vendredi 31 janvier 2014

Une avalanche fait un mort dans le massif de Belledonne

Les secouristes de la CRS des Alpes et la Sécurité civile sont actuellement engagés sur un important secours en avalanche dans le massif de Belledonne, en Isère . Selon nos informations, une importante coulée a emporté au moins un skieur dans la face ouest du Grand Colomb (2394m). Le bilan est actuellement d’un mort. Les sauveteurs se trouvent encore sur place.

http://www.ledauphine.com/isere-sud/2014/01/31/une-avalanche-fait-un-mort-dans-le-massif-de-belledonne

Mystère à Garac : un coup de feu tue le conducteur avant l'accident

Le corps d’un homme a été retrouvé, hier après-midi, à côté d’une voiture accidentée à Garac, dans l’Ouest toulousain. Une arme se trouvait à proximité. Une enquête est ouverte.
Le corps d’un homme a été découvert, hier, en début d’après-midi en contrebas d’une route, à côté d’une voiture accidentée, à Garac, un petit village à la frontière de la Haute-Garonne et du Gers.Les circonstances de son décès, lié à une arme à feu, restaient mystérieuses hier soir.
Une aide familiale qui circulait sur la départementale 24, à la sortie du village, a d’abord aperçu la voiture accidentée en contrebas. Intriguée, elle a téléphoné chez le maire du village. «Je me suis rendu dans le champ vers 13 h 35, relate la personne qui a fait la macabre découverte. J’ai fait le tour de la voiture puis j’ai vu que quelqu’un était à côté. J’ai vu du sang partout, il y avait une mare. L’accident avait dû se passer cinq minutes avant.»
Choqué, le témoin appelle immédiatement les pompiers. «Mais on savait qu’il n’y avait plus rien à faire vu la quantité de sang.»

Pas de traces de freinage

La voiture, une Citroën Xsara, a quitté la route sans qu’aucune trace de freinage ne soit constatée sur la chaussée mouillée. Elle aurait heurté un platane avant de finir sa course en contrebas de la chaussée.
Prévenus, les gendarmes se sont immédiatement rendus sur place où ils ont mis en place un périmètre de sécurité au vu des circonstances floues de l’accident et des blessures inhabituelles de la victime. «Une arme à feu aurait été retrouvée dans la voiture», explique un témoin.
Pendant de longues heures, les techniciens en identification criminelle ont procédé à des relevés. L’hélicoptère de la gendarmerie a survolé le secteur, afin de retrouver la trace d’éventuelles autres victimes, et une équipe cynophile a été dépêchée sur les lieux.
Le commandant de la compagnie du Mirail ainsi que l’adjoint au commandant de groupement et le chef de la section de recherches étaient sur place. La section de recherches n’était cependant pas chargée de l’enquête confiée aux hommes de la brigade de recherches du Mirail.
Hier, le mystère restait entier autour de cette mort. Les enquêteurs tâchaient d’identifier la victime. Il s’agirait d’un homme d’une trentaine d’années domicilié dans un village proche de Garac.
Suicide suivi d’une sortie de route ? Agression ? Toutes les pistes étaient envisagées

http://www.ladepeche.fr/article/2014/01/31/1807523-mystere-garac-coup-feu-tue-conducteur-avant-accident.html

jeudi 30 janvier 2014

Adolescente heurtée par le métro : l’émotion après le drame

Une jeune fille de 15 ans, Charlotte Cadot, est morte écrasée par le métro-tram (sens Boulingrin-Georges Braque), mardi soir, peu avant 18 h 30, à la station « avenue de Caen », à Rouen. Selon les premières informations qui restent à être confirmées par l’enquête de police en cours, la jeune fille avait ses écouteurs sur les oreilles, quand elle a traversé les rails sur un passage protégé. A ce moment, elle a été heurtée par la rame, qui l’a renversée et l’a coincée. A priori, elle a traversé les rails sans se retourner et sans avoir entendu le signal qui était donné. Les écouteurs ont été retrouvés sur la victime, hier. L’examen de corps de l’adolescente a lieu aujourd’hui, à l’Institut médico-légal de Rouen.
«Carlotta, tu resteras à jamais dans nos mémoires ». Les amis de Charlotte Cadot brandissent des écriteaux cartonnés avec dessus des slogans et des photos. Celles d’une belle jeune fille aux longs cheveux châtains et au sourire joyeux, ne demandant qu’à vivre encore de belles années… Entre 300 et 400 de personnes étaient présentes, hier après-midi, à l’occasion d’une marche blanche, organisée près de l’hôtel de ville de Rouen, pour rendre à Charlotte Cadot « un dernier hommage ». « On ne devrait pas mourir à cet âge-là », confie Nils Montier, un camarade de Charlotte qui était dans la même classe qu’elle, en seconde au lycée Corneille.

« On m’a pris ma sœurette »

La plupart de ses amis ont appris la mauvaise nouvelle mardi soir et hier matin. Une minute de silence a été consacrée à l’adolescente dans la cour commune du lycée Corneille. « Quand j’ai appris ce qui s’était passé, j’ai pleuré toute la matinée », raconte un camarade de classe. « On m’a pris ma sœurette », lâche sa grande sœur.

Le cortège des proches, des copains et copines, a quitté l’hôtel de ville de Rouen pour rejoindre à pied le musée des Beaux-arts. Pierre Cadot, le papa de Charlotte, sanglote, tente de retenir ses larmes. Des marches blanches, il en a vu à la télévision, il ne croyait malheureusement pas un jour en être l’acteur principal. La maman, complètement effondrée ne s’est pas sentie la force de venir. « Avec ma femme, nous envisageons de déposer plainte contre la TCAR, annonce d’emblée Pierre Cadot, kinésithérapeute depuis 30 ans à Sotteville-lès-Rouen. On ne comprend pas pourquoi les sonneries du métro ne sont pas plus puissantes. Ce que l’on sait, c’est qu’elle a traversé les rails sur le passage protégé, mais elle devait avoir ses écouteurs sur les oreilles ». Pierre Cadot regrette de ne pas avoir « été appelé par la direction de la TCAR. On a eu la visite du proviseur du lycée et de la police ».

C’est un ami proche de Charlotte qui a eu l’initiative de la marche blanche sur Facebook. « Cela faisait douze ans que je la connaissais, témoigne-t-il au micro devant le musée des Beaux-arts. Cette fille avait toujours le sourire, c’est insoutenable de la voir mourir maintenant ». Charlotte revenait de chez une amie, mardi, le soir du drame. Elle avait révisé son cours de mathématiques avec cette très bonne copine, dans la perspective d’un contrôle. « Je lui disais toujours de faire attention aux voitures surtout la nuit. Je la sensibilisais aux dangers de la route et aux difficultés de la circulation à Rouen. De par mon métier, je vois tous les jours des accidentés, des gens paralysés, qui souffrent… là c’est arrivé à Charlotte… c’est le destin », explique dans la douleur son père.

Tous ses amis, proches et camarades de classe ont été unanimes, Charlotte était « une fêtarde », une fille « spontanée », « drôle », dotée d’un « fort caractère ». Selon ses amis de classe, elle envisageait d’intégrer la filière économique et sociale. Ses amis d’équitation ont aussi fait le déplacement. La jeune fille pratiquait ce sport en compétition au centre équestre de Bois-Guillaume. Des messages de compassion ont également afflué sur Twitter et Facebook : « Repose en paix petit ange. Courage aux parents ». Une page Facebook a été créée à sa mémoire.

Contacté sur un éventuel dépôt de plainte de la famille, le président de la TCAR, Elie Franc, « comprend franchement la douleur des parents. Seule l’enquête éclaircira les circonstances de cet accident. Mais, souligne-t-il, « un piéton doit toujours être attentif à son environnement. Tout ce que je peux dire, c’est que le conducteur a activé les sirènes d’alerte, et a ensuite déclenché le système de freinage d’urgence, mais on ne peut pas arrêter une rame instantanément ».


http://www.paris-normandie.fr/actualites/faits-divers

mercredi 29 janvier 2014

Il meurt emporté par son chariot élévateur

Un jeune homme de 28 ans est décédé alors qu’il manipulait un chariot élévateur dans le cadre de son travail. Les sapeurs pompiers sont intervenus à 10 heures ce mercredi dans l’entreprise de la rue des Sarcelles à Bonneville. Mais ils n’ont pu sauver l‘employé qui est décédé des suites de ses blessures. Une enquête pour déterminer les circonstances de l’accident a été confiée à la brigade de Bonneville.

http://www.ledauphine.com/faits-divers/2014/01/29/il-decede-emporte-par-son-chariot-elevateur

Aveyron : accident mortel sur la RN 88 à Luc-la-Primaube

Un accident a fait un mort ce mercredi matin sur la RN 88. L'accident s'est produit dans le sens nord-sud à Luc la Primaube, au sud-ouest de Rodez. Quatre véhicules légers sont en cause. La circulation est déviée sur une seule voie. La victime est une femme de 26 ans.

On ne connaît pas encore les raisons de cet accident. Mais les conditions de circulation sont délicates ce mercredi sur une partie du département de l'Aveyron
en raison de chutes de neige, notamment sur l'A75. 

http://midi-pyrenees.france3.fr/routes

Assises à Angers. Accusée du meurtre de ses deux filles, elle se raconte

Une femme de 44 comparaît jusqu'à vendredi 31 janvier devant les assises du Maine-et-Loire pour le meurtre de ses deux filles. Elle se confie.

Comment une enseignante quadragénaire a pu décider de mettre fin aux jours de ses deux filles de 14 mois et 3 ans avant de se supprimer pour éviter la rupture avec son mari ? Le procès d'une femme de 44 ans vient de s'ouvrir, ce mercredi 29 janvier, devant la cour d'assises du Maine-et-Loire.
Avec un débit pâteux mais un vocabulaire précis, cette ancienne prof de français raconte ce matin son parcours de vie. Son enfance heureuse, marquée par un contexte familial compliqué avec un père dépressif, jusqu'à des tentatives de suicide. Père auquel il en a longtemps voulu.
Elle réussit des études brillantes, jusqu'à un DEA de littérature comparée à la Sorbonne. Et rencontre son futur mari au Salon du livre de Paris. Interrogée par la présidente Anne Leprieur, elle évoque les problèmes liés à la situation administrative du futur père de ses enfants, un temps sans papier dans le Paris des attentats de 1995.
Elle revient aussi sur son parcours du combattant pour réussir à devenir maman, ses fausses couches et tentatives de fécondations in vitro conclues par des échecs. Avant la naissance de ses filles, qu'elle décrit en essuyant ses larmes. Apparaît ainsi le profil d'une femme fragile, sujette elle aussi à la dépression. Un mal-être qui n'apparaissait pas aux yeux de ses proches, à commencer par sa sœur aînée, venue témoigner de sa surprise.

http://www.ouest-france.fr/assises-angers-accusee-du-meurtre-de-ses-deux-filles-elle-se-raconte-1889891

Un cycliste entre la vie et la mort

L’homme, âgé de 59 ans et originaire d’Esmoulins circulait sur la RD39 dans le sens Apremont-Velet lorsqu’une camionnette l’a percuté. On ignore encore les circonstances de l’accident, et les raisons pour lesquelles la camionnette qui roulait sur la même voie a heurté le cycliste. Reste que dans sa course, le conducteur du véhicule, un homme âgé de 54 ans habitant Apremont, a également percuté et endommagé un poteau EDF.
Le cycliste, polytraumatisé, a dû être héliporté vers l’hôpital de Besançon par Dragon 25. Son pronostic vital était, hier en fin de journée, toujours engagé. Le conducteur de la camionnette a quant à lui été transporté à l’hôpital de Gray.
La brigade territoriale autonome de Gray est chargée de l’enquête. Une équipe ErDF est intervenue pour réparer le réseau basse-tension. Mais aucune coupure de courant n’est à déplorer.

http://www.estrepublicain.fr/haute-saone/2014/01/29/un-cycliste-entre-la-vie-et-la-mort

mardi 28 janvier 2014

Saint-Estève : un homme décède suite à un différend familial

Diverses sources font état d'un drame, qui serait survenu lundi soir à Saint-Estève, où une femme aurait appelé les gendarmes vers 20 h en raison d'un différend familial l'opposant à son compagnon.
A l'arrivée des gendarmes et des pompiers, l'homme se serait retranché au domicile de la rue des Carignans, un couteau en main, menaçant d'en faire usage sur sa personne.

Les négociations ont alors été engagées jusqu'à 23 h. A ce moment-là, dans des circonstances encore mal déterminées, l'homme aurait menacé les gendarmes directement avec son couteau, poussant ces derniers à faire usage du pistolet à impulsion électrique, le Taser. Il semblerait alors que l'homme, projeté à terre , se soit grièvement blessé avec son couteau. Il serait décédé durant la nuit.
Une enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances exactes du drame.

http://www.lindependant.fr/2014/01/28/saint-esteve-un-homme-decede-suite-a-un-differend-familial,1840944.php

L’Aigle. Face au GIGN, le forcené met fin à ses jours

Retranché depuis dimanche soir à Saint-Symphorien-des Bruyères, un homme armé a mis fin à ses jours lundi lors de l’assaut du GIGN.

Un important déploiement de gendarmerie avait investi le hameau de La Sapaie, à une dizaine de kilomètres de L’Aigle, depuis dimanche soir. Car un homme armé s’était retranché dans un bâtiment.
Un Groupe d’intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) est venu en renfort lundi après-midi. Vers 22 h 45, les forces de l’ordre ont donné l’assaut. C’est sans doute à ce moment que le forcené, âgé d’une quarantaine d’années, a mis fin à ses jours

http://www.ouest-france.fr/pres-de-laigle-face-au-gign-le-forcene-met-fin-ses-jours-1886882

Deux morts cette nuit à Prévelles : probablement un drame familial

D'après les premiers éléments de l'enquête, le mari aurait tué sa femme avant de se suicider. Leurs deux enfants ont été retrouvés en état de choc.
C'est probablement un drame familial qui s'est noué cette nuit à Prévelles près de Bonnétable. Les pompiers ont été alertés un peu avant 4h du matin.
Quand ils sont arrivés au lit-dit Bauvais, ils ont découvert un couple tué par balles : un homme de 38 ans et sa femme d'environ 35 ans. Leurs deux enfants de 11 et 2 ans ont été retrouvés à leurs côtés, en état de choc, ils ont été transportés aux urgences pédiatriques au Mans.
D'après les premiers éléments de l'enquête, le mari aurait tué sa femme avant de se suicider. C'est l'ainé des garçons qui a prévenu les secours.

http://www.francebleu.fr/faits-divers

Macabre découverte à Essey-lès-Nancy

Essey-lès-Nancy. Un promeneur a fait une macabre découverte hier en début d’après-midi. Au pied d’une maison en construction, route d’Agincourt, gisait le corps sans vie d’un quadragénaire. L’homme reposait la tête sur un sac, dans le fossé creusé devant la bâtisse pour l’instant ouverte aux quatre vents. Il était porté disparu depuis la veille de son foyer d’Essey-lès-Nancy. Un fait signalé par sa petite amie.
Si aucune piste n’est écartée, les enquêteurs s’orientent plutôt vers le geste désespéré.
Des médicaments ont été trouvés à proximité. Et le corps ne présentait aucune trace suspecte. L’homme, né en 1969, aurait par ailleurs confié à son entourage son intention de mettre fin à ses jours.
Il a été transporté à l’Institut médico-légal de Nancy pour examen. Voire une autopsie.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/01/27/macabre-decouverte

lundi 27 janvier 2014

Accident mortel à Riantec. Un an de prison avec sursis au conducteur

Un automobiliste a été condamné ce lundi par le tribunal de Lorient à un an de prison avec sursis suite à un accident mortel à Riantec.

Un automobiliste a comparu mi-janvier devant le tribunal correctionnel de Lorient pour homicide involontaire.
En juillet 2012, à Riantec, l'accident routier avait coûté la vie à un automobiliste, un Rennais âgé de 26 ans. Sa compagne, grièvement blessée, avait été arrêtée pendant neuf mois.

Dommages et intérêts

Le parquet, à l’audience du 13 janvier, avait requisune peine de 18 mois de prison avec sursis.
Le tribunal a condamné l’automobiliste, âgé de 27 ans, à un de prison avec sursis et à un an de suspension de son permis de conduire.
Il devra en outre verser plus de 121 000 € de dommages et intérêts aux victimes.

http://www.ouest-france.fr/surtitre/accident-mortel-riantec

Faits divers. Deux morts suspectes d'octogénaires au Vicel (50)

Le couple a été retrouvé mort, vendredi matin. Leur fille, qui vivait avec ses parents, est suspectée de leur avoir donné la mort.

Deux octogénaires sont morts dans la nuit de jeudi à vendredi, au Vicel, une commune de 121 habitants proche de Barfleur.
Les deux victimes vivaient dans une petite maison au cœur du bourg avec leur fille.

La fille en garde à vue ?

Une information judiciaire pour crime a été ouverte par la justice. La fille pourrait être à l’origine de la mort de ses deux parents.
Elle serait actuellement en garde à vue. Une autopsie des deux personnes décédées a été ordonnée.

http://www.ouest-france.fr/deces-de-deux-octogenaires-deux-morts-suspectes-au-vicel-1883314

dimanche 26 janvier 2014

Drames de la montagne dans les Alpes

Une skieuse de 41 ans est morte samedi soir après avoir été ensevelie par une avalanche qui s'est déclenchée à 2.400 mètres d'altitude dans le massif de Belledonne, en Savoie. La victime, qui pratiquait le ski de randonnée, évoluait en descente sur une arête en compagnie de son frère, âgé de 43 ans, lorsqu'une coulée de neige de 100 mètres de large s'est déclenchée à leur passage dans un couloir à forte inclinaison, les emportant tous deux sur 400 mètres.
Grièvement blessé au genou, le quadragénaire n'a pas été en mesure de dégager sa soeur, dotée d'un appareil de recherches de victimes d'avalanches. Alertés, les secours en montagne ont dépêché sur place deux hélicoptères, une dizaine d'hommes et un chien d'avalanche pour retrouver la jeune femme. Dégagée en arrêt cardio-vasculaire puis ranimée, la skieuse est finalement décédée à l'hôpital de Grenoble, où elle avait été héliportée. Souffrant d'une fracture du fémur et de plaies à la cuisse, son frère a été transporté à l'hôpital de Chambéry. Ses jours ne sont pas en danger.
Dans les Alpes-Maritimes, c'est un skieur hors piste de 48 ans qui est décédé. L'homme, dirigeant d'un commerce de la station d'Auron, avait décidé de descendre avec un autre skieur un couloir de neige hors piste démarrant à 2.400 mètres d'altitude. Il a été emporté par une avalanche qui s'est déclenchée sur un dénivelé de 300 mètres. Secouru dans les 30 minutes par des pisteurs et le peloton de gendarmerie de haute montagne assistés d'un hélicoptère, il n'a pas pu être réanimé. Le deuxième skieur qui se trouvait en contrebas a pu s'écarter et n'a été que partiellement enseveli. Les deux hommes disposaient de tout le matériel de sécurité pour pratiquer le hors-piste, dont un détecteur de victimes d'avalanches, qui n'a pas toutefois pas fonctionné.
 

Accident de cheval. La fillette emportée par les flots est décédée

Elle faisait du poney avec sa mère quand l'animal est tombé dans la rivière en crue. La mère a été secourue. L'enfant n'a pu être ranimée.

La fillette n'a pas survécu. Samedi soir, d'importants secours ont été mobilisés sur la commune de la Bosse-de-Bretagne, près de Bain-de-Bretagne, pour retrouver une fillette de 10 ans tombée dans la rivière Le Semnon, au lieu-dit Pouchard.
La fillette faisait du poney avec sa mère au bord de l'eau quand elles ont décidé de traverser la rivière pour regagner leur domicile à Tresboeuf. Au moment de l'accident, la fillette suivait sa mère à cheval. Elle est tombée dans la rivière en crue après les pluies importantes de ces derniers jours.
Son corps a été retrouvé dans la soirée mais après plusieurs heures passées dans l'eau, la fillette n'a pu être ranimée.

http://www.ouest-france.fr/accident-de-cheval-la-fillette-emportee-par-les-flots-est-decedee-1882907

A1 - PERONNE (80) Accident mortel dans le sens Paris-Lille

    Un ressortissant congolais de 45 ans a perdu la vie ce samedi 25 janvier après-midi, sur l'A1 dans le sens Paris - Lille, à hauteur de la sortie 13 menant à Péronne.
Cet homme habitant la région parisienne a, pour des raisons encore indéterminées, perdu le contrôle de son véhicule juste avant ladite sortie d'autoroute. Son véhicule est alors monté sur les barrières de sécurité, avant de terminer sa course contre un arbre.
L'homme est décédé sur le coup.


http://www.courrier-picard.fr/region/picardie-express

samedi 25 janvier 2014

Haute-Savoie : un handicapé se tue en voulant échapper à un incendie

Le feu l'a poussé à sauter par la fenêtre. La victime, un trentenaire handicapé moteur qui vivait seul dans un logement situé au quatrième étage d'un immeuble du centre de Seynod, en Haute-Savoie, a "sauté pour échapper aux flammes", ont indiqué les gendarmes. 
"Il serait à l'origine du départ accidentel du feu dans sa chambre vers 1 heure du matin", ont-ils précisé, ajoutant que les secours n'avaient pu ranimer le jeune homme à leur arrivée sur les lieux du sinistre, "rapidement maîtrisé."
Évacués de l'immeuble, les habitants ont pu regagner leur domicile vers 4 heures du matin.

http://www.sudouest.fr/2014/01/25/haute-savoie-un-handicape-se-tue-en-voulant-echapper-a-un-incendie-1441099-7.php

Douarnenez. On lui vole son sac à main, la victime décède

Une octogénaire est décédée à l’hôpital six jours après avoir été agressée à Douarnenez (Finistère). Le parquet de Quimper ouvre une enquête.

Une femme, âgée de 80 ans, est décédée, dans la nuit de mercredi à jeudi. Quelques jours auparavant, elle a été victime d’un vol à l’arraché dans le centre-ville de Douarnenez (Finistère). Les faits se sont déroulés dans le quartier de Tréboul, mardi 14 janvier. La victime avait été hospitalisée à Quimper, souffrant d’une fracture du fémur provoquée par sa chute sur le trottoir. Le parquet de Quimper a ouvert une enquête pour vol avec violence ayant entraîné la mort.
Depuis le 11 janvier, entre 11 h et 13 h, cinq personnes âgées de Douarnenez ont été la cible d’un ou des voleurs de sac à main. 
La gendarmerie lance un appel à témoins. Toute personne ayant pu être témoin des faits ou victime sans pour cela s’être manifestée auprès des gendarmes est invitée à contacter la brigade de gendarmerie de Douarnenez au 02 98 92 01 22.

http://www.ouest-france.fr/douarnenez-lui-vole-son-sac-main-la-victime-decede-1877916

Stenay (55) : enfants seuls près de leur père mort

Seul l’aîné des trois enfants a pour le moment été entendu par les gendarmes de la communauté de brigades de Stenay. A 11 ans, il a expliqué avec ses mots pourquoi il n’a dit à personne que son père était mort. « Vraisemblablement parce qu’il avait peur. Peur d’être séparé de sa fratrie », explique Yves Le Clair, procureur de la République de Verdun.
Ce vendredi matin, rue Aristide-Briand à Stenay, les pompiers ont été alertés par un voisin de la famille : le père, Dominique Sadek, ne répondait pas à la porte.
Il a été retrouvé mort chez lui. La pièce dans laquelle il se trouvait n’a pas été dévoilée.
Depuis quand était-il décédé ? C’est bien la question qui demeure. « Au moins depuis jeudi », d’après le procureur, qui ne cache pas que cela pourrait faire davantage de temps que ça.
Les enfants ont pourtant continué à se rendre à l’école normalement, selon nos informations.

Si des personnes possèdent des informations permettant d’aider les enquêteurs à la retrouver, ils peuvent contacter la brigade de gendarmerie de Stenay au 03.29.80.30.17.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/01/24/enfants-seuls-pres-de-leur-pere-mort

vendredi 24 janvier 2014

LOIRE. Bagarre aux jardins ouvriers de Saint-Chamond : la victime est décédée

Vendredi 17 janvier, une rixe avait éclaté entre deux hommes aux jardins ouvriers de la Brocharie, à Saint-Chamond.
Denis Fernandes, âgé de 67 ans et demeurant à Farnay, avait été poussé et sa tête était violemment allée heurter le mur d’un cabanon.
Après des jours de coma, il est décédé ce vendredi à la mi-journée.
L’enquête de police se poursuit pour tenter de déterminer comment on a pu en arriver à un tel drame. L’auteur présumé des coups, lui, est incarcéré depuis dimanche.

http://www.leprogres.fr/loire/2014/01/24/bagarre-aux-jardins-ouvriers-la-victime-est-decedee

Dax : elle meurt happée par un TER

Ce matin à 9h40, le TER n° 867 241 entre Pau et Dax a heurté une piétonne qui traversait la voie au passage à niveau de Peyrouton situé dans l'agglomération de Dax. Le corps de la victime, décédée sur le coup, a été traîné sur 300 mètres environ.
Le train a été immobilisé peu avant le passage à niveau suivant situé route de Tercis, le temps pour les secours d'évacuer le corps et pour les services de police de démarrer leur enquête. les premiers témoignages recueillis semblaient privilégier la thèse accidentelle.
La victime n'a pas été identifiée. il s'agirait d'une dame âgée. La SNCF avait affrété un bus pour transborder les 36 passagers du convoi et les conduire vers la gare de Dax.

http://www.sudouest.fr/2014/01/24/dax-happee-par-un-ter-une-pietonne-decede-1439961-3350.php

Un accident mortel dans la Marne à cause du verglas

Sur l'A4, Un nouvel accident s'est produit en fin de matinée, à l'entrée de Reims, à hauteur de Cormontreuil. Un poids lourd s'est couché sur la route, qui est actuellement coupée.
Sur la D6, entre Soissons et Fère-en-Tardenois, deux véhicules se sont percutés frontalement à hauteur de la commune d'Ambrief. Au volant de la voiture qui roulait vers Soissons, une femme n'a pas survécu à ses blessures. Cinq personnes étaient présentes dans l'autre voiture qui circulait vers Fère-en-Tardenois. L'une d'elles, grièvement blessée, a été évacuée vers le centre hospitalier le plus proche. Son pronostic vital ne semblait pas engagé. La circulation est revenue à la normale.
Sur la RN31, un accident s'est produit à la sortie de Fismes (51), entre 6 h 30 et 7 heures, entre un poids lourd, une voiture et un fourgon. Le conducteur de la voiture était en train de doubler le camion lorsque ce dernier a dérapé, ils ont alors heurté tous les deux la glissière de sécurité. Le fourgon qui les suivait les a ensuite heurtés à son tour. Aucun blessé n'est à déplorer. La circulation s'effectue sur une seule voie dans le sens Soissons-Reims. La gendarmerie est sur place pour assurer la circulation. Les secours sont sur place.
Sur la D980, entre Verneuil et Passy-Grigny (51), un poids lourd de 40 tonnes a effectué une sortie de route. Il transportait des produits corrosifs, qui fort heureusement, n'ont pas été répandus. Le camion est actuellement en train d'être déchargé. La circulation étant coupée dans les deux sens, une déviation a été mise en place par la D23 et la D1. Les perturbations devraient se poursuivre jusqu'à cet après-midi. Aucun blessé n'est à déplorer.  
Sur l'A34, à hauteur de Saint-Pierre-sur-Vence (08), une voiture a glissé. Elle ne gêne plus la circulation. Vers 5 h 30, un autre conducteur a perdu le contrôle de son véhicule sur l'A34 à hauteur de Touligny (08). Son véhicule ne perturbe plus la circulation.
Sur la N2 à Gercy (02), un poids lourd a dérapé. La circulation s'effectue difficilement dans les deux sens.
Sur la N2 entre Chavignon et Urcel (02), deux véhicules sont concernés par un accident survenu à 6 h 55 et qui aurait fait un ou plusieurs blessés selon Bison Futé. La circulation s'effectue sur une seule voie dans le sens Belgique vers Paris.
Sur la N51, deux voitures ont glissé à Pomacle (51) un peu avant 6 heures ce matin.
Sur la N43, une voiture est impliquée dans une sortie de route à Charleville-Mézières (08).
Dans le quartier Val de Murigny à Reims, un bus est entré en collision avec un pylône, après avoir glissé dans une courbe ce matin, rue Stéphane Mallarmé. Le conducteur a été transporté à l'hôpital pour un contrôle.
Sur le RD982, un accident s'est produit impliquant un poids lourd qui s'est couché sur la route. Les faits se sont déroulés sur l'axe Sainte-Ménéhould au niveau des virages de la Côte à Vignes au nord de la Neuville au Pont. Les deux sens de la circulation étaient concernés. La situation est désormais rentrée dans l'ordre.
 

Belfort : l’acte désespéré d’un gendarme mobile

La gendarmerie nationale est une grande famille dont les membres savent se serrer les coudes. Dans les bons moments comme dans les mauvais. C’est exactement ce qui s’est passé, hier, à l’escadron 52/7 de gendarmerie mobile de Belfort.
Aux alentours de midi, un coup de feu retentit dans la caserne, en provenance d’un des appartements de fonction. Des militaires se précipitent. Un gendarme mobile âgé de 34 ans vient de retourner son arme de service contre lui. Quelques minutes plus tard, les pompiers de Belfort et le Samu confirment le décès du malheureux.
Sur place, Alexandre Chevrier, le procureur de la République de Belfort, saisit aussitôt les enquêteurs de la brigade des recherches de Belfort pour déterminer les causes et les circonstances du décès du militaire. Une lettre aurait été retrouvée, non loin de lui, où il expliquerait son geste.
La nouvelle a rapidement fait le tour du quartier, notamment à la sortie des écoles proches. Elle a surtout provoqué la consternation chez les mobiles. Le défunt, natif du Finistère, était bien connu dans l’escadron 52/7 qu’il avait rejoint en 2006.
L’émotion des militaires était bien palpable, hier. Le général de corps d’armée Vechambre s’est déplacé du siège de la zone de défense Est à Metz, pour leur apporter son soutien et leur témoigner sa sympathie.
Le préfet du Territoire, Jean-Robert Lopez, s’est également déplacé. Ce drame survient deux jours après le suicide d’un gendarme de la brigade territoriale de Vittel (88). L’association Gendarmes et citoyens a indiqué, dans un communiqué, que « ce geste serait lié à des problèmes purement personnels et sans aucun lien avec le service », selon les premiers éléments de l’enquête. Ce serait également le cas pour le gendarme de Belfort.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/01/24/belfort-l-acte-desespere-d-un-gendarme-mobile

jeudi 23 janvier 2014

Un retraité retrouvé calciné dans sa maison

Dans la nuit de mardi à mercredi, à Ecomoy, dans la Sarthe, des enquêteurs ont retrouvé le corps d'un retraité calciné dans sa maison.

Les techniciens en investigations criminelles de la gendarmerie ont dû procéder à un véritable travail de fourmi après l’incendie d’une maison à Écommoy (Sarthe), dans la nuit de mardi à mercredi.
Dans la maison en cendres, les pompiers ont retrouvé le corps de l’occupant de la maison. Un homme de 71 ans, mort au milieu des flammes.
Le feu a entièrement détruit l'habitation et rend difficiles le travail des enquêteurs, qui, ce mercredi soir, ne privilégient aucune piste.

http://www.ouest-france.fr/ecommoy-un-retraite-retrouve-calcine-dans-sa-maison-1871962

Un homme tué par un train en traversant les voies

Un homme de 32 ans, qui franchissait un passage à niveau fermé avec un walkman sur la tête, a été happé par un train, mercredi soir à Saint-Etienne.
Selon des témoins, cités par nos confrères du Progrès, le piéton qui traversait la voie alors que les barrières étaient abaissées, s’est rendu compte trop tard de l’arrivée du TER et a été tué sur le coup.
AFP
 

mercredi 22 janvier 2014

GUIGNICOURT (02) La passagère d'une voiture décède sur le coup

    Peu avant 7 heures, mercredi 22 janvier, un accident de la route a coûté la vie à une femme au niveau de l'échangeur de Guignicourt (Aisne), sur l'A26 dans le sens Reims-Calais. Passagère de la voiture qui s'est encastrée contre la pile d'un pont, elle a été tuée sur le coup. Le conducteur a dû être désincarcéré. L'autoroute a été coupée à la circulation

http://www.courrier-picard.fr/region/guignicourt-02-la-passagere-d-une-voiture-decede-sur-ia201b0n296535

Accident mortel au Barp : prison ferme pour un chauffard girondin

Le conducteur avait bu, consommé des stupéfiants et provoqué un accident mortel au Barp.Il a été condamné par le tribunal correctionnel de Bordeaux
«Vous avez fait exactement ce qu'il ne faut pas faire. Cela relève du cliché, mais vous en êtes un exemple. » Cette phrase, hier, du président de la 5e chambre du tribunal correctionnel de Bordeaux, Alain Reynal, résume à elle seule le comportement inconscient du prévenu, Nicolas Duret, 33 ans, poursuivi pour homicide involontaire.
Le 7 décembre 2012, pour fêter la naissance de l'enfant d'un de ses copains, il sort en discothèque, boit de la vodka, consomme du cannabis et de la cocaïne. Un cocktail incompatible au moment de prendre le volant, quelques heures plus tard, au petit matin. Une connaissance lui propose de l'héberger mais il refuse et décide de rentrer chez lui. Il est 6 h 20 lorsqu'il circule sur la départementale 1010 au Barp, s'endort, se déporte soudain sur la voie opposée de la chaussée et percute le véhicule de Jean-Paul Bérard, 54 ans, un employé de La Poste qui se rend sur son lieu de travail. Le choc est terrible. Malgré les efforts des secours, le facteur décède de ses blessures. Nicolas Duret est également hospitalisé. Son taux d'alcoolémie est supérieur à 2 grammes dans le sang et les tests de toxicologie révèlent qu'il a consommé des stupéfiants.
« Je ne fumais pas tous les jours, c'était festif », explique le prévenu au tribunal, avouant « ne se souvenir de rien ». La famille de la victime, assise au premier rang de la salle d'audience, très digne, ne peut retenir sa douleur. « Ils n'ont pas de haine, mais leur vie s'est arrêtée, fulmine Me Véronique Garcia, l'un des conseils de la partie civile.
« Vous étiez hors d'état de conduire », observe le président Reynal. « Je le reconnais. Aujourd'hui, psychologiquement, c'est dur », murmure le chauffard qui a traversé une dépression depuis les faits et exprime désormais des remords.
« La victime a vu la mort arriver en face et il n'a rien pu faire pour éviter le choc, soupire le conseil des parents de Jean-Paul Bérard. « On ne peut pas dire que c'est un accident. Le jeune conducteur savait pertinemment qu'il n'était pas en état de prendre sa voiture. » Sur le banc de la partie civile, on parle de « bombe humaine, de machine à tuer ».
Le vice-procureur Jean-Louis Rey compatit à la peine de la famille éplorée et observe que « cette mort est absurde, totalement injuste ». Le magistrat hausse le ton pour s'exclamer en direction du prévenu : « Nous sommes là pour dire ça suffit ». Cinq ans de prison ferme et un mandat de dépôt à l'audience sont requis. « Nous n'avons aucune excuse et l'on ne peut pas expliquer ce qui s'est passé », admet pour la défense Me Sophie Baillou-Etchart. « C'est le procès de l'inconscience, de la perte de repères. L'inconscience a laissé la place aux remords jusqu'à la fin de ses jours ».
Le tribunal a finalement condamné le chauffard à quatre ans de prison dont deux avec sursis simple. Il a également prononcé l'annulation de son permis de conduire pour une durée de cinq ans.

http://www.sudouest.fr/gironde/bordeaux/

Lavaur. Cambrioleur abattu : meurtre ou légitime défense ?

Jonathan avait 17 ans et pas franchement un profil de voyou. Cet adolescent est pourtant mort dans la nuit du lundi 14 décembre 2009 au cœur de la nuit, peu après 2 heures, à Lavaur, dans le Tarn. Il venait de pénétrer par effraction avec son copain Ugo dans le bar-tabac du Pont Saint-Roch. Jonathan a été tué d’une décharge de calibre 12, tirée presque à bout portant. Luc Fournie, patron de l’établissement avait ouvert le feu avant de tirer une deuxième cartouche sur Ugo, à l’origine du cambriolage, qui lui a réussi à s’enfuir par la fenêtre dont il avait scié les barreaux.
Meurtre ou légitime défense ? La question, au cœur de ce dossier, sera débattue demain devant la chambre d’instruction de la cour d’appel de Toulouse. Presque quatre ans après la mort de l’adolescent, la juge d’instruction Élodie Billot, suivant les réquisitions du parquet, a délivré une ordonnance de mise en accusation devant la cour d’assises le 7 octobre. Une ordonnance aussitôt frappée d’appel par Me Georges Catala qui défend Luc Fournie.
«Ce dossier représente la quintessence de la légitime défense, argumente Me Catala. Ce commerçant était chez lui, il avait prévenu les gendarmes qu’il risquait un cambriolage puisque les barreaux d’une des fenêtres du bar avaient été patiemment sciés. Deux cambrioleurs avaient pénétré chez lui en pleine nuit quand il a ouvert le feu, dans le noir, terrorisé à l’idée d’être agressé. Comment peut-on reprocher à cet homme de s’être protégé ?»
Cette position, défendue depuis décembre 2009, a reçu le soutien surprise du parquet général. L’avocat général Pierre Bernard, dans un mémoire, soutient en effet la légitime défense. «Une position particulièrement surprenante», s’étrangle Me Marie-Hélène Pibouleau. Avec Me Pierre Maisonneuve, ils défendent la famille de Jonathan. «Évoquer la légitime défense dans un tel dossier c’est délivrer un permis de tuer», s’insurge Me Pibouleau. «Les conditions de la légitime défense ne sont pas réunies, ajoute Me Maisonneuve. Cet homme est allé chercher un fusil, il l’avait chargé, il couchait dans sa réserve à l’affût. Il était prêt !» Les parties civiles réclament un débat public devant un jury populaire.
La chambre de l’instruction tranchera. L’arrêt sera placé en délibéré. Décision d’ici un ou deux mois. Jean Cohadon

http://www.ladepeche.fr/article/2014/01/22/1800593-lavaur-cambrioleur-abattu-meurtre-ou-legitime-defense.html

mardi 21 janvier 2014

Kuntzig : marche blanche pour Débora à 14h à Thionville, le point sur l'enquête

Les camarades, amis et professeurs de Debora Jennes lui rendront hommage à 14h à Thionville lors d'une marche blanche. le chauffard multirécidiviste qui l'a tué est en détention provisoire.
Au lendemain du placement en détention provisoire du chauffard multirécidiviste responsable de la mort accidentelle de Débora Jennes, les amis, proches camarades et professeurs de la jeune fille scolarisée en Terminale S1 à la cité scolaire Hélène Boucher de Thionville lui rendront hommage en portant un haut blanc lors d'une marche blanche ce mardi 21 janvier 2014 à 14h, au départ de l'établissement.

Un hommage qui vient s'ajouter, à ceux, nombreux, qui ont été rendus par les amis de Débora sur leurs comptes Twitter et Facebook. Comme
ici, ou .

Le point sur les faits avec Grégory Boileau et Guillaume Robin

L'homme âgé de 34 ans et sa compagne, âgée de 31 ans, tous deux résidant à Yutz ont été présentés hier lundi à un juge d'instruction.

Connu des forces de l'ordre, lui est mis en examen pour "homicide involontaire aggravé" et "non assistance à personne en danger". Il lui est reproché, le soir de l'accident, de conduire sans permis et sous l'emprise de la drogue et d'un fort taux d'alcool. Selon les éléments de l'enquête de gendarmerie, il aurait très violemment percuté le scooter de la jeune fille dans un virage avant d'abandonner sa voiture un peu plus loin. Il a passé sa première nuit en prison.

C'est sa compagne qui ensuite a appelé la police pour déclarer le véhicule volé. A priori, elle n'était pas présente au moment de l'accident. Pour ces faits, elle est mise en examen pour "dénonciation de délit imaginaire". Elle a été laissée en liberté


http://lorraine.france3.fr/faits-divers

Mirepeisset : un habitant de 47 ans retrouvé mort à son domicile

Depuis plusieurs jours, les employés municipaux de Mirepeisset s’étaient étonnés de ne plus voir cet homme de 47 ans se promener comme à son habitude dans les rues du village. La mairie a été alertée, lundi, par ses agents.
Vers 16 h 30, les pompiers sont intervenus pour effectuer des vérifications sur cette absence qui sortait de l’ordinaire. N’obtenant pas de réponse, ils ont dû fracturer la porte et ont découvert le Mirepeissetois décédé dans sa chambre à coucher.

Les secours ont retrouvé l’homme avec une plaie dans le dos. Afin d’en déterminer l’origine, le parquet de Narbonne a requis l’intervention des Techniciens de l’identification criminelle (TIC) et le médecin légiste. Il s’est avéré que cette plaie n’était pas due à l’intervention d’une tierce personne. Aucun élément ne confirmait une origine criminelle dans la découverte de corps.
Toutes les investigations qui devaient être faites pour éclaircir l’origine de ce décès ont été opérées. Au vu des éléments, le parquet de Narbonne a conclu à une mort naturelle.

http://www.lindependant.fr/2014/01/21/mirepeisset-un-habitant-de-47-ans-retrouve-mort-a-son-domicile,1838102.php

Accident mortel sur l’A6 : la victime est originaire de Meurthe-et-Moselle

Un conducteur de poids lourd a perdu le contrôle de son véhicule. Il a percuté la glissière sur la droite avant de percuter le muret central sur sa gauche. Le chauffeur, 53 ans, domicilié en Meurthe-et-Moselle (54) a été tué.

L’autoroute A6 a été coupée dans la nuit de lundi à mardi dans le sens Lyon-Paris à hauteur à hauteur de Farges-lès-Mâcon après un accident mortel. Selon les premiers éléments, un conducteur de poids lourd a perdu le contrôle de son véhicule vers 0 h 45, comme le ralte nos confrères du Journal de Saône et Loire. Il a percuté la glissière sur la droite avant de percuter le muret central sur sa gauche. L'ensemble routier de la société STAT s’est ensuite couché sur la chaussée. Le chauffeur, 53 ans, domicilié en Meurthe-et-Moselle (54) a été tué.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/01/21/accident-mortel-sur-l-a6-victime-meurthe-et-moselle

Ain. Trafic SNCF perturbé après la découverte d'un corps sur les rails

Ce mardi, à 8h30, le corps d’un homme de 52 ans, qui aurait très probablement mis fin à ses jours a été retrouvé sur les rails de chemin de fer à proximité de la gare de Culoz.
Sur la ligne de Culoz/Bellegarde, trois trains ont été retardés de 20 minutes, un train a été supprimé et remplacé, selon la SNCF, par un autocar. Le trafic ferroviaire, assez faible à cette heure-là, a repris normalement dès 10h08.

http://www.leprogres.fr/ain/2014/01/21/trafic-sncf-perturbe-apres-la-decouverte-d-un-corps-sur-les-rails

93: Un policier se suicide avec son arme

Un officier de police travaillant en Seine-Saint-Denis s'est suicidé avec son arme de service à la Queue-en-Brie (Val-de-Marne), a-t-on appris aujourd'hui de sources concordantes.

Le corps du fonctionnaire a été trouvé en fin d'après-midi dans un parc de cette commune limitrophe de la Seine-et-Marne où l'homme dont l'âge n'a pas été précisé, résidait, a confirmé la préfecture du Val-de-Marne. Le policier travaillait au commissariat de Gagny (Seine-Saint-Denis), a dit une source proche du dossier


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/01/20/97001-20140120FILWWW00664-93-un-policier-se-suicide-avec-son-arme.php

lundi 20 janvier 2014

Décès suspect sur le campus de la fac de Belfort : la piste du suicide privilégiée

Le parquet de Belfort privilégiait lundi la piste du suicide, au lendemain du décès d'un étudiant de 26 ans dont le corps avait été retrouvé dimanche sur le campus de l'université de technologie de Belfort-Montbéliard à Sevenans. "La piste du suicide apparaît comme la plus plausible", a indiqué le procureur Alexandre Chevrier.
Sur son ordinateur, des recherches sur le suicide
Les enquêteurs ont en effet retrouvé des indices laissant penser que le jeune homme, un étudiant en troisième cycle d'études d'ingénieur, se soit jeté du haut du bâtiment au pied duquel son corps a été retrouvé. En outre, des recherches effectuées sur son ordinateur ont montré qu'il s'était informé sur internet sur les façons de se suicider, a précisé le procureur.
Le corps avait été retrouvé dimanche en début d'après-midi par un vététiste. Le cadavre se trouvait "face contre terre avec des rigidités", avait alors indiqué l'officier de communication de la gendarmerie de la région Franche-Comté. Une autopsie devrait être effectuée mardi.
 

Landes : une femme de 87 ans retrouvée dans un étang à Saint-Martin-d'Oney

L'enquête devra dire ce qu'il s'est passé exactement, dimanche en fin d'après-midi, au lieu-dit Malartic, à Saint-Martin-d'Oney. Une dame de 87 ans a été retrouvée dans un étang. Il a fallu l'intervention des pompiers d'Ygos et Mont-de-Marsan, vers 17h30, pour l'évacuer vers le centre hospitalier Layné. Son pronostic vital était alors engagé.

http://www.sudouest.fr/2014/01/20/une-femme-de-87-ans-retrouvee-dans-un-etang-a-saint-martin-d-oney-1435311-3530.php

Accident de bûcheronnage à Brouville : la victime est décédée

Marcel Jeanjean, âgé de 78 ans, avait été transporté dimanche soir dans un état grave à l'hôpital central de Nancy où il est décédé dans la soirée des suites de ses blessures. La victime, habitant Reherrey,  effectuait des travaux de bûcheronnage avec des proches, sur une parcelle privée située en bordure de la D22F, entre Azerailles et Brouville, dans le Lunévillois, lorsque le drame s'est produit, aux environs de 17 h.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/01/20/accident-de-bucheronnage-a-brouville-la-victime-est-decedee

dimanche 19 janvier 2014

Inondations: un 2e décès dans le Var

Un homme est décédé dimanche dans sa voiture emportée par les eaux à Pierrefeu, deuxième décès recensé dans les inondations affectant le Var après des pluies intenses, a annoncé la préfecture du département.

"On déplore deux victimes, un homme de 73 ans décédé dans sa cave à La Londe et un autre homme décédé dans sa voiture emportée à Pierrefeu, et un disparu sur son bateau à La Londe", indique la préfecture dans un communiqué.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/01/19/97001-20140119FILWWW00204-inondations-un-2e-deces-dans-le-var.php

Vogüé : la voiture percute un arbre, un mort

Ce dimanche, peu avant 4 heures du matin, un accident mortel s’est produit à Vogüé. Cinq jeunes étaient à bord d’une voiture qui aurait percuté un arbre. L’un d’eux est décédé.
Les quatre autres, blessés, ont été transportés vers le Centre hospitalier d’Ardèche méridionale, à Aubenas.


http://www.ledauphine.com/ardeche/2014/01/19/vogue-accident-mortel

Lorraine : une jeune fille à scooter tuée par une voiture

Un nouveau drame de la route s’est joué dans le nord mosellan, cette nuit. Vers 4 h du matin, une jeune fille de 18 ans circulant à scooter entre Kuntzig et Stuckange a été percutée par une voiture. Malgré une heure d’effort, les secours n’ont pas réussi à sauver la victime. Le conducteur de la voiture a tenté de prendre la fuite, avant d’être interpellé par les gendarmes quelques kilomètres plus loin.

http://www.republicain-lorrain.fr/actualite/2014/01/19/drame-de-la-route-une-jeune-fille-de-18-meurt-a-scooter

Marcillac-Vallon. Un motard décède dans une collision

Les sapeurs-pompiers du centre de secours de Marcillac-Vallon et les médecins du service médicalisé d’urgence et de réanimation (SMUR) du centre hospitalier Jacques-Puel de Rodez sont intervenus hier, peu avant 15heures, pour un accident mortel de la circulation survenu à la sortie de Marcillac sur la RD 901 reliant Marcillac-Vallon à Conques. Pour des raisons que l’enquête de la brigade de gendarmerie de Marcillac devra établir, une collision s’est produite entre une moto conduite par un homme âgé de 39 ans résidant à Firmi et une voiture au volant de laquelle se trouvait une femme âgé d’une trentaine d’années demeurant à Sénergues. Le motard est malheureusement décédé suite à l’accident. La conductrice de la voiture s’en est tirée indemne.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/01/19/1798182-marcillac-vallon-un-motard-decede-dans-une-collision.html

samedi 18 janvier 2014

LOIRE. Un homme de 97 ans retrouvé mort à moitié brûlé dans sa cuisine

Un nonagénaire a trouvé la mort dans des circonstances particulièrement atroces, vendredi en fin d’après-midi.
Le drame s’est noué dans une maison jouxtant un corps de ferme, au lieu-dit « La Provence », sur la commune de Coutouvre, au nord-est de Roanne.
Il était environ 18 heures, lorsque l’un des quatre fils travaillant dans l’exploitation agricole a découvert le corps de son père, âgé de 97 ans, à moitié carbonisé, devant la gazinière, dans la cuisine de l’habitation.
Quelques heures auparavant un autre de ses quatre fils était passé le voir, et tout allait bien.
Les pompiers et les gendarmes se sont rendus sur les lieux. Les circonstances du drame restent à déterminer. L’homme a peut-être été victime d’un malaise.
Dans sa chute, il aurait alors pu heurter la gazinière, sur laquelle il faisait peut-être chauffer quelque chose, avant que ses vêtements ne s’enflamment.
Il n’y a eu aucune propagation du feu. Seul un dramatique concours de circonstances ayant conduit à la mort d’un vieil homme.

http://www.leprogres.fr/loire/2014/01/18/un-homme-de-97-ans-retrouve-mort-a-moitie-brule-dans-sa-cuisine

Un piéton fauché sur l'autoroute A8 à hauteur de Mougins

Un Roumain âgé de 56 ans, a été percuté alors qu'il traversait à pied l'autoroute à hauteur de la commune de Mougins, vendredi soir vers 19h30.
C'est le conducteur de la voiture qui l'a fauché qui a alerté les gendarmes du peloton motorisé de Mandelieu.
La victime, prise en charge par les pompiers, a été transportée à l'hôpital de Cannes et souffre de fractures aux jambes, mais ses jours ne sont pas en danger.

http://www.nicematin.com/cannes/un-pieton-fauche-sur-lautoroute-a8-a-hauteur-de-mougins.1588268.html

Val-de-Marne. Un mineur entre la vie et la mort après une bagarre entre bandes

Un jeune homme âgé de 16 ans est gravement blessé après une rixe entre bandes rivales qui eu lieu vendredi au Kremlin-Bicêtre, dans le Val-de-Marne, d'après Le Parisien. La violente bagarre a eu lieu la veille de la visite du ministre de l'Intérieur Manuel Valls dans cette commune.

Barres de fer et brise-vitres

 Près de trente jeunes se sont sont combattus à coups de barres de fers et de tirs de pistolet à grenaille. Ils venaient de deux bandes rivales, des quartiers des Martinets et de Victor Hugo, à Gentily. Frappé à coups de béquilles et de brise-vitres, un adolescent de 16 ans a été très gravement touché. Quand les secours sont arrivés, il était en arrêt cardiaque et ils ont mis près de trente minutes à le réanimer. Actuellement, la victime est toujours entre la vie et la mort.

Visite de Manuel Valls

Les policiers sont intervenus et ont réussi à interpeller une dizaine de jeunes, après une course-poursuite et des affrontements. Les forces de l'ordre ont usé de tirs de flash-balls et de grenades pour avoir le-dessus sur les délinquants. Finalement, d'après un communiqué de la préfecture, "le quartier a été sécurisé" vers 22 heures. Manuel Valls effectuera ce samedi une visite au commissariat du Kremlin-Bicêtre.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/01/18/1797821-val-marne-mineur-entre-vie-mort-apres-bagarre-entre-bandes.html

Verdun-sur-Garonne. Un cycliste décède après avoir été renversé par une voiture

Il faudra du temps aux enquêteurs pour établir avec certitude les circonstances exactes de l’accident de la circulation qui s’est produit hier vers 16 h 38 sur la RD 6 que les Verdunois dénomment aussi la route d’Auch. Il s’est produit hors agglomération environ deux cents mètres après le panneau de fin de localité. Une automobiliste de Verdun âgée de 46 ans conduit sa Renault-Clio. Devant elle, sur un VTT rouge, un autre habitant de Verdun pédale semble-t-il tranquillement dans le même sens de circulation. Est-ce le soleil couchant constaté à ce moment-là, un écart, une fausse manœuvre, un malaise ? Pour l’heure on se perd en conjectures. Toujours est-il que le cycliste est accroché par la voiture, fait un vol plané pour heurter le pare-brise et retomber à gauche au sol. Les pompiers de Verdun-sur-Garonne sont rapidement sur place ainsi qu’une équipe du Samu 82. Ils tentent de réanimer le septuagénaire. Mais leurs efforts s’avèrent vains puisqu’ils sont obligés de constater l’issue fatale pour cet homme peu après 17 h 30. Entre-temps les gendarmes de la COB Verdun-Montech sous les ordres du lieutenant Frédéric Thibois débutent l‘enquête rejoints par les militaires de l’EDSR 82 (escadron départemental de sécurité routière) avec à sa tête le capitaine Sébastien Gibier. L’ensemble des opérations de régulation de sécurité et d’enquête étant placé sous l’autorité du capitaine Didier Romieu adjoint au chef d’escadron, commandant la compagnie de Montauban.

Un Verdunois connu et estimé

L’identification de la victime est réalisée à la fois par les militaires et un des adjoints de Denis Roger maire et conseiller général de Verdun. Le cycliste se nomme en effet Claude Valette. Il était né à Verdun le 25 mai 1936 et demeurait non loin des lieux de ce funeste accident : chemin Latrogne. Cet homme d’un peu plus de 77 ans avait été un remarquable maçon durant sa vie active et était le père de deux enfants. Francis qui fut durant longtemps le patron de Tymeca et maintenant celui d’une entreprise d’outillage et bricolage à Malaret. Son autre fils Jean-Pierre (dit Pedro) étant salarié d’un service culturel (l’ADDA82) au conseil général et président du club de Futsal de Verdun. Ce drame est le premier accident mortel sur les routes du département depuis le début 2014.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/01/18/1797621-verdun-garonne-cycliste-decede-apres-avoir-ete-renverse-voiture.html

vendredi 17 janvier 2014

Le GIPN déloge un sexagénaire suicidaire et armé à Pessac (33)

Décidé à en finir, un Pessacais de 61 ans s'est retranché, seul, jeudi soir chez lui. Il était armé d'un fusil.
C'est sa femme, inquiète, qui a prévenu les secours et préféré quitter les lieux. D'autant que l'homme a fait savoir qu'en cas d'intervention policière, il n'hésiterait pas à faire feu.
Police secours a fait appel au Groupe d'intervention de la police nationale, GIPN, pour le ramener à la raison et le faire sortir. Les négociations ont duré de longues heures. Vers 2 heures, le négociateur est parvenu à ouvrir la porte de la maison. Les policiers ont ensuite maîtrisé le sexagénaire sans incident.
Le retraité, atteint d'une longue maladie, a été conduit à l'hôpital par les pompiers.
Une procédure d'hospitalisation à la demande d'un tiers a été engagée

http://www.sudouest.fr/2014/01/17/le-gipn-deloge-un-sexagenaire-suicidaire-et-arme-a-pessac-1432646-2780.php

Suicide: information judiciaire ouverte (Marseille)

Le parquet de Marseille a ouvert une information judiciaire après le suicide d'une adolescente, violentée par son frère en raison de ses mauvais résultats scolaires.

La jeune fille âgée de 14 ans s'était suicidée mardi soir en se jetant du 17e étage d'une tour de la cité Font-Vert, dans le 14e arrondissement de Marseille. Selon l'enquête, l'adolescente s'est jetée dans le vide après que sa famille se fût réunie pour parler avec elle de ses mauvais résultats scolaires.

L'adolescente se montrant rétive, son frère aîné s'est emparé d'une ceinture et l'a frappée à plusieurs reprises avant de la laisser seule dans sa chambre. La jeune fille a alors sauté par la fenêtre. L'adolescente est morte sur le coup. Son frère a été mis en examen pour "violence avec arme par destination".


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/01/17/97001-20140117FILWWW00307-suicide-information-judiciaire-ouverte-marseille.php

jeudi 16 janvier 2014

ALBERT (80) Une fillette meurt d'une méningite foudroyante

Une fillette de deux ans est décédée cette nuit d'une méningite foudroyante. La sous-préfecture de Péronne, avisée du drame, confirme l'information.
La fillette n'était pas scolarisée donc il n'existe pas de risques de contagion à d'autres enfants. Seul l'entourage proche a été placé sous antibiotiques pour deux jours.

http://www.courrier-picard.fr/region/albert-80-une-fillette-meurt-d-une-meningite-foudroyante-ia201b0n290927

Valence: un piéton mortellement percuté sur la Lacra

Ce jeudi matin, vers 5 heures, un piéton a été mortellement percuté par une fourgonnette sur la Lacra. L'accident s'est produit dans le sens Romans/Valence, à hauteur du plateau des Couleures. La victime, un jeune homme âgé de 20 à 30 ans, était dépourvue de papier d'identité, et, dans l'impact, a été projeté sur plusieurs mètres sur les voies de circulation. Avant le choc, le jeune homme, torse nu, semblait gesticuler le long de la Lacra. Plusieurs voitures avaient réussi à l'éviter de justesse. La Lacra a été coupée à la circulation dans le sens Nord/Sud jusqu'à 6 heures. Les policiers valentinois sont en charge de l'enquête.

http://www.ledauphine.com/drome/2014/01/16/valence-un-pieton-mortellement-percute-sur-la-lacra

mercredi 15 janvier 2014

Appel à témoins après l'accident mortel d'un homme de 50 ans à scooter, à Toulon

Il était minuit passé ce mercredi, quand un homme de 50 ans a été victime d'une chute mortelle, alors qu'il roulait seul, à scooter, sur l'avenue Jean-Baptiste Abel, dans les quartiers Est de Toulon.
Un important dispositif de secours est intervenu pour tenter de le ranimer, avec un médecin urgentiste et les pompiers de Toulon, mais l'homme est décédé sur place.
La brigade accident de la police nationale lance un appel à témoins, pour rechercher les causes de la chute et les causes du décès, tandis que le corps de la victime sera vu par un médecin légiste dans la journée.
La chute s'est produite à la sortie d'un virage à gauche sur l'avenue Jean-Baptiste Abel, à hauteur de l'impasse David, au niveau du n°268. L'homme conduisait un scooter XP 250 et a percuté le sol, entre un poteau et la clôture d'une maison.
Toute personne qui pense avoir une information susceptible d'aider l'enquête peut s'adresser à la brigade accidents au 04.94.75.89.10 ou au 04.94.75.89.19.

http://www.nicematin.com/derniere-minute/appel-a-temoins-apres-laccident-mortel-dun-homme-de-50-ans-a-scooter-a-toulon.1585496.html

Nogent-sur-Oise : un étudiant de 19 ans se suicide dans sa chambre d’internat

Un étudiant de 19 ans, en 2e année de classe préparatoire PTSI (Physique technologie et sciences de l’ingénieur) au lycée de Nogent-sur-Oise s’est , hier matin, dans l’internat de l’établissement. Il a été retrouvé, vers 10 heures, pendu dans sa chambre. « Il n’y a aucune raison de croire que ce n’était pas un acte volontaire, ce n’est pas une affaire judiciaire mais une affaire qui ne regarde plus que la famille », explique la procureure de Senlis, Amélie Cladière.
« Le jeune homme évoluait dans un contexte personnel très difficile », témoigne un proche. « Les prépas sont aussi des études éprouvantes, souligne un parent d’élève. Mais on ne sait rien pour l’instant des raisons de ce drame. » Une cellule psychologique a été mise en place, hier, dans l’internat qui dispose de 176 chambres et se poursuivra aujourd’hui. Une communication officielle est prévue dans la journée auprès de l’ensemble des 1950 élèves du lycée

http://www.leparisien.fr/oise-60

Une octogénaire tuée à coups de bâtons par sa fille à Cholet

La fille de la victime âgée d’une soixantaine d’années, a elle-même prévenu après les faits le commissariat de Cholet, où elle a été placée en garde à vue.
Selon le quotidien Le Courrier de l’Ouest qui fait état de cette information, la femme qui s’est livrée aux policiers aurait déclaré: «Je suis sa fille, c’est moi qui l’ai tuée. Cela devait arriver».
Les raisons précises du passage à l’acte de la fille de la victime restent encore à éclaircir par les enquêteurs qui l’auditionnaient encore mercredi matin, a indiqué le parquet d’Angers.


http://www.leprogres.fr/france-monde/2014/01/15/une-octogenaire-tuee-a-coups-de-batons-par-sa-fille-a-cholet

mardi 14 janvier 2014

Corrèze: le retraité tue sa femme et se suicide

Un homme de 78 ans a tué sa femme de 74 ans samedi durant son sommeil avant de retourner l'arme contre lui, a délaré aujourd'hui le parquet de Brive.

C'est la fille du couple, qui n'arrivait pas à les joindre dimanche au téléphone, qui a fait la macabre découverte après s'être déplacé à leur domicile, dans le village de Corrèze, dans le département du même nom. "Les premières investigations convergent dans le sens qui laisse penser que le mari a probablement tué son épouse et s'est donné la mort", a expliqué Jean-Pierre Laffite, procureur de Brive.

Aucun courrier ne venant expliquer ce geste n'a été découvert.
L'autopsie des corps devrait être pratiquée demain mais les enquêteurs repoussent l'hypothèse d'un acte criminel commis par une tierce personne.

Le procureur a ajouté que "différents témoignages laissent penser que (l'homme) avait un caractère dépressif depuis plusieurs mois ou plusieurs années".


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/01/14/97001-20140114FILWWW00555-correze-le-retraite-tue-sa-femme-et-se-suicide.php

Accident mortel à Muzillac. Le conducteur éjecté de sa voiture

Un automobiliste a été tué dans un accident sur la voie express à Muzillac.

Un homme de 50 ans, a perdu la vie, ce mardi, à 10 h 10, sur la voie express Vannes-Nantes (RN165) à hauteur de Muzillac. Pour une raison indéterminée, sa voiture qui roulait en direction de Nantes, a quitté la route et fait plusieurs tonneaux à l’entrée de Muzillac, dans les virages de Saint-Laurent.

Le corps à 80m de la voiture

Le conducteur a été éjecté. On a retrouvé son corps à 80 m de la voiture. L’accident n’a impliqué aucun autre véhicule. La circulation s’effectue sur une voie dans le sens Nantes-Vannes, les secours s’étant positionnés de ce côté-là.

http://www.ouest-france.fr/accident-mortel-muzillac-le-conducteur-ejecte-de-sa-voiture-1850594

Meurthe-et-Moselle : sexagénaire disparue et retrouvée noyée

Le corps d’une femme de 60 ans a été découvert, ce lundi matin, dans le cours d’eau le Madon, sur la commune de Gerbécourt-et-Haplemont, près d’Haroué.
La sexagénaire qui habite le secteur, avait été signalée disparue la veille par sa famille. Les gendarmes avaient alors déclenché des recherches sur les sentiers forestiers et le long du Madon. Des militaires de la communauté de brigades de Neuves-Maisons-Haroué-Vézelise et du PSIG (peloton de surveillance et d’intervention) de Nancy avaient été mobilisés.
Le chien de l’équipe cynophile de Bar-le-Duc avait également été transporté sur les lieux. Mais il n’avait pas retrouvé la piste de la disparue et les recherches s’étaient arrêtées avec la tombée de la nuit.
Elles ont repris ce matin. Sans le chien. Vers 10 h, une patrouille a finalement repéré le corps de la sexagénaire qui flottait sur le Madon. La victime était dépressive. Elle aurait fait plusieurs tentatives de suicide et plusieurs séjours à l’hôpital. L’hypothèse d’un acte désespéré est donc privilégiée.
Par mesure de précaution, le Parquet de Nancy fera toutefois procéder à une autopsie de la dépouille de la sexagénaire. Elle aura lieu dans les prochains jours à l’institut médico-légal.

http://www.estrepublicain.fr/meurthe-et-moselle/2014/01/14/sexagenaire-disparue-et-retrouvee-noyee

lundi 13 janvier 2014

Trois suicides d'enseignants dénoncés dans l'académie

Les syndicats viennent d’écrire au ministre de l’Éducation pour l’alerter sur trois cas de suicide dans des lycées professionnels, dont un à Chinon.
Entre octobre et décembre, trois professeurs ont tenté ou mis fin à leurs jours dans l'académie d'Orléans Tours. « Ces suicides révèlent une situation de souffrance au travail consécutive à des conditions de travail dégradées », expliquent les syndicats d'enseignants dans un courrier, daté du 7 janvier, adressé à Vincent Peillon. « Nous savons que l'administration a été informée de la mise en danger des personnels sans que des mesures suffisantes aient été prises pour protéger leur santé », ajoutent les signataires (CGT, SE-UNSA, SNETAA, SGEN CFDT et FSU).
Le premier suicide a eu lieu le 14 octobre à Chinon, où une enseignante de biotechnologie au lycée professionnel Joseph-Cugnot a mis fin à ses jours. Victime de harcèlement – elle avait été giflée en plein cours par un parent, à la suite d'une sanction contre un élève –, elle était en arrêt maladie au moment du drame et n'aurait apparemment pas supporté de revenir dans son établissement.
Le second suicide s'est produit à Gien (Loiret), où une enseignante de lettres et d'histoire, mère de trois enfants, est décédée. Le troisième a eu lieu à Dreux, le 10 décembre, mais la victime, âgée de 62 ans, elle aussi enseignante d'histoire et de lettres, au lycée Maurice-Violette, a cette fois pu être sauvée. Nommée à 400 km de son domicile, elle exerçait son métier face à des classes difficiles et a très mal vécu que des élèves, qui l'avaient filmée en cours, ne soient pas à ses yeux suffisamment sanctionnés en conseil de discipline.

Une enquête menée à Chinon
Pour les syndicats, auxquels l'administration a refusé une minute de silence en décembre, il ne fait aucun doute que ces suicides sont liés aux conditions de travail, mais aussi « à un manque de soutien des personnels ». Au rectorat, on écarte cette hypothèse pour l'affaire de Gien, où le suicide serait motivé « par des considérations d'ordre personnel ». A Chinon, une enquête a été menée et le rapport est attendu sous peu, tandis qu'à Dreux, l'analyse est en cours. « L'administration ne prend pas ces dossiers à la légère, souligne le secrétaire général du rectorat, mais un suicide peut avoir des causes multiples et il ne faut pas tirer de conclusions hâtives. »

http://www.lanouvellerepublique.fr/Indre-et-Loire

Lorraine : accident mortel de poids-lourd

Un accident mortel impliquant un poids-lourd s'est produit en fin de matinée sur l'A31 (sens sud-nord), indique le centre régional d'information routière. Le drame s'est produit en Moselle, à hauteur de La Maxe. A 11 h 50, la voie de droite était neutralisée.Un bouchon était en cours de formation à 12 h 10.  Un ralentissement de 2,0 km sur 3 voies était déjà relevé entre La Maxe et Metz.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/01/13/lorraine-accident-mortel-de-poids-lourd

Une détenue se pend dans sa cellule à Fresnes

Une détenue s'est suicidée dans sa cellule dimanche soir à la maison d'arrêt de Fresnes, dans le Val-de-Marne. La jeune femme, âgée de 36 ans, s'est pendue avec ses draps à un barreau, selon les informations d'Europe 1. La prisonnière avait déjà tenté de mettre le feu à sa cellule vendredi.
Une enquête a été ouverte et confiée au commissariat de L'Haÿ-les-Roses.
 

Toulouse. Antoine s'est-il noyé dans la Garonne samedi ?

La dernière fois qu’il a été vu il se trouvait dans un bar de la Garonnette. Il devait être 0 h 45. Et les policiers nous ont dit qu’il avait passé un appel téléphonique avec son téléphone portable dans le secteur du Pont-Neuf. C’était samedi vers 1 heure…» Venu de Perpignan, Manuel ne cachait pas son inquiétude hier alors qu’avec d’autres amis, il cherchait des nouvelles d’Antoine Magny, 22 ans. Ce Perpignanais costaud, 1,80 m, des cheveux châtain clair très courts sur les côtés, a disparu dans la nuit de vendredi à samedi, à Toulouse. Depuis plus de nouvelles de ce jeune homme qui travaillait via des missions intérim, à Toulouse. Bien sûr, ses proches craignent qu’il soit l’homme aperçu par des témoins sur les bords de la Garonne samedi vers 1 heure. Cet homme a ensuite disparu. Est-il tombé dans la Garonne ? Certains témoins le pensent et les pompiers ont mené des recherches dans la nuit de samedi et également samedi matin. Ces investigations dans le fleuve n’ont pas permis de retrouver de corps.
Hier les amis d’Antoine ont placardé des affiches pour inciter les témoins à se manifester auprès de la police. Et ils ont longuement longé les berges de la Garonne sans découvrir de trace. Pour l’instant, rien ne permet d’affirmer qu’Antoine était l’homme aperçu par des témoins dans la nuit de vendredi à samedi. Même si plus elle se prolonge et plus sa disparition est inquiétante

http://www.ladepeche.fr/article/2014/01/13/1792825-antoine-s-est-il-noye-dans-la-garonne-samedi.html

dimanche 12 janvier 2014

Arès (33) : il tue son père à coups de tabouret, et blesse grièvement sa mère

Un couple de retraités a été agressé dimanche à Arès. L'homme est décédé et sa femme se trouve dans un état très grave. Le fils du couple serait l'auteur de l'agression
Un père de famille a été tué, ce dimanche, par son fils, qui a également grièvement blessé sa mère, a-t-on appris auprès du parquet. L'agression a eu lieu allée des Fresnes, au lotissement les Lugées à Arès (Gironde) sur le bassin d'Arcachon.
"Le fils a asséné un violent coup à la tête de son père avec un tabouret et a également grièvement blessé sa mère", âgée de 86 ans, qui a été transportée en hélicoptère au CHU de Bordeaux, mais "ses jours ne seraient plus en danger", a indiqué le procureur de la République de Bordeaux, Marie-Madeleine Alliot.
Le meurtrier présumé, âgé de 53 ans, a été arrêté et placé en garde à vue. Il doit être examiné par un médecin qui devra déterminer si son état est compatible avec un maintien en garde à vue. Il sera également examiné par un psychiatre "afin de déterminer s'il bénéficie de toutes ses capacités mentales", a-t-on ajouté de même source.
C'est la fille du couple de retraités et soeur du meurtrier présumé qui a prévenu les gendarmes vers midi après avoir découvert ses parents gisant au sol à leur domicile.

http://www.sudouest.fr/2014/01/12/ares-33-deux-retraites-tres-violemment-agresses-1426820-7.php

Un mort dans l'agression de retraités

Un couple de retraités a été violemment agressé aujourd'hui près du bassin d'Arcachon (Gironde), l'homme ayant été tué et la femme très grièvement blessée, tandis qu'une troisième personne a été interpellée, a-t-on appris auprès des pompiers et des gendarmes.

Les enquêteurs tentaient de déterminer les circonstances de cette agression, mais, de source proche du dossier, il pourrait s'agir d'un drame familial impliquant un membre de la famille. "Il y a eu une interpellation", ont indiqué les gendarmes, sans plus de précision.

La femme, "très grièvement blessée", a été transportée par hélicoptère dans un état jugé "grave" au CHU de Bordeaux, tandis que l'homme, âgé de 80 ans, est décédé. Le parquet de Bordeaux s'est rendu sur les lieux du drame, à Arès, sur le bassin d'Arcachon, et devrait communiquer dans la journée


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/01/12/97001-20140112FILWWW00099-un-mort-dans-l-agression-de-retraites.php

Paris XIVe : un SDF retrouvé mort

Un SDF a été retrouvé ce dimanche matin à . La victime gisait dans un sac de couchage, sur la voie publique, à l’angle des rues Raymond-Losserand (XIVe) et Alfred-Durand-Claye, aux abords de la porte de Vanves.

«Le médecin du Samu a constaté le décès, précise une source proche du dossier. D’après les premiers éléments, la victime ne présentait pas de traces suspectes.
Il s’agit d’un homme de 37 ans, d’origine polonaise».

Une petite communauté de sans domicile fixe, d’origine polonaise, s’est intallée dans ce périmètre du sud de
, entre la rue Losserand et la rue de l’Ouest. C’est dans ce même périmètre que Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate UMP à la mairie de Paris et tête de liste dans ce XIVe arrondissement, s’était fait photographier avec plusieurs d’entre eux, en train de fumer.
 
 
http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-xive-un-sdf-retrouve-mort-12-01-2014-3485865.php

Accident à Escoville. Percuté par une voiture, l'enfant décède

Le petit garçon âgé de 23 mois se trouvait devant le véhicule utilitaire au moment du départ. Il a été percuté et est décédé au CHU de Caen.

Des circonstances dramatiques. L'accident s'est produit vers midi, ce samedi, à Escoville (petite commune entre Troarn et Hérouvillette), près de l'axe Caen-Cabourg. Dans une petite rue où un jeune couple avait emménagé récemment.
Le père allait chercher son courrier quand la voiture de la Poste est arrivée. C'est en repartant que l'enfant qui se trouvait devant a été percuté.
Les pompiers l'ont transféré au CHU de Caen. Son état était jugé grave. Il est décédé en début d'après-midi.

http://www.ouest-france.fr/ecrase-par-une-voiture-escoville-lenfant-de-23-mois-decede-au-chu-1845000

La voiture s'écrase sur le rond-point : un mort

Sur l’immense rond-point constitué de deux collines coupé par un chemin piétonnier, des débris d’Alfa Roméo jonchent le sol vallonné. Deux sapinettes n’ont pas résisté au passage du véhicule qui après avoir heurté le rond-point au bout de la rocade Arc-en-ciel a littéralement décollé avant de s’écraser environ 40 mètres plus loin au milieu d’arbustes après plusieurs tonneaux.
Les pompiers ont été alertés à 6 h 26, hier matin. Le temps d’arriver sur place, le moteur de la voiture commençait à brûler. Ce feu a vite été éteint par les pompiers. Le conducteur, presque éjecté par le choc, se trouvait en arrêt cardio-respiratoire. Les pompiers ont commencé un massage cardiaque. Ils ont été rejoints par une équipe du Smur 31 qui a pratiqué des actes de réanimation mais le médecin du Samu a été obligé de constater le décès sur place du conducteur Stéphane Cuzacq. Cet habitant de Colomiers avait 42 ans.

Vol plané de 40 mètres

Les policiers de la brigade des accidents se sont rendus sur les lieux pour réaliser les constatations. Entre les traces d’impact sur l’avant du rond-point et l’endroit où la voiture a heurté la deuxième colline, il y a plus de 40 mètres. Et même si la pente en béton à la base de cet immense giratoire a fait l’effet d’une rampe de décollage, la voiture devait rouler très vite pour effectuer une telle distance et en effectuant plusieurs tonneaux.
Pourtant au bout de cet axe rapide, les chaussées se rétrécissent et de grands panneaux indiquent de réduire sa vitesse. Le conducteur ne les a visiblement pas vus. Seules des expertises techniques permettraient de connaître la vitesse du véhicule mais il est peu probable qu’elles soient demandées par le parquet. En effet la victime se trouvait seule dans l’habitacle et aucun tiers n’a été impliqué dans cet accident mortel, premier drame de la route de l’année 2014.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/01/12/1792572-la-voiture-s-envole-un-mort.html