lundi 30 novembre 2015

Dinard : un pêcheur se noie plage Saint-Enogat

Un octogénaire s'est noyé ce lundi à Dinard. Repêché, l'homme est décédé.
L'accident s'est produit ce lundi matin vers 10h. Des employés de la thalasso de Dinard, assistent à la chute d'un homme en train de pêcher sur les rochers près de la plage de Saint-Enogat. Les témoins préviennent aussitôt les pompiers.

L'homme est repêché par les secours. Malgré le fait que les pompiers arrivent à le réanimer en pratiquant un massage cardiaque, l'octogénaire décédera par la suite de la noyade.

La victime était originaire de Dinard.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/ille-et-vilaine/dinard-un-pecheur-se-noie-plage-saint-enogat-866443.html

La personne blessée par balles est décédée

Un homme grièvement blessé par balles lundi matin à Sartène (Corse-du-Sud) est décédé des suites de ses blessures, a-t-on appris de source proche de l'enquête. La victime, un agriculteur âgé d'une soixantaine d'années inconnu des services de police, a été atteinte de plusieurs projectiles à la tête et au thorax vers 09H00 dans le hameau de Mola, dans la commune de Sartène.

Les gendarmes de sont rendus sur place où les premiers secours ont été donnés par les pompiers avant l'évacuation du blessé à l'hôpital. Cinq personnes ont été tuées depuis janvier en Corse et onze autres blessées ou victimes de tentatives.

Le bilan avait été de douze tués et treize tentatives en 2014. La victime précédente était un agent de sécurité et animateur de soirées dansantes âgé de 42 ans, tué par balles le 17 novembre, près d'Ajaccio.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3694091/la-personne-blessee-par-balles-est-decedee.html

dimanche 29 novembre 2015

Une femme enceinte de 5 mois meurt dans un accident à Allèves, en Haute-Savoie

Le drame est survenu vers 16h30, ce samedi 28 novembre, à hauteur du village d'Allèves, aux confins de la Savoie et de la Haute-Savoie. Une voiture a brutalement quitté la chaussée, terminant sa course dans un ravin. La passagère du véhicule est décédée. 
C'est au lieu-dit "Aiguebelette" que la sortie de route a eu lieu, sur la RD5. En quittant la chaussée, la voiture s'est retrouvée plus de 100 mètres en contrebas. Les deux victimes ont été extraites grâce à l'hélicoptère de la Sécurité civile, Dragon 74. Le conducteur, âgé de 27 ans, est grièvement blessé. Il a été hospitalisé à Annecy. Quant à son épouse, âgée de 24 ans, elle a été tuée sur le coup. Elle était enceinte de 5 mois. 
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/haute-savoie/une-femme-enceinte-de-5-mois-meurt-dans-un-accident-alleves-en-haute-savoie-865451.html

"Tu seras", la chanson en hommage à Marie, tuée au Bataclan

samedi 28 novembre 2015

Marœuil : un homme de 65 ans décède dans un incendie

Vers 7h30 ce matin, un violent incendie s'est déclaré dans une habitation sur la commune de Marœuil, à quelques kilomètres d'Arras. Deux lances ont été utilisées pour éteindre le feu. Un homme de 65 ans, originaire de la commune, se trouvait à l'intérieur de la maison.

Il a été évacué mais, malgré l'application des gestes de premier secours, l'homme a été déclaré décédé sur les lieux, par le médecin du SMUR dans l'ambulance.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/maroeuil-un-homme-de-65-ans-decede-dans-un-incendie-865009.html

vendredi 27 novembre 2015

Gy : malaise mortel pendant le feu de cheminée

Un habitant de Gy (Haute-Saône) est décédé jeudi d’un arrêt cardio-respiratoire alors qu’un feu de cheminée venait de se déclarer à son domicile.
L’alerte est donnée vers 11 h pour un feu de cheminée au 1, rue du Château, à Gy. Sur place, les pompiers de Gy et Frétigney, appuyés par le Smur de Besançon, portent secours à un homme inanimé. Un massage cardiaque est prodigué ; sans succès. Dans le même temps, les pompiers ont maîtrisé le feu de cheminée qui s’était déclaré à l’étage et où se concentrait de la fumée. D’après les médecins, Gérard Grimm, 70 ans, n’est pas mort d’avoir inhalé des fumées. Chargés de l’enquête, les gendarmes de Marnay ont précisé que le septuagénaire a ouvert sa fenêtre pour appeler son voisin et le prévenir qu’il y avait un feu chez lui, et qu’il s’est écroulé juste après.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2015/11/26/gy-malaise-mortel-pendant-le-feu-de-cheminee

mercredi 25 novembre 2015

PISSY Il met fin à ses jours en se brûlant dans sa voiture

Vers 18 h 20 ce mardi 24 novembre soir, le SAMU, les sapeurs-pompiers et les gendarmes sont intervenus sur la D 182 à hauteur de Pissy, commune située dans la métropole amiénoise, après qu’une voiture a été repérée en train de brûler en plein milieu des champs.
Lorsque les secours sont arrivés, ils ont vu un homme, (habitant Amiens, et âgé de 33ans) en flammes dans le champ où il avait stationné sa voiture. La victime est décédée. L’homme a visiblement mis fin à ses jours.
http://www.courrier-picard.fr/region/pissy-il-met-fin-a-ses-jours-en-se-brulant-dans-sa-voiture-ia0b0n679148

Le dernier adieu à Anne-Laure Arruebo, tuée dans les attentats

C'est aujourd'hui, à 14h30, que se dérouleront les obsèques d'Anne-Laure Arruebo, en l'église de Quint-Fonsegrives. La jeune femme sera ensuite inhumée dans le caveau familial, au cimetière de Salonique, à Toulouse. Anne-Laure Arruebo est cette Quint-Fonsegrivoise tombée sous les balles des terroristes, cetriste13 novembre, à Paris. Elle avait 36 ans. Comme beaucoup de Parisiens, après une semaine de travail, elle avait choisi un café rue de Charonne pour profiter de la douceur automnale, autour d'un verre. Anne-Laure s'était installée à sa terrasse en compagnie d'une très bonne amie et collègue, Cécile Coudon Peccadeau de l'Isle. Les deux femmes n'ont pas réchappé à l'assaut des fanatiques (1).
Anne-Laure Arruebo était inspectrice à la Direction générale des Douanes et des Droits indirects. Après avoir gravi les marches, elle était devenue responsable du contrôle des valises diplomatiques. Selon un proche de la famille, «elle se consacrait beaucoup à sa vie professionnelle». Mais elle profitait aussi de la vie parisienne qu'elle avait appris à aimer sans pour autant renier son doux village de Qunt-fonsegrives. C'est là qu'elle avait passé son enfance avec sa famille, ses deux sœurs et ses parents. Tous doivent aujourd'hui surmonter une peine insoutenable. Ils savent cependant qu'ils auront à leur côté de nombreux amis et une famille unie comme jamais.
«Nous avons toujours été, et resterons, très soudés et plus particulièrement dans ce moment difficile», a confié Bernard Andreu, l'oncle d'Anne-Laure. Ce Toulousain était proche de sa nièce. Il se remémore cette «jeune femme qui aimait la littérature, les concerts, les arts, les spectacles… Nous lui offrions toujours le prix Médicis ! Nous l'aimions et la voyions souvent, notamment à Noël car notre famille se réunit souvent pour ces fêtes. Ce qui s'est passé est un drame immense…»
La ville de Quint-Fonsegrives a rapidement témoigné des marques d'affection à la famille. Un soutien quasi-quotidien. Le maire Bernard Soléra s'est à maintes reprises dit «très touché par cette disparition». Il a annoncé qu'une gerbe serait déposée. Le drapeau français sera également déployé lors de la cérémonie.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/11/25/2224157-le-dernier-adieu-a-anne-laure-arruebo.html

mardi 24 novembre 2015

Corse : un homme tire sur sa femme et retourne l'arme contre lui

A Bastia, un homme a tiré ce mardi sur sa femme et l'a grièvement blessée. Il a ensuite retourné l'arme contre lui.

Une femme a été grièvement blessée par balle mardi à Bastia par son mari. Ce dernier a ensuite retourné l'arme contre lui, se blessant à son tour grièvement.
 
Selon les premiers éléments de l'enquête, l'homme a tiré sur sa femme vers 09H00 devant l'immeuble où ils habitent dans le quartier de la gare. En arrêt cardio-ventilatoire, la victime a été prise en charge par les secouristes sur le trottoir de l'immeuble. Quant au tireur, il se trouvait dans un état grave en milieu de matinée.

lundi 23 novembre 2015

Un mort, trois intoxiqués en Charente-Maritime : que s'est-il passé ?

Le drame a frappé une famille de quatre personne, dimanche matin dans l'agglomération rochelaise. Une fillette de deux ans et demi a été transportée à l'hôpital Pellegrin de Bordeaux. Une enquête est en cours 
Un drame familial s'est noué ce dimanche matin, avant 7 heures, rue de Beauregard, dans le centre-bourg de Nieul sur Mer, dans l'agglomération rochelaise. Aucune communication officielle n'a été donnée.
La mort d'un homme a été confirmée. Trois autres personnes ont été intoxiquées au monoxyde de carbone dont une fillette de 29 mois. L'enfant a été évacuée vers l'hôpital Pellegrin de Bordeaux. Sa mère et sa grand-mère ont été transportées à l'hôpital de la Rochelle dans un état préoccupant.

Que s'est-il passé ?

De nombreuses zones d'ombre subsistent autour de ce qui pourrait bien être un drame familial. Que s'est-il vraiment passé au numéro 8 de cette belle rue historique, située entre l'église et la place du village ? Accident ? L'homme décédé aurait-il cherché à commettre un geste irréparable et à entraîner sa famille ?
Une enquête judiciaire a été ouverte. Mais le parquet se refusait à donner toute information. De nombreux médicaments auraient été retrouvés sur place. Ont-ils été utilisés ou ingérés de force ? Les techniciens en identification criminelle ont travaillé une grande partie de la journée à la recherche d'indices.
http://www.sudouest.fr/2015/11/22/charente-maritime-un-homme-decede-et-trois-personnes-intoxiquees-2194015-1477.php

Accident mortel sur la route de Saint-Nauphary

Hier à 14 heures, une collision entre un camion laitier et une voiture a été fatale pour un Tarnais âgé de 40 ans. Un choc violent sur la D999 après que l'automobiliste se soit déporté sur sa gauche dans une légère courbe venant percuter le camion qui circulait dans le sens inverse. L'arrivée rapide du médecin du Samu n'a rien changé tout comme le travail de désincarcération mis en place par les pompiers de Montauban, l'automobiliste étant décédé sur le coup. Assise sur le siège passager, sa fille âgée de 15 ans a quant à elle eu beaucoup plus de chance s'en sortant avec quelques blessures superficielles. En état de choc, elle a été transportée au centre hospitalier de Montauban.
Une route déjà meurtrière comme elle l'avait été en début d'année avec le décès d'un motard de 33 ans dans une ligne droite entre Saint-Nauphary et Montauban.
Depuis le 1er janvier, c'est la 22e personne qui décède lors d'un accident de la circulation en Tarn-et-Garonne. À la même période en 2014, nous dénombrions 19 victimes. Le bilan 2015 s'annonce d'ores et déjà mauvais pour la sécurité routière dans notre département
http://www.ladepeche.fr/grand-sud/tarn-et-garonne/

dimanche 22 novembre 2015

Doué-la-Fontaine : un homme s'immole par le feu à la pompe à essence

Les pompiers sont intervenus vers 21h50 dans une station-service du groupe Intermarché située à la sortie de Doué-la-Fontaine (en direction de Saumur), rapporte Le Courrier de l'Ouest.

A bord du véhicule entièrement carbonisé se trouvait une personne d'une trentaine d'années qui s'est vraisemblablement immolé par le feu. Les gendarmes ont ouvert une enquête.

L'origine familiale du drame semble être privilégiée.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/pays-de-la-loire/maine-et-loire/doue-la-fontaine-un-homme-s-immole-par-le-feu-la-pompe-essence-860225.html

Le corps d'une femme découvert à Caen. Enquête ouverte pour meurtre

Dans la nuit du samedi 21 au dimanche 22 novembre 2015, vers 1h du matin, les secours sont appelés avenue Henry Cheron, dans le quartier Venoix à Caen (Calvados). Dans un appartement, ils découvrent le corps sans vie d’une femme de 45 ans. Le médecin du SAMU constate son décès et la police est prévenue.
Le corps présente des ecchymoses. Le compagnon de la victime, un homme de 29 ans, se trouve dans l’appartement. Il a été interpellé. Alcoolisé, il n’a pu être placé en garde à vue qu’en fin de matinée, dimanche 22 novembre 2015, pour « homicide volontaire ». Les enquêteurs privilégient, pour l’heure, la piste d’un différend conjugal.

http://www.normandie-actu.fr/une-femme-tuee-a-caen-sans-doute-un-drame-conjugal_168414/

samedi 21 novembre 2015

JANVILLE (60) Un homme percuté par un train sur le passage à niveau

Un homme d’une quarantaine d’années a perdu la vie ce samedi 21 novembre, percuté par un train de marchandise au passage à niveau de Janville, petite commune proche de Compiègne, dans l’Oise.

Un suicide d’après des témoins

D’après des témoins, l’homme aurait volontairement mis fin à ses jours. Une enquête a toutefois été ouverte par la gendarmerie de Choisy-au-Bac, notamment dans le but de l’identifier.
Le trafic des trains a été fortement perturbé dans les deux sens sur la ligne SNCF Paris Saint-Quentin jusqu’à 15 heures.
http://www.courrier-picard.fr/region/janville-60-un-homme-percute-par-un-train-sur-le-passage-ia201b0n677540

Une femme et son chien décédés dans l’incendie d’une maison

Les sapeurs-pompiers du centre de secours d’Illzach, avec le renfort de leur chef de groupe Eric Jordan, sont intervenus sur les lieux d’un incendie, vendredi, vers 16 h 45, dans une maison d’habitation de la rue des Sittelles, à Illzach.
À leur arrivée sur place, le feu était quasiment éteint et ils n’ont pu que constater le décès d’une femme et d’un chien.
En raison des circonstances inhabituelles de cet incendie, une enquête a été ouverte et confiée à la brigade de gendarmerie d’Illzach.
Deux expertises sont en cours : l’une, médico-légale, afin de déterminer les causes précises de la mort, et l’autre, technique, afin de comprendre l’origine du sinistre.
http://www.dna.fr/edition-de-mulhouse-et-thann/2015/11/21/une-femme-et-son-chien-decedes-dans-l-incendie-d-une-maison

vendredi 20 novembre 2015

Une Haut-Garonnaise de 36 ans tuée à la terrasse d'un bar

Les attentats du 13 novembre, à Paris, laissent aujourd'hui tout une famille de Quint-Fonsegrives, près de Toulouse, dans le deuil et une peine insurmontable. Anne-Laure Arruebo est morte sous les balles des barbares. La nouvelle est tombée hier. Elle avait 36 ans. Comme beaucoup de jeunes Français, ce vendredi soir-là, la jeune femme avait choisi de vivre pleinement sa vie parisienne, celle que l'on apprécie dans la douceur d'un soir, assis à la terrasse d'un café. Installée avec une très bonne amie et collègue à celle d'un établissement de la rue de Charonne, elle n'a pu échapper à la fusillade des terroristes.
Anne-Laure Arruebo avait choisi Paris pour s'élever dans le métier d'inspectrice des douanes à la Direction générale. Elle avait deux sœurs, elles aussi devenues Parisiennes. Ses parents, en revanche vivent depuis de longues années à Quint-Fonsegrives. Sa mère, Claudine Arruebo, est connue de nombreux habitants. Elle avait été conseillère municipale de 2001 à 2008. Par la suite, elle avait également travaillé au Centre communal d'action social.
C'est une plaie qui restera béante à jamais pour cette famille discrète et gentille, presque effacée, tel que la décrit le maire de la ville. Bernard Soléra, particulièrement touché par cette nouvelle, s'est dit lui aussi dans «une immense peine». Selon une connaissance de la famille «Anne-Laure était une fille joyeuse qui aimait la vie et, aussi, se donner pleinement dans son travail. Elle venait de temps en temps à Quint-Fonsegrives. Sa famille est aujourd'hui effondrée».
La date des obsèques de la jeune femme n'a pas encore été programmée. «Il se pourrait qu'une cérémonie se déroule à Quint-Fonsegrives», a précisé Bernard Soléra. Anne-Laure Arruebo avait beaucoup d'amis comme elle était «très appréciée dans son travail». Ses collègues des douanes auraient déjà exprimé en grand nombre leur soutien à sa famille. Beaucoup d'entre eux devraient être présents une dernière fois aux côtés d'Anne-Laure Arruebo.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/11/20/2220649-anne-laure-arruebo-haut-garonnaise-36-ans-tuee-terrasse-bar.html

jeudi 19 novembre 2015

Recologne-Doubs : hommage à Lucie, victime des attentats de Paris

Montbéliard. Elle est tombée sous les balles du commando dit « des terrasses », l’une des trois équipes ayant semé la terreur en ce terrible vendredi 13 novembre 2015 à Paris.
Après avoir tué quinze personnes quelques minutes plus tôt dans le Xe arrondissement, mitraillant les abords du restaurant Le Petit Cambodge et du Carillon, les assassins ont ensuite fait feu au niveau du restaurant la Bonne Bière dans le XIe arrondissement, à l’angle des rues Fontaine-au-Roi et du Faubourg-du-Temple. Faisant, ce soir-là vers 21h32, cinq nouvelles victimes.
Parmi elles, Lucie Dietrich, une Doubienne d’origine qui habitait le quartier. Elle avait 37 ans, était indépendante et joyeuse. Créatrice de bijoux, infographiste, maquettiste, elle était diplômée de l’Institut d’études supérieures des arts (IESA) depuis 2013. Du reste, Marc-François Mignot-Mahon, le président de Studialis, du nom d’un réseau d’écoles auquel appartient l’IESA, lui a rendu hommage dans un communiqué.
Le plus bel hommage, cependant, lui vient de son frère aîné Emmanuel, fondateur de la marque horlogère Dietrich, installée en Suisse. Lequel va réaliser une (superbe) montre en série limitée de treize exemplaires, réservée à la famille et aux proches : l’OT-13 affichera du bleu, du blanc et du rouge comme pour remettre à l’heure les valeurs de la République. Et contribuera à faire tourner, toujours et encore, les aiguilles de la vie de sa sœur Lucie.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-besancon/2015/11/18/recologne-doubs-hommage-a-lucie-victime-des-attentats-de-paris

mercredi 18 novembre 2015

Un homme tué par balles près d'Ajaccio

Un homme âgé de 42 ans a été tué par balles ce soir près d'Ajaccio, d'après une source proche de l'enquête. Agatino Caruso, un agent de sécurité né en 1973 dans les Alpes Maritimes, a été atteint peu avant 22h00 de plusieurs balles de gros calibres alors qu'il se trouvait sur une petite route près du village de Carbuccia, à une quinzaine de kms au Nord d'Ajaccio.

En dépit de l'intervention rapide des secours, la victime, qui était connue de la police pour des faits mineurs, a sucombé à ses blessures. Le procureur de la République à Ajaccio, Eric Bouillard, s'est rendu sur les lieux de l'agression sur la route départementale 29 menant à Carbucia où un périmètre de sécurité a été établi par la gendarmerie.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

mardi 17 novembre 2015

Accident TGV: 2 blessés entre la vie et la mort

Le pronostic vital restait engagé aujourd'hui pour deux des blessés de l'accident d'un TGV d'essais, samedi en Alsace, qui sont toujours «entre la vie et la mort», a indiqué le secrétaire d'Etat aux Transports Alain Vidalies. Lundi, le procureur-adjoint de Strasbourg, Alexandre Chevrier, avait fait état de «quatre personnes dont le pronostic vital (restait) engagé». Onze personnes ont trouvé la mort dans cet accident.

Le secrétaire d'Etat aux Transports a également souligné que la mise en service de cette ligne ferroviaire, qui doit achever la liaison à grande vitesse entre Paris et Strasbourg, risque de prendre du retard: «est-ce que cet accident va entraîner des conséquences, probablement, sur la mise en service qui était prévue le 3 avril, mais là aussi, pour l instant rien n'est définitif».
Quant à la liaison aérienne de Hop! Air France entre les deux villes, qui doit être supprimée avec la mise en service de la ligne TGV, «s'il y avait retard, cela poserait je pense effectivement la question de la poursuite de la liaison aérienne, puisqu'il y avait un lien entre les deux», a commenté Alain Vidalies.

La cause de cet accident n'a pas été établie, «
nous ne savons pas aujourd'hui si c'est dû à un accident de vitesse», a-t-il dit, expliquant que «l'accident s'est produit dans une courbe après la partie nouvelle où le train faisait des essais à 350 km/h. Il devait, dans cette courbe qui rejoint la voie historique, rouler à 175 km/h».
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/11/17/97001-20151117FILWWW00276-accident-tgv-2-blesses-entre-la-vie-et-la-mort.php

piéton tué sur la RN83

Le corps d’un homme a été découvert lundi soir peu après 21h30 sur la chaussée de la RN83 à hauteur de Guémar en direction de Strasbourg. Plusieurs véhicules ont pu heurter le piéton dont l’identité n’était pas connue lundi soir.
La victime dont le corps se trouvait sur la voie rapide serait âgée entre 60 et 80 ans.
La circulation a d’abord été coupée avant d’être rétablie sur une voie.
http://www.dna.fr/edition-de-colmar/2015/11/16/un-pieton-tue-sur-la-rn83

lundi 16 novembre 2015

Alsace: un collégien de 12 ans tué par balle

Un jeune collégien de 12 ans aurait été tué par balle à Hégenheim, dans un bus de transport scolaire, rapporte les Dernières Nouvelles d'Alsace.

Selon le journal, le collège serait confiné et un périmètre de sécurité mis en place. Le procureur serait sur place, d'après les même informations. Un différend serait à l'origine de cet événement.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Attentats à Paris: Le témoignage d’une survivante du Bataclan qui a fait la morte devient viral

Son poignant récit sur Facebook a fait le tour du monde, partagé plus de 700.000 fois et « aimé » plus de 2,5 millions de fois, y compris par Mark Zuckerberg lui-même. Isobel Bowdery, une Sud-africaine de 22 ans, raconte sur le réseau social qu’elle assistait à Paris au concert des Eagles of Death Metal au Bataclan vendredi soir, lorsque les terroristes ont fait irruption dans la salle. Dans un post auquel est jointe une photo du t-shirt ensanglanté qu’elle portait ce soir-là, elle dit s’être allongée et « avoir fait la morte pendant plus d’une heure » pour échapper aux assaillants.
« C’était seulement un vendredi soir à un concert de rock. L’ambiance était bonne, tout le monde dansait et souriait, et quand ils sont arrivés par la porte principale et ont commencé à tirer, on a naïvement cru que cela faisait partie du spectacle. » La jeune femme décrit alors « les dizaines de personnes tuées juste devant moi », « les mares de sang sur le sol », les « cris des hommes qui tenaient les corps sans vie de leur copine ».

« Ne pas donner à ces hommes la peur qu’ils voulaient voir »

Isobel Bowdery raconte comment, « choquée et seule », elle s’est allongée, « faisant la morte pendant plus d’une heure » pour échapper aux balles des terroristes. « Retenant ma respiration, essayant de ne pas bouger, de ne pas pleurer, de ne pas donner à ces hommes la peur qu’ils voulaient voir ». Pour elle, la manière dont les terroristes « ont méticuleusement visé et tiré sur les gens dans la fosse », où elle se trouvait, « sans aucune considération pour la vie humaine », « ne semblait pas réelle ».
La jeune femme, dont le message a été largement relayé par la presse anglo-saxonne, termine son récit sur une note d’espoir en appelant chacun à vivre « les vies dont les victimes innocentes de cette tragédie rêvaient ». Isobel Bowdery n’a pas, pour l’instant, donné suite aux messages de plusieurs médias, dont 20 Minutes, qui ont tenté d’entrer en contact avec elle.

http://www.20minutes.fr/societe/1731259-20151116-attentats-paris-temoignage-survivante-bataclan-fait-morte-echapper-terroristes-devient-viral

Il meurt au Bataclan en sauvant son épouse

Le visage de Richard Rammant et sa gentillesse resteront à jamais gravés dans l'esprit des bénévoles du Cahors Blues Festival qui ont eu hier la confirmation du décès de leur ami dans les attaques de Paris. Marie Do, son épouse, a survécu.
Richard Rammant vivait à Paris, mais était très attaché au Lot… et au blues. Tant et si bien qu'il était devenu l'un des plus fidèles serviteurs du Cahors Blues Festival. Richard fait hélas partie des victimes du Bataclan.
Ce décès fait l'effet d'une claque énorme à Robert Mauriès, président du festival, qui perd ici bien plus qu'un inlassable travailleur au service de ce rendez-vous estival.
«Je perds d'abord un très grand ami. J'ai été me recueillir au Bataclan. Nous avons déposé une rose avec mon épouse à la mémoire de Richard. Il n'avait que 53 ans. C'est bouleversant», s'émeut Robert Mauriès, inconsolable.
Richard Rammant assistait au concert qui a viré au cauchemar vendredi soir. Il est décédé en protégeant son épouse, Marie Do.
«Sa femme a été grièvement blessée aux jambes, mais ses jours ne sont plus en danger», se rassure Robert Mauriès qui est parvenu à obtenir des nouvelles rassurantes de Marie Do soignée à Paris à l'hôpital de la Pitié la pitié Salpétrière.
Le président du festival a ainsi pu apprendre que «c'est en tentant de fuir et de se protéger que Richard Rammant a trouvé la mort. Il a succombé à ses blessures dans la salle du Bataclan, mais en se couchant il a protégé son épouse», détaille-t-il, guère étonné par l'attitude de son ami. Robert Mauriès est au bord des larmes. Il a du mal à réaliser et à admettre «la perte d'un être aussi bon et dévoué dans un tel drame. Il ne méritait pas une telle fin», dit-il.

Amoureux de sa femme, puis épris de musique et de moto

Les mots de Robert Mauriès traduisent une grande tristesse, mais également une immense colère face au destin cruel qu'à connu Richard. Un homme plein d'humilité qui avait déjà prévu de retrousser ses manches au service du Cahors Blues Festival en 2016.
Richard Rammant intervenait notamment à la technique du Cahors Blues Festival. Il faisait également partie de l'association Showtime Riders et était passionné par la moto. Les riders et le blues font traditionnellement bon ménage.
Richard Rammant illustrait parfaitement ce rapport indissociable entre la musique et la moto.
Il avait l'esprit des riders, le look aussi et faisait partager sa passion aux autres bénévoles. Ceux-ci se sont empressés de communiquer la terrible nouvelle, diffusant celle-ci assortie de vibrants hommages, sur les réseaux sociaux notamment. Tous pleurent leur ami.

Un acte d'amour

Robert Mauriès adresse un dernier message à son ami : «Richard tu as été pris pour cible directe et abattu de façon délibérée sans raison, simplement parce tu te trouvais au Bataclan avec ton épouse pour passer une bonne soirée musicale. Tu étais à nos côtés cet été pour aider tes amis du Cahors Blues Festival en juillet. Tu étais encore là à Disney Village au festival Rock'n'roll pour présenter avec la Route 66 Association les magnifiques Harley Davidson préparées par tes amis. Ta gentillesse ta disponibilité et ta compétence nous feront défaut et nous ne t'oublierons jamais. Tu souhaitais revenir pour participer à nos côtés à la prochaine édition du Cahors Blues Festival et c'est dans nos cœurs que tu y seras présent», écrit-il.
En adressant leurs condoléances à la famille de Richard Rammant, les bénévoles et leur président ont une pensée pour les deux filles et l'épouse du défunt à laquelle ils souhaitent un prompt rétablissement. Beaucoup diront qu'en protégeant sa femme, Richard Rammant est décédé en accomplissant un acte héroïque. Parlons plutôt d'acte d'amour. C'est bien plus fort que l'héroïsme. Alors, oui, au risque de se répéter, écrivons-le une nouvelle fois : Richard est mort dans un ultime geste d'amour.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/11/16/2217856-il-meurt-au-bataclan-en-sauvant-son-epouse.html

dimanche 15 novembre 2015

Drame familial à St Denis de Pile, en Gironde : 2 morts, 1 blessé grave

Un habitant de St Denis de Pile a tiré au fusil de chasse sur 3 membres de sa famille dans la nuit de vendredi à samedi à St Denis de Pile, dans l'Est de la Gironde. Il a tué sa fille de 14 ans et sa mère de 70 ans, et grièvement blessé son fils de 11 ans.

Un drame familial s'est produit dans la nuit de vendredi à samedi à St Denis de Pile. Un habitant du village a tué sa mère et un de ses enfants, et grièvement blessé son autre enfant.
Les faits se sont déroulés entre 23 heures et minuit.  L' individu, fortement alcoolisé,  s'était auparavant disputé avec sa compagne, chez qui il s'était rendu à Coutras. A son retour à son domicile,  puis  il a ouvert le feu avec un fusil de chasse sur leurs deux enfants endormis dans leurs chambres. La jeune fille de 14 ans a été tuée, alors que son frère de 11 ans a été grièvement blessé à la jambe. L'homme s'est ensuite rendu dans la maison voisine qu'occupe sa mère, et a aussi tiré sur la septuagénaire, qui est morte  pendant son transfert à l'hôpital de Libourne. Le garçon a été de son côté transporté au CHU de Bordeaux. Ses jours ne seraient pas en danger.
C'est sa compagne, qu'il avait appelé pour lui dire qu'il allait s'en prendre à  leurs enfants, qui a alerté les gendarmes
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice

samedi 14 novembre 2015

Attentats à Paris: Il installe son piano devant le Bataclan et joue «Imagine»

hebergement d'image Tout un symbole. Samedi, un inconnu est venu installer son piano devant le Bataclan, la salle de concert parisienne où plusieurs terroristes ont tué au moins 89 personnes vendredi soir.
Au milieu de la foule, composée de nombreux journalistes, le pianiste a interprété une version instrumentale du tube Imagine, de John Lennon. Un moment que les passants ont largement diffusé et commenté sur les réseaux sociaux.

« Pouvez-vous imaginer un monde sans pays ou religions ? »

Au-delà de son message pour la paix, l’artiste des Beatles avait expliqué au magazine Rolling Stone que sa chanson était « anti-religieuse, anti-nationaliste, anti-norme et anticapitaliste ». « Avec Imagine, nous disons « Pouvez-vous imaginer un monde sans pays ou religions ? », avait également déclaré Lennon dans une interview donnée à Playboy en 1981.
Ce n’est pas la première fois que cet hymne à la paix est entendu à la suite d’actes terroristes : le 8 janvier 2015, l’ensemble des radios françaises l’avaient diffusé en hommage aux victimes de l’attentat contre Charlie Hebdo. Les radios américaines avaient fait de même suite aux attentats du 11 septembre 2001.

http://www.20minutes.fr/societe/1730603-20151114-attentats-paris-installe-piano-devant-bataclan-joue-imagine

Bataclan: "Quand les gens partaient en courant, ils leur tiraient dans le dos"

Paris attaquée, Paris ensanglantée

Le sang qui a coulé et les raids aussi lâches qu’effroyables qui se sont produits ont inscrit dans la mémoire de la Nation des scènes dramatiques. Ce sont des attaques sans précédent, une horreur absolue que vivent les Français et plus encore les Parisiens horrifiés, traumatisés mais debout parce que l’homme libre ne renonce jamais, même face à l’effroi généré par les terroristes.
Que l’état d’urgence et la fermeture des frontières aient été décidés est une réponse obligatoire face à la dimension des menaces qui pèsent sur les Français.
Ce qui s’est produit résulte d’individus aguerris, trempés de haine, des extrémistes hystériques décidés à provoquer la mort de masse, à effrayer, à briser les valeurs de la République, à imposer l’obscurantisme, programmés pour convaincre les Français et tous ceux qui ne pensent pas comme eux à renoncer et à se soumettre. Eh bien non, la France n’est pas seule.
Il y a autour d’elle de grands et beaux pays qui se lèveront aussi pour combattre et anéantir les nébuleuses de la mort et leurs bras armés qui sont des assassins.
Jamais ce pays ne se couchera devant les terroristes parce que par le passé, ses aînés n’ont pas accepté le nazisme, le totalitarisme et que la patrie des droits de l’Homme ne se laissera jamais impressionner par ces groupes d’action de terroristes dont les méthodes et la rage meurtrière portent une signature que tout le monde a reconnue.
Dans l’épreuve, il faut garder son sang-froid. Dans l’épreuve, il faut être digne. Dans l’épreuve, il faut se serrer les coudes.
http://www.lunion.com/node/594711

vendredi 13 novembre 2015

Côte-d’Or : un accident mortel a eu lieu à Marcenay

Deux automobiles se sont percutées sur la route de Châtillon-sur-Seine, à hauteur de la commune de Marcenay, en Côte-d’Or. Quinze pompiers se sont rendus sur les lieux pour porter secours aux victimes.

La conductrice d'un des deux véhicules a été tuée dans l’accident.
Dans l'auto qui venait en face, on dénombre aussi deux victimes qui ont été légèrement touchées. Il s’agit de deux femmes qui sont âgées de 78 et 81 ans, a indiqué le SDIS de Côte-d’Or.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/cote-d-or/cote-d-or-un-accident-mortel-eu-lieu-marcenay-850915.html

jeudi 12 novembre 2015

Saône-et-Loire : un octogénaire décède dans l'incendie de sa maison

Une vingtaine de sapeurs-pompiers des centres de secours de Digoin, Paray-le-Monial et Charolles a été mobilisée. L'habitation était déjà un véritable brasier à leur arrivée. Or, l'occupant des lieux, âgé de 85 ans, était introuvable. Son corps a finalement été retrouvé par les secours lors des opérations de déblaiement.
La piste accidentelle serait privilégiée

http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/saone-et-loire/saone-et-loire-un-octogenaire-decede-dans-l-incendie-de-sa-maison-850275.html

Perpignan : le corps d'un homme retrouvé en pleine rue

L'alerte a été donnée ce jeudi à 9 heures. Le corps d'un homme a été découvert rue Jean Rière à Perpignan. Les secours ont été dépêchés sur les lieux mais malheureusement, ils n'ont pu que constater le décès de la victime.
Les services de police se sont également rendus sur place en urgence avec l'aide des techniciens de l'Unité Médico-Judiciaire.
Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes et circonstances du décès.
http://www.lindependant.fr/2015/11/12/perpignan-le-corps-d-un-homme-retrouve-en-pleine-rue,2112670.php

mercredi 11 novembre 2015

Une marche blanche en hommage à Grégory tué à Echirolles

Une marche blanche est organisée, ce mercredi 11 novembre, en hommage à Grégory, 18 ans, tué à Echirolles par un piéton qui l'a attaqué à l'arme blanche. L'agresseur est toujours recherché. La police a lancé un appel à témoins
La marche blanche est partie à 14 heures du stade Pablo Picasso, à Echirolles. Les proches et les amis de Grégory avaient d'abord envisagé de rendre cet hommage dimanche dernier, le jour anniversaire du jeune étudiant qui allait avoir 19 ans.

Grégory a été tué le 5 novembre, à 12h45, alors qu'il venait tout juste d'avoir un accident à un feu de signalisation, avenue de Grugliasco, à Echirolles. Le jeune homme était rentré dans une ambulance alors que le feu passait au vert. Juste après l'incident, un piéton est intervenu et a eu une altercation avec le jeune conducteur. Il a l'a frappé à quatre reprises avec un tournevis, avant de s'enfuir. La victime est décédée de ses blessures.

La police a lancé
un appel à témoins. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/grenoble/une-marche-blanche-en-hommage-gregory-tue-echirolles-849715.html

Il meurt à la suite d'un salto arrière

Un homme de 32 ans est mort dans la nuitdans une discothèque de l'Essonne après avoir effectué une acrobatie hasardeuse sur la piste de danse du Gossip, à Savigny-sur-Orge . Il a réalisé un salto arrière, mais il est retombé sur la tête.

Les pompiers, arrivés sur les lieux vers 03H15, sont d'abord parvenus à réanimer le jeune homme. Il a été transporté vers l'hôpital du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne) où il a succombé à ses blessures quelques heures plus tard.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/11/11/97001-20151111FILWWW00101-il-meurt-a-la-suite-d-un-salto-arriere.php

Le maire d'Aubiet, Jean-Vincent Pisoni, s'est donné la mort

On a appris hier après-midi le suicide du maire d'Aubiet Jean-Vincent Pisoni. Un véritable coup de tonnerre pour les élus de la communauté de communes de Gimone Arrats. Pour Bruno Bodart, le maire de Lussan, dont les adjoints avaient croisé la veille le maire d'Aubiet lors d'une séance à la communauté de communes Coteaux d'Arrats-Gimone, «c'était toujours Jean-Vincent ! Mes adjoints n'ont rien remarqué.» Pierre Duffaut, le maire de Gimont, présidait la séance. Il se souvient d'un élu toujours aussi participatif. «Il a pris la parole, ce n'était pas le genre à rester dans son coin sans rien dire, mais au contraire quelqu'un d'engagé, de convaincu.» Jusqu'à une date récente, Jean-Vincent Pisoni faisait encore de nombreux projets pour Aubiet. Il avait ainsi créé un marché dans la commune, et avec son élection, le climat politique du village s'était apaisé. Jean-Vincent Pisoni, qui dirigeait une entreprise de charpente à Aubiet, vivait une situation familiale compliquée depuis sa ré élection en mars 2014 aux dernières élections municipales. Il avait remplacé Jean Pierre Amiel après les élections anticipées en 2011, et s'était par la suite beaucoup engagé dans la vie de la commune, dont il avait été adjoint avant de devenir maire.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/11/11/2215027-maire-aubiet-jean-vincent-pisoni-est-donne-mort.html

mardi 10 novembre 2015

Le triathlète Laurent Vidal mort d'un arrêt cardiaque

Le triathlète Laurent Vidal, 5e aux jeux Olympique de Londres, est décédé à l'âge de 31 ans d'un arrêt cardiaque dans la nuit de lundi à mardi à son domicile de Gigean, a-t-on appris auprès de la mairie de cette ville de l'Hérault.
Vidal avait déjà été victime d'un grave accident cardiaque dans une piscine de Sète (Hérault), en avril 2014.
Le président de la République, François Hollande, lui a rendu hommage sur son compte Twitter. "Laurent Vidal était un immense champion. Je présente toutes mes condoléances à sa famille et au sport français", a-t-il écrit.
Il a été trois fois champion de France de triathlon, en 2009, 2011 et 2012.
http://www.laprovence.com/actu/sports-en-direct/3662389/le-triathlete-laurent-vidal-mort-dun-arret-cardiaque.html

lundi 9 novembre 2015

Ménerval (76) : un homme décède dans un accident d'ULM

L'alerte a été reçue par les pompiers de Seine-Maritime à 18h50.  A Ménerval, entre Forges-les-Eaux et Gournay-en-Bray, un ULM a chuté près de la route de la Mer.

Le pilote décédé dans l'accident était un passionné d'une soixantaine d'années. Il avait aménagé une piste en herbe sur cette commune.

Une enquête est ouverte. Des experts en aéronautique sont arrivés sur place.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/seine-maritime/pays-de-bray/menerval-76-un-homme-decede-dans-un-accident-d-ulm-847841.html

dimanche 8 novembre 2015

Un coureur décède pendant le marathon Nice-Cannes

Un coureur est décédé ce matin, dimanche, lors du 8e Marathon des Alpes-Maritimes Nice-Cannes.
Le sportif, âgé de 34 ans, aurait succombé à un arrêt cardiaque entre la Siesta et le Fort Carré à Antibes.
Rapidement sur place, les secours ont tenté de le réanimer pendant de longues minutes.
Originaire de la région parisienne, la victime participait au relais 2 x 21 km.
 
http://www.nicematin.com/derniere-minute/un-coureur-decede-pendant-le-marathon-nice-cannes.2390910.html

samedi 7 novembre 2015

Mort d'un cueilleur de champignons, à Treffort en Isère

L'alerte avait été donnée vers midi ce vendredi 7 novembre. L'homme, âgé de 66 ans, était parti ramasser des champignons. Ce n'est qu'en fin de journée que les CRS Alpes l'ont retrouvé. Il était décédé.
Cet habitant de Seyssins était parti le matin, au-dessus du lac de Monteynard, sur la commune de Treffort. Avec des amis, ils avaient convenu qu'ils se retrouveraient vers midi. A l'heure du rendez-vous, il n'était pas là. Inquiets, ses amis ont alerté les secours.

Les CRS Alpes, et des gendarmes de la Mure ont ratissé le secteur tout l'après-midi. Ils ont retrouvé son corps en toute fin de soirée, au fond d'un ravin, dans la Combe de Baraton. Les enquêteurs privilégient la thèse de l'accident.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/mort-d-un-cueilleur-de-champignons-treffort-en-isere-846883.html

Toulouse. Deux enfants tués par leur père qui s'est ensuite suicidé

A l'hôpital, c'est la consternation absolue..." Le père de famille qui, cette nuit, est soupçonné d'avoir tué ses deux enfants âgés de 1 et 3 ans avant de se suicider travaillait au centre hospitalier de Purpan comme médecin anesthésiste.
"Il n'a rien montré, rien dit. C'est affreux", estime un praticien qui le connaissait. Vendredi soir, il aurait administré des produits anesthésiants à ses enfants âgés de 1 et 3 ans avant de se donner la mort dans sa maison du quartier Saint-Michel, à Toulouse.
Sa femme, avec qui il était en instance de divorce, a découvert le drame vers 0h30.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/11/07/2212914-toulouse-deux-enfants-tues-pere-est-ensuite-suicide.html

vendredi 6 novembre 2015

Bouches-du-Rhône : un mort dans un incendie au Rove

Cette nuit vers 2 heures du matin, les pompiers sont appelés sur la commune du Rove, pour un incendie qui s'est déclenché dans le garage d'une maison individuelle. Les fumées se propagent assez rapidement dans les pièces de la maison. D'après les premiers éléments fournis par les enquêteurs, le couple, deux personnes d'une soixantaine d'années, sortent alors de la maison. Mais pour une raison que l'on ignore pour le moment, l'homme serait retourné dans le garage, ce qui lui a été fatale. 
http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/bouches-du-rhone/bouches-du-rhone-un-mort-dans-un-incendie-au-rove-845941.html

Le jeune teufeur dans un état «désespéré»

La rave party qui, pendant 48 heures, a mobilisé de 5000 à 6000 «teufeurs» le week-end dernier dans l'Aude, à Talairan dans les Corbières au-dessus de Lézignan va-t-elle faire une troisième victime ? La santé du jeune Jason, 18 ans, qui vit à Lauzerville dans le Lauragais, s'est encore aggravée hier et les médecins n'ont plus d'espoir.
Hospitalisé en urgence après un arrêt cardiaque à l'hôpital de Narbonne, ce jeune garçon amateur de musiques technos a été transféré sur Toulouse mardi pour pouvoir bénéficier d'une dialyse. Son état de santé, jugé déjà très préoccupant, s'est depuis détérioré avec des séquelles neurologiques qui paraissent désormais irréversibles.
Déjà deux «teufeurs» qui avaient participé au rassemblement sont morts des suites, probables même si l'enquête devra le déterminer, d'excès d'alcool et de drogue. Un homme de 35 ans, originaire du Vaucluse n'a pu être ranimé sur le site alors qu'un Espagnol de 28 ans, qui lui aussi s'était rendu devant les murs de son, est mort alors qu'il rentrait chez lui avec des amis, dans la région de Barcelone.
Lundi, très en colère, le préfet de l'Aude Jean-Marc Sabathé avait qualifié les organisateurs, qui n'ont prévenu personne, «d'irresponsables et de criminels». Des enquêtes sont en cours pour connaître les causes exactes de la mort des deux victimes
http://www.ladepeche.fr/article/2015/11/06/2212079-le-jeune-teufeur-dans-un-etat-desespere.html

jeudi 5 novembre 2015

Toulouse : un enfant de 2 ans entre la vie et la mort après une chute de 6 mètres

Un petit garçon de 2 ans a chuté, hier après-midi, du balcon de l'appartement de ses parents, avenue Jean-Chaubet à Toulouse. Il a été transporté à l'hôpital. Son pronostic vital était engagé
«On est sous le choc, on attend des nouvelles du petit.» Hier après-midi, les habitants de la cité des Jardins, au 155 avenue Jean-Chaubet à Toulouse, étaient profondément bouleversés après la chute spectaculaire d'un petit garçon depuis le balcon de l'appartement de ses parents, situé au deuxième étage de l'immeuble.
Le drame s'est déroulé aux alentours de 13 h 40. Alors que la porte-fenêtre du logement était ouverte, la victime, âgée de 2 ans, a échappé quelques instants à la vigilance des adultes qui se trouvaient avec lui. Il est arrivé jusqu'au garde-corps du balcon avant de chuter six mètres plus bas sous le regard horrifié des témoins.
Est-il parvenu à grimper sur un meuble afin de se hisser jusqu'au rebord du balcon ? L'enquête de police devra le déterminer.
Blessé au niveau de la tête, l'enfant a perdu beaucoup de sang. Il a été pris en charge par les sapeurs-pompiers et le Smur qui lui ont prodigué les premiers soins. Il a été transporté dans un véhicule du Smur pédiatrique jusqu'aux urgences de l'hôpital Purpan. Son pronostic vital était engagé hier soir et les médecins se montraient pessimistes. L'enfant a été placé en réanimation.

Une cité sous le choc

Dans la cité, l'émoi a vite gagné les habitants. «J'étais là, j'arrivais en voiture, témoigne Sandrine, une riveraine. J'ai entendu le bruit mais je n'ai pas réalisé tout de suite ce qui s'était passé. Je me suis dit que ce n'était pas possible puis je l'ai vu par terre.»
Sandrine est aussitôt sortie de sa voiture. «Il y avait un jeune qui était là et je lui ai dit d'appeler les secours. Ses parents sont vite descendus. Je leur ai dit de ne surtout pas toucher. Ils étaient en pleurs. Son frère était encore en haut.»
Au sol, le petit garçon gisait, face contre terre. «Il geignait.» Selon les premiers éléments, comme souvent dans ce type d'accident, la scène s'est passée très rapidement. «C'est horrible. On est atterrés. On espère qu'il s'en sortira», commentaient des riverains.
Il y a un peu plus d'une semaine déjà, une fillette de 2 ans avait chuté de 10 mètres depuis le troisième étage d'un immeuble, rue Croix-Bénite. Par miracle, elle s'en était sortie indemne.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/11/05/2211246-toulouse-enfant-2-ans-entre-vie-mort-apres-chute-6.html

mercredi 4 novembre 2015

L'état de santé du teufeur s'est aggravé

L'état de santé d'un jeune haut-garonnais qui participait, ce week-end, à une rave party illégale dans l'Aude, restait très préoccupant hier.
Cet homme de 18 ans, victime d'un malaise cardiaque, avait été hospitalisé dans un premier temps à Narbonne où il se trouvait entre la vie et la mort. Hier, il a été transféré en milieu d'après-midi pour être admis au service de réanimation de l'hôpital Rangueil à Toulouse «en raison de l'aggravation de son état», a précisé, dans un communiqué, la préfecture de l'Aude. Il devait être mis sou dialyse, ses reins ayant été sévèrement atteints.

Domicilié à Lauzerville dans le Lauragais

Le jeune garçon de 18 ans est domicilié dans sa famille à Lauzerville, une petite commune d'environ 1 500 habitants, au Sud-Est de Toulouse, dans le Lauragais.
Il est la troisième victime recensée de ce rassemblement audois. Deux personnes ont trouvé la mort à la suite de cette rave party sauvage organisée à Talairan, dans les Corbières, depuis vendredi soir. Il s'agit d'un sans-abri de 35 ans, retrouvé mort sur les lieux, et d'un Espagnol de 28 ans, décédé sur la route qui le ramenait chez lui entre Gerone et Barcelone. Les causes de ces décès n'ont pas été communiquées et une enquête a été ouverte.
Hier après-midi, 150 à 200 «teufeurs» étaient encore présents sur le site.
 

mardi 3 novembre 2015

Percuté par une voiture, il succombe à ses blessures

Nouveau drame sur les routes du Gers. Un homme de 53 ans originaire de la commune de Riscle est décédé dimanche soir, vers 19 h 30, après avoir été fauché par un automobiliste de 65 ans, à l'entrée du pont de l'Adour. Selon une source proche de l'enquête, le conducteur, originaire des Hautes-Pyrénées, «rentrait de Langon après un match de rugby pour regagner son domicile. Il n'était pas en excès de vitesse, ni alcoolisé, mais le manque de visibilité pourrait expliquer l'accident, ce secteur est très obscur». Les circonstances du drame sont pour l'heure non élucidées, mais le lieu de l'accident, une zone peu éclairée, pourrait être à l'origine du malheur. Hasard des faits, le maire de la commune, Christophe Terrain, avait émis l'idée de réaliser une voie dédiée aux piétons et aux cyclistes, lors du dernier conseil municipal. «Je voulais savoir si ce pont pouvait supporter une voie supplémentaire, qui leur serait uniquement réservée». Malgré les nombreuses tentatives de réanimation prodiguées par les secours, le quinquagénaire n'est pas revenu à la vie.
http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=60506&WS=291720_2501986&WA=14281

lundi 2 novembre 2015

Il y a 45 ans, le drame de la discothèque du 5-7 à Saint-Laurent-du-Pont, en Isère

Le 1er novembre 1970, 146 personnes, en majorité des jeunes, étaient prises au piège dans l'incendie du dancing le 5-7, à Saint-Laurent-du-Pont (Isère). 45 ans plus tard, les proches se sont souvenus. 
Ouvert au printemps 1970, le 5-7 était à la mode en Isère. On venait de loin pour y danser jusqu'à ce sombre 1er novembre. Les experts ne sont jamais parvenus à déterminer l'origine du sinistre dans ce hangar. On sait seulement que les danseurs ont tenté de fuir, mais les tourniquets se sont bloqués. Les issues de secours étaient verrouillées. Des jeunes ont réussi à ouvrir une porte, mais avec l'appel d'air c'est toute la discothèque qui s'est embrasée.

Deux ans après, lors du procès, le maire de Saint-Laurent-du-Pont, le gérant et les installateurs du système de chauffage sont condamnés à des peines de prison assortis de sursis. Il faudra attendre d'autres tragédies pour que soit modifiée la réglementation en matière d'incendies.

45 ans après, les proches des 146 victimes se sont retrouvées pour une messe au Biollay, à Chambéry. Puis, devant la stèle de Saint-Laurent-du-Pont l'heure était au recueillement devant ces noms dont 144 étaient des jeunes de 15 à 25 ans.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/il-y-45-ans-le-drame-de-la-discotheque-du-5-7-saint-laurent-du-pont-en-isere-842137.html

Une mère écrouée, soupçonnée d'avoir tué son nouveau-né

Une femme d’une trentaine d’années, dont le nouveau-né a été découvert mort dans un sac à son domicile du Perreux-sur-Marne (Val-de-Marne), dans la nuit de vendredi à samedi, a été écrouée, a-t-on appris dimanche de source judiciaire.
La mère, mise en examen pour homicide volontaire sur mineur de moins de 15 ans, « a reconnu avoir accouché clandestinement et avoir placé l’enfant dans le sac », a indiqué cette source. Son compagnon, qui avait également été placé en garde à vue, « a été relâché ».
L’autopsie du nourrisson a démontré qu’« il était vivant » lors de l’accouchement. Il reste à déterminer si son décès fait suite à « une insuffisance respiratoire » ou « une asphyxie mécanique » par strangulation, a détaillé la source judiciaire.
Le bébé avait été retrouvé par les policiers au domicile d’un couple dont la femme venait d’être hospitalisée car elle perdait beaucoup de sang.
Le comportement du conjoint, parti de l’hôpital en pleine nuit, avait intrigué les policiers, qui l’avaient surpris ensuite chez lui « en train de laver du linge rempli de sang », avant la macabre découverte, avait rapporté une source policière.
http://www.lunion.com/585653/article/2015-11-02/une-mere-ecrouee-soupconnee-d-avoir-tue-son-nouveau-ne

dimanche 1 novembre 2015

Un mort et cinq blessés légers dans un accident de la route dans les Deux-Sèvres

Samedi soir, vers 19 heures, une femme de 26 ans est décédée à la suite d'un accident entre deux voitures sur la commune de Souvigné (Deux-Sèvres)
Un nouveau drame de la route a fait un mort samedi soir dans les Deux-Sèvres. Une femme de 26 ans n'a pas survécu à un choc entre deux voitures. L'accident a eu lieu sur la commune de Souvigné, à la forêt de L’Hermitain, au carrefour entre la départementale 10 et la départementale 5.
Cinq autres personnes ont été légèrement blessées dans cette collision dont trois hommes âgés respectivement de 28, 39 et 60 ans ainsi que deux femmes âgées de 36 et 60 ans. Elles ont été transportées au centre hospitalier de Niort.  
http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/deux-sevres/un-mort-et-cinq-blesses-legers-dans-un-accident-de-la-route-dans-les-deux-sevres-841761.html

Belfort : tuée en chutant du 15e étage

Un drame s’est produit samedi après-midi dans le quartier des Résidences, à Belfort. Il était 14 h 50 lorsque les pompiers ont été appelés 3, place Robert-Schuman. Une femme de 40 ans, qui habitait au quinzième étage de la tour avec son mari et ses quatre enfants, gisait au sol. Elle aurait chuté de son appartement. Sur place, les policiers ont commencé par disperser les badauds et interroger les proches, notamment le mari.
Ce dernier a révélé que ces derniers temps, son épouse avait très mal à la tête et qu’elle s’en plaignait. Selon ses dires, il l’aurait vue partir dans la chambre. Elle serait montée sur le lit et aurait ouvert la fenêtre. Il serait alors entré dans la pièce et n’aurait plus vu que son bras lorsqu’elle s’est jetée dans le vide. La femme est décédée sur le coup.
Le mari a été très choqué par ce drame, ses enfants aussi, notamment le garçon. Lequel, sous l’effet de la douleur et de l’émotion, a d’ailleurs été victime d’une crise de nerfs.
Le corps a été transporté par le SAMU à l’hôpital. Le mari sera auditionné aujourd’hui pour entendre une nouvelle fois sa version des faits. Le parquet devrait ordonner une autopsie, comme il est d’usage en cas de mort violente. Pour la police belfortaine, l’enquête va donc se poursuivre.
http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard