoi le véhicule, seul en cause, a-t-il quitté la chaussée ? Une sortie de route survenue hier matin vers 8 h 45, sur la départementale 30 à Maxéville, un axe qui dessert la salle de spectacles du Zénith ou encore les zones d’activités Saint-Jacques. La conductrice perdait le contrôle de sa petite berline à l’abord d’une légère courbe, devant l’entreprise Pertuy construction.
Le véhicule percutait alors violemment, côté conducteur, un poteau métallique de signalisation boulonné sur le bas-côté. Avant de poursuivre sa course en tête-à-queue dans les pelouses et de s’immobiliser à un mètre d’un arbre, sans toutefois en heurter le tronc. Les traces de choc avec le poteau en métal se lisaient dans la carrosserie et l’habitacle déformés.
Arrivés les premiers sur les lieux de l’accident, les policiers portaient secours à la victime, une jeune femme de 23 ans incarcérée à bord de sa voiture. La douzaine de pompiers de la caserne de Nancy-Gentilly prendra immédiatement le relais, sous le commandement du lieutenant François Chanson. Des secours renforcés par les médecins du SMUR afin de médicaliser l’habitante de Jarville, très grièvement blessée, inconsciente mais qui n’était pas en arrêt cardio-ventilatoire durant l’intervention des pompiers.
Transportée dans un état critique vers les urgences de l’hôpital central, la victime est décédée en fin de matinée.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/09/12/accident-a-maxeville-une-jeune-femme-de-23-ans-est-decedee

jeudi 12 septembre 2013

Puy-de-Dôme: un avion s'écrase, 2 morts

Deux personnes sont mortes dans l'accident d'un petit avion de tourisme dans le Puy-de-Dôme ce matin, ont indiqué les gendarmes et les pompiers. L'apparaeil, en provenance de Poitiers, devait rejoindre Cannes.

Les deux personnes à bord ont été tuées lors de l'accident survenu sur la commune de La Tour d'Auvergne, au lieu dit de "Charlannes", ont précisé les pompiers. Selon le site internet du quotidien La Montagne, l'avion, qui volait a priori à basse altitude, aurait percuté un massif. Le brouillard était important et la pluie abondante dans le secteur.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/09/12/97001-20130912FILWWW00552-puy-de-dome-un-avion-s-ecrase-2-morts.php

Deauville. Il chute mortellement d’un balcon

Mardi soir, un Deauvillais est tombé d’un balcon situé au premier étage d’un immeuble du quai des Marchands, à Port Deauville. Il est mort le lendemain.
Il enjambait le balcon
Pour une raison inconnue, cet homme de 35 ans tentait de rejoindre son appartement en escaladant la façade de son immeuble, mardi vers 21 h.
Selon des témoins, c’est au niveau du premier étage, alors qu’il tentait d’enjamber un balcon, qu’il aurait perdu l’équilibre et serait tombé.
Gravement blessé mais encore conscient, il a été dans un premier temps transporté au Centre hospitalier de Cricquebœuf avant d’être transféré dans la nuit de mardi à mercredi au CHU de Caen où il est décédé mercredi soir.
 

La mort était accidentelle

Belfort. La mort de l’homme de 68 ans, retrouvé mort vers 15 h par les pompiers en pleine forêt sur un tas de branchages qu’il était certainement en train de brûler est accidentelle, selon les résultats de l’autopsie ordonnée par le parquet de Belfort. Le rapport de l’autopsie pratiquée lundi à l’institut médico-légal de Besançon fait état de poumons brûlés par la chaleur des flammes. André Stantina aurait donc bien été surpris par les flammes et leur intensité.
Ses obsèques seront célébrées jeudi à 15 h, à l’église Saint-Joseph de Belfort.

http://www.estrepublicain.fr/territoire-de-belfort/2013/09/11/la-mort-etait-accidentelle

mercredi 11 septembre 2013

Pyrénées : chute mortelle pour un randonneur sur le GR10

Un randonneur d'une cinquantaine d'années a fait une chute mortelle sur le GR10 qui traverse les Pyrénées, tout près de SuperBagnères (Haute-Garonne), mardi en début d'après-midi. 
L'accident a eu lieu à environ 2000 mètres d'altitude, alors que le temps était pluvieux et brumeux.

Cet homme a dû faire un faux pas sur ce chemin délicat traversant un versant abrupt et il a dévalé la pente sur 200 mètres, a indiqué le major de police André Iriart, rapportant le témoignage des deux compagnons de randonnée de la victime.
Ceux-ci ont donné l'alerte vers 14h25. Après la chute de leur ami, constatant qu'ils ne pouvaient lui venir en aide, ils ont redescendu une partie du chemin jusqu'à pouvoir utiliser leur téléphone mobile.
Les CRS, chargés cette semaine des secours en montagne (en alternance avec les gendarmes du PGHM), ont envoyé un groupe de secours de 9 hommes à pied, la météo interdisant l'emploi d'hélicoptère.
Ils ont rapidement retrouvé le corps et constaté le décès. Le groupe de CRS et les deux survivants devaient redescendre à Luchon avec le corps de la victime avant la nuit 

http://www.sudouest.fr/2013/09/11/pyrenees-chute-mortelle-pour-un-randonneur-sur-le-gr10-1165559-4344.php

Immolation : enquête interne au CHU de Nancy

La direction du CHU de Nancy-Brabois a ouvert une enquête interne après l’immolation d’un salarié de l’Hôpital central, vendredi dernier. Le drame est survenu dans un pré, sur le territoire de la commune de Ville-en-Vermois, vers 14 h. Âgé de 42 ans, la victime s’est déshabillée avant de s’asperger de carburant et de mettre le feu.
Très grièvement brûlé sur une large partie du corps, le quadragénaire, par ailleurs pompier volontaire dans une caserne nancéienne, a été transporté par hélicoptère dans le service des grands brûlés, à Metz. Son pronostic vital était hier toujours engagé. D’après les premières constatations, il s’agit d’un acte désespéré. La gendarmerie a ouvert une enquête afin de déterminer les causes – d’ordre professionnel ou privé, voire une accumulation des deux – qui ont pu pousser cet homme à commettre un acte d’une violence inouïe. La victime s’était notamment plainte de ses conditions de travail à ses proches ainsi qu’à son environnement professionnel.
« Pour l’instant, il n’y a pas de raisons à ce que ce drame soit imputable au travail », a indiqué hier Bernard Dupont, directeur général du CHU. « Mais une enquête interne est en cours afin de savoir si le travail y est ou non pour quelque chose. On va entendre tous les personnels et faire le point sur d’éventuelles difficultés au sein du service. Une façon aussi pour ses collègues de travail, très affectés par ce drame, d’exprimer leur douleur et leur ressenti. »
Il est probable que se tienne dans les jours à venir une réunion extraordinaire du comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) de l’hôpital.

http://www.estrepublicain.fr/meurthe-et-moselle/2013/09/11/immolation-enquete-interne-au-chu-de-nancy

mardi 10 septembre 2013

Saubrigues (40) : un motard décède dans une collision

Hier vers 17 heures, un violent accident de la route s'est produit sur la commune de Saubrigues.  Pour une raison qui restera à préciser, alors qu'il circulait dans le sens Bayonne - Saubrigues, un homme de 32 ans a perdu le contrôle de sa moto et est venu s'encastrer sous le véhicule arrivant en face.
A bord de cette voiture, la conductrice a pourtant essayer de l'éviter, jusqu'à se mettre dans le fossé. A l'aide de sa passagère, elle a ensuite immédiatement prodigué les premiers soins, en lien avec le SAMU par téléphone. En vain, le motard décédant rapidement. Une enquête est ouverte pour déterminer les circonstances de l'accident.

http://www.sudouest.fr/2013/09/09/saubrigues-40-un-motard-decede-dans-une-collision-1163626-7.php

L'ancien maire d'Espéraza, André Illac, tombe accidentellement dans l'Aude et se noie

La triste nouvelle s’est propagée hier après-midi comme une traînée de poudre dans la commune d’Espéraza. L’ancien maire André Illac venait d’être retrouvé mort dans l’Aude vers 16 heures. C’est sa famille inquiète de ne pas le voir rentrer qui a donné l’alerte vers midi à la gendarmerie. L’homme âgé de 80 ans était parti ramasser des mûres pour faire de la confiture dans le cadre de sa promenade matinale du côté des jardins collectifs derrière le bâtiment Efisol. André Illac aurait glissé et serait tombé la tête la première dans la rivière Aude en se cognant contre une païchère, les pierres d’un gué improvisé. Une autopsie sera toutefois effectuée à Montpellier mercredi matin.Jean Torrent , le maire actuel très affecté pas ce décès, vraisemblablement accidentel, mettait des mots sur l’amitié qui liait les deux hommes: «Avant de penser à ce qu’il a été pour la ville je pense à ce qu’il a été pour moi : Dédé un proche, plus qu’un ami, il me donnait toujours de précieux conseils, il laisse un grand vide dans mon cœur.Il a tant fait pour Espéraza.Je suis très ému par sa disparition aussi brutale, lui qui avait toujours un projet d’avance.»

http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/10/1705232-limoux-ancien-maire-esperaza-andre-illac-tombe-accidentellement-aude-noie.html

Enseveli sous une dalle, un maçon perd la vie à Marlhes

Un maçon de la commune de Marlhes est décédé ce lundi vers 16h45 à la suite de la chute d’une dalle de 10m2.
L’homme, âgé de 47 ans, qui était le chef d'entreprise de la petite société de maçonnerie implantée à Marlhes, travaillait sur un chantier de démolition au lieu-dit l’Allier. Sur place très rapidement et devant la gravité de l’accident, les sapeurs-pompiers de Marlhes et Saint-Genest-Malifaux ont immédiatement alerté le SAMU, qui n'a pu que constater le décès.

http://www.leprogres.fr/loire/2013/09/09/enseveli-sous-une-dalle-un-macon-perd-la-vie-a-marlhes

lundi 9 septembre 2013

Un motard se tue en percutant la voiture d'un conseiller général

« J'ai eu la peur de ma vie ! » confiait hier matin, encore ému, le conseiller général de l'Oise et sénateur honoraire Alain Vasselle, au lendemain de l'accident qui a coûté la vie à un motard.
Le drame s'est produit samedi vers 11 heures sur la RD151, reliant Froissy à Noyers-Saint-Martin. Le pilote d'une moto, un habitant de Labruyère âgé de 52 ans, était en train de doubler des véhicules lorsqu'il a perdu le contrôle de son engin.
Il a terminé sa course dans la voiture de l'élu, arrivant en sens inverse. Malgré les tentatives de réanimation des secours, le Labrurois est décédé sur place.
Son épouse, âgée d'une cinquantaine d'années, était passagère de la moto. Elle a été transportée à l'hôpital de Beauvais. Elle souffrirait de plusieurs fractures, mais son pronostic vital ne serait pas engagé.
Alain Vasselle a aussi été conduit à l'hôpital pour des examens de contrôle. « Le choc a été épouvantable ; le pare-brise de ma voiture a explosé et je suis parti dans le bas-côté, se souvient Alain Vasselle. Lorsque j'ai pu sortir de mon véhicule et que j'ai aperçu les deux personnes de la moto à terre, j'ai immédiatement appelé les pompiers. »
Les gendarmes de Froissy ont ouvert une enquête pour établir les circonstances exactes de l'accident.

http://www.courrier-picard.fr/region/un-motard-se-tue-en-percutant-la-voiture-d-un-conseiller-ia0b0n179475