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dimanche 12 février 2017

Un cycliste fait un arrêt cardiaque fatal et décède lors d'une sortie vélo

Un Mouginois d’une cinquantaine d’années a succombé samedi matin à un arrêt cardiaque alors qu’il participait à une sortie vélo organisée par son club, l’Avenir cycliste mouginois.            
Le groupe de sportifs était parti des plages du Midi de Cannes et roulait depuis une demi-heure quand, lors d’une pause, un des participants, a fait un malaise.
C’était au niveau de l’hôtel de l’Esquillon à Théoule, en milieu de matinée.
Trois médecins qui participaient à cette sortie ont essayé de le ranimer. En vain.
http://www.nicematin.com/sujet/faits-divers

jeudi 26 janvier 2017

Malaise mortel sur un chantier

Hier vers 11 h 30, un ouvrier de 55 ans est décédé alors qu’il travaillait sur un chantier de réparation de canalisation rompue, rue des Tirailleurs-tunisiens à Scheibenhard, en Alsace du Nord.
L’homme habitant à Mothern a été victime d’un malaise cardiaque. Les pompiers ne sont pas parvenus à le ranimer. Les gendarmes de la brigade de Seltz étaient sur place.
http://www.dna.fr/faits-divers/2017/01/26/malaise-mortel-sur-un-chantier

dimanche 22 janvier 2017

Un bouliste décède sur le boulodrome

Un bouliste carombais de 79 ans est décédé hier en début d’après-midi sur le boulodrome du village, et ce malgré les tentatives de réanimation des sapeurs-pompiers. La victime a sans doute succombé à un malaise cardiaque.
http://www.laprovence.com/actu/en-direct/4290117/un-bouliste-decede-sur-le-boulodrome.html

samedi 7 janvier 2017

Treize personnes meurent de la grippe dans une maison de retraite à Lyon

L'Inspection générale des affaires sociales devra faire la lumière sur cet «événement exceptionnel» survenu entre le 23 décembre et le 7 janvier.
Treize résidents d'une maison de retraite à Lyon sont morts de la grippe depuis le 23 décembre, et six autres sont encore hospitalisés, a annoncé samedi la ministre de la Santé qui a saisi l'Inspection générale des affaires sociales (Igas). L'Igas devra faire la lumière sur cet "événement exceptionnel".
Sur 72 personnes ayant contracté la grippe sur cette période dans "l'établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) Korian Berthelot à Lyon", 13 personnes, d'une moyenne d'âge de 91,5 ans, sont décédées et "six sont encore hospitalisées", a précisé le ministère dans un communiqué. 
LIRE AUSSI - Grippe : une épidémie qui s’intensifie
A la demande de Marisol Touraine, l'agence régionale de santé Auvergne Rhône-Alpes a lancé vendredi "une mission d'inspection afin de contrôler la mise en oeuvre par l'établissement, depuis le début de l'épidémie, des recommandations des autorités sanitaires de lutte contre la grippe". Dépêché sur place vendredi, le Directeur général de la santé "a constaté que, à cette date, les mesures de prévention étaient bien mises en place", selon le ministère.
Samedi, "toutes les personnes présentant des symptômes grippaux ont bénéficié d'un examen médical" et "une personne supplémentaire a été hospitalisée" par "mesure de précaution", précise-t-on. Marisol Touraine précise avoir, en outre, demandé à l'Igas d'"analyser les causes à l'origine de cet évènement exceptionnel" et de rendre un premier rapport d'étape "sous dix jours". 
"Compte tenu de la sensibilité particulière des personnes âgées de plus de 65 ans au virus grippal", la ministre rappelle "aux directeurs d'établissements accueillant des personnes âgées de prendre toutes les mesures nécessaires pour contenir l'épidémie". L'épidémie de grippe saisonnière s'est intensifiée la semaine dernière, avec une très forte augmentation des passages aux urgences et des hospitalisations de personnes âgées.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

lundi 2 janvier 2017

Grippe : décès d'une jeune fille de 13 ans en Ardèche

Selon nos confrères du Dauphiné Libéré, une jeune fille de 13 ans serait décédée à son domicile de la grippe, dans la nuit du nouvel an. Appelé à son chevet à Gluiras, les pompiers et le Samu ont tenté de la ranimer sans succès
Toujours selon la même source, l'adolescente serait passé par le service pédiatrique de l'hôpital de Valence où une grippe sévère lui aurait été diagnostiquée. Pour l'heure, l'hôpital de Valence ne confirme pas l'information.
Pascal Terrasse, député et ancien patron du département de l'Ardèche a twitté sur le sujet et rappelé que la grippe "ne doit pas être prise à la légère".

De fait, l'épidémie de grippe 2015 considérée de «forte ampleur», avait contribué à une surmortalité hivernale record de 18 300 décès en France, selon le bilan définitif de l'Institut de veille sanitaire (InVS).

90% des morts de la grippe ont plus de 65 ans

Pour Pascal Terrasse, cette dramatique disparition rappelle que les personnes agées -même si elles représentent 90% des décès prématurés pour cause de grippe-  ne sont pas les seules concernées par la maladie. D'où l'importance des gestes d'hygiène et de prévention du quotidien, comme le fait de se laver les mains, ou encore d'éviter de se faire la bise en période d'épidémie, des précautions qui ne doivent pas être sous-estimés.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/rhone-alpes/ardeche

samedi 31 décembre 2016

Un trentenaire terrassé par une méningite à Montélimar

Un homme d'une trentaine d'années est mort jeudi à Montélimar trente minutes après son arrivée aux urgences d'une méningite foudroyante, a-t-on appris samedi auprès du Centre Hospitalier de Montélimar
Alertée, l'Agence régionale de santé (ARS) Auvergne-Rhône-Alpes a dressé une liste de 25 personnes ayant eu des contacts prolongés (au moins une heure) avec le malade afin qu'ils puissent bénéficier éventuellement d'un traitement antibiotique, précise Le Dauphiné Libéré, qui a révélé l'information samedi. Aucun autre cas de méningite n'a été décelé depuis au CH de Montélimar, précise-t-on encore à la direction.
Ce décès intervient alors que le campus de Dijon a connu récemment parmi ses étudiants trois cas de méningite à méningocoque de type W135, dont deux mortels.
En conséquence, l'ARS Bourgogne-Franche-Comté va lancer en janvier une campagne de vaccination "élargie" pour éviter une circulation du germe. L'ARS soupçonne en effet qu'il y ait sur le campus des porteurs sains, a précisé à l'AFP samedi la porte-parole de l'agence.
L'ARS doit présenter mardi les contours de cette campagne de vaccination qui se fera par étapes auprès d'une "population cible" potentiellement concernée sur le campus de 30.000 personnes, détaille encore la porte-parole.
Le méningocoque est un germe très fragile qui ne survit pas dans l'environnement mais se transmet par la salive. La méningite se traduit par une fièvre, des maux de tête, une raideur de nuque avec des vomissements et une gêne à la lumière. Les infections invasives à méningocoque sont relativement rares en France, avec 469 cas notifiés en 2015, ayant entraîné 53 décès, selon des chiffres de l'Institut national de veille sanitaire.
http://www.laprovence.com/actu/en-direct/4262273/un-trentenaire-terrasse-par-une-meningite-a-montelimar.html

samedi 19 novembre 2016

Une collégienne de 12 ans décède après un malaise

Une adolescente de 12 ans a été victime d’un malaise, hier dans la cour de récréation de son collège, dans le quartier du Jas-de-Bouffan à Aix. La collégienne s’est aussitôt rendue à l’infirmerie. Les sapeurs-pompiers ont été alertés par l’établissement et se sont aussitôt rendus sur place.
La famille de l’adolescente a été prévenue également. Les secouristes ont tenté de ranimer la jeune fille, avant de la transporter à l’hôpital. L’enfant est malheureusement décédée. Elle présentait vraisemblablement des antécédents médicaux.
http://www.laprovence.com/actu/en-direct/4206969/une-collegienne-de-12-ans-decede-apres-un-malaise.html

jeudi 3 novembre 2016

Une femme décède à sa sortie d'hospitalisation

Une femme de 65 ans est décédée dès sa sortie d’une hospitalisation à l'institut coeur-poumon au CHR de Lille. Elle a fait un malaise sur le parking de l'établissement médical, où un membre de sa famille devait venir la chercher, selon La Voix du Nord.
Malgré l'intervention des secours, la sexagénaire est décédée. Selon le CHR, elle avait été hospitalisée lundi. "Son état ne suscitait pas d’inquiétude, il n’y avait aucune contre-indication à ce qu’elle puisse sortir de l’hôpital. Rien ne laissait présager un malaise de la sorte." rapporte La Voix du Nord.
La famille a été "immédiatement reçue au service cardiologique, afin de regarder ensemble le dossier médical de la victime et proposer un accompagnement
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

vendredi 28 octobre 2016

Leucémie: Matéo, opéré grâce à un élan de solidarité, s'est éteint jeudi

hebergement d'image

Une disparition qui émeut les réseaux sociaux. Matéo, 17 ans, originaire de l’Isère, s’est éteint jeudi. Sur sa page facebook, sa famille a prévenu la communauté qui s’était créée pour sauver Matéo. Car en décembre dernier, l’adolescent et ses proches avait lancé un appel aux dons pour que Matéo puisse bénéficier de soins spéciaux dans un hôpital américain à Seattle.

Grâce à un appel aux dons, Matéo, 16 ans, a été soigné de sa leucémie aux Etats-Unis

Une rechute en juillet


L’appel à la solidarité, relayé par plusieurs médias, avait atteint son but : avec les 172.000 euros récoltés, Matéo a pu partir aux Etats-Unis pour se faire opérer. Revenu en avril en France, il avait malheureusement rechuté début juillet selon Europe 1. Il s’est donc éteint « entouré de ses proches » jeudi.

Emotion des internautes


Mais ses dernières semaines, son état de santé s’était dégradé. C’est sa sœur, Lison, qui a annoncé son décès sur la page Facebook « Tous unis pour sauver Matéo » : « Merci à vous tous pour votre soutien, et votre discrétion dans ces moments difficiles. A bientôt ». « Je pars apaisé et soulagé d’avoir été entouré de tant d’être aimés », ont précisé ses proches dans un message posté sur Facebook.

Sur Twitter plusieurs internautes ont fait part de leur peine et de leur soutien à la famille.

http://www.20minutes.fr/sante/

mardi 17 mai 2016

Le journaliste Emmanuel Maubert hospitalisé dans un état grave après un arrêt cardiaque

 
Le journaliste et animateur Emmanuel Maubert a été hospitalisé à Cannes (Alpes-Maritimes) dans un état critique, rapporte Nice Matin lundi 16 mai. Le co-présentateur de l'émission "Les petits plats de Babette", diffusé sur France Ô, a été victime d'un arrêt cardiaque dimanche soir.

"Il s'est effondré dans le hall"

"On était tous contents de venir à Cannes, on a tourné au marché de Forville dimanche matin, on a fait plein de selfies avec les Cannois et en rentrant à l'hôtel, il s'est effondré dans le hall, témoigne la cheffe guadeloupéenne, Babette de Rozières. Son état est très critique, je vais essayer de le voir avant de repartir à Paris, mercredi."
Emmanuel Maubert s'était rendu à Cannes pour le tournage de trois émissions. Le dernier tournage, prévu lundi matin à l'hôtel Radisson, a été annulé. Son hospitalisation a été confirmée dans la journée par le compte Twitter de l'émission "C à Vous" de France 5, à laquelle le journaliste a participé lorsqu'Alessandra Sublet était encore aux commandes.
http://www.francetvinfo.fr/culture/tv/

samedi 19 mars 2016

La balade en raquettes tourne au drame en Savoie

L'homme, âgé de 71 ans, se promenait en famille du côté de La Féclaz quand il a été pris d'un violent malaise cardiaque. Les pompiers sont intervenus avec un médecin mais ils n'ont pu que constater le décès du promeneur.

Selon le réseau d'urgence des médecins de montagne dans les Alpes, leurs interventions dans les stations de ski sont pour moitié dues à de la traumatologie et, pour un quart, liés à des accidents cardio-vasculaires. Ils représentent donc la deuxième cause d'accidents en montagne et touchent à 80% des plus de quarante ans, majoritairement des hommes. En cause le plus souvent, les efforts fournis par temps froid chez des personnes peu entraînées. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/savoie

samedi 6 février 2016

Une femme de 85 ans décède dans la salle d'attente de l'hôpital de Troyes

Selon nos confrères de l'Est-Eclair, une résidente de la maison de retraite du Domaine de Nazareth (Pont-Sainte-Marie) est décédée dans la salle d'attente du centre hospitalier de Troyes, peu après avoir été prise en charge par le personnel de l'hôpital.
Les faits ses ont déroulées mardi 2 février. Cette femme est dirigée par le personnel médical et soignant de son établissement d'accueil vers les urgences du centre hospitalier car son état de santé semblait s'aggraver.
Toujours
selon nos confrères, le service de communication de l'hôpital indique la procédure habituelle de prise en charge a été respectée dès l'arrivée de la patiente. Elle a été vue par "une infirmière d'accueil et d'orientation des urgences", puis placée sous oxygène afin de l'aider à respirer.
La question se pose désormais du temps d'attente de cette patiente en salle d'attente.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/champagne-ardenne/aube/troyes/une-femme-de-85-ans-decede-dans-la-salle-d-attente-de-l-hopital-de-troyes-922323.html

dimanche 17 janvier 2016

Essai clinique : le patient en état de mort cérébrale est décédé

Le patient qui se trouvait en état de mort cérébrale après l'accident d'essai clinique survenu à Rennes est décédé ce dimanche, annonce le CHU.

Six autres personnes sont hospitalisées au CHU de Rennes en raison de cet accident.



http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

vendredi 15 janvier 2016

Essai thérapeutique : un patient en état de mort clinique, 4 dans un état grave à Rennes

Selon nos informations, un essai thérapeutique a mal tourné jeudi à Rennes. Un laboratoire privé a testé une molécule sur des patients. L'un d'eux se trouve en état de mort clinique et 4 autres dans un état très grave. Marisol Touraine est attendue sur place ce vendredi après-midi.
Ils ont testé la molécule chez eux. Selon nos informations, un essai thérapeutique d'un laboratoire privé a mal tourné à Rennes. Un patient a été hospitalisé et se trouve ce vendredi matin en état de mort clinique tandis que 4 autres sont dans un état très grave.


Les premières hospitalisations datent du début de semaine. Selon Ouest France, la ministre de la Santé Marisol Touraine est attendue au centre hospitalier universitaire de Pontchaillou ce vendredi. Elle y tiendra une conférence de presse à 14h30.

vendredi 18 décembre 2015

L'Arbresle: un collégien atteint de méningite est décédé

Nous avons relayé hier, jeudi 17 décembre 2015, en fin de journée qu'un élève scolarisé au collège des Quatre Vents à l'Arbresle avait développé une méningite. Dans la nuit de jeudi à vendredi, ce collégien, âgé de 14 ans, est malheureusement décédé d'une infection invasive à méningocoque C.
Dans un communiqué, l'Agence Régionale de santé indique que " Les élèves ayant été en contact direct, rapproché (à moins d'un mètre), prolongé et/ou répété avec cet élève ont été identifiés au sein de sa classe et dans son entourage scolaire, péri-scolaire et familial; Ces personnes en contact proche ont reçu un traitement antibiotique préventif doublée d'une vaccination contre le méningocoque C qui est organisée à leur attention, ce jour, vendredi 18/12/2015, au collège des Quatre vents à l’Arbresle, par les médecins scolaires."
Une cellule psychologique a été activée, au sein du collège, pour aider les personnes qui en manifesteraient le besoin. La journée de cours a été écourtée d'une heure pour l'ensemble des collégiens.

L'ARS recommande une large vaccination dans ce secteur géographique
En effet, deux cas de méningite de même type avaient déjà été détectés fin octobre dans deux classes maternelles, l'un à Saint-Pierre-la-Palud et le second, à quelques kilomètres de là, à l’Arbresle. Ainsi l'ARS et et l’Institut de Veille Sanitaire (InVS)  recommandent "Cette situation inhabituelle peut témoigner de la circulation plus large d'un méningocoque dans cette zone géographique. C'est pourquoi, l’Agence Régionale de Santé et l’Institut de Veille Sanitaire invitent les familles à mettre à jour le statut vaccinal (vaccin contre le méningocoque C) de tous les jeunes âgés de 1 à 24 ans résidants ou scolarisés dans ce secteur géographique qui ne seraient pas vaccinés. Une seule injection suffit et le vaccin est remboursé par l’Assurance Maladie jusqu’à 24 ans."

À propos de cette maladie

Le méningocoque est une bactérie fragile qui ne survit pas dans le milieu extérieur.
L’infection invasive à méningocoque est une maladie qui est rare en France mais qui peut être grave. Il existe plusieurs sérogroupes ( A, B, C, Y,W135 …). Elle se transmet directement d’une personne à une autre à partir des sécrétions oro-pharyngées (postillons, toux, etc.). L'incubation varie de 3 à 10 jours en moyenne. Elle touche essentiellement les enfants et les adolescents et survient, le plus souvent, du début de l’hiver ou du printemps.
L'infection invasive à méningocoque se manifeste principalement par de la fièvre élevée et mal supportée, des maux de tête, souvent accompagnés de vomissements. Parfois des tâches rouge ou violacées (purpura) peuvent apparaître sur le corps. Bien que le risque de transmission soit faible, il justifie la mise en oeuvre d'un traitement préventif pour les personnes en contact proche complété par une vaccination selon le sérogroupe de la bactérie et le statut vaccinal de la personne.
Il est rare qu'un cas secondaire survienne parmi les personnes en contact proche. Si toutefois votre enfant développait des signes d'infection dans les dix jours à venir, il est recommandé de consulter par précaution son médecin traitant sans délai.
Par ailleurs, la vaccination contre le méningocoque C, recommandée par le Haut Conseil de la Santé Publique, à toutes les personnes de 12 mois à 24 ans quelque soit leur lieu de domicile, figure au calendrier vaccinal depuis 2010.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/rhone-alpes/rhone

mercredi 4 novembre 2015

L'état de santé du teufeur s'est aggravé

L'état de santé d'un jeune haut-garonnais qui participait, ce week-end, à une rave party illégale dans l'Aude, restait très préoccupant hier.
Cet homme de 18 ans, victime d'un malaise cardiaque, avait été hospitalisé dans un premier temps à Narbonne où il se trouvait entre la vie et la mort. Hier, il a été transféré en milieu d'après-midi pour être admis au service de réanimation de l'hôpital Rangueil à Toulouse «en raison de l'aggravation de son état», a précisé, dans un communiqué, la préfecture de l'Aude. Il devait être mis sou dialyse, ses reins ayant été sévèrement atteints.

Domicilié à Lauzerville dans le Lauragais

Le jeune garçon de 18 ans est domicilié dans sa famille à Lauzerville, une petite commune d'environ 1 500 habitants, au Sud-Est de Toulouse, dans le Lauragais.
Il est la troisième victime recensée de ce rassemblement audois. Deux personnes ont trouvé la mort à la suite de cette rave party sauvage organisée à Talairan, dans les Corbières, depuis vendredi soir. Il s'agit d'un sans-abri de 35 ans, retrouvé mort sur les lieux, et d'un Espagnol de 28 ans, décédé sur la route qui le ramenait chez lui entre Gerone et Barcelone. Les causes de ces décès n'ont pas été communiquées et une enquête a été ouverte.
Hier après-midi, 150 à 200 «teufeurs» étaient encore présents sur le site.
 

samedi 27 juin 2015

Enfant de 4 ans mort à l'hôpital : il avait reçu une dose de médicament 16 fois supérieure à la normale

A la suite de la mort du garçonnet, une information judiciaire pour homicide involontaire avait été ouverte par le parquet de Nancy. "Il a reçu 16 mg de Colchicine au lieu d'un seul milligramme, alors qu'une dose de 2 mg est déjà létale", ont affirmé les parents vendredi.
Un enfant de 4 ans, dont la mort soudaine en mai à l'hôpital de Nancy avait entraîné l'ouverture d'une information judiciaire pour homicide involontaire, est décédé d'une surdose médicamenteuse 16 fois supérieure à la prescription, ont affirmé vendredi les parents de la victime. "Il a reçu 16 mg de Colchicine au lieu d'un seul milligramme, alors qu'une dose de 2 mg est déjà létale", ont dit les parents, vendredi, lors d'une conférence de presse.

Le petit garçon, prénommé Timéo, était décédé le 1er mai dans le service de réanimation de l'hôpital d'enfants de Nancy, peu de temps après avoir reçu le traitement médicamenteux. La victime avait été transportée de l'hôpital de Saint-Dié (Vosges) vers l'hôpital d'enfants de Nancy la veille, en raison de problèmes cardiaques. Leur avocat, Me Gérard Welzer, a expliqué que les parents "rendaient publiques les causes de la mort, car ils ont l'impression d'être traités avec mépris à la fois par le centre hospitalier et l'assureur de l'hôpital, la Société hospitalière d'assurances mutuelles (Sham), qui ne répond pas à leurs courriers".
A la suite de la mort du garçonnet, une information judiciaire pour homicide involontaire avait été ouverte par le parquet de Nancy. Pour l'instant, le juge d'instruction en charge de l'affaire n'a procédé à aucune mise en examen. Une seconde enquête, médico-administrative, avait également été ouverte par l'Agence régionale de santé de Lorraine.
 
 

lundi 22 juin 2015

Une fillette de 11 ans dans le coma à cause d'un médicament

Yasmina est effondrée. Il y a quelques jours encore, Aïcha, sa fille de 11 ans, était une enfant pleine de vie. «Regardez comme elle est belle !» Sur la photo, une fillette aux joues rondes, aux cheveux noirs bouclés. «Et maintenant c'est fini…» En l'espace d'une journée, la petite Aïcha s'est retrouvée dans une chambre stérile de l'hôpital Purpan, plongée dans le coma, entre la vie et la mort. Le visage tuméfié, méconnaissable, les yeux cachés par des compresses. L'hôpital a diagnostiqué un syndrome de Lyell, une affection extrême de la peau qui se déclenche à la prise d'un simple médicament. «C'est comme si tout son corps était brûlé au troisième degré et même au-delà», explique Lalia, sa tante, qui vient tous les jours veiller la petite fille.
Toute la famille tente de comprendre. Comment on en est arrivé là. Ce dimanche 14 juin, Aïcha ne se sent pas bien. Sa maman l'emmène aux urgences, où on diagnostique une angine. «On lui a donné deux médicaments, un antibiotique, l'amoxicilline, et du Doliprane», indique Lalia. La petite fille prend les doses prescrites. «Le lundi, poursuit sa tante, une plaque est apparue sur sa joue. Elle s'est mise à vomir.» «J'ai rappelé le Samu, qui l'a amenée aux urgences», poursuit Yasmina. Puis son état de santé se détériore en un rien de temps. «Le même jour, elle était abîmée de partout», note la tante. «Mais là, on ne nous a rien dit.» La famille est très inquiète. Le deuxième jour, on leur parle brièvement du syndrome de Lyell. «On s'est renseignées un peu plus sur Internet», note Sabah, une amie proche, qui depuis dix jours vient à l'hôpital pour soutenir la famille. Le drame de cette maladie auto-immune très rare est qu'il survient à la simple prise d'un médicament. Parfois des plus banals. Le corps surréagit et se consume entièrement : peau, yeux, cheveux… et les organes internes. Qu'est-ce qui a pu provoquer le calvaire d'Aïcha ? Ses proches tournent et retournent la question dans leur tête. «On nous a dit que c'était l'Advil qu'on lui avait donné en plus du reste, mais ce médicament, elle en a déjà pris. C'est peut-être l'amoxicilline, on lui avait prescrit une dose adulte, est-ce que ce n'était pas trop dosé ? Ou alors l'association de l'antibiotique et du Doliprane ?» se demande Sabah. Les membres de la famille se relaient devant la chambre stérile. Le papa vient peu, «c'est trop dur pour lui». Et il doit garder les trois autres enfants. Yasmina, qui ne conduit pas, fait chaque jour une heure de transports en commun (bus, métro et tram) pour venir de Croix-Daurade, où elle vit, à Purpan. Elle aimerait bénéficier d'une structure, d'une aide psychologique au sein de l'hôpital. À défaut ce sont ses proches, Lalia, Kaïra, Sabah entre autres, qui la lui apportent. Mais toutes se sentent aussi «perdues», confesse Lalia. «À nos questions, on nous dit qu'on ne sait pas. Personne ne sait ce qui va lui arriver.»
http://www.ladepeche.fr/article/2015/06/22/2129547-fillette-11-ans-coma-cause-medicament.html

dimanche 14 juin 2015

Michel Delpech «s'éteint doucement», révèle Michel Drucker


Michel Delpech «s'éteint doucement», révèle... par leparisien

Moment d'émotion intense samedi, en marge de la première édition de Plumes de Stars à Aix-en-Provence. Alors qu'il vient de dévoiler un "teaser" de son futur one-man-show, Michel Drucker a tenu à passer un message de la part de Michel Delpech. Le chanteur, qui lutte depuis des années contre la maladie "s'éteint doucement", révèle l'animateur de Vivement dimanche.

http://www.leparisien.fr/

samedi 9 mai 2015

Les parents de Timéo décédé au CHU de Brabois, le 1er mai, se constituent partie civile

Ils veulent connaître la vérité et éviter que de tels drames se reproduisent », explique sobrement Me Gérard Welzer. L’avocat spinalien va se constituer partie civile au nom des parents et des grands-parents de Timéo.
Une famille dévastée, après le décès du petit garçon de 4 ans, décédé brutalement au CHU de Nancy-Brabois, vendredi dernier.
Contrairement à ce que nous avons écrit, l’enfant n’y avait pas été transféré la veille, mais y séjournait depuis 3 semaines.
Sa maman, inquiète par des problèmes de mobilité survenus depuis peu – Timéo, en parfaite santé jusque-là, éprouvait des difficultés à la marche – l’avait bien conduit en consultation à l’hôpital de Saint-Dié-des Vosges. Mais les examens effectués au centre hospitalier vosgien, des radios semble-t-il, n’avaient pas permis de déceler quoi que ce soit. Aussi, le 9 avril, avait-elle pris la décision de l’emmener à l’hôpital pour enfants de Nancy, dont la réputation est excellente.
Timéo, sur lequel deux diagnostics différents ont été posés, y est finalement resté pour subir une batterie d’examens. Avant de s’éteindre, le 1er mai, vraisemblablement victime d’une erreur humaine. La surdose médicamenteuse, « dans des proportions importantes », avancent certains, ne fait pas de doute, la direction l’aurait annoncée aux parents, mais surtout le parquet de Nancy a ouvert très rapidement une information judiciaire pour homicide involontaire.
L’enfant devait sortir pour le week-end
Reste à savoir à quel niveau de l’organisation hospitalière la faute a été commise. Si la prescription est en cause ou l’administration du traitement.
Selon nos sources, l’effectif n’aurait pas spécialement posé de problème. Le personnel soignant était en nombre suffisant, en ce jour férié.
L’enquête, confiée au SRPJ de Nancy, devrait reconstituer précisément le scénario macabre. Le résultat des analyses toxicologiques et l’audition des personnes responsables de la prise en charge de Timéo devraient permettre aux policiers de déterminer les responsabilités.
Détail tragique : l’injection mortelle aurait été administrée alors que l’enfant, un temps en réanimation pour un problème cardiaque finalement traité, s’apprêtait à sortir de l’hôpital et regagner le domicile familial pour le week-end.

http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-ville/2015/05/08/les-parents-de-timeo-decede-au-chu-de-brabois-le-1er-mai-se-constituent-partie-civile