dimanche 30 juin 2013

Un motard tué dans une sortie de route entre Caloire et Chambles

L’accident s’est produit ce dimanche vers 14h30 sur la RD108. Un pilote de 34 ans, qui faisait partie d’un groupe de motards circulant en direction de Chambles, a perdu le contrôle de sa machine dans des circonstances encore indéterminées.
Le motard a été tué dans la sortie de route.

http://www.leprogres.fr/loire/2013/06/30/un-motard-tue-dans-une-sortie-de-route-entre-caloire-et-chambles

Un Lyonnais se noie dans un canal à Montceau-les-Mines

L’enfoncement de la barrière de protection du canal du Centre témoigne de la violence du choc. La rambarde pourtant solide a été complètement arrachée, la voiture terminant sa course au fond de l’eau. Selon les premières constatations, cet accident de la route dû à une perte de contrôle - les circonstances restant encore à déterminer par les enquêteurs du commissariat de Montceau - a connu une issue dramatique. Le conducteur, un jeune homme âgé de 27 ans, serait mort noyé.
Hier vers 7 h 30, des passants constatant que la barrière était enfoncée ont alerté les pompiers. Les plongeurs du Creusot et de Chalon ont été appelés en renfort pour effectuer les premières reconnaissances qui valident rapidement la présence d’au moins une personne.
L’eau boueuse du canal ne permet cependant pas de confirmer ou d’invalider la présence d’autres passagers.
L’opération a finalement pris plusieurs heures jusqu’à ce que la présence d’un seul corps soit confirmée. Celui d’un jeune homme âgé de 27 ans, originaire de Lyon, établi sur la région de Montceau pour des raisons professionnelles.
Extrait de l’habitacle, il a été pris charge par les secours avant l’examen médico-légal chargé d’éclaircir les circonstances de la mort. L’absence de témoins ne permet pas d’avancer une heure précise pour l’accident, qui a dû se produire dans la nuit et avant 6 h 30 - heure à laquelle la boulangerie située en face ouvre ses portes.
Face à la curiosité de badauds de plus en plus nombreux, un périmètre de sécurité a été mis en place. Une grue de levage a été nécessaire pour repêcher la voiture plongée à deux mètres de profondeur. L’opération s’est terminée vers13 heures.
La circulation sur le canal a été interrompue par VNF jusqu’à la fin des opérations.

http://www.leprogres.fr/rhone/2013/06/30/un-lyonnais-se-noie-dans-un-canal-a-montceau-les-mines

samedi 29 juin 2013

Accident mortel sur l'A 10

Saint-Lubin. Un premier accrochage suivi d’une collision entre deux poids lourds a fait un mort hier matin sur l’autoroute.
Un accident impliquant deux poids lourds et trois voitures s'est produit vendredi vers 9 h 15 sur l'autoroute A 10 dans le sens Blois-Tours à hauteur de Saint-Lubin-en-Vergonnois au lieu-dit « Bois-de-Profonde ». Alors qu'il pleuvait et que la route était glissante, un premier accrochage s'est produit entre un poids lourd et une Golf qui se sont immobilisés sur la bande d'arrêt d'urgence. C'est alors qu'un second camion n'a pas pu éviter la remorque du premier ensemble routier. Lors du choc, le poids lourd a fauché une personne qui venait de sortir du premier véhicule accidenté puis a fini sa course dans le bas-côté. L'autre piéton n'a heureusement pas été blessé. Deux autres voitures ont été heurtées par des machines à laver éjectées de la remorque.
Les pompiers de Blois commandés par le lieutenant Lopez et les gendarmes dirigés par le capitaine Grenêche étaient sur place. L'hélicoptère du Samu 41 s'est posé sur la chaussée pour prendre en charge le blessé mais les conditions météo l'ont contraint à annuler le transport. La victime a finalement été évacuée par les pompiers de Blois vers le centre hospitalier Trousseau à Tours où malheureusement cet homme de 35 ans domicilié en Espagne est décédé peu après son arrivée. Il était le frère du chauffeur du poids lourd percuté.
La circulation a été maintenue sur la voie rapide. Une déviation a été mise en place à la sortie de Blois pour les véhicules en direction de Tours et Bordeaux qui étaient ensuite dirigés vers Herbault et Château-Renault.


http://www.lanouvellerepublique.fr/Toute-zone/Actualite/Faits-divers-justice

vendredi 28 juin 2013

Lot-et-Garonne : il décède écrasé sous son tracteur

Il nettoyait la propriété de sa fille, à Saint-Sauveur-de-Meilhan, au lieu dit Lamarthe, avec un tracteur-girobroyeur. Hier matin, vers 11 heures, au cours d’une manœuvre, le tracteur a glissé sur un talus. Le talus n’était pas très haut, mais le tracteur s’est retourné, les quatre roues en haut. Son conducteur, Bernard Dulac, âgé de 68 ans, domicilié à Meilhan-sur-Garonne, s’est retrouvé écrasé sous l’engin. Il était décédé à l’arrivée des secours.

http://www.sudouest.fr/2013/06/28/lot-et-garonne-il-decede-ecrase-sous-son-tracteur-1099797-7.php

Montauban. La voiture rate un rond-point et percute un magasin : un mort et un blessé grave

Un jeune homme de 20 ans est décédé la nuit dernière dans un terrible accident de la circulation à Montauban. Un deuxième occupant du véhicule a été grièvement blessé.
Les faits se sont déroulés vers 4 heures ce vendredi matin. Une Twingo, avec à son bord quatre jeunes gens, a manqué le rond-point du Petit Versailles et a terminé sa course dans un magasin d'alarmes. Les deux passagers arrière ont été retrouvés sains et saufs par les pompiers. En revanche, les deux occupants des places avant ont dû être désincarcérés. Un jeune homme de 21 ans, grièvement blessé, a été conduit à l'hôpital. Le deuxième, un Montalbanais de 20 ans, est mort sur le coup.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/28/1660904-montauban-voiture-percute-magasin-mort-blesse-grave.html

jeudi 27 juin 2013

Suicide chez Renault: "faute inexcusable" reconnue pour un troisième salarié

Le suicide d'un technicien de 38 ans, travaillant au Technocentre de Guyancourt, a été reconnu comme étant dû à une "faute inexcusable" de Renault.

 Le suicide d'un salarié de Renault en février 2007 a été reconnu comme étant dû à une "faute inexcusable" du constructeur automobile, dans une décision rendue jeudi par le tribunal des affaires de sécurité sociale (Tass) de Versailles. Le Tass a condamné Renault à verser 50.000 euros à la veuve du salarié et 50.000 euros à son fils au titre des dommages et intérêts. La reconnaissance de la faute inexcusable donne également droit à une majoration de la rente allouée à la famille du salarié.
Raymond D., technicien de 38 ans du Technocentre de Guyancourt (Yvelines), s'était pendu à son domicile le 16 février 2007. Son suicide a été reconnu en 2011 comme accident du travail par la justice. En l'espace de quatre mois, courant 2006 et 2007, trois salariés du Technocentre s'étaient donné la mort. La justice a déjà reconnu la "faute inexcusable" dans les suicides des deux autres employés de Renault, pour le premier en 2011 et le second en mai 2012. Le constructeur automobile a toutefois formé un pourvoi en cassation dans ce deuxième cas.
Après cette vague de suicides, le parquet de Versailles avait ouvert une enquête préliminaire, classée sans suite en janvier 2009. Une des familles avait tenté de relancer l'affaire sur le plan pénal en décembre 2011 en déposant une plainte avec constitution de partie civile mais celle-ci avait aussi été classée, car considérée comme prescrite.

Aveyron (12). Une fillette de 7 ans tuée par un engin agricole

Une fillette de sept ans est morte dans la ferme familiale à La Salvetat-Peyralès, dans l’Aveyron, heurtée par un engin agricole.
Le drame, dont les circonstances restent à éclaircir, s’est produit mercredi soir. Les pompiers, assistés d’une équipe du Samu arrivée par hélicoptère, ont été déployés sur les lieux mais ils n’ont pas réussi à sauver la fillette.
 

Mansonville. Il périt, broyé par son tracteur

La série noire continue en Tarn-et-Garonne. En l’espace de deux mois, trois accidents de tracteur ont été fatals (dont un déjà le mois dernier à Mansonville). Hier en fin d’après-midi, Laurent De Campo, 75 ans, n’a pas survécu à de graves blessures causées par son girobroyeur. Les circonstances de l’accident restaient encore hier soir à éclaircir, mais il semblerait que le retraité soit tombé de son tracteur et n’a pas pu éviter le girobroyeur attelé à l’arrière. Le tracteur a été retrouvé moteur en marche en contrebas de son potager, au bord de la D3, juste au pied du panneau d’entrée de village. «Je passais par-là au volant de mon tracteur et j’ai d’abord cru que Laurent était coincé dessous. Ne le trouvant, je suis vite monté demander à son épouse où il était. Elle n’en savait rien. Très vite, je l’ai retrouvé quelques mètres plus haut en sang, inanimé mais vivant», raconte Bernard Gayrin, adjoint au maire de Mansonville. C’est lui qui donne l’alerte.

Il décède d'un énième arrêt cardiaque

Très vite, un VSAB des pompiers de Lavit arrive sur les lieux suivi d’une voiture du Samu de Moissac et VSR de la caserne de Valence d’Agen. Le maire de la commune, Christian Berthet, prête main-forte aux équipes et protège la victime du soleil. Son état est jugé critique et ne peut être transporté par ambulance. Prévu pour être héliporté sur un hôpital toulousain, les médecins n’arrivent pas à stabiliser le blessé. Ayant perdu beaucoup de sang, il décède d’un énième arrêt cardiaque. Avec de nombreux membres sectionnés, il était très compliqué de le maintenir en vie.
Fils d’immigré italien, Laurent De Campo avait été mécanicien au garage station-service Galinat de Mansonville. Depuis qu’il était à la retraite, il occupait son temps en cultivant son potager et en participant à quelques lotos organisés dans le coin. «Il était encore chez moi aujourd’hui (hier) à midi. Il était venu me donner un coup de main pour résoudre un problème mécanique. Il rendait service sans jamais rien demander en échange. C’était un gars merveilleux avec un cœur en or. Je suis très triste», nous confie Louis, un ami avec qui il regardait le soleil se coucher sur le village assis dans le champ d’en face. Sous le choc, un jeune voisin ne comprend pas l’accident : «Je l’avais vu vers 15 heures sur son tracteur en train de broyer le terrain qu’il mettait en vente, bien loin de m’imaginer une telle suite.»
Après plus de 1 h 30 à maintenir le blessé en vie, c’est le maire qui est allé annoncer la triste nouvelle à sa femme tenue à l’écart dans le jardin voisin. Le parquet ayant demandé d’éclaircir les circonstance de l’accident, c’est à la brigade de gendarmerie de Lavit appuyée par les techniciens de l’identification criminelle qu’il revient de comprendre si la victime est tombée du tracteur ou si elle y bricolait dessus

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/27/1659512-nouvel-accident-mortel-de-tracteur.html

mercredi 26 juin 2013

Un sexagénaire tué dans un accident à Sainte-Colombe (17)

Un accident de la circulation s'est produit mardi soir, peu avant 22 heures, au lieu-dit  La Maisonnette, dans la commune de Sainte-Colombe près de Montlieu-la-Garde.
Un véhicule a quitté la chaussée pour une raison encore déterminée et percuté un arbre sur le bas-côté. Le conducteur, Michel Chatelain, un homme de 65 ans demeurant à Ste-Colombe, a été tué sur le coup. Son passager, un homme de 57 ans,  originaire de Montendre, a lui été légèrement blessé et évacué vers le centre hospitalier de Jonzac. 

http://www.sudouest.fr/2013/06/26/un-sexagenaire-tue-dans-un-accident-a-sainte-colombe-1097368-1455.php

Collision mortelle d’Allinges. La SNCF, RFF et le chauffeur de car condamnés

Le tribunal correctionnel de Thonon-les-Bains a condamné la SNCF, Réseau ferré de France (RFF) et le chauffeur de car dans le procès de la collision mortelle d’Allinges (Haute-Savoie), qui avait provoqué la mort de sept collégiens en 2008, a annoncé le président mercredi.
Relaxes partielles
« Les trois prévenus ont été condamnés. M. Prost (le chauffeur de car, ndlr) ne retournera pas en prison », a déclaré le président du tribunal en commençant la lecture du jugement, qui doit durer deux heures. « Les prévenus bénéficient de relaxes partielles », a aussi précisé M. Deparis.
Le chauffeur de car Jean-Jacques Prost a été condamné pour homicides et blessures involontaires par imprudence et maladresse pour avoir arrêté son car à deux reprises sur la voie ferrée, a précisé le président du tribunal en saluant les « déclarations effectuées avec courage et introspection » par le chauffeur. C’est une « juste réparation dans une vie de travail honnête et droite », a-t-il ajouté.
La SNCF a été condamnée à 200 000 euros d'amende et RFF à 400 000 euros. Les deux sociétés sont condamnées pour n'avoir pas détecté la «particulière dangerosité du passage à niveau n°68» d'Allinges et n'avoir pas pris les mesures de nature à empêcher l'accident. 5 millions d'euros de dommages et intérêts ont été accordés aux victimes.
Homicide involontaire
Les trois prévenus étaient poursuivis pour homicide involontaire. Le 2 juin 2008, un TER assurant la liaison entre Evian-les-Bains et Genève avait percuté un car scolaire à Allinges, tuant sept collégiens âgés de 11 à 13 ans et faisant 25 blessés.
Le chauffeur de car Jean-Jacques Prost avait été placé en détention provisoire pendant un mois en juin 2008. Une peine de 3 ans de prison, dont 18 mois ferme, avait été requise à son encontre durant le procès, qui s’est tenu du 3 au 12 avril.
Le procureur avait requis une amende de 300 000 euros à l’encontre de la SNCF et de 150 000 euros contre RFF pour leur « défaillance » dans la « détection du caractère dangereux du passage à niveau » d’Allinges.
 

Drame familial dans la Drôme : appel à témoin pour retrouver le père

Après la découverte des corps sans vie d'une mère de famille et ses trois enfants à Saint-Paul-Trois-Châteaux dans la Drôme, la gendarmerie a lancé un appel à témoin pour retrouver le père en fuite. Le père de famille est désormais recherché pour meurtre. Après la découverte des corps de sa femme et ses trois enfants, Abdelkarim El Kadaoui reste introuvable. Mardi soir, la gendarmerie a lancé un appel à témoins pour retrouver le père de famille de 43 ans. Selon Le Dauphiné, il a été vu pour la dernière fois chez son frère lundi soir. Il aurait indiqué à celui-ci "avoir fait une bêtise". "Tu diras à maman qu'elle me pardonne", aurait-il confié à son frère. Le père se trouvait alors en compagnie de ses trois enfants âgés de 2, 8 et 9 ans. Les corps sans vie de ces derniers ont été retrouvés mardi matin dans le véhicule familial, à Saint-Paul-Trois-Châteaux dans la Drôme. C'est le père du fuyard qui a aperçu le véhicule et prévenu la gendarmerie. Les deux fillettes eux ont été asphyxiés, le garçon aurait été étranglé avec une corde ou un nœud coulant, rapporte le quotidien. Houira El Kadaoui, leur mère âgée de 29 ans, avait été découverte lundi soir au domicile de la grand-mère dans une mare de sang après avoir reçu "47 coups de couteau". Le père en route pour le Vaucluse ? Les chiens ont perdu la trace du père de famille au bout d'un chemin forestier à la sortie du village, a indiqué le procureur de Valence Antoine Paganelli. Il pourrait avoir été pris en stop et pourrait être en route pour le Vaucluse où il a des attaches familiales, selon La Provence. L'homme et sa femme étaient en instance de divorce, séparés depuis fin 2012. Elle ne supportait plus son mari "au fort caractère", selon le procureur. En 2006, il avait été tenu de s'éloigner de son épouse après la plainte déposée par celle-ci avant que tous deux reprennent leur vie conjugale. D'origine marocaine, Abdelkarim El Kadaoui, crâne rasé, mesure 1,78m et est de forte corpulence. Les gendarmes demandent aux personnes qui auraient des informations ou qui l'auraient vu de prendre contact le plus rapidement possible avec la gendarmerie la plus proche. Un numéro d'urgence a été mis en place au centre opérationnel de la gendarmerie de Valence : 04 75 82 52 06. La section de recherche de la gendarmerie de Grenoble est chargée de l'enquête, un dispositif particulier a été mis en place dans le Vaucluse.

http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/drame-familial-dans-la-drome-appel-a-temoin-pour-retrouver-le-8060454.html

mardi 25 juin 2013

Un lycéen en formation décède sur un chantier

Un élève de 19 ans, qui suivait une formation au lycée professionnel Claude-Nicolas Ledoux de Pavillons-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), est décédé ce mardi matin des suites d’un .

Vers 9 h 15, une cheminée d’environ 300 kg lui est tombée sur la
alors qu’il travaillait sur un chantier de construction à Bry-sur-Marne (Val-de-Marne).
Le jeune homme, scolarisé en première année de CAP maçonnerie, effectuait là une période de formation en entreprise.

«Une équipe mobile de sécurité accompagne la direction de l’établissement face à l’émoi suscité auprès des élèves et du personnel» a annoncé la rectrice de l’académie de Créteil (Val-de-Marne) Florence Robine qui a exprimé sa «profonde émotion».


http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93

Erreur médicale à Metz : deux chirurgiens coresponsables

Une chance sur deux. Jérôme, 27 ans, originaire de Briey, avait une chance sur deux de survivre, lorsqu’il a été admis en urgence à Claude-Bernard, le 12 septembre 2004, sans les fautes commises par deux chirurgiens de la clinique messine, condamnés, jeudi, par la justice civile.
La décision clôt – sauf appel – le marathon judiciaire dans lequel ses parents se sont lancés depuis la mort de leur fils, le 15 septembre 2004. « C’était le pot de terre contre le pot de fer, donc nous sommes soulagés », explique Ginette, sa mère, installée aux Baroches (Meurthe-et-Moselle).
Dans son jugement, la première chambre civile du tribunal de grande instance de Metz insiste : « S’il n’est pas établi que des soins administrés à temps eussent guéri le patient, l’absence ou le retard fautif de diagnostic ou de traitement […] relèvent de la perte de chance, laquelle est sérieuse dans le cas d’espèce ».
Retards, erreurs de jugement, mauvais diagnostic : tout est allé de travers ce 12 septembre 2004 pour Jérôme, 174 kg pour 1,78 m. Un mois et demi plus tôt, un chirurgien spécialiste de chirurgie digestive lui avait implanté un by-pass [court-circuit, NDLR] gastrique pour traiter son obésité morbide. Mais ce jour-là, le jeune homme ressent une douleur terrible, « comme un coup de poignard ».
Transporté par les pompiers à l’hôpital Maillot, à Briey, il est transféré à la clinique Claude-Bernard. Pris en charge par le chirurgien de garde, il est placé en réanimation, gavé d’anti-douleurs, jusqu’au lendemain matin où son chirurgien découvre, bien trop tard, l’ampleur des dégâts : souffrant d’une péritonite, Jérôme décède d’une « défaillance multiviscérale ». « Si celui qui l’avait opéré s’était déplacé et avait fait réaliser un scanner dès son arrivée le soir, il pourrait encore être vivant. Dans son état – une possible péritonite –, il aurait dû être traité en 6 ou 8h. Il n’a été réopéré que onze heures plus tard », déplore l’avocat de sa famille, Me Marc Baerthelé, qui a obtenu environ 60 000€ d’indemnisation pour ses proches.

« Sauter par la fenêtre »

La réparation prend en compte l’extrême souffrance de Jérôme, qui a enduré des douleurs si fortes qu’il a dit vouloir « se jeter par la fenêtre » vers 0h30, avant de recevoir une nouvelle dose de morphine. Celle-ci aura, in fine , surtout masqué la cause réelle de ses maux. « Les manquements relevés à l’encontre des docteurs X et Y […] ont eu de lourdes conséquences pour Jérôme Baudouin […] à l’origine d’une perte de chance de survie de 80 % », avait même estimé le rapport du professeur lyonnais Christian Gouillat, expert près la Cour de cassation. Le tribunal a finalement ramené leurs responsabilités à 50 %, réparties à égalité entre les deux praticiens fautifs. « J’attends l’avis de la compagnie d’assurance pour décider de la suite », a expliqué, hier, Me Jean-Claude Ohlmann, avocat de l’assureur du médecin de garde. Me Georges Lacœuilhe, avocat du chirurgien qui a réalisé l’opération adéclaré que « le tableau clinique n’était pas suffisant clair pour réopérer immédiatement. Nous n’avons pas encore décidé si nous faisions appel ou non ». Ginette, la maman de Jérôme, poursuivra son combat : « E t nous irons aussi loin que nécessaire pour sa mémoire ».

http://www.republicain-lorrain.fr/actualite/2013/06/25/erreur-medicale-deux-chirurgiens-coresponsables

Quimper. Accident : quatre véhicules impliqués, une trentenaire tuée

Un grave accident de la route s'est produit ce lundi vers 18 h sur le boulevard du Morbihan à Quimper. Quatre véhicules sont en cause. Une femme d'une trentaine d'années est décédée. Une autre personne a été légèrement blessée et transportée à l'hôpital de Quimper. La route a été coupée pendant l'intervention des secours.

http://www.letelegramme.fr/local/finistere-sud/quimper/ville/quimper-accident-quatre-vehicules-impliques-une-trentenaire-tuee-24-06-2013-2148421.php

Haute-Saône : tuée sur le coup

C’est le quatrième accident mortel de l’année en Haute-Saône. Le quatrième de trop. Dans la nuit de dimanche à lundi, l’accrochage qui s’est noué à 1 h 15 sur la RN 57 au niveau de Fougerolles a été fatal à Monique Bronique, une Luxovienne âgée de 59 ans.
Selon les premiers éléments de l’enquête de gendarmerie, la victime aurait, pour une raison qui reste à déterminer, perdu elle-même le contrôle de sa remorque, venue taper l’arrière d’un camion. Déséquilibrée et devenue otage d’une chaussée détrempée, sa Volvo s’est retrouvée sur la voie de gauche. Le choc latéral avec la BMW, qui déboulait dans le sens inverse, était alors inévitable…
La tôle terriblement enfoncée côté passager laisse imaginer la violence de l’impact. Touchée au niveau de la tempe et aussitôt en arrêt cardiaque, Monique Bronique n’a pu être réanimée par les secours, composés des pompiers de Fougerolles et de Luxeuil et d’une équipe du Smur de Lure.
Petit miracle, les occupants de la BMW ne souffrent eux que de blessures légères. Le couple originaire de Roubaix et leur fillette de deux ans ont vite été rapatriés sur le CHI de Vesoul. Le compagnon de la victime était en panne
Le chauffeur du poids lourd abîmé par la remorque était lui indemne, quoique choqué. Mais rien qui équivalait à l’état du compagnon de la victime, que tout le monde, à Luxeuil, connaît sous le sobriquet de “Jojo l’Andouille”. Lui et Monique tenaient une affaire située au 6, rue Victor-Hugo, et sillonnaient les marchés de la région pour vendre leurs saucissons et autres produits de salaison. Il y a de cela plusieurs années, Monique Bronique a également tenu un bar luxovien nommé Le Casting.
Peu de temps avant la catastrophe routière, le camping-car de “Jojo” était tombé en panne sur cette même RN57, à deux encablures de là. Et c’est en voulant y remédier, sur le trajet du retour en direction de Luxeuil, que Monique Bronique a rencontré son funeste destin. Hagard, son compagnon avait énormément de mal à mesurer, sur le moment, l’ampleur du drame.
En présence du maire de Fougerolles, Claude Petitjean, et avec l’aide précieuse des agents de la Dir-Est, les gendarmes de Saint-Loup-sur-Semouse et ceux de la brigade motorisée de Lure ont sécurisé le site et mis en place des déviations en amont et en aval du sinistre. La circulation n’a été rétablie que peu avant 4 h du matin, une fois que les trois véhicules impliqués avaient été retirés de la macabre scène.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/06/25/haute-saone-tuee-sur-le-coup

lundi 24 juin 2013

Haute-Saône : une Luxovienne tuée sur la route

Elle n’a pas survécu à ses blessures. Dans la nuit de dimanche à lundi, cette dame âgée de 59 ans résidant à Luxeuil n’a pu être sauvée, malgré l’intervention rapide des secours composés des pompiers de Fougerolles et Luxeuil et du Smur de Lure.
Il était approximativement 1 h 30 du matin lorsque selon les premiers éléments de l’enquête de gendarmerie, la victime, qui circulait sur la RN 57 au niveau de Fougerolles et en direction de Luxeuil, a touché l’arrière d’un camion qui lui, roulait en sens inverse.
Ce n’est pas ce premier choc, léger, mais le second, bien plus lourd, qui lui fut fatal. Face à la conductrice haut-saônoise, qui était au volant d’une Volvo équipée d’une remorque, déboulait en effet une BMW… Fort heureusement, les trois occupants de cette dernière – un couple et un enfant – n’ont été transportés vers le CHI de Vesoul que pour des blessures légères. Le chauffeur du camion est lui indemne, quoique choqué…

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2013/06/24/haute-saone-une-luxovienne-tuee-sur-la-route

Un jeune retrouvé mort électrocuté après avoir tenté de voler du cuivre

Un jeune, âgé d'une vingtaine d'années, est mort électrocuté samedi en tentant de dérober du cuivre dans un transformateur EDF de la métropole lilloise.

Alertée samedi pour des problèmes d'alimentation électrique dans le quartier de Lille-Sud, une équipe d'ERDF s'y est rendue pour une opération de contrôle. Les agents de l'opérateur ont fini par découvrir un corps sans vie à proximité d'un transformateur, a indiqué une source policière, confirmant une information de la Voix du Nord.
Les employés d'ERDF ont trouvé dans un premier temps une sorte de brouette artisanale, remplie de câbles de cuivre. "Ensuite, ils ont découvert un corps sans vie, une personne qui manifestement avait été électrocutée alors qu'elle s'affairait sur un câble de ce transformateur", a indiqué la source policière.
Parallèlement, la mère du jeune homme, d'origine Rom, s'était présentée à l'hôtel de police de Lille pour signaler la disparition d'un de ses fils qui n'était toujours pas revenu dans leur campement situé à quelques centaines de mètres du lieu du drame, ce qui a permis de faire le rapprochement.
 

Dunes. Un jeune de 23 ans éjecté de son véhicule lors d'un accident de la route

Il était un peu plus de 19h30 hier soir lorsque les pompiers de Dunes et de Valence-d’Agen se sont rendus sur un accident de la route ayant fait un blessé grave. Un jeune homme âgé de 23 ans qui circulait depuis Dunes sur la route menant à Saint-Sixte, peu après le pont de l’autoroute situé route de Caudecoste, venait, pour une raison indéterminée, de perdre le contrôle de son véhicule. Le Citroën Picasso allait heurter de plein fouet un talus avant de faire un ou plusieurs tonneaux. Devant la violence du choc, les pares-brises en partie explosés, le conducteur fut éjecté au sol. C’est sur le bitume que les pompiers dunois découvraient le corps de Valentin Grimaud, un jeune homme actuellement domicilié rue de la République à Dunes.

Éjecté de son véhicule

Très vite les pompiers locaux lui prodiguaient les premiers secours avant d’être rejoints sur place par un véhicule de secours routier du centre de secours de Valence-d’Agen, une ambulance du SAMU 82 et les gendarmes valenciens. Le jeune conducteur, toujours inconscient, mais dont le pouls apparaissait normal pour les secouristes, était médicalisé et transporté par l’ambulance des pompiers jusqu’au stade de rugby de Dunes afin qu’il soit héliporté vers un centre hospitalier toulousain. Il était 21h45 lorsque l’hélicoptère du SAMU 31 se posait. La victime était alors brancardée jusqu’àl’appareil qui pouvait ensuite prendre au plus vite son envol en direction de la capitale régionale.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/24/1656963-dunes-un-jeune-de-23-ans-heliporte-sur-toulouse.html

Sérignan : l’octogénaire tue sa femme et se suicide dans le jardin

Un octogénaire a tiré sur sa femme, à peu près du même âge, la tuant sur le coup. Il s’est ensuite donné la mort, dans son jardin, en retournant l’arme contre lui.
 Cette tragédie familiale s’est déroulée hier matin, vers 7 h, dans le quartier tranquille du chemin de l’Oranger, à Sérignan (Hérault).
"Nous ne connaissons pas l’origine de ce drame, a confirmé Patrick Mathé, le procureur de la République de Béziers, qui s’est rendu, hier, sur les lieux. Le grand-père a fait feu, avec son fusil de chasse, sur sa femme qui était encore dans son lit. Il lui a tiré en pleine poitrine. La petite-fille a entendu le tir. Elle est descendue de sa chambre. Son grand-père aurait tourné l’arme vers elle, mais elle s’est enfuie chez son voisin. Quelques instants plus tard, une seconde détonation a été entendue."


En l’état actuel de l’enquête, personne ne sait dire si, oui ou non, le grand-père avait l’intention de tirer sur sa petite-fille.
La petite-fille totalement traumatisée a été hospitalisée
Quand les gendarmes sont arrivés, le corps du grand-père, retraité de la SNCF, gisait dans le jardin près de l’entrée de la maison, sous une tonnelle. Il avait retourné l’arme contre lui en se tirant dans la poitrine.
"L’action judiciaire s’est terminée, a ajouté le procureur Mathé. La gendarmerie est saisie de l’enquête et la police technique et scientifique va vérifier le scénario de ce drame. La petite-fille âgée de 15 ans est totalement traumatisée par cette scène. Elle vivait chez ses grands-parents depuis le suicide de sa propre mère. Elle vient d’être hospitalisée dans une unité spécialisée pour les enfants, afin d’être prise en charge psychologiquement par des professionnels de santé. Nous ne savons pas grand-chose de ce couple, si ce n’est que de temps en temps, il pétait les plombs. Il était dépressif."
Dans le quartier, c'est l'incompréhension
Pour les voisins, c’est l’incompréhension. Les retraités ne faisaient pas parler d’eux. "C’étaient des gens ordinaires qui s’occupaient d’eux et de leur petite-fille comme de leur propre fille. Même si des fois il y avait des éclats de voix, il n’y avait jamais rien de bien inquiétant." Le quartier du chemin de l’Oranger est un ancien lieu de cabanisation, loin du bourg de Sérignan et accessible par Vendres ou encore Valras-Plage.
Ce secteur est constitué de toutes petites maisons, souvent habitées par des touristes à la belle saison. Il est situé à quelques centaines de mètres de la plage. Pour ce qui est de la maison du drame, elle était occupée à l’année par ce couple.

http://www.midilibre.fr/2013/06/23/l-octogenaire-tue-sa-femme-et-se-suicide-dans-le-jardin,721499.php

dimanche 23 juin 2013

Drame de Tucquegnieux : l’expert écarte la folie


Le rapport de l’expert psychiatre, qui estime le principal suspect apte à être jugé, est tombé voilà quelques jours, alors que le souvenir d’Emmanuelle L. et de sa fille est plus que jamais présent dans les esprits de leurs proches. Le 5 juin 2011, cette enseignante sans histoires de 33 ans et sa fillette de 15 mois étaient retrouvées poignardées de plusieurs coups de couteau, dans leur maison de Tucquegnieux, près de Briey. Le chef de famille et meurtrier présumé (*) avait, lui, été découvert nu et inanimé dans une mare de sang qui n’était pas le sien. Seule rescapée de la tuerie : une petite fille de 6 ans, issue d’une première union. Au terme de sa garde à vue, l’homme avait été mis en examen pour homicides volontaires par conjoint et par ascendan t , agressions sexuelles par ascendant , viol sur mineur de moins de 15 ans par ascendant et atteinte à l’intégrité d’un cadavre.
Dans ses auditions tout comme lors de la reconstitution, voilà un an au 12, rue de Belgrade, le mis en cause a expliqué qu’une « voix » lui avait dit de commettre l’irréparable. Le soir du samedi 4 juin 2011, il se serait grillé une cigarette dans le jardin avant de rentrer et de frapper sa femme avec une lampe torche. Les crimes se seraient alors enchaînés. L’agent de sécurité, dépressif et au chômage à l’époque, a-t-il été pris d’un coup de folie ? Non, répond l’expert psychiatre. Son rapport conforte le premier examen psychiatrique établi par un autre praticien au début de l’affaire : le Meurthe-et-Mosellan, incarcéré en isolement à la prison de Maxéville, n’aurait pas été frappé de troubles mentaux durant la nuit tragique et avait conscience de ce qu’il faisait.

« Forces surnaturelles »

L’expert n’explique pas l’élément déclencheur, mais évoque la possibilité d’un stress important, lié à des problèmes personnels et à un sentiment de frustration. Le tout combiné à une consommation excessive d’alcool.
« Une frustration ne conduit pas à de tels actes. De même, mon client a ingurgité massivement de l’alcool après les crimes », rétorque Me Thomas Kremser pour la défense. A ses yeux, « la question de l’altération, voire de l’abolition du discernement, est plus que jamais d’actualité. Quelle personne normale aurait pu faire ça ? Il a toujours déclaré qu’il a entendu une voix, qu’il a agi sous l’influence d’une pulsion à laquelle il aurait succombé par l’effet de forces surnaturelles ».
« Il a tenté de se faire passer pour fou mais il a raté son coup ! Au vu du rapport d’expertise psychiatrique, il ne bénéficie d’aucune circonstance atténuante , riposte Me François Robinet, l’un des conseils des parties civiles. « Elles souhaitent que le procès se tienne le plus tôt possible pour qu’il réponde de cette orgie de violences. » Mais pour l’heure, aucune date n’est avancée. D’autant plus que l’instruction pourrait se prolonger si une contre-expertise est sollicitée.
G. I. * L’identité n’est pas publiée pour préserver l’anonymat de la victime survivante.

http://www.republicain-lorrain.fr/actualite/2013/06/23/drame-de-tucquegnieux-l-expert-ecarte-la-folie

Mort d'un participant à la course Ironman à Nice

C'est une course de l'extrême : d'où son nom Ironman. La neuvième édition qui se déroulait à Nice dimanche a été endeuillée par l'accident d'un Britannique. Agé de 30 ans, il est mort à la suite d'un accident en vélo.
Le sportif aurait raté un virage et foncé dans un mur sur une route départementale de la commune de Tourrettes-sur-Loup dans les Alpes-Maritimes. Grièvement blessé et héliporté, il a succombé à ses blessures, ont précisé les pompiers.
La 9e édition de l'Ironman de Nice a commencé dimanche matin par un parcours de natation en mer de 3,8 km, suivi d'une boucle en vélo de 180 km avec un dénivelé de 1.800 mètres débutant sur la Promenade des anglais à Nice et passant par 17 communes de l'arrière-pays. La dernière étape est une course à pied de 42,195 km, la distance d'un marathon.
 

Val d'Oise : deux des cinq enfants tombés dans un étang sont morts

Deux des cinq enfants tombés samedi dans un étang de Saint-Ouen-l'Aumône sont décédés dimanche matin. Le pronostic vital de deux autres est toujours engagé tandis qu'une fillette est hors de danger.

Deux des cinq enfants âgés de 3 à 8 ans et tombés samedi dans un étang de Saint-Ouen-l'Aumône (Val d'Oise), près de l'hôtel social où ils résidaient, sont décédés, a-t-on appris dimanche matin de source proche du dossier. Le pronostic vital de deux autres bambins est toujours engagé, selon la même source. Une cinquième fillette est hors de danger.

Les enfants, issus de trois fratries différentes, étaient élevés par leurs mères célibataires, qui ont été prises en charge par une cellule psychologique.

L'enquête a été confiée à la sûreté départementale du Val-d'Oise qui devra déterminer les circonstances du drame. Le procureur de la République adjoint de Pontoise, Eric Maurel, avait précisé samedi sur place qu'il n'y avait "pas de témoin direct de la scène".
 

samedi 22 juin 2013

La Rochelle : un homme décédé lors d'un accident de pêche

Samedi, vers 14h30, un matelot âgé de 45 ans, embarqué à bord du chalutier oléronnais "Le Battant" a été déclaré décédé par le médecin du Samu du centre hospitalier de La Rochelle.
Le médecin et d'autres membres d'une équipe médicale avaient été déposés à bord du chalutier par l'hélicoptère de la Marine nationale basé à La Rochelle. Le chalutier se trouvait alors en opération de pêche à environ 150 kilomètres à l'ouest de La Rochelle.

C'est vers midi, que le patron du chalutier avait averti le Cross Etel qu'un de ses hommes d'équipage avait été blessé au thorax lors d'une manoeuvre de pêche.
C'est à la suite d'une conférence avec le centre de consultation médicale de Toulouse que l'envoi d'une équipe médicale avait été décidé, afin de procéder à l'évacuation du marin. 
La gendarmerie maritime est en charge de l'enquête. Le parquet des Sables d'Olonne est saisi de ce dossier compte tenu de la localisation de l'accident.

http://www.sudouest.fr/2013/06/22/la-rochelle-un-homme-decede-lors-d-une-manoeuvre-de-peche-1093969-1391.php

24 Heures du Mans : un pilote décède après une sortie de route

Le pilote danois Allan Simonsen, accidenté dès le 3e tour des 24 Heures du Mans, cet après-midi, au volant d'une Aston Martin, est décédé à la suite de cet
accident
, ont annoncé les quotidiens Le Maine Libre et Ouest-France, en citant des sources policières.

Simonsen, 34 ans, a tapé très fort contre les rails de sécurité au virage du Tertre Rouge, une portion très rapide, alors que débutait le 3e tour de course. Il avait d'abord été indiqué par Radio Le Mans, la radio officielle de la course, qu'il était indemne

Voir la vidéo sur ce lien... http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/06/22/97001-20130622FILWWW00370-24-heures-du-mans-deces-du-pilote-danois-allan-simonsen.php....

vendredi 21 juin 2013

Golfech. Un piéton écrasé par un TGV

Un homme est décédé ce vendredi percuté par un TGV reliant Bordeaux à Toulouse, à hauteur de Golfech en Tarn-et-Garonne. Le trafic ferroviaire a été arrêté plusieurs heures.
L'accident s'est produit à 6h59 à un passage à niveau près de la gare de Golfech. Le train roulait à 157 km/h quand il a percuté le piéton. Le conducteur n'a rien vu, bien que la voie soit dégagée. Le TGV s'est arrêté quelque 700 mètres après l'impact. Les passagers ont dû attendre trois heures avant que le train ne soit autorisé à gagner Toulouse. Le trafic ferroviaire a été interrompu durant cette période. Il a repris peu avant 10 heures, après que le corps de la victime, dont l'identité n'est pas connue, eût été transporté à l'institut médico-légal de Toulouse

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/21/1655385-golfech-un-pieton-ecrase-par-un-tgv.html

Deux noyades et un accident mortel en quelques heures

Le premier drame s'est déroulé dans un torrent situé à proximité de Ghisoni  (Haute-Corse) où un groupe de touristes avait décidé d'aller randonner. Mais la sortie s'est achevée en cauchemar. L'infortuné touriste âgé d'une trentaine d'années que ses partenaires de randonnée n'avaient pas vu revenir a été retrouvé, noyé, en fin de soirée à proximité de Ghisoni.
Deuxième drame en bord de mer cette fois.
C'est encore un vacancier de 81 ans qui en a été la victime.
Pris d'un soudain malaise alors qu'il se baignait vers 19 heures à Tiucccia, il ne put ramené à la vie par les témoins qui avaient assisté à la scène puis par les services de secours qui l'ont pris en charge.
Le troisième drame de la journée est intervenu un peu plus tard sur le territoire de la communde Coti-Chiavari où une automobiliste de la région, âgée d'une soixantaine d'années, a été victime d'une sortie de route mortelle.


http://www.corsenetinfos.fr/

Accident mortel : l'automobiliste percute un cycliste et s'enfuit

Deux cyclistes ont été fauchés par une voiture, dans la nuit du jeudi 20 au vendredi 21 juin 2013 aux alentours de minuit, sur la D6015 au niveau de la commune de Saint-Aubin-Routot en direction de Saint-Romain de Colbosc. Dépêchés sur place, les secouristes, pompiers et gendarmes, ont porté secours aux victimes et sécurisé les lieux. Ils n’ont pu hélas que constater le décès de l’un des deux cyclistes.
Les deux cyclistes sont deux hommes, âgés entre 20 et 30 ans. Une enquête a été ouverte, mais d’ores et déjà la gendarmerie indique qu’elle dispose de pistes sérieuses pour retrouver le conducteur, qui a pris la fuite.

Voir et être vu

Elle profite également de l’occasion pour rappeler que les deux roues circulant hors d’une agglomération, sont soumis à certaines obligations, l’une d’entre elle étant de porter un gilet réfléchissant, lorsqu’il fait nuit ou que la visibilité est réduite.

http://www.76actu.fr/breves/41589-accident-mortel-un-automobiliste-percute-un-cycliste-et-senfuit

Un couple perd son bébé et porte plainte contre l’hôpital

Samedi dernier, Pascal Baum était chez son frère à Wissembourg, d’où il est originaire, pour fêter le lendemain les 90 ans de leur grand-mère. Vers 13 h, son épouse Savitree, enceinte de six mois et demi et dont la grossesse se déroulait jusqu’alors « sans aucun souci », se plaint de douleurs au niveau du bas-ventre et constate des pertes de liquide. Le couple se rend alors aux urgences du centre hospitalier de Wissembourg, où on l’oriente vers la maternité. Une sage-femme arrive rapidement, et, « sur le pas de la porte du service », rassure les futurs parents en leur indiquant, raconte Pascal Baum, qu’« il s’agit sans doute d’un phénomène normal à ce stade de la grossesse en raison de la croissance du bébé : elle a dit à ma femme de prendre du Spasfon [un antispasmodique] et de se reposer ». « J’ai le sentiment d’un gros ratage » Un quart d’heure plus tard, Savitree et Pascal Baum retournent chez le frère de ce dernier. Mais les douleurs ne cessent pas, et se font plus vives vers 23 h 45. Le couple retourne aux urgences, distantes de trois kilomètres. Sur le chemin, Savitree Baum perd les eaux et « constate que le cordon ombilical est sorti et le bébé engagé ». Prise en charge immédiatement à son arrivée à 0 h 15, elle donne naissance une demi-heure plus tard à un petit garçon de 2 kg, Stéphane. « Les médecins m’ont dit que notre bébé devait être conduit au CHU de Strasbourg – Hautepierre, poursuit Pascal Baum. L’utilisation des forceps pendant l’accouchement avait provoqué des hématomes. Il ne respirait pas et avait dû être ranimé. » Transféré vers 4 h 30 à Hautepierre, le petit Stéphane a été admis en réanimation postnatale avec un pronostic vital engagé. Il y est décédé mercredi en fin de matinée. Une autopsie est programmée dans les prochains jours. « L’ironie du sort, se désole Pascal Baum, c’est qu’on habite à Wolfisheim, à deux pas du CHU de Hautepierre… En allant à l’hôpital de Wissembourg, j’étais confiant : j’y suis né, toute ma famille y est née… J’ai le sentiment d’un gros ratage : si à notre premier passage, ma femme avait au moins été examinée, on aurait peut-être pu éviter ça. » Mardi, Pascal Baum a donc déposé au commissariat de Strasbourg une plainte que le parquet confirme avoir enregistrée. Hier après-midi, la direction du centre hospitalier de Wissembourg n’était pas au courant qu’une plainte avait été déposée, et n’a donc pas souhaité s’exprimer. « Ce n’est pas pour autant que nous méconnaissons la situation, indique toutefois la directrice Céline Dugast. Nous assurons la famille de toute notre sollicitude, et l’enquête doit désormais suivre son cours. »
http://www.dna.fr/edition-de-wissembourg/2013/06/21/un-couple-perd-son-bebe-et-porte-plainte-contre-l-hopital

Lormont (33) : le corps d'un sexagénaire retrouvé dans la Garonne

Vers 6h30 ce matin, le corps d'un homme d'une soixantaine d'années a été retrouvé dans la Garonne et extirpé des flots tumultueux du fleuve et ramené sur le ponton du BatCub, la navette fluviale, à Lormont.
Policiers de la brigade nautique, de la CRS autoroutière Aquitaine et sapeurs pompiers recherchaient activement la victime depuis plus d une heure.  Un véhicule abandonné et une lettre laissée dans l'habitacle laissaient en effet penser que la personne avait pu sauter du Pont d'Aquitaine, ce qui vraisemblablement ce qui s'est produit

http://www.sudouest.fr/2013/06/21/lormont-33-un-sexagenaire-retrouve-dans-la-garonne-1092662-2780.php

Saint-Priest : le corps d’un nouveau-né découvert dans un champ par des policiers

Une patrouille de police, qui se trouvait là pour une autre mission, a fait une découverte particulièrement macabre, hier après-midi à Saint-Priest.
Les policiers avaient été appelés pour un déclenchement d’alarme, dans une maison du chemin de la Fouillouse. À l’écart du centre de Saint-Priest, entre la rocade Est et l’autoroute A43, la Fouillouse est une zone à vocation agricole, où des maisons individuelles jouxtent les champs. Arrivant peu après 15 heures sur les lieux du déclenchement de l’alarme, les policiers ont entrepris de faire le tour de la propriété, afin de vérifier que des intrus ne s’y trouvaient pas.
C’est alors qu’ils ont vu, dans le champ attenant, déposé à plusieurs mètres de la route, mais bien visible, un nouveau-né qui gisait, face contre terre. Il s’agissait d’une petite fille, sommairement emmailloté dans des chiffons. Les policiers ont aussitôt alerté les pompiers. Il n’y avait malheureusement plus rien à faire pour le bébé qui, selon les premières constatations, était mort depuis plusieurs heures. Dans quelles circonstances ?
C’est à la BDPF (Brigade de protection de la famille), chargée de l’enquête qu’il appartient de faire la lumière sur cette triste affaire. L’autopsie, qui doit être pratiquée aujourd’hui, permettra d’établir si la petite fille est née viable ou non et, dans l’affirmative, quelles sont les causes de sa mort. 
Appel à témoins
Les enquêteurs de la BDPF de Lyon demandent aux personnes qui auraient soit remarqué la présence inhabituelle d’une femme, mercredi après-midi, sur le chemin de la Fouillouse ou dans un champ, soit constaté qu’une femme enceinte récemment ne l’est plus, de prendre contact avec eux. Ces personnes sont invitées à contacter rapidement le 04 72 82 16 60.
 

jeudi 20 juin 2013

Gruissan. Un retraité se noie sur la plage

Un homme de 74 ans s'est noyé mercredi en fin d'après-midi sur la plage des Ayguades à Gruissan.
La mer Méditerranée était particulièrement agitée mercredi. Le drapeau orange, indiquant une baignade dangereuse, était hissé. Néanmoins, le septuagénaire a pris un bain et, malgré l'intervention des secours, il est décédé d'un arrêt cardiaque.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/20/1654458-gruissan-un-septuagenaire-se-noie-sur-la-plage.html

Gard : homicides d’Aramon, la piste du drame sentimental

Après la découverte, mardi soir, d’une mère et son fils tués par balle dans une villa, le mobile crapuleux semble peu probable.
Moins de 24 heures après la découverte d’une mère et l’un de ses trois fils, mortellement agressés dans une villa isolée, route de Théziers, à Aramon, mardi soir vers 21 h 40, le procureur adjoint du parquet de Nîmes, Éric Emmanuelidis, semblait écarter clairement la thèse d’un "homicide de nature crapuleuse" : "Il est clair qu’on n’est pas venu chercher quelque chose dans la maison. Le drame sentimental est une piste à exploiter", confiait-il mercredi en fin de journée.
Vengeance d’un compagnon éconduit ?
La propriétaire des lieux, une femme âgée de 59 ans, veuve depuis quelques années, vivait seule dans cette vaste villa où elle cultivait ses terres. Elle venait visiblement de se séparer de son compagnon, un entrepreneur dans le bâtiment. L’homme était, mercredi, activement recherché par les gendarmes, de même que l’arme du crime, un matériel de gros calibre d’après les premiers éléments de l’enquête, avec lequel le tireur a atteint de plusieurs balles les deux victimes retrouvées baignant dans leur sang par un autre fils de la propriétaire.
Le compagnon éconduit aurait-il voulu régler ses comptes en faisant parler la poudre ? Certains témoignages dans le village confortent cette version. Selon laquelle, mardi dans la soirée, la propriétaire des lieux, aurait aperçu un individu, justement son ex-compagnon, en train de pénétrer dans l’enceinte de sa demeure, en escaladant l’un des murs. Loin d’être rassurée, elle aurait alors passé un coup de fil à son fils qui vit à quelques pas de là dans le même quartier.
Un fils de la victime a découvert les corps
Avant d’aller embaucher à Sanofi où il travaille de nuit, le jeune homme aurait décidé de passer chez sa mère, peut-être avec l’intention de s’interposer au cas où les choses dégénèrent. Mais il n’en aurait pas eu le temps. Lui et sa mère auraient été pris pour cible par cet intrus. C’est alors qu’un autre des fils de la victime, résidant dans un village voisin, et très inquiet de ne pas avoir de nouvelles de son frère, aurait lui aussi foncé vers la maison de sa mère. Trop tard. C’est lui qui a découvert son frère et sa mère, à l’agonie. Mais les pompiers et le Samu n’ont rien pu faire pour les sauver.
L’arme du crime introuvable
Mercredi, une trentaine de gendarmes des compagnies de Bagnols et Nîmes et de la section de recherche du Gard en charge de l’enquête, ont ratissé la propriété et les environs pour retracer "le cheminement" du tueur en fuite, selon le terme du lieutenant-colonel Pierre Baillargeat, commandant en second de la compagnie de Nîmes. À pied, détecteurs de métaux au poing, en hélicoptère mais aussi avec des chiens dressés à la recherche d’arme et de corps. En fin de journée, ni l’auteur présumé des faits, ni l’arme n’avaient refait surface. L’autopsie des corps prévue ce jeudi, permettra peut-être de répondre à certaines questions.
"Ce genre de drame est très difficile à vivre "
Michel Pronesti

En ce jour de marché mercredi à Aramon, le double homicide était sur toutes lèvres. "C’était vraiment une famille bien, des gens vraiment gentils", explique cet habitant. Plus loin, des jeunes assis au café ont du mal à lever la tête. Eux qui connaissaient si bien les frères du jeune homme assassiné. Le maire, Michel Pronesti, n’en a pas fermé l’œil. "Ce genre de drame est très difficile à vivre en tant que maire. On se sent impuissant. Bien sûr, j’apporte tout mon soutien moral à la famille que je connaissais bien."

http://www.midilibre.fr/2013/06/19/homicides-d-aramon-la-piste-du-drame-sentimental,719703.php

mercredi 19 juin 2013

Crues dans les Hautes-Pyrénées : une deuxième victime emportée par les flots

Un homme âgé de 75 ans est mort mercredi après-midi après avoir été emporté dans les flots d'une rivière en crue à Luz-Saint-Sauveur, dans les Hautes-Pyrénées.

Un homme de 75 ans, disparu dans l'après-midi, est mort mercredi emporté par un torrent en crue à Luz-Saint-Sauveur, dans les Hautes-Pyrénées, a annoncé le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, sur BFM TV. "L'homme a été retrouvé mort", a déclaré par téléphone à l'AFP le ministre, interrogé sur le sort de ce septuagénaire, deuxième victime des crues exceptionnelles qui touchent les Hautes-Pyrénées depuis plus de 24 heures.
Le ministre venait de se rendre en hélicoptère à Luz-Saint-Sauveur, où il a pu pendant une heure constater la dangerosité de la crue et apporter son soutien aux élus et aux secours à l'oeuvre sur place. Selon le maire de Luz-Saint-Sauveur, Alain Lescoules, interrogé par un correspondant de l'AFP, le septuagénaire a été emporté dans l'après-midi sous les yeux de son fils par les eaux tumultueuses de l'Yse, un ruisseau transformé en torrent.
Les intempéries qui sévissent sur la région depuis mardi ont fait une autre victime, une septuagénaire morte noyée dans la nuit de mardi à mercredi à cause de la crue exceptionnelle du gave de Pau, dans les Hautes-Pyrénées. Alors qu'elle venait d'être évacuée avec son mari de son domicile de Pierrefitte-Nestalas vers la salle des fêtes de la commune, la victime a voulu retourner chez elle pour y chercher des effets personnels. Leur voiture a été soulevée par une vague d'eau et la femme a été balayée par les flots lorsqu'elle a tenté d'en sortir. Son mari a pu être récupéré par les pompiers, en état d'hypothermie, selon la préfecture.
Plus qu'un départment en alerte rouge
Il ne reste plus qu'un département en alerte rouge aux crues mercredi : les Pyrénées-Atlantiques. Celui des Hautes-Pyrénées a été rétrogradé en vigilance orange, selon un communiqué de Météo-France.  Les Landes et la Haute-Garonne restent également en alerte orange pour une "crue importante pour les cours d'eau des Pyrénées centrales et occidentales", précise le communiqué.
La crue du gave de Pau, dont les flots torrentiels ont provoqué la mort par noyade d'une septuagénaire, l'évacuation de près de 2.000 personnes ainsi que la suspension des pèlerinages de Lourdes, est qualifiée de "majeure". Sur le front des orages, 39 départements d'un grand quart nord-est étaient toujours placés en alerte orange. Le front pluvio-orageux se déplaçait lentement vers le nord, en commençant par la Bourgogne, Franche-Comté, Pays-de-la-Loire, Ile-de-France. En soirée et dans la nuit, les orages doivent s'étendre au nord et à l'est de la Seine.
 

Vosne-Romanée : un vigneron meurt coincé sous son tracteur

L’accident a été découvert ce mardi, en fin d’après-midi. Mais pour les secouristes, c’est beaucoup plus tôt dans la journée, peut-être même le matin, que le drame a pu se produire.
Au volant de son tracteur, François Lamarche est occupé à tondre sa pelouse de sa résidence secondaire située à Baudrières, route de Donant, en bordure de l’étang de Donant dont il est le propriétaire.
Selon toute vraisemblance, en bout de terrain, il entreprend de tourner devant un trou d’eau, une petite mare formée par un bras de l’étang. Mais pour une raison qui était totalement inconnue mardi soir, le tracteur a ripé, puis basculé sur le côté, s’enfonçant dans la mare. Le pauvre conducteur s’est retrouvé coincé sous son engin et a succombé à une noyade.
Vers 17 h 45, un riverain remarque l’engin agricole renversé puis le corps de la victime et donne l’alerte. Dans un premier temps, les pompiers d’Ouroux-sur-Saône puis de Louhans sont déclenchés pour se rendre sur les lieux. Mais rapidement, l’endroit de l’accident s’avère inaccessible pour les véhicules routiers. Les pompiers déclenchent donc deux véhicules tout-terrain de Louhans et Tournus pour se transporter sur le lieu même. Les secouristes sont rejoints par une équipe du Samu de Chalon et des plongeurs de Chalon et Louhans. Un gros dispositif commandé par l’adjudant-chef Eric Rosain, chef de groupe à Louhans. Les médecins du Samu n’ont hélas pu que constater le décès de la victime.

« Le tracteur aurait glissé »

« C’est vraiment un accident bête commentait consterné le capitaine Borowski de la compagnie de gendarmerie de Chalon-sur-Saône. Selon les traces, le tracteur aurait glissé. On pense que cet accident s’est très probablement déroulé beaucoup plus tôt dans la journée mais comme le lieu est assez isolé, personne n’a pu le remarquer plus tôt. »
Selon le maire de la commune, Guy Lombard, le viticulteur possédait ce terrain depuis au moins 20 ans. « Je le connaissais très bien. On se voyait régulièrement. » C’est la première adjointe de la commune, Maryse Petit, accompagnée d’un conseiller municipal, Michel Badaud qui s’est rendue sur place.

http://www.bienpublic.com/cote-d-or/2013/06/19/coince-sous-son-tracteur

Vendin-le-Vieil: l’enfant de 3 ans percuté lundi à vélo est décédé, le conducteur était alcoolisé

L’accident qui a suscité une vive émotion lundi après-midi, rue du 8-Mai-1945 à Vendin-le-Vieil, a été fatal pour l’enfant de 3 ans qui se trouvait à l’arrière du vélo percuté par une voiture.

Transporté lundi soir au CHR de Lille dans un état très grave, l’enfant, qui allait avoir trois ans dans quelques jours, est décédé ce jour à l’hôpital des suites de ses blessures.
Sa maman, âgée de 23 ans, souffre pour sa part de multiples lésions et d’une fracture de la jambe.
Le conducteur de la
BMW
qui a percuté le vélo alors qu’il le dépassait est toujours, ce mardi, en garde à vue au commissariat de Lens. L’éthylotest s’est révélé positif. L’homme affichait un taux de 0,99 mg d’alcool par litre d’air expiré, soit environ 2 grammes d’alcool au moment de son interpellation.

Un examen du corps de l’enfant sera pratiqué mercredi. On en saura alors plus sur les poursuites judiciaires à l’encontre de l’auteur présumé de cet accident mortel.

http://www.lavoixdunord.fr/region/vendin-le-vieil-l-enfant-de-3-ans-percute-lundi-a-ia35b0n1341480

Hérault : Il meurt mordu par sa vipère en plein spectacle

Dieter Zorn s’est effondré lors d’un spectacle à Faugères, victime des morsures d'une vipère Aspic
 

Dieter Zorn, était un herpétologue affranchi. Passionné de reptiles, il aidait le public à surmonter la peur des serpents.
Mardi, vers 19 h, en plein spectacle à Faugères, au nord de Béziers, et alors qu’il manipulait une vipère aspic, il a été mordu. Il est décédé quelques minutes plus tard d’un arrêt du cœur. Dieter Zorn faisait la tournée des villages des hauts cantons de l’Hérault. À 53 ans, il vouait son temps aux serpents et aux reptiles en général, qu’il présentait comme des animaux inoffensifs. Il n’est pas sûr que mardi soir il soit parvenu à ses fins. C’est presque en direct qu’une salle pleine de curieux a assisté à sa mort.

Mordu plusieurs fois
Alors qu’il manipulait, comme il le faisait tous les soirs, une vipère aspic, cette dernière s’est retournée contre lui. Dieter a été mordu à plusieurs reprises par l’animal qui avait toujours ses crochets à venin. L’homme a alors eu le temps de poser l’animal en sécurité dans son vivarium pour qu’il ne blesse personne. Puis les pompiers sont arrivés sur place. Dans un premier temps, tout allait bien pour l’herpétologue. Mais devant le nombre de morsures de ce serpent qui reste un serpent dangereux quoi qu’on en dise, le Samu est intervenu pour placer la victime sous héparine. Un produit qui liquéfie le sang et empêche la constitution de caillots. C’est là que Dieter a fait un premier arrêt cardiaque, puis un autre. Les médecins sur place n’ont rien pu faire pour le ramener à la vie malgré un long massage.


http://www.midilibre.fr/2013/06/18/herault-il-meurt-mordu-par-sa-vipere-en-plein-spectacle,718957.php

mardi 18 juin 2013

Vénissieux : enceinte, elle chute du 6e étage et perd son enfant

Ce mardi vers dix heures, une femme de 26 ans est tombée du 6e étage d’un immeuble à Vénissieux. Enceinte de cinq mois, elle a été admise à l’hôpital dans un état critique. Si son état a favorablement évolué dans l'après-midi malgré de graves blessures, elle a cependant perdu son enfant.
Au moment des faits, le compagnon de la jeune femme ainsi que son ex-ami se trouvaient dans l’appartement. Ces deux témoins ont expliqué qu’une dispute avait éclaté un peu plus tôt et que, sans raison apparente, la jeune femme s’était soudain levée pour se diriger vers un balcon d’où elle s’est précipitée dans le vide. À la mi-journée, les deux hommes ont été placés en garde à vue à la brigade criminelle de la Sûreté, afin de faire toute la lumière sur l’affaire.
Des investigations et des analyses sont en cours pour déterminer le déroulement précis des faits.


http://www.leprogres.fr/rhone/2013/06/18/venissieux-enceinte-elle-chute-du-6e-etage-et-perd-son-enfant
 

La Tremblade (17) : un Charentais emporté par une baïne en secourant la fillette de sa compagne

On en sait un peu plus ce mardi sur l'homme de 33 ans qui a été emporté par une baïne dimanche après-midi à la Pointe espagnole, au lieu-dit de Ronce-les-Bains, sur la commune de La Tremblade.
Il s'agit d'Alexandre Faria, un Charentais demeurant dans un petit village à l'ouest d'Angoulême Asnières-sur-Nouère.

Et c'est en voulant secourir la fillette âgée de 9 ans de sa compagne qui se trouvait en difficulté dans les très forts courants de l'océan que le jeune homme a été emporté par une baïne. Son corps n'a toujours pas été retrouvé.
La fillette a pu regagner la plage par ses propres moyens

http://www.sudouest.fr/2013/06/18/le-disparu-de-ronce-les-bains-est-un-charentais-1089031-1392.php

Mazamet. Le choc après la noyade de l'agent immobilier

Il aimait son métier mais aussi ces moments de détente, au bord de la mer, partagés avec les copains. C’est dans ce contexte heureux que Jean-Louis Boyer a été victime d’un terrible coup du destin. La mer l’a emporté, dimanche soir sur une plage privée de Portiragnes, pour ne rendre finalement que son corps sans vie. La triste nouvelle a vite fait le tour de Mazamet hier matin, car Jean-Louis Boyer était une figure connue et attachante de la cité lainière.
Voilà plus de 25 ans qu’il dirigeait, place Notre-Dame, une agence immobilière. Il avait fait partie du réseau Logic-Immo mais à 62 ans, Jean-Louis Boyer continuait à exercer sous son nom propre. Avec son professionnalisme, il avait su se constituer une clientèle fidèle. Quand le travail le laissait enfin tranquille, le Mazamétain aimait prendre la route du littoral héraultais. Ce week-end, il était parti à Portiragnes avec deux amis tarnais. La météo enfin estivale avait suffi à convaincre les trois copains de se baigner, sur une partie privée de la plage Ouest. Il semble que l’accident de baignade soit survenu vers 19 heures, dimanche. Jean-Louis Boyer aurait été pris dans un courant créé par l’embouchure d’une rivière qui se jette à la mer à cet endroit. L’ayant perdu de vue, ses deux amis se sont inquiétés de ne pas le voir sortir de l’eau. Ils donneront l’alerte auprès de la gendarmerie et des pompiers. Une quinzaine de sauveteurs, dont des plongeurs du SDIS 34 seront engagés sur les recherches, avec un hélicoptère de la sécurité civile. Jusqu’au dénouement tragique, à 23 h 30, quand le corps de Jean-Louis Boyer sera repêché. Il était père de 5 enfants.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/18/1652181-mazamet-le-choc-apres-la-noyade-de-l-agent-immobilier.html

lundi 17 juin 2013

Pronostic vital engagé pour un piéton percuté à Saint-Marcellin-en-Forez

Ce lundi matin à 8 heures, une femme de 48 ans, domiciliée à Sury-le-Comtal traversait la RD 498, en plein bourg de Saint-Marcellin lorsqu’elle a été violemment percutée par une voiture qui se dirigeait vers Bonson. Son pronostic vital serait engagé.
La victime souffre d’un grave traumatisme crânien. Elle a été prise en charge par le SAMU et héliportée vers l’hôpital Nord.
L’hélicoptère a atterri sur le boulevard, bloquant la circulation le temps de l’intervention.


http://www.leprogres.fr/loire/2013/06/17/un-pieton-percute-a-saint-marcellin-en-forez

Jura : deux jeunes Doubiens se tuent dans une collision

Drame de la route, hier dans le Jura. Un motard, de Thise, et sa passagère, de Besançon, ont trouvé la mort dans une terrible collision avec une voiture. Ils avaient 25 ans

Un motard et sa passagère sont décédés, hier vers 16 h 30, entre Marigny et Montigny-sur-Ain, dans le Jura, à proximité d’un croisement avec la RD 147. La moto, un modèle Triumph récent, circulait en direction de Montigny quand elle a percuté une Golf blanche qui roulait dans l’autre sens.
« Le motard a vraisemblablement tenté de doubler », indique le capitaine Alexandre Sage, chef d’escadron de la gendarmerie. « À cet endroit, il y a une légère courbe vers la droite. Il n’a pas dû voir le véhicule qui arrivait en face. Sa visibilité était occultée. »
Ce terrible accident a été fatal aux deux jeunes gens, Fabien Jeanney, de Thise, et Sabrine Lanniouni, de Besançon, tous deux âgés de 25 ans. Lui était commercial chez Comafranc, une société de salles de bain et sanitaire en Haute-Saône. Elle était salariée dans un cabinet d’assurance de la capitale comtoise.
Leurs corps ont été projetés à une vingtaine de mètres du point d’impact. Le jeune homme est mort sur le coup. La jeune femme est décédée quelques minutes après l’arrivée des pompiers. Une voiture, conduite par un couple de Suisses allemands, qui suivait la moto, n’a pu éviter les corps des victimes. La Golf, elle, a fini sa course dans le fossé en face du croisement. Ses occupantes, deux femmes originaires de Champagnole et qui se rendaient à Doucier, ont été transportées en état de choc et légèrement blessées vers l’hôpital de Champagnole. Le couple de Suisses allemands a lui aussi été conduit à l’hôpital. La route, ultra-fréquentée en raison de la proximité du lac de Chalain, a été coupée par les gendarmes à hauteur du camping de la Pergola.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/06/17/jura-deux-jeunes-doubiens-se-tuent-dans-une-collision

Payrignac. Un adolescent se tue à moto à quelques mètres de chez lui

Un terrible
accident
de motocross a coûté la vie à un adolescent de 16 ans hier en fin de matinée au lieu-dit «Ginibre» à Payrignac. Valentin Bouy s’est tué alors qu’il faisait du motocross seul dans les bois. L’adolescent aurait percuté un arbre de plein fouet. L’accident s’est produit à quelques mètres de la maison familiale que vraisemblablement, il rejoignait. C’est un voisin qui traversait le bois avec son tracteur qui l’a découvert à terre, inanimé. Il a immédiatement donné l’alerte. Les sapeurs-pompiers de Gourdon, le Samu arrivés sur place, au vu de son état ont fait appel à un hélicoptère pour son transport. Malgré leurs efforts pour le ramener à la vie sur place, le jeune homme est décédé avant son arrivée. On ignore l’heure exacte de l’accident, l’adolescent ayant été découvert par hasard, ainsi que les circonstances, aucun témoin n’étant sur les lieux. La gendarmerie de Gourdon qui se trouvait sur place a ouvert une enquête. Cet horrible drame endeuille une famille très connue et respectée à Payrignac mais aussi à Gourdon où la nouvelle s’est répandue comme une traînée de poudre. Une famille impliquée dans la vie de la commune. Dans le village, la nouvelle a semé l’effroi. Valentin qui avait été scolarisé à Payrignac, suivait des études au lycée des territoires au Montat.

«C’est terrible. Valentin avait tout pour lui, il était passionné par la nature, tout ce qui touchait à l’agriculture. Quand il rentrait du Montat, il s’occupait de son jardin potager. Il y avait toutes sortes de légumes, des tomates, des salades, ça l’intéressait beaucoup. Il discutait sur tous les sujets Tous les jours, il venait faire une bise à mon épouse» confie un voisin de la famille, la voix entrecoupée de sanglots. «Ce garçon est dans le souvenir de tout le monde. C’était quelqu’un d’ouvert. Il était posé, ce n’était pas un casse-cou» ajoute-t-il. «Valentin était un gamin hypergentil. Il participait régulièrement aux animations du comité des fêtes avec ses parents. Dans le village tous les jeunes sont effondrés» confiait le maire Lucien Lafage.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/17/1651591-payrignac-adolescent-tue-quelques-metres-chez.html

dimanche 16 juin 2013

Grièvement blessé après une chute de 15 m sur les berges de la Garonne

Un homme de 40 ans a été grièvement blessé samedi après une chute de 15 mètres sur les bords de la Garonne.
Les faits se sont déroulés samedi soir. Pour une raison encore inexpliquée, l'homme a chuté de la rambarde quai de Tounis et a atterri quinze mètres plus bas. Grièvement blessé, il a été transporté à l'hôpital de Rangueil.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/16/1651256-grievement-blesse-apres-chute-15-berges-garonne.html

samedi 15 juin 2013

Saint-Rémy. Une Villefranchoise tuée sur la rocade

Un nouveau drame de la route en Aveyron s’est produit hier après-midi. Il a eu pour cadre la rocade de Villefranche -de-Rouergue (RD 1), au niveau du parc d’activités de Bérals, sur la commune de Saint-Rémy.
Il est 15 h 12, quand l’appel tombe au centre de secours de Villefranche. Pour un
accident
grave. A leur arrivée sur les lieux, la dizaine de pompiers, placée sous les ordres du commandant Stéphane Coulon, et l’équipe médicale du SMUR ne pourront rien faire. Dans un violent choc contre un ensemble routier frigorifique, la conductrice d’une voiture était déjà décédée. La victime, Georgette Costes, une habitante d’un hameau de la commune de Villefranche, était âgée de 59 ans. Le conducteur du poids lourd, lui est ressorti indemne.

Que s’est-il passé ? L’enquête de gendarmerie, menée par la compagnie de brigades de Capdenac-Villeneuve, sous le commandement du patron de la compagnie de Villefranche, le capitaine Viallefont, présent sur les lieux de l’accident, devra le déterminer. Le chauffeur routier, qui transportait des produits laitiers et qui rentrait sur Brives-Charrensac (Haute-Loire) disait avoir tout tenté pour éviter la voiture. Celle-ci, une Citroën ZX, a été, sous la violence du choc, projetée sur la glissière de sécurité et transformée en épave, sa malheureuse conductrice, seule à bord, étant tuée sur le coup. Le dépistage d’alcoolémie réalisé sur le conducteur de la semi-remorque s’est révélé négatif.
Pendant les opérations de secours, la circulation a été régulée par les services de gendarmerie (outre les éléments de la communauté de brigades, sont intervenus les motards et le PSIG). Elle s’est effectuée sur une seule voie.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/15/1650696-une-villefranchoise-tuee.html

Un piéton de 21 ans très gravement blessé

Un piéton a été percuté par une voiture dans la nuit de vendredi à ce samedi à Toulon, rapporte le site de Var-Matin.
L'accident s'est produit sur le boulevard de la République à proximité du stade Mayol dans le quartier du port, vers 23 heures.
La victime, un Toulonnais âgé de 21 ans, a été transportée vers l'hôpital Sainte-Anne. Très gravement blessé à la tête, son pronostic vital était engagé au moment de sa prise en charge par l'équipe du SMUR et les sapeurs-pompiers de Toulon-Centre. L'automobiliste est indemne.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2404116/un-pieton-de-21-ans-tres-gravement-blesse.html

vendredi 14 juin 2013

EDF coupe l'électricité ...pourquoi ?

Le 4 juin 14H00, madame L... rentre d'une visite post opératoire passée à l'hôpital de Soissons. Elle est accompagnée d'une amie qu'elle a invitée à déjeuner. MAUVAISE SURPRISE !!! Il n'y a plus d'électricité dans son appartement. Elle se renseigne à l'aide de son portable (plus d'électricité... plus de téléphone) auprès de ses voisins si eux aussi ont une coupure d'électricité... La réponse est négative... les voisins ont du courant...Panique ... renseignement pris auprès de son bailleur, elle comprend qu'EDF lui a coupé le courant sans avertissement et sans raisons !!!
Il faut réagir !!!

Elle contacte à 15H00  les services d'EDF pour avoir des explications et que l'électricité lui soit remise sans délais (son congélateur est plein!!!) Une première conseillère lui donne un rendez vous téléphonique à 16h30 pour que le problème se règle. A 16h30 pas d'appel d'EDF !!! à 16h45 elle recontacte les services d'EDF. Elle a une nouvelle correspondante à qui elle doit à nouveau expliquer son problème ... cette dernière la fait patienter avec une musique d'attente et à 17h00 la communication est coupée !!! ça devient scandaleux ! Elle rappelle à nouveau et tombe sur une nouvelle conseillère qui après avoir pris connaissance de son problème lui annonce que les services techniques ont terminé leur travail... donc pas de "jus" ce soir. Il lui est demandé de rappeler le lendemain à 8h00.
Madame L. restera donc une nuit sans électricité. Le problème n'est pas réglé... imaginez les interrogations de la dame ... sa panique ...elle ne sait pas pourquoi on lui a coupé son électricité...elle règle (prélèvement automatique) ses facture d'électricité sans problème depuis 1963!
Le 5 juin, madame L. rappelle l'EDF à 8h00. Elle a une nouvelle correspondante qui lui redemande l'objet de son appel...Cette conseillère à l'air mieux réveillée que ses collègues...et lui dit qu'elle fera tout pour que l'électricité lui soit remise...peut être ce jour sinon le vendredi 7 juin soit deux jours plus tard... elle lui donne un rendez vous téléphonique dans la matinée pour lui donner des nouvelles. Ce rendez vous sera honoré et l'électricité sera à nouveau dans l'appartement de madame L. à 16h30 le 5 juin.
Le problème vient de où ? vient de qui ?
Le problème vient d'EDF qui a coupé le compteur de madame L à la place du compteur de l'appartement voisin de cette dame qui était inoccupé !!!
L'erreur est humaine... mais un peu d'humanité aurait pu régler le problème rapidement....
Aujourd'hui, les gens ne font plus preuve d'humanité... une dame sans électricité ne les choque pas ... des conseillères d'une entreprise ne savent plus faire la part de ce qui normal ou anormal ... ne savent plus réagir pour régler un problème rapidement... la soirée, le petit copain ou le repas qui les attendent est plus important à leurs yeux qu'une personne qui va rester sans électricité une nuit...
Jamais un ancien de l'EDF n'aurait laissé un usager sans "jus" ...sauf cas de force majeure... (orage ou autre catastrophe naturelle ) croyez moi ...(je suis petit fils et fils d'agent EDF.....)

La Rochepot : deux ans avec sursis pour un accident mortel

Le prévenu, 25 ans, aurait perdu le contrôle de son véhicule et percuté la voiture qui arrivait en face, provoquant la mort brutale d’une jeune conductrice.
D’un côté comme de l’autre, il n’y avait ni alcool ni stupéfiant. Mais ce 18 janvier 2009, les conditions de circulation n’étaient pas bonnes ; il faisait nuit, la chaussée était mouillée et des plaques de verglas étaient en formation. Des conditions d’autant plus difficiles que cette départementale, qui relie Autun à Beaune, était en mauvais état. Ce tronçon, à la sortie de La Rochepot, qui par le passé a été le théâtre de nombreux accidents, dont plusieurs mortels, a d’ailleurs été entièrement refait depuis.
Gendarme volontaire, le prévenu connaît parfaitement les procédures de constatations d’accidents de la route. Presque trop, et à la barre, son attitude ne joue pas en sa faveur. Rigide, campé sur ses positions, il ne démord pas de sa version : non, il n’a pas dérapé, non, son véhicule n’a pas franchi la ligne médiane et non encore, il n’a pas jugé que sa vitesse était excessive. Précis, pointilleux, il connaît le dossier sur le bout des doigts et remet consciencieusement en cause les rapports des trois experts mandatés.

Des expertises contradictoires

Mais dans de tels dossiers, il est très difficile de rejeter ses responsabilités sans mettre en balance celle de la personne qui arrivait en face, la jeune conductrice qui a trouvé la mort dans l’accident. Un postulat inaudible pour la famille de la victime.
« Se taire, c’est respecter la douleur de la famille », commence alors Me Henriot à la défense. « Mais ici, on n’est pas là pour réparer la souffrance, on est là pour déterminer si oui ou non, l’accusé est responsable et à quels titres. » L’avocate revient alors sur les expertises contradictoires. Pourtant, c’est sur cette seule base que le tribunal peut s’appuyer pour prendre sa décision. « Les expertises ne sont pas paroles d’évangile », dit encore l’avocate. La route, son tracé dangereux n’aurait-il pas joué une part importante dans l’accident ? « Vous devez juger ce dossier avec objectivité, pas avec passion », implore-t-elle au terme de sa plaidoirie.
L’homme a pourtant été reconnu entièrement responsable et condamné à 2 ans de prison avec sursis. Il devra également s’acquitter de dommages et intérêts, dont une partie a été renvoyée à une prochaine audience d’intérêts civils.
http://www.bienpublic.com/cote-d-or/2013/06/14/la-rochepot-deux-ans-avec-sursis-pour-un-accident-mortel

Rixe meurtrière à Valenciennes : une marche blanche samedi en l’honneur de Samuel

« Repose en paix Gueguette ! » Voisins, amis du quartier, proches de la famille... Alors qu’une autopsie devrait être pratiquée ce jeudi, ils étaient une bonne trentaine mercredi soir, au parc Désandrouin, pour rendre hommage à Samuel Giorgiutti, décédé lundi soir, après avoir été victime d’une rixe alcoolisée, dans la nuit de jeudi à vendredi
Une veillée avait déjà été organisée la veille. « Et on continuera à le faire tous les soirs, jusqu’à ce que Samuel soit inhumé, indique Mimi, un copain de quartier et d’enfance. On sent déjà qu’il n’est plus là. Il nous manque. Et le pire, c’est qu’on connaît aussi les deux auteurs. » Originaires de Petite-Forêt et âgés de 19 et 28 ans, ces derniers ont été mis en examen pour violences ayant entraîné la mort sans l’intention de la donner, tandis qu’une information judiciaire a été ouverte lundi après-midi. Avant que les deux auteurs présumés ne soient déférés à la maison d’arrêt de Valenciennes.
À Saint-Waast et Dutemple, l’émotion est toujours aussi vive depuis l’annonce du décès de Samuel Giorgiutti. Les témoignages ne cessent d’affluer sur la page Facebook créée en son honneur. Âgé de 26 ans, Samuel était « le n°3 » d’une fratrie de six enfants. Plaquiste de formation, il recherchait un emploi. « C’était un bon jeune homme. Toujours le sourire, à sortir des blagues pour faire rire les autres, se souvient un de ses anciens camarades de classe du collège Chasse-Royale. On ne comprend pas pourquoi ça a pu lui arriver, cette tragédie. » « Le pire, c’est que Samuel ne devait pas sortir ce soir-là, explique sa belle-sœur. Il avait prévu de passer à la maison pour m’aider dans les travaux, car il était toujours prêt à rendre service. »
Du côté de la famille, c’est « le lendemain matin qu’on a su. Ma fille a appris par un copain que Samuel était à l’hôpital. Je croyais qu’il était dans sa chambre, car j’avais entendu tousser. Mais c’était son cousin. Samuel était déjà dans un coma profond lorsqu’on l’a découvert à l’hôpital », explique la maman, avant de revenir sur la nuit de jeudi à vendredi. Ce soir-là, Samuel était justement avec son cousin et un ami, lorsque leur route a croisé celle de trois autres jeunes de Petite-Forêt. « Le cousin a pris deux coups de poing. Il s’est enfui, et les trois individus l’ont poursuivi. Il a entendu Samuel dire Démarre, on va se faire tuer ! C’est les dernières paroles qu’il a prononcées , poursuit la mère de famille, très éprouvée. Puis il est rentré à la maison. Il a cru que Samuel en avait déjà fait autant. Mais son copain avait été trop choqué pour réussir à repartir avec la voiture. » C’est alors qu’un des deux auteurs présumés aurait asséné un premier coup de poing. « Samuel est tombé à terre, et le deuxième a continué à taper », reprend la maman.
Amateur de paris sportifs, « Gueguette », comme il était surnommé, était très apprécié dans le quartier de Saint-Waast où on s’organise pour lui rendre hommage. Une marche blanche sera ainsi organisée samedi matin en l’honneur du jeune homme. « J’aurais été déçue de ne pas pouvoir l’organiser. Car notre Guéguette, ça aurait été le premier à en organiser une pour quelqu’un du quartier », conclut Graziella, l‘une de ses amies d’enfance.
Départ de la marche blanche à 10 heures, samedi du parking du Mc Donald, boulevard Henri-Harpignies. Plus d’informations sur la page Facebook «Hommage a Samuel tu resteras a jamais dans notre cœur».

http://www.lavoixdunord.fr/region/rixe-meurtriere-a-valenciennes-une-marche-blanche-ia27b36956n1326590