lundi 30 juin 2014

Gironde : un employé ERDF tué dans la chute de son camion

Dramatique accident de la circulation dimanche en fin d'après midi, sur la départementale 225 au lieu dit la Cure à Bieujac.
 
Le conducteur d'un camion nacelle d'ERDF, qui rentrait d'une mission de dépannage après les orages de samedi soir et les coupures d'électricité, a perdu le contrôle de son engin.
Celui-ci a franchi le parapet d'un petit pont et s'est écrasé, quelques mètres en contrebas, dans un petit ruisseau. Les chauffeurs des trois autres camions d'ERDF qui suivaient la nacelle ont aussitôt donné l'alerte. Malheureusement, il n'y avait plus rien à faire pour le conducteur du camion qui s'est retrouvé prisonnier de sa cabine.
Ce jeune homme, âgé de 23 ans, domicilié à Langoiran, était intervenu, avec ses collègues, samedi dès 20h30 pour rétablir l'électricité dans le bourg de Bieujac. IIs avaient terminé leur mission vers 2h30 dimanche matin et, dès 9 heures, ils sont retourné terminer ce qu'ils n'avaient pas eu le temps de réparer. Vers 17 heures, ils rentraient chez eux quand l'accident est survenu.
Les conducteurs des autres engins ont été pris en charge par une cellule de soutien psychologique.

http://www.sudouest.fr/2014/06/29/gironde-un-employe-erdf-se-tue-dans-un-accident-a-bieujac-1600372-2769.php

Saint-Laurent-de-la-Salanque, un jeune de 17 ans décède dans un accident de la circulation

Dans la nuit de samedi à dimanche, à 1 h 20, les sapeurs-pompiers ont été appelés pour intervenir sur un accident de la route où un véhicule seul était en cause. A leur arrivée chemin Pas de las cadenes, à la sortie de la commune, vers Claira, ils ont porté secours à deux personnes.
Le conducteur aurait perdu le contrôle de son véhicule : il a violemment percuté une buse en béton d'environ un mètre de diamètre, mise en place en vue de prochains travaux sur cet axe. Le choc a été extrêmement violent et la voiture a fini sa course sur le bas-côté dans un champ, sur le toit. Le conducteur âgé de 25 ans, choqué et blessé au niveau de l'oreille, a reçu les premiers soins sur place avant d'être transporté à l'hôpital de Perpignan.
Le passager arrière droit, un jeune Torreillan de 17 ans qui a dû être désincarcéré, n'a pas survécu à ses blessures. Une 3e personne, qui était à l'avant, avait quitté les lieux à l'arrivée des secours. Ce passager s'est rendu par ses propres moyens aux urgences. Les trois passagers étaient attachés au moment de l'accident.
Selon les premiers témoignages et compte tenu de l'état de la voiture, il semblerait que le véhicule roulait à vive allure avant de percuter la buse. Des analyses toxicologiques (alcool et stupéfiants) sont actuellement en cours. La brigade de Saint-Laurent-de-la-Salanque a été chargée de mener une enquête pour déterminer les raisons et circonstances de cet accident. 

http://www.lindependant.fr/2014/06/30/un-jeune-de-17-ans-decede-dans-un-accident-de-la-circulation,1900556.php

Retrouvé mort sous son tracteur dans un champ

Les secours ont été requis hier en fin de matinée vers 11 h 30 sur la commune d'Esparsac où le corps d'un homme âgé de 68 ans a été découvert gisant sous son tracteur renversé dans un champ en contre bas de la RD. 3 menant de Beaumont à Lavit. La victime, Albert Passama, était l'ancien cantonnier du village d'Esparsac. Il habitait Beaumont. On ignore pour l'heure les circonstances qui ont conduit au drame. L'éventualité d'un malaise n'est pas exclue. Néanmoins, à l'arrivée des secours venus de Beaumont et Lavit-de-Lomagne, la victime avait cessé de vivre. Une enquête a été ouverte par les services de gendarmerie. Au moment des faits qui se sont produits lors d'un changement de direction pour emprunter un virage en angle droit, une remorque était accrochée au tracteur (Le tracteur et sa remorque une fois relevés après le drame

http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=28560&WS=291720_2501986&WA=5481

dimanche 29 juin 2014

Un jeune homme décède dans un accident de la route à Saint-Laurent-de-la-Salanque

Dans la nuit de samedi à dimanche, un jeune homme de 17 ans a perdu la vie dans un accident de voiture qui s'est produit sur la commune de Saint-Laurent-de-la-Salanque.
Un véhicule avec à son bord trois personnes a pour une raison indéterminée à l'heure actuelle quitté la route pour finir sur le toit dans un champ sur le chemin Pas de las cadenes.
Blessé, le conducteur âgé de 25 ans a été transporté à l'hôpital par les sapeurs-pompiers. Le troisième occupant du véhicule, qui n'était pas sur place au moment de l'arrivée des secours, s'est rendu aux urgences.
http://www.lindependant.fr/2014/06/29/un-jeune-homme-decede-dans-un-accident-de-la-route-a-saint-laurent-de-la-salanque,1900521.php

Marseille : après une dispute familiale, il tue son fils

À la suite d'une dispute familiale, un père a tué son fils au cours de la nuit dernière en plein centre-ville de Marseille. Les faits ont commencé peu avant 23 heures au domicile de l'ex-épouse sur fond de violences conjugales.
L'ex-mari est parti et a croisé lors de son départ son fils âgé de 20 ans. Le ton est aussitôt monté et le père âgé de 53 ans a exhibé un couteau avant de porter un coup en plein cœur à son fils qui est décédé peu avant minuit rue Francis Davso, sur la voie publique.
L'enquête a été confiée à la Sûreté départementale de Marseille qui procédait cette nuit aux auditions des divers témoins de l'affaire.


http://www.laprovence.com/article/actualites/2940410/marseille-apres-une-dispute-familiale-il-poignarde-son-fils-et-le-tue.html

Une retraitée malade d'Alzheimer mortellement percutée par un train

Une pensionnaire de la maison de retraite Saint-Joseph de Cantaous, âgée de 79 ans, a été mortellement percutée par un train, hier, vers 16 h 20, à Cantaous. Une enquête de gendarmerie est ouverte.
Un dramatique accident a eu lieu, hier, à Cantaous. Une dame âgée de 79 ans, pensionnaire de la maison de retraite Saint-Joseph de Cantaous a été mortellement percutée par un train.
L'accident a eu lieu au point kilométrique 114, environ 100 mètres après le passage à niveau 121, sur le chemin des Pyrénées, à Cantaous.
La maison de retraite Saint-Joseph se trouve à à peine 1 km du passage à niveau.
La septuagénaire a échappé à la vigilance du personnel. Atteinte de la maladie d'Alzheimer, c'est une pensionnaire qui avait un comportement d'errance. La pensionnaire est entrée sur la voie et a marché le long de la voie ferrée. Elle a été accrochée mortellement par le train express régional 872 707 qui roulait dans le sens Toulouse-Tarbes. La malheureuse a été tuée sur le coup.

Cellule psychologique

Mme Juste-Forgue, directrice de la maison de retraite a demandé l'assistance d'un médecin des urgences de Tarbes. Une cellule psychologique a été mise en place auprès des autres pensionnaires auxquels la terrible nouvelle a été annoncée en début de soirée. La victime était dans l'établissement depuis environ trois semaines.
Cet accident a généré une interruption du trafic SNCF pendant environ 3 heures, le temps, notamment que les gendarmes effectuent leurs constatations. L'endroit où a eu lieu l'accident n'est pas identifié comme dangereux. Pas moins de six trains ont été retardés. La SNCF a affrété un autocar afin de récupérer et d'acheminer la soixantaine de personnes qui se trouvait dans le train.
«Nous avons participé à acheminer des voyageurs du train à la salle des fêtes où ils ont été récupérés par un car. La directrice de la maison de retraite leur a fait apporter de l'eau. Tout le monde a bien réagi. C'est un terrible accident», confie Jean-Pierre Afonso, maire de Cantaous.
La Cie de gendarmerie de Bagnères-de-Bigorre, est chargée de l'enquête. Le conducteur du train a été auditionné par les gendarmes.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/06/29/1909369-mortellement-percutee-par-le-train.html

samedi 28 juin 2014

Conflit de voisinage : un homme gravement blessé

Un père de famille se trouvait samedi entre la vie et la mort en Seine-Saint-Denis après avoir été gravement blessé par balles par son voisin, avec lequel sa famille était brouillée.
Quatre tirs. La mésentente a pris un tour dramatique vendredi soir, lorsqu'un le tireur a fait feu à quatre reprises, avec un calibre 7.65, sur son voisin à Aubervilliers. L'auteur des coups de feu s'est enfui, a précisé une source proche de l'enquête. Le blessé, 57 ans, dont le pronostic vital est engagé, a quant à lui été transporté en urgence à l'hôpital Bichat à Paris.
Une mésentente de longue date. Selon les tous premiers éléments de l'enquête confiée à la police judiciaire du département, les voisins s'opposaient de longue date, l'une des familles soupçonnant l'autre d'un vol par effraction dont elle aurait été victime. Un différend avait éclaté peu avant le drame au parloir de la prison de Villepinte, où sont incarcérés des enfants des deux familles. Les enquêteurs vérifient si cette dispute peut avoir un lien avec les faits.
 

Un garçon de 13 ans saute d’un pont et se noie dans la Seine

Le drame a eu lieu ce vendredi après-midi, à Saint-Germain-Laval, en Seine-et-Marne. Un adolescent de 13 ans s’est noyé dans la Seine, après avoir sauté d'un pont...  "Il a sauté et n'est pas remonté", a indiqué la police. Le corps a été retrouvé un peu après.
Dans l’état des toutes premières investigations, aucun élément ne permettait de faire de lien entre cette noyade et les défis «à l’eau ou au resto» sur Facebook, très populaires chez les adolescents et contre lesquels la police a mis en garde mi-mai. Ces «défis» consistent à se jeter dans une eau glaciale, parfois sous des prétextes humanitaires. Celui qui relève le pari doit ensuite poster la vidéo de ses exploits et inviter d’autres à le faire, seuls ou en groupes, via les réseaux sociaux. Si le gage n’est pas accompli, le perdant doit offrir un dîner au restaurant.
Le 13 juin, un jeune homme de 19 ans s’est noyé dans le Morbihan après s’être jeté à l’eau dans la Vilaine, avec son vélo attaché à une jambe dans le cadre d’un de ces «défis Facebook». Fin mai, un autre jeune homme ayant plongé à la mer à Wimereux, près de Calais (Pas-de-Calais), dans une eau glacée et sans fond, avait été grièvement blessé «avec des séquelles irréversibles».

http://www.leprogres.fr/faits-divers/2014/06/27/un-garcon-de-13-ans-saute-d-un-pont-et-se-noie-dans-la-seine

vendredi 27 juin 2014

Dunkerque : un jeune homme se tue en tombant de la jetée Est

Jeudi, aux alentours de 19 h, un jeune homme âgé de 21 ans et originaire du Dunkerquois s’est tué en faisant une chute de huit mètres au bout de la jetée Est, au niveau de l’écluse Tixier. Le jeune homme était venu pêcher accompagné d’un ami.
Il a voulu enjamber une passerelle délabrée et interdite d’accès et il a fait une chute mortelle.

Une enquête a été ouverte pour connaître les circonstances de l’accident.

http://www.lavoixdunord.fr/region/dunkerque-un-jeune-homme-se-tue-en-tombant-de-la-jetee-est-ia17b47588n2239014

CAMPNEUSEVILLE (76) Chute mortelle pour le motard

Le CD7 au niveau de Campneuseville (près de Blangy-sur-Bresle en Seine-Maritime) a été le cadre d’un accident mortel mercredi 25 juin vers 22h30. Le conducteur d’un deux-roues est venu glisser sur la rambarde de sécurité sans raison apparente, avant de chuter. Son corps a été projeté derrière la rambarde dans les arbres. La moto a été retrouvée à une cinquantaine de mètres du corps. Cet habitant d’Hodeng-au-Bosc, âgé de 32 ans, est décédé. Il portait son casque. Les résultats du contrôle d’alcoolémie n’étaient pas encore connus ce jeudi après-midi. L’enquête a été confiée à la brigade de gendarmerie de Blangy-sur-Bresle.

http://www.courrier-picard.fr/region/campneuseville-76-chute-mortelle-pour-le-motard-ia201b0n396043

jeudi 26 juin 2014

Une femme meurt après une chute du 3e étage

Une femme de 47 ans a chuté du 3e étage d’un bâtiment situé dans le HLM du quartier des Marmottés, mercredi soir, vers 20 heures.
Les pompiers de Thonon sont intervenus sur place pour tenter de réanimer la victime. Vainement puisque quelques minutes après l’arrivée des secours, le médecin du Smur devait déclarer le décès.
Une enquête de police est en cours pour tenter de déterminer les circonstances exactes du drame.

http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2014/06/26/thonon-les-bains-(haute-savoie)-une-femme-meurt-apres-une-chute-du-3e-etage

Un homme tué à l'arme blanche aux Izards

Un homme d'une quarantaine d'années a été tué à coups de couteau la nuit dernière dans le quartier des Izards à Toulouse. Le principal suspect a été interpellé.
Les faits se sont déroulés vers 2h30. Pour une raison encore inconnue, le suspect, un quinquagénaire a poignardé la victime, avant d'appeler la police pour lui demander de dépêcher des pompiers chez lui, car il venait de tuer quelqu'un. Une fois sur place, les policiers de la Brigade anti criminalité (BAC) ont retrouvé la victime, âgée de 39 ans, grièvement blessée à l'arme blanche. Les pompiers ont tenté de la sauver, en vain.
Selon les premières constatations qui devront être confirmées par une autopsie, la victime a reçu deux coups de couteau. L'arme utilisée était vraisemblablement un opinel. Le suspect a été interpellé. Il ne s'est pour le moment pas expliqué sur l'origine du drame.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/06/26/1907696-un-homme-tue-a-coups-de-couteaux-aux-izards.html

mercredi 25 juin 2014

Chapareillan: un motard allemand se tue dans un ravin

Un motard allemand, qui faisait partie d’un groupe de motards, est mort ce mercredi après-midi dans la descente du col du Granier.
Dans des circonstances qui resteront à déterminer, l’homme, dont on ignore pour l’instant l’âge et l’identité, a perdu le contrôle de son engin et fait une chute d’une quinzaine de mètres dans un ravin. Les sapeurs-pompiers et le Samu savoyards sont intervenus pour porter secours au blessé. La victime n’a malheureusement pu être réanimé.
Les gendarmes savoyards qui sont intervenus initialement ont saisi leur collègues isérois quand ils se sont rendus compte que l’accident avait eu lieu dans le département voisins.
Une enquête a été ouverte pour préciser les circonstances de l’accident.


http://www.ledauphine.com/isere-sud/2014/06/25/chapareillan-un-motard-allemand-se-tue-dans-un-ravin

Mort d’un cycliste : l’automobiliste est relaxé

Le 6 septembre dernier, le soleil n’était pas encore levé et Gérard, comme chaque matin, se rendait au travail en voiture. Sur la même route, dans le même sens, quelques hectomètres plus loin, Patrick en faisait de même sur son vélo. À hauteur de Thillois, le premier a percuté le second par l’arrière. L’instant d’après, Patrick était mort. Et Gérard s’est retrouvé accusé d’homicide involontaire.
La collision mortelle s’est produite dans une ligne droite. Gérard, 54 ans et aucun antécédent judiciaire, n’avait consommé ni alcool ni stupéfiants. Les phares de son véhicule étaient allumés. En revanche, aucune lumière n’éclairait le vélo de la victime, décédée après avoir heurté violemment le pare-brise de Gérard.
À la barre du tribunal correctionnel de Reims, hier après-midi, le quinquagénaire a réitéré sa version d’une voix sourde : « Je n’ai pas vu la victime, je n’ai pas eu le temps de freiner. J’ai entendu un bruit… impressionnant. Je me suis arrêté, j’ai parlé à l’homme qui se trouvait au sol. Il ne répondait pas. J’ai appelé les pompiers… Je crois qu’il est mort très vite. »

Le parquet avait requis
un an de prison avec sursis

À ses mots, une femme blonde, assise au premier rang, pleure en silence, dévorée d’une douleur contenue à grand-peine : la sœur de la victime.« La seule famille qui lui restait », précisera son avocat. Dans ces dossiers d’accidents mortels, les faits sont toujours aussi simples que l’issue dramatique.
L’avocat de la sœur de la victime replonge dans les procès-verbaux du prévenu. Juste avant la collision, celui-ci expliquait avoir « très légèrement serré sur sa droite » à la vue d’un « poids lourd arrivant en sens inverse ». « On n’a jamais pu vérifier la présence de ce poids lourd ! » accuse l’homme en robe sans pour autant apporter de nouvel élément.
Aucun doute, en revanche, pour la substitut du procureur : « Ce matin-là, la conduite du prévenu n’a pas été appropriée. » Un an de prison avec sursis est requis contre Gérard ainsi que deux ans d’annulation de son permis de conduire. L’avocat de la défense plaide la relaxe, rappelant ce qu’avait dit un gendarme à celui-ci à l’issue des premières constatations : « Vous étiez au mauvais endroit, au mauvais moment. » Pour la sœur de la victime, c’est une nouvelle onde de choc.
À l’issue du délibéré, Gérard est relaxé : aucune faute pénale n’a pu être établie.
Il devra toutefois verser 20 000  euros de dommages et intérêts à la sœur de la victime. En larmes, celle-ci se presse de sortir de la salle d’audience sans croiser le regard parfaitement désolé de Gérard.

http://www.lunion.presse.fr/accueil/mort-d-un-cycliste-l-automobiliste-est-relaxe-ia0b0n368400

mardi 24 juin 2014

Accident dans l'usine Alsetex à Précigné. La grenade explose: un mort

Victime d'une explosion de grenade, un employé d'Alsetex est décédé ce mardi, sur le site de cette usine d'armement classée à hauts risques, à Précigné (Sarthe).

Un mort. C'est le bilan de l'explosion qui s'est produite ce mardi, en début d'après-midi, sur le site de l'usine Alsetex, à Précigné, près de Sablé-sur-Sarthe (Sarthe).
La victime a été tuée après l'explosion d'une grenade.
Cette usine d'armement, classée Seveso (hauts risques), est spécialisée dans la conception et la fabrication d'explosifs et de pyrotechnie civile et militaire. Alsetex conçoit notamment des munitions complètes pour l'armée française et certaines armées étrangères.
D'importants moyens sont déployés sur place.

http://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/sarthe/precigne-72300#from-breadcrumb

Un mort dans un accident sur la RN 1569

Un Istréen de 54 ans est décédé dans un accident de la route qui s'est produit vers 17h sur la RN 1569, à proximité du rond-point Dassault. Selon les premiers éléments de l'enquête, le conducteur se serait, pour une raison indéterminée, déporté vers la gauche avant d'entrer en collision avec un poids lourd.

A bord du véhicule se trouvait également son fils âgé de 7 ans. Celui-ci a été transporté vers l'hôpital Nord de Marseille, il souffrirait de blessures légères. Une enquête est ouverte pour tenter de déterminer les circonstances exactes de ce terrible accident


http://www.laprovence.com/actu/region-en-direct/2932738/breve-istres.html

lundi 23 juin 2014

Epfig : un ULM prend feu, décès du pilote

Un pilote d’un ULM s’est tué dimanche soir à Epfig. Son engin aurait pris feu en plein vol. Une enquête menée par la gendarmerie a été ouverte pour déterminer les circonstances de l'accident

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alsace/2014/06/23/epfig-un-ulm-prend-feu-deces-du-pilote-504227.html

Un mort dans l'incendie d'un appartement à L'Ariane à Nice

Une personne a été retrouvée décédée par les sapeurs-pompiers, dimanche vers 16 heures, dans l'incendie d'une chambre rue Raoul-Ponchon, dans le quartier de l'Ariane à Nice.
Le sinistre a été rapidement éteint mais malheureusement, il n'y avait plus rien à faire pour l'occupant.
La police a ouvert une enquête.

http://www.nicematin.com/nice/un-mort-dans-lincendie-dun-appartement-a-lariane-a-nice.1793093.html

Annot : une femme de 98 ans décède dans un accident de la route

Deux véhicules sont entrés en collision, hier, vers 15 h 10 à Annot (Alpes-de-Haute-Provence) sur la RN 202 entre les lieux-dits Rouenne et Les Iscles. Une femme âgée de 98 ans, passagère de l’un des véhicules, est décédée dans cet accident.  Cinq autres personnes se trouvaient dans les deux voitures. Deux ont été légèrement blessées et évacuées par les pompiers. Cet accident a nécessité la coupure de la route nationale.

http://www.ledauphine.com/haute-provence/2014/06/23/une-femme-de-98-ans-decede-dans-un-accident-de-la-route

dimanche 22 juin 2014

Un plongeur décède au large de Marseille

Un homme de 45 ans a trouvé la mort dimanche lors d'une plongée au large de Marseille.

Immédiatement après sa mise à l'eau au large de l'île du Riou, il a signifié des vertiges à l'équipage du bateau de plongée, qui l'a tout de suite remonté. L'homme, qui avait effectué deux plongées la veille, a ensuite été victime d'un malaise. Les secours, alertés par les responsables à bord du club de plongée et hélitreuillés par un appareil de la sécurité civile, n'ont pu le réanimer.

Il s'agit du sixième décès lié à la pratique de la plongée depuis le début de l'année en Méditerranée, a indiqué la préfecture maritime.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/06/22/97001-20140622FILWWW00104-un-plongeur-decede-au-large-de-marseille.php

Accident à Frênes. Un homme décède sous un quad

Un homme d'une soixantaine d'années est décédé, hier soir, à Frênes, après un accident lié à l'utilisation d'un quad.

D'après les premières constatations, cet exploitant a chuté sous un quad qu'il utilisait. Le terrain était pentu.
À leur arrivée, les sapeurs-pompiers n'ont pu que constater son décès

http://www.ouest-france.fr/normandie/orne/frenes-61800#from-breadcrumb

Une randonneuse entre la vie et la mort après une chute

Selon nos confrères de l'Indépendant, une randonneuse haut-pyrénéenne âgée de 67 ans est entre la vie et la mort après avoir effectué une chute au lac des Bouillouses (Pyrénées-Orientales) avant-hier matin. La victime et son époux du même âge, originaires des Hautes-Pyrénées, étaient venus passer des vacances dans le secteur avec leur camping-car et avaient décidé de faire le tour du lac à pied. Or, selon les premiers éléments, vers 10 h 30, l'homme aurait trébuché. Son épouse aurait fait un mouvement pour tenter de le rattraper et serait ainsi tombée à son tour, tapant la tête contre un rocher et perdant aussitôt connaissance. Blessé aux hanches, son époux a cependant réussi à donner l'alerte. Deux CRS de Bolquère, spécialistes du secours en montagne, qui faisaient une séance d'entraînement dans le secteur, se sont rendus sur place, rejoints par d'autres collègues. Vu les difficultés d'accès au site, ils se sont rendus sur les lieux à bord de l'hélicoptère du SAMU. Malgré tous les efforts des CRS, les massages et tentatives de réanimation menées pendant une heure, la victime n'avait pas repris conscience et se trouvait dans un état jugé critique lorsqu'elle a été évacuée par les airs vers le centre hospitalier de Perpignan, avec son mari.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/06/22/1905180-randonneuse-entre-vie-mort-apres-chute.html

Un homme de 70 ans décède dans le train

Hier matin à 8 heures, le TER qui devait relier Bellegarde-sur-Valserine à Lyon Part-Dieu a été retardé suite au décès d’un passager âgé de 70 ans, victime d’un malaise cardiaque.
Le contrôleur qui se trouvait à bord a aussitôt pratiqué les gestes de secouriste, avant l’arrivée des sapeurs-pompiers de Bellegarde et du Smur de Saint-Julien-en-Genevois. Mais l’homme n’a pas pu être ranimé. Et son corps a été évacué du train à 10h30.
Les passagers de ce TER ont été transférés dans la rame de tête qui a pu repartir près de trois quarts d’heure après l’horaire prévu. Ensuite, au cours du voyage, un quart d’heure a pu être rattrapé.

http://www.ledauphine.com/ain/2014/06/21/un-homme-de-70-ans-decede-dans-le-train

samedi 21 juin 2014

Lot: un baigneur disparaît dans la Dordogne

Un baigneur âgé de 33 ans a disparu dans les flots de la Dordogne samedi alors qu'il se baignait en début d'après-midi à Lanzac, près de Souillac, dans le nord du département du Lot. Malgré plusieurs heures de recherches, l'homme, vraisemblablement victime d'une hydrocution, n'a pu être retrouvé, a indiqué à l'AFP un responsable des gendarmes du Lot, le capitaine Gérard Catala.

La victime, habitant la Corrèze voisine, venait de participer à un pique-nique avec sa compagne et des amis, lorsqu'il s'est mis à l'eau vers 14h15 . Le baigneur, athlétique et en bonne condition physique, a coulé à pic, ont indiqué ses proches aux secours. "L'accident a eu lieu près d'une plage naturelle où les gens se baignent traditionnellement mais qui n'est pas surveillée et ils le font à leurs risques et périls", a remarqué le responsable des gendarmes, en soulignant que la rivière était profonde à cet endroit et l'eau assez froide.

Plusieurs plongeurs des pompiers du Lot ont fouillé en vain la Dordogne à la recherche du corps. Une dizaine de gendarmes de leur côté ont exploré les berges en aval de la disparition sans plus de succès, malgré l'assistance d'un hélicoptère


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/06/21/97001-20140621FILWWW00161-lot-un-baigneur-disparait-dans-la-dordogne.php

Drame à Pau : un enfant de trois ans se tue en tombant du 8e étage

Ce samedi, vers 12h30, un enfant de trois ans a fait une chute du huitième étage de l'immeuble Arbizon (qui compte 14 étages), rue du Lieutenant-Colonel Boudoube, dans le quartier Saragosse de Pau. Il est tombé sur une Peugeot 106 garée devant la médiathèque Arbizon, et son corps a rebondi contre le mur.
Rapidement, les pompiers, le Samu et la police sont arrivés sur les lieux. L'enfant a été évacué vers le centre hospitalier de Pau, où il est décédé des suites de ses blessures vers 14h30. Une enquête est ouverte pour préciser les causes du drame. L'hypothèse d'un accident est retenue par la police et le parquet. Âgée de 34 ans, la mère de la victime était en train de faire le ménage chez elle, où elle vit avec son fils Faouzan, âgé de trois ans, et son bébé de trois mois, quand l'aîné a échappé à sa surveillance. Il aurait alors escaladé un meuble et basculé par la fenêtre de sa chambre, située à  21 mètres de hauteur. 

Très choquée, la maman a été hospitalisée. Le bébé a été pris en charge par sa tante
Ce drame a causé un vif émoi dans le quartier Saragosse. Les animations de la fête de la musique organisée ce samedi soir par l'Amicale CNL Arbizon ont été annulées.

http://www.larepubliquedespyrenees.fr/faits-divers/

Le décès de «Suzon»

Le cortège funèbre est passé une dernière fois devant le café où elle s'était installée en 1972. Suzon Landes s'en est allée à 86 ans. Très affaiblie, elle avait tenu jusque-là pour assister au mariage de sa petite-fille Edwige et au baptême de son arrière petit-fil Kylian. Beaucoup d'anciens clients ont accompagné Suzon : tous connaissaient son franc parler, son caractère entier, spontané, comme sa générosité.
Gaillacoise, elle l'était de cœur depuis son enfance. Petite fille de forains, elle avait aidé très jeune à la tenue du manège, du tir et du stand de bonbons qui faisaient les fêtes du voisinage. A 14 ans, Suzon était entrée comme ouvrière à l'usine de perruques, puis comme repasseuse chez Cavaillé, dans la Côte du Tarn. En 1972, elle prend le Café Commercial, place du Griffoul, avec Jean, son mari, qui décède en 1978. Veuve, Suzon continue de tenir le comptoir, avec le renfort de Patrick, son fils, qui démissionne de l'entreprise où il travaillait (à Saliès-du-Salat) pour se rapprocher de sa mère.

Le café était sa maison

Quand il la remplace en 1986, elle ne quitte pas vraiment le café. «Elle me donnait un coup de main pour le PMU les dimanches d'affluence. Le café, c'était sa maison», indique son fils. Le nouveau propriétaire, Jean-Marc Aué, confirme. «Suzon se sentait ici chez elle. Quand elle faisait trois courses, elle entrait par la porte de derrière et laissait ses paniers». Une éducatrice de jeunes handicapés mentaux se souvient de l'accueil chaleureux et protecteur de Suzon quand elle venait prendre une consommation avec son groupe. «Elle avait une bienveillance infinie pour ces jeunes. Elle était compréhensive et adorable, ce qui n'était pas le cas partout».
Suzon avait gardé ses amis de toujours, comme Henri Fraisse ou René Vialar.
Elle est restée jusqu'au bout élégante et coquette, avec sa belle chevelure d'argent et sa prédilection pour le blanc.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/06/21/1904549-le-deces-de-suzon.html

Lyon : un homme se jette sous un tramway

La circulation du tramway T5 a dû être interrompue aujourd’hui peu avant 18 heures, après un accident entre les stations Vinatier et Ambroise-Paré (Lyon 8e). Selon des témoignages, un homme se serait jeté sous le tramway au niveau du 45 avenue Rockefeller.
L’alimentation électrique a été immédiatement coupée et le trafic arrêté sur les lignes T5 et T2. Les services des TCL ont dû relever le nez de la rame pour dégager la victime. Grièvement blessée, elle a été transportée en déchocage à l’hôpital Édouard-Herriot. Son pronostic vital n’était pas engagé.
La circulation des tramways a pu reprendre à 19 heures.

http://www.leprogres.fr/rhone/2014/06/20/lyon-un-homme-se-jette-sous-un-tramway

vendredi 20 juin 2014

Grenoble, Voreppe, Saint-George d'Espéranche : déjà trois graves accidents de moto en Isère

Alors que le plein soleil est de retour, le week-end n'a pas démarré mais les deux roues sont de sortie dans les Alpes. Hélas en Isère, les accidents s'additionnent ce vendredi 20 juin.

Un mort à Grenoble


L'accès à l'agglomération grenobloise a été très difficile ce matin. Jusqu'à une douzaine de kilomètres de bouchons étaient signalés vers 9h00, entre le péage de Voreppe et le point kilométrique 1 de l'A480. C'est là qu'un terrible accident s'était produit à 7h00. Un militaire était décédé à moto en passant sous un camion.

Un mort près de Vienne


Vers 12h45, toujours en Isère, c'est à Saint-Georges d'Espéranche qu'un second motard a trouvé la mort. Il a perdu le contrôle de son engin et a percuté un regard de béton, à la sortie de la commune. Cet homme de 36 ans a été déclaré mort par le médecin du smur arrivé sur place.

Un mineur gravement blessé à Voreppe


Un quart d'heure plus tôt, un grave accident de la circulation s'était produit à Voreppe, sur la route départementale D1075, impliquant cette fois un mineur. Âgé de 17 ans, un motard s'est gravement blessé dans une collision avec une voiture. Il est victime de plusieurs fractures et d'un traumatisme crânien, selon les pompiers. L'adolescent a été transporté et médicalisé par le Smur à l'hôpital Michallon de La Tronche.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2014/06/20/grenoble-voreppe-saint-george-d-esperanche-deja-trois-graves-accidents-de-moto-en-isere-502951.html

Un homme de 40 ans meurt noyé dans l'Ill

Un homme de 40 ans a été retrouvé mort, noyé, ce jeudi, vers 23h45, dans l'Ill à Strasbourg. L'homme aurait été victime d'une chute au niveau du pont Royal, avenue de la marseillaise. Il a été retrouvé en arrêt cardio-respiratoire par les plongeurs. Il n'a pu être réanimé.

http://www.lalsace.fr/actualite/2014/06/20/un-homme-de-40-ans-meurt-noye

Un Cadalénois de 56 ans, 13e victime de la route

L'accident survenu mercredi vers 17 h 30, à Labessière-Candeil sur la route départementale 964, a coûté la vie à un homme de 56 ans. Employé dans l'entreprise de plâtrerie-maçonnerie Massoutier à Graulhet, la victime, décédée sur place, habitait à Cadalen. C'est sur une portion de ligne droite, dans le sens Graulhet-Gaillac, entre deux virages, qu'un véhicule monospace immatriculé en Dordogne s'est déporté à gauche, pour une raison encore indéterminée. à son bord, un couple d'une trentaine d'années et un bébé. Les deux voitures arrivant en face n'ont pu éviter le monospace. La première l'a heurté, finissant sur le toit, dans le fossé, après plusieurs tonneaux. L'homme de 30 ans qui la conduisait, seul dans la voiture, a été légèrement blessé et conduit à l'hôpital de Lavaur. Le choc avec la deuxième voiture a été frontal et violent. Il aura fallu près d'1 h 30 aux secours pour désincarcérer le conducteur, lui aussi seul dans son véhicule. Malgré les soins prodigués sur place par deux équipes du Samu, il est décédé vers 19 heures. Le bébé est sorti miraculeusement indemne, le couple a été conduit à l'hôpital d'Albi. Les gendarmes de Gaillac et les pompiers de Gaillac, Graulhet et Albi étaient sur place. C'est la 13e victime de la route en 2014. Un chiffre en hausse de plus de 30 % par rapport à l'an dernier à l a même époque.

http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=27911&WS=291720_2501986&WA=5362

jeudi 19 juin 2014

Suicide d'un adjudant de gendarmerie en Seine-et-Marne

Un adjudant de gendarmerie du peloton d'autoroute de Montereau (Seine-et-Marne) s'est pendu à son domicile lundi, a-t-on appris mardi de sources concordantes. "Il a été découvert chez lui hier matin. Il n'est pas venu travailler et ses collègues, qui ignoraient pourquoi, sont allés voir", a déclaré à l'AFP une source à la gendarmerie. Il s'agit du sixième suicide de gendarmes depuis le 1er décembre, précise cette source qui déplore une "mauvaise série".

Agé de 48 ans, il était marié et père de trois enfants. D'après cette source, des problèmes familiaux seraient à l'origine de son geste, qui n'a pas de "lien avec son travail". Selon le site Gendarmes et Citoyens, qui a annoncé ce décès, cet adjudant de gendarmerie était affecté auparavant à la brigade de Saint-Arnould-en-Yvelines. Un gendarme s'est également donné la mort avec son arme de service dans la nuit de dimanche à lundi à L'Ile-Rousse (Haute-Corse).

http://www.rtl.fr/sujet/faits-divers

Un octogénaire percuté par un camion

Un dramatique accident de la circulation s'est produit ce jeudi matin, peu après 11 heures, au niveau du 779 avenue de Mazargues, entre un poids-lourd et un piéton, âgé de 84 ans. Grièvement touchée aux membres inférieurs, la victime a été hospitalisée.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2927215/un-octogenaire-percute-par-un-camion.html

Ain. Un cycliste décède dans un accident de la circulation

L'accident s'est produit mercredi matin, à Montréal-la-Cluse

Mercredi matin, peu avant 8 heures, un cycliste a perdu la vie suite à une violente collision avec un camion porteur d'engins de chantier. Cet accident de la circulation s'est déroulé à hauteur du 58 avenue de Bresse sur la commune de Montréal-la-Cluse.

http://www.leprogres.fr/ain/2014/06/18/un-cycliste-decede-dans-un-accident-de-la-circulation

mercredi 18 juin 2014

La tête écrasée dans une machine outil

Ce mercredi, à Seynod, un grave accident du travail s'est déroulé dans l'entreprise Catidom, à Seynod. Un ouvrier italien de 46 ans travaillant pour une société extérieure, s'est coincé la tête dans une machine-outil, pour une raison indéterminée.
Très gravement blessé, l'homme a été dégagé de la machine. Inconscient, il a été transporté en urgence vers l'hôpital d'Annecy. Son pronostic vital est engagé

http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2014/06/18/seynod

Il tombe dans la Seine lors d'une bagarre, son corps repêché

Le corps d'un homme de 36 ans a été repêché dans la Seine, en face du Musée d'Orsay, mercredi matin par la brigade fluviale. Recherché par la police judiciaire, il serait tombé à l'eau dimanche après une bagarre
Sombre découverte mercredi matin à Paris. Le corps d'un homme de 36 ans "en état de décomposition" a été repêché par la brigade fluviale en face du Musée d'Orsay, sous la passerelle Léopold-Sédar-Senghor.

La
disparition de cet homme avait été signalée par sa sœur qui, sans nouvelles de lui, s'était rendue lundi dans un commissariat parisien. Selon les éléments dont elle disposait et qu'elle a livré aux policiers, son frère a été impliqué dans une bagarre dans la nuit de samedi à dimanche sur les quais, au niveau du pont du Carrousel. "Il serait alors tombé à l'eau mais aucun de ses amis présents lors de la bagarre n'a signalé sa disparition", a expliqué une source policière.
Les faits ont été requalifiés en tentative d'homicide, et le premier district de la police judiciaire parisienne a été chargé de l'enquête.
 

Retour sur l'accident de l'A20 : somnolence, piège insidieux au volant

Un instant d'assoupissement du conducteur serait à l'origine de l'accident qui s'est produit dimanche sur l'A20 à Souillac. La passagère de 73 ans se trouve dans un état grave. Les gendarmes et l'association de Prévention routière rappellent les signaux d'alarme.
Deux blessés graves, dont une septuagénaire grièvement touchée à la tête, c'est le lourd bilan de l'accident survenu dimanche sur l'autoroute A20 à hauteur de Souillac. L'accident qui s'est produit en tout début d'après-midi, dans le sens Toulouse-Paris, a eu des conséquences corporelles très importantes pour la passagère du véhicule, une femme de 73 ans qui a dû être héliportée sur le CHU de Limoges. La victime pourrait perdre un œil.
Le choc fut violent, le véhicule de tourisme est allé heurter et frotter la glissière centrale de sécurité de l'autoroute, avant de percuter de face les protections en ciment sur le côté. Pour expliquer ce brusque changement de trajectoire, les gendarmes du peloton d'autoroute de Souillac, en se fondant sur les éléments recueillis sur les lieux, privilégient la thèse de l'assoupissement du conducteur. Ce dernier a été blessé et hospitalisé à Brive.
Cette somnolence au volant est un piège insidieux, tout particulièrement sur un parcours autoroutier réputé monotone. D'où les appels à la vigilance lancés par les gendarmes et les responsables de la Prévention routière. «Nous avons repéré les heures à risque, c'est le créneau 2 heures-5 heures et 13 heures-15 heures», précise Raymond Dyszkiewicz, directeur de l'APR du Lot. L'accident de Souillac a eu lieu à 14 h 15, pile dans le créneau horaire critique.
L'importance d'une pause toutes les 2 heures est soulignée. «Elle doit durer 10 minutes au minimum, c'est l'occasion de bien aérer le véhicule.» L'effet «coup de fouet» du café est un leurre, selon le représentant de la Prévention routière. Il y a des signes qui doivent alerter : les yeux qui brûlent, la difficulté à se concentrer, le besoin de bouger sur son siège. «Là, il y a danger car la lutte contre la fatigue qui s'installe est inutile», affirme Raymond Dyszkiewicz.
L'opération conduite aujourd'hui avec la police nationale pour le challenge interpistes, place Mitterrand à Cahors, sera l'occasion pour l'APR de rappeler ces conseils avant les grands départs en vacances. «Un conducteur sur deux réduit son temps de sommeil avant de faire un grand parcours. Or une heure de privation de sommeil par 24 heures équivaut à une nuit en moins par semaine», insiste le directeur de la Prévention routière.
http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=27770&WS=291720_2501986&WA=5333

mardi 17 juin 2014

Elle se suicide en sautant du barrage de Tignes

Ce matin, en début de matinée, une femme âgée de 48 ans a mis fin à ses jours en sautant du barrage de Tignes. Originaire de Mâcot-la-Plagne, cette mère de famille avait deux enfants, dont un de bas âge. Un chantier étant actuellement en cours sur l’édifice, ce sont deux ouvriers travaillant sur place qui ont assisté à la scène et ont alerté les secours à 9 h 30. L’hélicoptère haut-savoyard de la sécurité civile a été mobilisé pour remonter le corps de la défunte.

http://www.ledauphine.com/savoie/2014/06/17/elle-se-suicide-en-sautant-du-barrage-de-tignes

Allinges : drame passionnel, il tire sur son rival

Ce matin, un drame passionnel s’est noué au cœur du chef-lieu. Il est un peu plus de 7 heures, un homme sort de chez lui et se dirige vers sa voiture, quand il est la cible d’un tireur qui l’attendait.
Touché à la tête, il s’est écroulé. Son agresseur s’est ensuite enfui, mais il a été identifié suite aux témoignages recueillis comme étant l’ex-ami de la compagne de la victime. Il a été interpellé peu après par les gendarmes qui sont en charge de l’enquête.
La victime a été prise en charge et devait transférée par hélicoptère dans un centre de soins à Annecy et Genève. Son pronostic vital est engagé

http://www.ledauphine.com/

Un homme de 59 ans se suicide à la tronçonneuse

Un homme de 59 ans s’est donné la mort samedi, peu avant 20 h, sous les yeux de son épouse, en se tranchant la gorge avec une tronçonneuse. Les faits ont eu lieu devant le garage du domicile conjugal, situé dans la commune d'Allauch. La victime était dépressive.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2924038/un-homme-de-59-ans-se-suicide-a-la-tronconneuse.html

Un enfant de 4 ans fauché par une voiture

Dimanche soir, un grave accident a eu lieu à Eauze, sur la route de Sauboires impliquant une voiture et un très jeune enfant circulant à vélo. Âgé de 4 ans, le petit garçon, qui jouait dans le jardin familial, aurait échappé à la vigilance de ses parents habitant impasse Montplaisir, une voie perpendiculaire à la route de Sauboires. Il a surgi sur l'axe principal et a été fauché de plein fouet par le véhicule d'un Auscitain de 24 ans qui était accompagné de trois passagères.
L'enfant est dans un état grave. Des témoins affirment qu'il a été traîné sur plusieurs mètres. Ce que ne confirme pas la gendarmerie. La petite victime a été héliportée au CHU de Purpan, à Toulouse, entre 23 heures et minuit, dimanche. L'enfant a subi une opération du foie et est actuellement plongé dans le coma. Son pronostic vital reste engagé. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de l'accident. Le conducteur assure ne pas avoir vu l'enfant. Les tests à l'alcoolémie et aux stupéfiants sont négatifs. L'automobiliste et ses passagers seront auditionnés prochainement. Ce dramatique accident a profondément choqué la sœur de la victime, présente sur les lieux. Âgée de 17 ans, elle a été prise en charge par les pompiers.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/06/17/1901577-eauze-un-enfant-de-4-ans-fauche-par-une-voiture.html

Beaumont-de-Pertuis : morte dans sa voiture au fond d’un fossé

Lorsque son corps a été découvert, il n’y avait malheureusement plus rien à faire.
Hier, une automobiliste de 26 ans, demeurant à Sainte-Tulle (Alpes-de-Haute-Provence), a été retrouvée morte dans sa voiture. La carcasse était en contrebas de la chaussée, au lieu-dit du Pont-de-la-Valandre, à Beaumont-de-Pertuis. « Il est probable que l’accident ait eu lieu très tôt ce matin [hier, Ndlr] », confie un proche de l’enquête. La victime a été découverte aux environs de 10 heures par des agents du conseil général, occupés à nettoyer les bas-côtés de la chaussée.

Six engins des sapeurs-pompiers du secteur ont été mobilisés

Les gendarmes de Beaumont-de-Pertuis doivent déterminer les circonstances qui ont conduit à cette sortie de route. D’après les premières constatations, la voiture est allée tout droit dans une courbe. Elle a heurté un arbre et plongé de cinq mètres dans un fossé.
Six engins des sapeurs-pompiers des casernes du secteur ont été mobilisés lors de l’opération. Les secours se sont chargés de remonter le corps.

http://www.ledauphine.com/vaucluse/2014/06/16/morte-dans-sa-voiture-au-fond-d-un-fosse

lundi 16 juin 2014

Ain. Confrançon : la conductrice est décédée des suite de ses blessures

Dans la nuit de samedi à dimanche, vers minuit, deux voitures étaient entrées en collision sur la D 1079. La conductrice d’un des deux véhicules, une femme de 32 ans originaire de Mézériat, est décédée à l’hôpital Fleyriat de Bourg-en-Bresse dans la nuit de dimanche à lundi. 

http://www.leprogres.fr/ain/2014/06/16/confrancon-la-conductrice-est-decedee-des-suite-de-ses-blessures

La Poste : une cadre se suicide sur son lieu de travail

"Nous venons d'apprendre qu'une postière, cadre supérieure de Coliposte (l'opérateur colis du groupe, ndlr) en fonction à Noisy-le-Grand, a mis fin à ses jours sur son lieu de travail", a indiqué FO, ce vendredi 31 janvier. "C'est avec une profonde émotion que la Poste a appris hier le décès brutal d'une collaboratrice, cadre de son activité colis", a indiqué de son côté le groupe.

"La Poste a immédiatement pris contact avec sa famille, établi un dispositif d'écoute et de soutien psychologique auprès de ses collègues et s'est mise à la disposition des autorités policières. Un CHSCT extraordinaire se tient actuellement", a ajouté l'entreprise.

La femme, quinquagénaire, a été retrouvée pendue dans une partie non occupée du bâtiment. Thierry Roux, responsable syndical FO chez Coliposte a indiqué à l'AFP que le moment précis où a eu lieu le drame reste inconnu, car la cadre "a été vue à son travail mercredi soir, donc a priori c'est entre mercredi soir et jeudi après-midi, où on a retrouvé le corps". Selon le syndicaliste, outre le CHSCT extraordinaire qui était en cours vendredi matin, une enquête de police a aussi été lancée.

Le lien de causalité avec le travail pas déterminé

Le malaise social vécu par certains salariés du groupe, qui emploie quelque 240.000 personnes, avait été mis en lumière en 2012 après le suicide sur leur lieu de travail de deux cadres en Bretagne, précédé d'un autre suicide à Paris. Depuis, le groupe a signé un accord sur la qualité de vie au travail, ouvert des chantiers de négociation et allégé la pression sur les effectifs en recrutant un peu plus que prévu, sans pour autant compenser les départs.

La Poste a aussi présenté mardi son nouveau plan stratégique à l'horizon 2020 qui vise à transformer profondément son modèle économique, alors que le groupe fait face à une chute des volumes de courrier.

Dans ce cadre, l'entreprise prévoit d'ouvrir rapidement des négociations en vue d'un "pacte social", dont le contenu reste flou à ce stade. Pour Thierry Roux, le drame survenu chez Coliposte soulève "beaucoup d'interrogations", notamment sur le lien éventuel avec le travail. Tout en soulignant que "ce n'est pas forcément lié", il relève que lors de la présentation du plan stratégique, La Poste a annoncé que Coliposte serait désormais rattaché au courrier et non plus une entité distincte, ce qui pose "question sur les services support, sur l'encadrement".
 
http://www.rtl.fr/actu

Motocycliste tué Entre Schnersheim et Wiwersheim (Bas-Rhin)

Un motocycliste circulant sur la RD 41 entre Wiwersheim et Schnersheim a perdu le contrôle de son engin, dimanche soir vers 21 h 15.
Il a quitté la chaussée et a été éjecté de sa moto.
Inconscient à l’arrivée des secours, l’homme âgé d'une cinquantaine d'années, selon une information communiquée ce matin par les sapeurs-pompiers, n’a pu être réanimé.
Il est décédé sur place. Les gendarmes de la brigade de Hochfelden sont intervenus sur les lieux de l’accident.

http://www.dna.fr/edition-de-strasbourg-campagne/2014/06/15/le-motard-se-tue

Marillet : une cavalière décède

Les pompiers ont été appelés samedi pour secourir une femme victime d'une chute de cheval. Elle est décédée. Une enquête est ouverte pour préciser les circonstances du décès.

Les pompiers ont été appelés samedi matin pour secourir une femme victime d'une chute de cheval à Marillet. La cavalière avait entamé une balade et se trouvait alors dans le bois à proximité de la rue Abbé Jean-Gouraud. Malgré l'intervention des pompiers, la femme est décédée.
Une enquête est ouverte afin de préciser les circonstances du décès. Une autopsie sera pratiquée demain lundi matin.

http://www.ouest-france.fr/faits-divers-marillet-une-cavaliere-decede-2623824

dimanche 15 juin 2014

Rosny-sous-Bois : Un mort et six blessés dans un incendie

La cause de l’incendie reste encore à déterminer...
Une femme de 58 ans a péri dimanche matin dans l’incendie de son appartement à Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), qui a fait six blessés légers, dont des enfants. L’incendie s’est propagé vers 11h30, pour une raison encore inconnue, dans un appartement situé au rez-de-chaussée d’un immeuble de cinq étages, a indiqué la préfecture. Une cinquantaine de pompiers ont été dépêchés pour éteindre l’incendie, qui a été maîtrisé moins d’une heure plus tard.

http://www.20minutes.fr/paris/1401686-rosny-sous-bois-un-mort-et-six-blesses-dans-un-incendie

Mille marcheurs en souvenir de Christophe, poignardé à mort à Saint-Lys

Entre Sainte-Foy-de-Peyrolières et Saint-Lys, environ 1 000 personnes ont marché en souvenir de Christophe Cappellari, tué mi-mai à Saint-Lys. Hommage et colère.
Sur les tee-shirts préparés par son équipe de rugby de Sainte-Foy-de-Peyrolières, des slogans simples : «On ne t'oubliera jamais», «Un homme juste, une fin injuste», «Sortir n'est pas mourir», «Stop à la violence gratuite», «Désir de justice». Et sur la banderole qui ouvre un long cortège, un slogan : «Christophe, Ni oubli, Ni pardon».
Christophe Cappellari a été tué de trois coups de couteau le 17 mai dans un bar de Saint-Lys par un homme qui, mis à la porte un peu plus tôt, voulait se venger — arrêté, ce suspect dort depuis en prison, mis en examen pour «assassinat».
Hier un millier de personnes a participé à une marche blanche de Sainte-Foy et Saint-Lys, entre les deux stades de rugby. D'un pas vif, souvent la gorge serrée, parfois des larmes dans les yeux, le cortège a vite progressé. «Il faut être là. Y en a marre de tout ça. Christophe n'était pas un bagarreur. C'est désolant. Et puis on a l'impression que sortir les couteaux est une mode. Ça suffit !», clame Corinne.
Christophe son entraîneur et Julien, son capitaine de l'US Sainte-Foy participent, comme beaucoup. «D'abord pour les familles. Montrer qu'on n'oublie rien, qu'ils peuvent compter sur nous-même si, malheureusement, c'est trop tard. Il faut aussi dénoncer l'escalade de la violence, parvenir à une prise de conscience.»
Une pétition a été lancée et largement signée hier. Dans les deux communes, la solidarité n'est pas seulement dans les mots. Loto, collecte dans les commerces, la mobilisation est aussi financière. «Pour les familles, cette aide comptera», soulignent les présidents Basque et Magnaral des deux clubs de rugby, très actifs dans l'organisation.
Et hier, tous les participants pensaient aussi beaucoup aux familles, discrètes mais présentes et surtout à une jeune femme brune, en tête du cortège. Elle cachait ses larmes derrières des lunettes noires. Marina devait épouser Christophe le 28 juin. Les bans étaient publiés. Quelques heures avant le drame, ils avaient même commencé à distribuer les faire-part de mariage

http://www.ladepeche.fr/article/2014/06/15/1900754-mille-marcheurs-en-souvenir-de-christophe.html

Un homme meurt, emporté par le torrent

De nouvelles inondations se sont produites sur le secteur Bagnères-Lourdes vendredi soir et de nombreux dégâts sont à déplorer ainsi que le décès d'une personne emportée par les eaux.
Dans la soirée de vendredi, de violentes inondations se sont produites dans les villages sur le secteur de Bagnères-Lourdes faisant une victime et de nombreux dégâts dans les maisons et dans le secteur agricole. Météo France était pourtant confiante, les risques climatiques relatifs à la soirée de ce vendredi 13 juin n'étaient colorés que de jaune. Donc, une simple vigilance était conseillée.
Néanmoins, le ciel resté sombre toute la journée au-dessus des montagnes, s'est brutalement noirci vers 19 h 30 et à partir de ce moment, les éléments se sont affolés. Éclairs, orage violent, coups de vent, pluie forte et sans discontinuer pendant plus de 45 minutes composaient un cocktail qui ne pouvait que tourner au drame.
En un bref instant, tous les cours d'eau, petits et grands, sont sortis de leur lit : l'Echez, l'Oussouet, le Marosque, la Géline, le Darricouas, la Douloustre…montant pour certains de 4 mètres au-dessus du niveau normal comme cette dernière à Montgaillard, endommageant le pont de la Géline en direction d'Orincles ou celui de Montgaillard, tandis que les terres gorgées des récentes pluies du mois de mai, s'effondraient en torrent de boue coupant les routes, s'introduisant dans les cours et dans les maisons, bouchant les ponts. De nombreux arbres ont été déracinés, des voitures embarquées, laissant un spectacle de désolation et des sinistrés totalement effondrés devant ce désastre. Une fois encore, le département est meurtri. Une fois encore car le 18 juin 2013, les villages de montagne subissaient les assauts de la nature avec une telle violence que les dégradations sont encore visibles. Un an moins quatre jours plus tard, cette même «Dame nature» fait son caprice rappelant avec ses «phrases» qu'elle existe et qu'elle gouverne l'Homme.

Emporté par le torrent

De Montgaillard à Lourdes en passant par Loucrup, Germs, Orincles, Arcizac ez Angles, Les Angles, les abords des cours d'eau sont bouleversés. Au bas de Germs-sur-l'Oussouet, un ressortissant belge né à Ostende, Jean-Marie Deman, possédant une résidence secondaire au hameau de Soulagnets sur la commune de Bagnères-de-Bigorre a perdu la vie. Vers 21 heures, vendredi soir, en voulant porter secours à son chien en difficulté ; le petit pont de bois, à l'intérieur de sa propriété, sur lequel il était normalement en sécurité et au sec a brutalement été emporté par les eaux. L'homme de 69 ans, sous les yeux de son épouse, et sans qu'elle puisse lui porter secours, a été englouti. Malgré la diligence des secouristes, le malheureux n'a pu être retrouvé que samedi en cours de matinée, coincé dans des branchages et à plusieurs centaines de mètres de sa résidence. Notre titre s'associe à la peine des siens.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/06/15/1900582-une-victime-et-de-gros-degats.html

samedi 14 juin 2014

Saint-Loup-de-Varennes (71) : un accident fait deux morts et un blessé grave

L’accident s’est produit ce matin à 3h30 sur la D906 sur la commune de Saint-Loup-de-Varennes (Saône-et-Loire). Un véhicule léger avec trois jeunes passagers à bord, dont deux sont originaires de Mâcon, ont percuté un poids lourd en stationnement.
Le conducteur âgé de 23 ans se trouve dans un état critique. Il a été transporté au CHU de Dijon. Le passager avant, âgé de 25 ans, est décédé. La passagère arrière, décédée également, n’a toujours pas été identifiée.

Pour une raison que l’enquête déterminera, la Citroën Xsara a percuté en pleine ligne droite un poids lourd stationné le long de la route. Selon les premières constations le camion ne gênait pas la circulation, il était garé à un endroit qui lui était réservé.


http://bourgogne.france3.fr/2014/06/14/saint-loup-de-varennes-71-un-accident-fait-deux-morts-et-un-blesse-grave-498433.html

Un jeune de Mariac se tue sur la route

Un dramatique accident de la circulation s’est produit, hier aux alentours de 17 heures, sur la RD 122, à proximité de Lachamp-Raphaël, vers le col du Pranlet (Centre Ardèche).
Willy Hilaire, un jeune homme âgé de tout juste 18 ans, est décédé après avoir perdu le contrôle de son véhicule, une Golf, dans une courbe.
D’après les premières constatations, le véhicule aurait quitté la chaussée, puis aurait dévalé une pente en réalisant plusieurs tonneaux, sur une centaine de mètres.
Seul dans le véhicule, le jeune Ardéchois originaire de Mariac, petite commune proche du Cheylard, était déjà décédé à l’arrivée des secours

http://www.ledauphine.com/ardeche/2014/06/13/un-jeune-de-mariac-se-tue-sur-la-route

vendredi 13 juin 2014

Villeurbanne : un enfant de 18 mois fait une chute mortelle du 12e étage

Un enfant âgé de 18 mois a fait une chute mortelle du 12e étage de la résidence où vivaient ses parents, au numéro 13 de la rue de Hanoï à Villeurbanne, ce vendredi vers 14 heures.

Une équipe du Samu de Lyon et des pompiers ont tenté de lui réanimer, lui pratiquant des massages cardiaques, avant de constater le décès vers 14h30.

Selon les premiers éléments de l’enquête policière, l’enfant jouait sur le balcon  lorsque le drame s'est produit. Dans l’après-midi, le père s’est rendu au commissariat de police de Villeurbanne afin d’être entendu


http://www.leprogres.fr/rhone/2014/06/13/villeurbanne-un-enfant-de-18-mois-fait-une-chute-mortelle-du-12e-etage

Un mort, un blessé grave dans un accident de moto

A Berre, ce jeudi aux alentours de midi, un motard est mort dans un accident impliquant, selon les premiers éléments de l'enquête, le seul deux-roues de la victime. Son passager a été grièvement blessé et transporté à l'hôpital en hélicoptère.

Les faits se sont déroulés dans le centre-ville. La moto a, selon un témoin, percuté un véhicule en stationnement et le pilote aurait fait un vol plané fatal


http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2917516/un-mort-et-un-blesse-grave-dans-un-accident-de-moto.html

Défi Facebook : un garçon de 19 ans meurt noyé dans le Morbihan

Un jeune homme de 19 ans est mort noyé jeudi soir à Béganne, dans le Morbihan, à la suite d'un "Défi Facebook" qui a mal tourné, un cas apparemment sans précédent en France à ce jour.

Le défi "A l'eau ou au resto", qui connaît un fort engouement depuis quelques temps sur Facebook, a fait sa première victime. Un jeune homme de 19 ans, jeudi soir à Béganne, dans le Morbihan. "Le jeune homme s'est noyé après s'être jeté à l'eau avec son vélo dans le cadre d'un défi "A l'eau ou au resto" sur Facebook, a indiqué Igor Souchu, substitut du procureur, évoquant "un jeu dramatique et complètement stupide". Le "défi" consiste à se jeter à l'eau dans les 48 heures ; si le gage n'est pas accompli, le perdant doit offrir un dîner au restaurant.

La direction générale de la police nationale (DGPN) avait mis en garde jeudi contre ces "défis" après qu'un blessé grave ait été déploré dans le Nord. "Après la vague de la 'neknomination' (se filmer en buvant de l'alcool)" de février dernier sur les réseaux sociaux, "les défis sur Facebook prennent de l'ampleur avec une nouvelle et récente déclinaison" intitulée "à l'eau ou au resto", avait indiqué à l'AFP le porte parole de la DGPN, Franck Dehay. Le "défi" consiste à se jeter dans une eau glaciale, parfois sous des prétextes humanitaires. Celui qui relève le pari doit ensuite poster la vidéo de ses exploits et inviter d'autres à le faire, seuls ou en groupes, via les réseaux sociaux. Si le gage n'est pas accompli, le perdant doit offrir un dîner au restaurant.
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"Pensez à votre avenir"
En moins de dix jours, début juin, ce "défi" a été proposé à grande échelle sous forme de tags sur Facebook, a expliqué Franck Dehay. Un jeune homme ayant  plongé à la mer à Wimereux, près de Calais (Pas-de-Calais), dans une eau glacée  et sans fond, a été grièvement blessé "avec des séquelles irréversibles", le 31  mai. Un rassemblement similaire dimanche a été organisé à Calais, via Facebook,  et la police l'a sévèrement encadré afin d'éviter tous dérapages. Il n'y a pas "eu d'incidents graves cette fois", a précisé le porte-parole de la DGPN.

"Même si cela part parfois d'un bon sentiment, il y a des risques de noyade, d'accident, de dérapages", a soutenu Franck Dehay, invitant les jeunes "à ne pas se laisser influencer". "Pensez à votre avenir", martèle la DGPN sur son compte Twitter et "face aux défis montrez que vous êtes le plus intelligent" en ne vous laissant pas "influencer". "Il y a un risque de surenchère et un réel danger", a plaidé M. Dehay, "c'est moins inoffensif que cela n'y paraît" et les "accoutrements" des participants sont "souvent ridicules ou humiliants".
 

jeudi 12 juin 2014

Loir: le corps d'une ado disparue retrouvé

Le corps d'une adolescente de 16 ans, disparue dans la nuit de vendredi à samedi alors qu'elle faisait du canotage avec un ami, a été découvert aujourd'hui en milieu de journée dans le Loir à Vendôme (Loir-et-Cher).

Le corps flottant dans la rivière de la jeune fille, domiciliée à Avord (Cher), a été signalé à la police par un promeneur.

La jeune fille, ainsi que son compagnon bientôt âgé de 19 ans, demeurant à Vendôme, ont disparu vendredi soir lors d'une promenade en barque après avoir passé la soirée en compagnie d'amis au bord de la rivière.

L'embarcation, vide, a été retrouvée samedi matin. Cinq équipes de plongeurs, trois équipes cynophiles, des pompiers et un avion de reconnaissance, ainsi que des proches des jeunes disparus, ont participé durant cinq jours à ces recherches.

"Le jeune homme est toujours recherché et l'enquête doit établir les circonstances de la mort", a-t-on indiqué au commissariat de Vendôme.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/06/12/97001-20140612FILWWW00254-loir-le-corps-d-une-ado-disparue-retrouvee.php

Biterrois : l'octogénaire disparue vendredi à Saint-Thibéry est décédée

A lors qu'elle avait été retrouvée mardi, l'octogénaire disparue avant le week-end est décédée à l'hôpital.
La joie aura été hélas de courte durée pour les proche de Marie Porlan. L'octogénaire de 81 ans, portée disparue avant le week-end, avait été retrouvée mardi matin. Marie Porlan est réapparue, très affaiblie par plusieurs jours sans boire ni manger. Elle a semble-t-il erré pendant tout ce temps dans les alentours de Saint-Thibéry. Hospitalisée, elle est, malgré les soins, décédée mardi à 18 h d'une crise cardiaque. Marie Porlan avait disparu vendredi soir. La dernière personne qui l'avait vue était son aide-ménagère qui était passée à son domicile de Saint-Thibéry vers 19 h. Ce n'est que samedi matin que la disparition avait été constatée. 

http://www.midilibre.fr/2014/06/11/biterrois-l-octogenaire-disparue-vendredi-a-saint-thibery-est-decedee,1005604.php

mercredi 11 juin 2014

Vienne: il tue sa compagne, sa fillette de 3 ans donne l'alerte

Un homme de 27 ans a été écroué mercredi après avoir tué d'une trentaine de coups de couteau sa compagne lundi Avanton (Vienne), un drame signalé par l'une des deux fillettes du couple, âgée de trois ans, qui a donné l'alerte après avoir vu le corps ensanglanté de sa mère.
L'homme, qui a d'abord nié les faits lors de sa garde à vue, avant de finalement passer aux aveux, a été mis en examen pour homicide volontaire par concubin et écroué, a indiqué lors d'un point-presse le Procureur de la République de Poitiers, Nicolas Jacquet.
Le drame s'est produit lundi, vers 19H30, au domicile du couple. Une dispute a éclaté dans la cuisine alors que leurs deux enfants, deux filles de deux et trois ans et demi, étaient au lit.
La discussion, qui tournait autour d'une possible relation extra-conjugale du compagnon, s'est rapidement envenimée: l'homme a d'abord donné un coup de poing à sa femme, avant de saisir un couteau de cuisine avec lequel il lui a porté une trentaine de coups, a rapporté le Procureur, en évoquant un véritable "déchaînement de violence".
L'homme est ensuite sorti du domicile pour dissimuler le couteau et ses vêtements souillés de sang.
Entretemps, son aînée, qui s'était levée et avait découvert le corps ensanglanté de sa mère, était sortie pour donner l'alerte. La fillette, marchant vers son école en culotte et en chaussures, a alors été aperçue par une voisine à qui elle a indiqué que sa mère "dormait", qu'elle n'était "pas bien du tout" et qu'elle avait "du sang partout". La voisine a immédiatement prévenu les secours.
La fillette "a vu avec certitude sa maman décédée (...) Pour le reste, c'est difficile de dire si oui ou non elle a assisté à l'ensemble" du drame, a expliqué le magistrat.
Le couple était "en difficulté", a indiqué Nicolas Jacquet, expliquant que la jeune femme avait quitté le domicile conjugal il y a quelques mois avant de revenir. La gendarmerie était intervenue il y a quelques temps pour une altercation, mais sans violence physique avérée, a-t-il ajouté.
"Il n'y a pas eu véritablement de clignotant qui pouvait nous laisser penser qu'on pouvait arriver à ce drame", a encore dit le Procureur.

http://r.orange.fr/r?ref=HPC_i_alaune_infocontinu_actu&url=http://actu.orange.fr/faits-divers/vienne-il-tue-sa-compagne-sa-fillette-de-3-ans-donne-l-alerte-afp_CNT0000002E9dI.html

Saint-Astier : incendie d'une maison, un corps retrouvé dans les décombres

Une maison a été entièrement détruite par un incendie, dans la nuit de mardi à mercredi, au lieu-dit Excideuil à Saint-Astier, en Dordogne. Un corps a été retrouvé dans les décombres. Un père et son fils de 9 ans qui vivaient là sont activement recherchés.
L'incendie s'est déclaré dans la nuit vers 5h du matin. Et très vite les différents étages de la maison se sont effondrés les uns sur les autres. Un corps a été retrouvé dans les décombres. On ignore toutefois pour l'instant s'il s'agit de l'un des deux occupants de la maison. Les gendarmes sont à la recherche des occupants de la maison, un homme d'une cinquantaine d'années et son fils de 9 ans. L'origine de l'incendie reste inconnue.

http://aquitaine.france3.fr/2014/06/11/saint-astier-incendie-d-une-maison-deux-habitants-recherchees-par-les-pompiers-496201.html

Accident de plongée mortel : l'enquête se poursuit et le corps de la disparue reste introuvable

Ils étaient sept femmes et deux hommes à être partis en plongée, lundi soir, lorsqu’est survenu le drame qui a coûté la vie à deux femmes.
36 heures après le drame le corps de la victime reste introuvable, malgré les dispositifs de recherche. Il s’agit d’une documentaliste de 49 ans. Hier, mardi 10 juin, dés 6 heures du matin les secours ont scruté, en vain, la zone où le corps avait été aperçu lundi soir. Les recherches pour tenter de retrouver le corps continuent aujourd’hui, mercredi 11 juin, mais les chances de retrouver le corps s'amenuisent.
Sept plongeurs ont échappé au drame dont une jeune femme de 21 ans qui s’ést agrippée pendant deux longues heures à rocher frappé par la houle. On déplore également le décès d'une femme, médecin anesthésiste au CHU de Saint-Pierre, qui a été arrachée aux vagues mais qui n’a pas pu être réanimée. Aujourd'hui à 14 heures, ses collègues lui rendront hommage au centre hospitalier de Saint-Pierre. La jeune femme devait fêter ses 34 ans aujourd'hui.

Enquête pour homicide et blessures involontaires

Suite à cette tragédie, survenue lundi 9 juin au soir, une enquête pour homicide involontaire a été ouverte. Les rescapés ont été auditionnés longuement hier. Le vice procureur, François Thévenot, a ordonné la saisie du matériel de plongée. Il semble que les neuf plongeurs disposaient d’un diplôme d’un niveau suffisant (niveau 3) pour une telle plongée. L’objet de l’enquête sera de démontrer s’il y a eu prise de risque de la part du moniteur. 

http://reunion.la1ere.fr/faits-divers

Une femme meurt happée par un bus bondé

Une femme qui tentait de monter dans un bus bondé est morte écrasée par le véhicule ce matin à Paris révèle Le Parisien. D'après les informations du quotidien, elle aurait tenté de faire arrêter le bus en tapant sur la vitre mais le chauffeur ne l'aurait pas entendue

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/06/11/97001-20140611FILWWW00160-une-femme-meurt-happee-par-un-bus-bonde.php

Albi. Il menaçait de sauter du toit de l'hôpital

Pendant plus de 22 heures, un homme souffrant de problèmes psychiques est resté perché sur le toit de l'hôpital d'Albi, menaçant de sauter dans le vide. Il a finalement pu être récupéré par les négociateurs de la gendarmerie hier soir.
Grosse frayeur hier à l'hôpital d'Albi. Lundi soir vers 19 heures, un homme s'est réfugié sur un toit terrasse, menaçant de se jeter dans le vide. Il est resté perché à 10 mètres de hauteur pendant toute la nuit et jusqu'à 17 heures hier avant de renoncer à se suicider. Cet homme n'était pas un patient de l'établissement. «Il s'est réfugié à l'hôpital car il avait peur, a avancé hier matin Alain Guinamant *, le directeur de l'établissement. Il se sent persécuté, il entend des voix, il a des hallucinations. Il veut se jeter dans le vide car il a très peur de ces menaces extérieures.»

22 heures de négociations pour le raisonner

Pendant 22 heures d'affilée, un important dispositif a été déployé pour essayer de le raisonner. «Quatre négociateurs de la gendarmerie (deux du Tarn, un de Toulouse et un dernier du Gers) ainsi que des psychiatres du Bon sauveur ont été mobilisés, ce qui représente un important déploiement», a expliqué Yves Mathis le directeur de cabinet de la préfète du Tarn. Par mesure de sécurité, le patio de l'accueil des consultations externes, d'où l'homme menaçait de sauter, a été fermé. Les forces de police étaient sur place pour sécuriser la zone, mais aussi le Samu et une équipe de pompiers. Au cours de la journée, les soldats du feu ont installé sur le sol plusieurs tatamis prêtés par le stadium d'Albi dans l'hypothèse d'une éventuelle chute.
L'homme «pas menaçant» et «sans revendications» particulières, selon la direction de l'hôpital est resté en lien permanent avec les négociateurs. Il n'a pas dormi et refusait toute nourriture, acceptant seulement sous la chaleur écrasante quelques bouteilles d'eau jetées en sa direction.

Admis aux urgences de l'hôpital

Toujours selon le directeur de l'hôpital, l'individu très fragile psychologiquement, a menacé à plusieurs reprises de se suicider. Finalement, vers 17 heures, l'établissement a annoncé dans un communiqué que «l'homme a finalement été convaincu par l'un des négociateurs de renoncer à mettre fin à ses jours». Il a été immédiatement pris en charge par les équipes médicales des urgences.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/06/11/1897881-albi-il-menacait-de-sauter-du-toit-de-l-hopital.html

mardi 10 juin 2014

Adolescent noyé dans la Sambre : l’homicide involontaire privilégié

Dimanche soir un adolescent de dix-sept ans a été retrouvé noyé dans la Sambre à Sassegnies. Si, dans un premier temps, les enquêteurs ont évoqué l’hypothèse de l’accident, ils retiennent, pour l’instant, celle de l’homicide involontaire.
Sapeurs-pompiers d’Aulnoye-Aymeries, et Avesnes-sur-Helpe, équipes de plongeurs de Cambrai et Valenciennes, sauveteurs aquatiques d’Hautmont, SAMU de Maubeuge… D’importants moyens ont été déployés dimanche soir pour retrouver un adolescent originaire de Raucourt-au-Bois, tombé dans la Sambre à Sassegnies. Le drame est arrivé peu après 20 heures. La victime – venue avec un groupe de copains qui voulaient se baigner - est tombée du pont situé au bout du chemin du Ponton, à quelques pas du centre du village. Les personnes présentes n’auraient pas réussi à sauver le jeune homme qui a disparu sous l’eau pour ne plus remonter. Les équipes de plongeurs ont mis près d’une heure pour retrouver, vers 22 h, le corps inanimé de François Lhussiez.
Après la découverte du corps, une équipe de gendarmes de la brigade de Landrecies est restée sur place pour procéder aux premières constatations. À leur demande, le maire de Sassegnies, Jean-Marie Soigneux, a fait installer une barrière à l’entrée du pont, pour protéger les lieux du drame.

Identification criminelle

L’enquête a été confiée aux gendarmes de la brigade de Landrecies ; ils sont secondés par ceux de la brigade de recherche d’Avesnes-sur-Helpe. Leur travail devrait permettre d’éclaircir les circonstances exactes dans lesquelles ce drame a eu lieu.
Les gendarmes sont revenus sur les lieux ce lundi en fin de matinée, accompagnés cette fois-ci par des techniciens en identification criminelle (TIC) de la brigade départementale de recherches, pour recueillir des éléments qui pourraient faire avancer l’enquête. Dans un premier temps les enquêteurs ont privilégié la thèse de l’accident. « Un drame comme celui-ci est vite arrivé. Il fait chaud, les jeunes veulent se baigner… Mais l’eau est froide et en sautant on risque l’hydrocution » tenait à rappeler hier après-midi le capitaine Marousez, adjoint au commandant de la compagnie d’Avesnes-sur-Helpe. Depuis, c’est la thèse de l’homicide involontaire qui est privilégiée. « Une personne a reconnu avoir poussé la victime du pont » a affirmé le procureur de la République d’Avesnes Jean-Francis Créon, hier soir.
Un examen médico-légal du corps devrait avoir lieu mardi ou mercredi.
 

Ce n’était pas un «défi Facebook»

Dans un contexte où beaucoup de jeunes se lancent des défis sous le nom « à l’eau ou un resto » sur les réseaux sociaux, les rumeurs sont allées bon train au cours de la journée d’hier - quand les premiers articles sur le drame de Sassegnies ont été publiés sur internet.
Mais celles et ceux qui ont pensé qu’il devait s’agir, à Sassegnies dimance soir, d’un « défi Facebook » qui aurait mal tourné se sont trompés. C’est en tout cas la conviction des parents de François - tout comme celle des enquêteurs

Condé-sur-l’Escaut: un homme retrouvé sans vie dans l’étang de Chabaud-Latour, ce mardi midi

À croire qu’il s’agit là d’une vraie série noire dans le Valenciennois. Alors que les sapeurs-pompiers de Douchy-les-Mines étaient intervenus, ce mardi matin, pour secourir une femme d’une cinquantaine d’années qui était tombée dans la Selle, à Haspres, les soldats du feu sont à nouveau intervenus suite au signalement d’un corps flottant sur l’étang Chabaud-Latour, à Condé-sur-l’Escaut. Cette fois-ci en revanche, les sapeurs-pompiers n’ont rien pu faire pour sauver le malheureux.
C’est un peu avant 13 heures que l’alerte a été donnée, ce mardi midi. Une collégienne âgée d’une quinzaine d’années revenait du centre commercial de Condé-sur-l’Escaut en coupant par l’étang Chabaud-Latour, lorsqu’elle a aperçu un corps en train de flotter le long des berges, du côté de la route de Bonsecours. D’importants moyens ont aussitôt été déclenchés, dont des plongeurs des centres d’incendie et de secours (CIS) de Vieux-Condé et Anzin, le bateau léger de sauvetage (BLS) de Valenciennes ou encore le véhicule léger d’infirmiers (VLI) de Douchy-les-Mines.

Une chute de vélo ?

Mais une fois le corps localisé, les secours n’ont rien pu faire d’autre que de le sortir de l’eau.Il était déjà trop tard pour tenter de le réanimer. D’après les premiers éléments relevés sur place, c’est le corps d’un homme semblant âgé entre 35 et 40 ans qui aurait été découvert. Un homme qui devait sans doute être en train de faire du vélo avant qu’il ne chute dans l’étang : un vélo-cross jaune a été retrouvé à quelques mètres de l’endroit où a été découvert le corps du malheureux. S’agit-il d’un habitant du quartier ? Interpellés par la présence des sapeurs-pompiers et celle des fonctionnaires de police, bien des riverains s’interrogeaient sur l’identité de la victime. Mais ils ne reconnaissaient pas la bicyclette jaune.
Les policiers de l’identité judiciaire étaient attendus sur place, pour procéder aux premières constatations afin de mieux déterminer ce qui a pu se passer.
 
http://www.lavoixdunord.fr/region/conde-sur-l-escaut-un-homme-retrouve-sans-vie-dans-ia27b36912n2198751