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mardi 9 août 2016

Bébé décédé à Bourges : la mère reconnaît avoir tué sa fille

Une femme a été mise en examen pour assassinat ce mardi après qu'elle a reconnu avoir tué son bébé, tout juste âgé de six jours. L'enfant avait été retrouvé dimanche devant le domicile familial à Bourges.
La mère du bébé de six jours, qui avait été retrouvé mort devant le domicile familial dimanche à Bourges, a été mise en examen pour assassinat, après avoir reconnu avoir tué sa fille, a-t-on appris mardi auprès du parquet.

Les circonstances exactes et les raisons de ce geste restent inconnues, a précisé le parquet. Le père de l'enfant, qui avait été lui aussi placé en garde à vue, a été mis hors de cause. Il avait signalé la disparition de sa compagne, âgée de 27 ans, et de leur fille samedi en pleine nuit.
Des "lésions cérébrales conséquentes"

Le bébé avait été découvert dimanche matin par un voisin, gisant au sol, près de sa mère. Il n'avait pas pu être réanimé par les pompiers. Une autopsie du corps du bébé a révélé des "lésions cérébrales conséquentes".
Conformément aux réquisitions du parquet, la jeune femme a été placée sous contrôle judiciaire et hospitalisée après avoir avalé des médicaments. Une expertise psychiatrique devra déterminer si elle est responsable pénalement.

lundi 2 novembre 2015

Une mère écrouée, soupçonnée d'avoir tué son nouveau-né

Une femme d’une trentaine d’années, dont le nouveau-né a été découvert mort dans un sac à son domicile du Perreux-sur-Marne (Val-de-Marne), dans la nuit de vendredi à samedi, a été écrouée, a-t-on appris dimanche de source judiciaire.
La mère, mise en examen pour homicide volontaire sur mineur de moins de 15 ans, « a reconnu avoir accouché clandestinement et avoir placé l’enfant dans le sac », a indiqué cette source. Son compagnon, qui avait également été placé en garde à vue, « a été relâché ».
L’autopsie du nourrisson a démontré qu’« il était vivant » lors de l’accouchement. Il reste à déterminer si son décès fait suite à « une insuffisance respiratoire » ou « une asphyxie mécanique » par strangulation, a détaillé la source judiciaire.
Le bébé avait été retrouvé par les policiers au domicile d’un couple dont la femme venait d’être hospitalisée car elle perdait beaucoup de sang.
Le comportement du conjoint, parti de l’hôpital en pleine nuit, avait intrigué les policiers, qui l’avaient surpris ensuite chez lui « en train de laver du linge rempli de sang », avant la macabre découverte, avait rapporté une source policière.
http://www.lunion.com/585653/article/2015-11-02/une-mere-ecrouee-soupconnee-d-avoir-tue-son-nouveau-ne

mercredi 29 juillet 2015

Bretagne: La maman soupçonnée d'avoir noyé son bébé mise en examen

La femme de 33 ans soupçonnée d’avoir noyé son bébé de 4 mois le 17 juillet à Paimpol (Côtes d’Armor) a été mise en examen pour homicide volontaire sur mineure de moins de 15 ans, rapporte Ouest-France dans son édition de mercredi.

Les secours impuissants

La femme, qui souffre visiblement de troubles psychiatriques, aurait tué son bébé en le noyant dans sa baignoire. C’est le grand-père de l’enfant, inquiet de voir sa fille l’appeler et évoquer le drame, qui avait alerté les secours. Arrivés sur place, les pompiers n’avaient pas pu réanimer le nourrisson. La mère a été hospitalisée d’office dans un établissement spécialisé.
http://www.20minutes.fr/rennes/1659163-20150729-bretagne-maman-soupconnee-avoir-noye-bebe-mise-examen

samedi 30 mai 2015

Infanticides présumés près de Cambrai


Le père des trois enfants, âgés de deux mois, deux ans et quatre ans, « semble avoir donné la mort » à deux d’entre eux à l’aide d’un couteau, dans la maison familiale, selon le sous-préfet de Cambrai Thierry Hégay.
Les enfants âgés de deux mois et quatre ans sont décédés. Une fillette de deux ans, qui se trouve « dans un état critique », a été transportée par voie terrestre à l’hôpital, a indiqué le procureur de la République de Cambrai, Rémi Schwartz. «A priori, personne n’a assisté aux meurtres», a-t-il précisé.

« Différend familial »

La femme et la belle-mère ont été légèrement blessées mais leur pronostic vital n’est pas engagé. Elles ont été admises à l’hôpital de Cambrai, selon M. Hégay. La mère des enfants aurait notamment été frappée à l’aide d’une bûche, selon le procureur.
Trente sapeurs-pompiers ont été engagés peu avant minuit sur l’intervention, avec trois équipes médicales, a indiqué le Codis du Nord, qui a évoqué un « différend familial ».
Selon le sous-préfet de Cambrai, les infanticides présumés auraient eu lieu sur fond de dispute familiale, mais le père, âgé d’une trentaine d’années, « semblait atteint de troubles psychiatriques ».
Le procureur a évoqué de son côté des « troubles du comportement récents » de cet homme, selon les premiers éléments rapportés par des proches aux enquêteurs.
Le père de famille voulait apparemment se suicider, après les faits, mais il a été interpellé, selon le sous-préfet.
Il devait faire l’objet d’examens médicaux à l’hôpital, avant d’être placé en garde à vue et d’être interrogé, si son état le permet, a indiqué le procureur.

Une toute petite rue au bout du village

Les gendarmes de la section de recherches de Villeneuve d’Ascq ont été chargés de l’enquête, épaulés par la brigade de recherches de Cambrai.
Vers 3h30 du matin, le village avait retrouvé son calme. La rue où se trouve la maison était bouclée, pour permettre aux enquêteurs de police scientifique de travailler tranquillement, dans cette bourgade de maisons en briques d’un peu plus de 2 000 âmes, entourée de champs.ommune de Walincourt-Selvigny, près de Caudry, dans la nuit de vendredi à samedi
http://www.lavoixdunord.fr/region/walincourt-selvigny-deux-enfants-morts-dans-un-probable-ia0b0n2855475

jeudi 19 février 2015

Un nouveau-né tué : sa mère soupçonnée

Un petit garçon a été retrouvé, sans vie, au pied d’un immeuble dans la nuit de mercredi à jeudi, dans le quartier de Neudorf à Strasbourg. Il semble qu’il a été jeté du troisième étage
C’est une femme qui a fait la macabre découverte ce jeudi peu après minuit. Alors qu’elle promenait son chien, elle a constaté la présence d’un nourrisson sans vie au pied d’un immeuble, dans une cour intérieure, allée de l’Orphelinat à Strasbourg dans le quartier de Neudorf.
Une locataire logeant au troisième étage – dont certains riverains assurent qu’elle serait handicapée mentale – aurait en effet mis au monde un petit garçon, dans la nuit de mercredi à jeudi. Après avoir accouché, elle aurait jeté l’enfant par la fenêtre de son appartement.
Apparemment, le voisinage ignorait tout de sa grossesse en cours, masquée par la forte corpulence de la mère.
Policiers et pompiers ont aussitôt été alertés après la tragique découverte. Il semble que la mère était en train de faire une hémorragie. Elle a été transportée en urgence à l’hôpital et pourrait être soumise à une expertise lorsque son état de santé le permettra.
Une enquête de police est actuellement en cours
http://www.dna.fr/edition-de-strasbourg/2015/02/19/un-nouveau-ne-tue-sa-mere-soupconnee

mardi 16 septembre 2014

Fillette torturée en Vendée: Une mère désinvolte et immature, selon le père

Il s'est confié au journal «Sud Ouest»...
Le père de la petite Angèle, retrouvée morte le 11 septembre chez sa mère et son compagnon après avoir été martyrisée et étranglée, décrit la mère de la fillette comme désinvolte et immature, dans un entretien mardi à Sud Ouest. Les parents se disputaient la garde de l'enfant et le juge des affaires familiales avait été saisi. Fin 2011, le père de famille avait alerté les services sociaux dans le Val-de-Marne où la mère habitait alors, ces derniers concluant à «une relation relativement satisfaisante avec la mère».
Le père et la mère, âgés respectivement de 16 et 17 ans à la naissance de l'enfant, ont vécu ensemble deux ans en Charente avant de se séparer, raconte au quotidien le père de famille, brun au visage juvénile, qui dit avoir «toujours assumé» la grossesse de sa compagne. Avant leur rencontre, la mère avait grandi en famille d'accueil en Gironde.

«Je voulais qu'elle arrête de boire, de fumer des pétards »

Selon lui, le couple se sépare en septembre 2011 en raison du comportement de la mère: «Je voulais qu'elle arrête de boire, de fumer des pétards (...) Un soir je suis rentré, elle était partie», témoigne le père de famille, qui travaille comme saisonnier. Après six mois sans nouvelles, il retrouve la trace de la mère sur un site internet de rencontres, avec une domiciliation dans le Val-de-Marne.
«Centres d'intérêt: m'éclater et faire la teuf», est-il écrit sur le profil internet de la mère de famille, selon le père qui indique avoir joint une copie du profil aux services sociaux du Conseil général du département qu'il a décidé d'alerter. Une visite hebdomadaire du père est autorisée par un juge aux affaires familiales du Tribunal de Créteil. Le père, qui contracte entre temps une leucémie, n'avait pas vu sa fille depuis «un an, un an et demi» lorsqu'il a appris les faits.
Les obsèques de l'enfant ont eu lieu le 13 septembre en Charente-Maritime.

http://www.20minutes.fr/societe/1444055-20140916-fillette-torturee-vendee-mere-desinvolte-immature-selon-pere

mercredi 27 novembre 2013

Père infanticide à Toulouse : un homme «normal» face à un crime fou

Hospitalisé d’office lundi en fin de journée, l’homme accusé du meurtre de son fils ne s’est pas vraiment expliqué. Et sa personnalité n’est pas celle d’un homme violent.
Au-delà de l’horreur, les questions. Au lendemain de la mort du petit garçon de 4 ans, tué lundi au cœur de la nuit à Toulouse, beaucoup s’interrogent sur ce geste fou et sur l’homme soupçonné, le propre père de la victime. Âgé de 40 ans, David G. est depuis lundi soir entre les mains des équipes de soins de l’hôpital Marchant comme nous l’annoncions dès hier.
Cette décision médicale n’entraîne, pour l’instant, ni la fin de l’enquête, ni la fin des poursuites. En effet l’expert psychiatre mandatée, Geneviève Peresson, a estimé la garde à vue incompatible en raison du danger «pour lui-même et autrui» du suspect. Mais l’expert a pris le soin de ne pas se prononcer sur l’état de cet homme au moment du drame. Une précaution qui laisse des poursuites possibles, surtout si cet homme retrouve son esprit.

Marijuana et, ou, drogue de synthèse

Aussi incroyable que cela puisse paraître, cet ambulancier sans histoire qui voulait ouvrir une salle d’arts martiaux vietnamien - il est ceinture noire 4e dan de Vo Thuat - n’a jamais fait parlé de lui avant la nuit tragique. Inconnu du fichier police STIC, service de traitement des infractions constatées, son casier judiciaire est vierge. Il n’a jamais été hospitalisé pour des problèmes de comportement. «Inconnu de tout le monde», glisse un proche du dossier.
Du côté des enquêteurs qui essayent de reconstituer sa vie, aucune mauvaise surprise pour l’instant. Même s’il s’en est défendu face aux policiers, David G consommerait de la drogue. Est-ce là l’explication ? Une décompensation après avoir fumé de la marijuana est possible. Les enquêteurs pensent davantage à la consommation d’une drogue de synthèse. Seuls les résultats des analyses, qui pourraient prendre du temps, permettront d’éclairer cette partie importante de l’enquête.
Aujourd’hui, le parquet de Toulouse va ouvrir une information judiciaire. Probablement pour «homicide aggravé sur mineur de moins de 15 ans, crime puni de la réclusion criminelle à perpétuité. Philippe Colson, doyen des juges d’instruction, va être saisi. Il aura la charge de progresser dans la compréhension de l’incompréhensible.
Comprendre comment un homme que ses voisins décrivent comme «normal» a ainsi pu basculer. Séparé depuis juillet 2012 de la mère de la petite victime, il a été décrit par une ancienne petite amie croisée pendant l’été comme «plutôt gentil». Loin de l’individu en furie avec lequel les policiers ont dû littéralement se battre avant d’enfin le maîtriser. Un homme aujourd’hui soupçonné d’avoir tué son propre fils, dans une scène dont la violence effraie tous les témoins du crime.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/27/1762011-pere-infanticide-toulouse-homme-normal-face-crime-fou.html

jeudi 16 mai 2013

Haute-Saône. Par dépit amoureux, elle noie ses deux enfants

Une mère de famille a alerté les gendarmes mercredi soir à Ronchamp, en Haute-Soâne, depuis son domicile. Elle s’est accusée d’avoir elle-même noyé ses deux enfants, une fillette de deux ans et demi et un garçon de huit mois. Les deux petits corps ont été découverts sans vie dans la baignoire par les gendarmes.
Une enquête pour infanticide a été ouverte au parquet de Vesoul et la mère a été hospitalisée d’office. Selon les premiers éléments de l’enquête, elle aurait agi par dépit amoureux.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/16/1627646-haute-saone-par-depit-amoureux-elle-noie-ses-deux-enfants.html