dimanche 30 novembre 2014

Saint-Germain-en-Laye : une septuagénaire décède après avoir été renversée par une voiture

Dramatique accident, ce dimanche, dans le centre-ville de Saint-Germain-en-Laye. Une femme de 77 ans est décédée après avoir été renversée par un véhicule rue de Pologne. Elle est morte sur les lieux de l’accident des suites de ses blessures. Le drame est survenu vers midi à proximité de la place où se déroule le dominical. Face aux contradictions des différents témoignages, le conducteur et la passagère de la voiture en cause ont été tous les deux placés en garde à vue au commissariat.
Des passants ont en effet rapporté qu’une femme était au volant du véhicule lors du choc, tandis que juste après l’accident, l’homme a déclaré qu’il conduisait. Selon les premiers éléments de l’enquête, il semblerait que la femme était bien au volant mais sans avoir le permis de conduire.
http://www.leparisien.fr/yvelines-78/saint-germain-en-laye-une-septuagenaire-decede-apres-avoir-ete-renversee-par-une-voiture-30-11-2014-4335097.php

Un homme percuté mortellement sur l'A9 au niveau de Villeneuve-les-Béziers

L a victime marchait sur la voie de droite. Le camion n'a pu l'éviter. 
Vers 4 heures du matin, ce dimanche, un homme âgé d'une trentaine d'années, a été mortellement percuté sur l'A9 par un poids-lourd qui venait d'Espagne. Le chauffeur roumain a aperçu au dernier moment, un homme qui marchait sur la voie de droite de circulation, à un mètre de la bande d'arrêt d'urgence, au niveau de la commune de Villeneuve-les-Béziers. Il n'a pu l'éviter. La victime est décédée sur le coup. Des recherches sont menées par le peloton d'autoroute de Poussan, chargé de l'enquête, afin d'identifier l'homme qui serait Biterrois. Le chauffeur routier  est actuellement auditionné. Les prélèvements sanguins ont été effectués. 

http://www.midilibre.fr//2014/11/30/un-homme-percute-mortellement-sur-l-a9-au-niveau-de-villeneuve-les-beziers,1090369.php

JURA. Fort-du-Plasne : un blessé grave dans une perte de contrôle au petit matin

Ce dimanche matin, un automobiliste de 19 ans, qui circulait seul, a perdu le contrôle de sa voiture sur la Départementale 62, à hauteur de la commune de Fort-du-Plasne.
Trouvé inconscient à l’arrivée des secours, le blessé grave a été héliporté sur l’hôpital de Genève par l’hélicoptère suisse de la Rega. Son pronostic vital était engagé au moment de son transport.

http://www.leprogres.fr/jura/2014/11/30/fort-du-plasne-un-blesse-grave-dans-une-perte-de-controle-au-petit-matin

samedi 29 novembre 2014

Un piéton tué sur la D951

LA FRANCHEVILLE (08). Selon nos confrères de France 3, un piéton a été mortellement fauché dans la nuit de vendredi à samedi sur la D951.
L’accident se serait produit à la sortie de La Francheville, direction Boulzicourt, sur une portion de route non éclairée.
On ignore pour l’instant les circonstances exactes de l’accident.

Depuis le début de l'année, c'est le 10e accident mortel dans les Ardennes, le second impliquant un piéton.

http://www.lunion.com/region/un-pieton-tue-sur-la-d951-ia18b0n447954

Piéton happé par un train : décès d’une vosgienne

Le trafic du TER a été interrompu hier durant plusieurs heures sur la ligne Saint-Dié-Nancy. Peu après 16 h, le train express régional qui venait de quitter la gare d’Etival-Clairefontaine en direction de Raon-l’Etape a heurté une piétonne.
Aussitôt, le conducteur a stoppé le train. Le corps sans vie d’une femme de 57 ans, domiciliée à Saint-Dié, a été retrouvé sur les voies. Les secours dépêchés sur place, n’ont rien pu faire pour la malheureuse victime.
Les sapeurs-pompiers, placés sous l’autorité du chef de groupe Jean Grandpré, et l’équipe du Smur ont toutefois consulté le conducteur du train, choqué après l’accident.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/11/28/pieton-happe-par-un-train-deces-d-une-deodatienne

vendredi 28 novembre 2014

Une mère et sa fillette décédées : hypothèse d'un suicide après infanticide

Les corps ont été retrouvés vers 18 heures par les policiers, suite au signalement d'une voisine qui s'étonnait de ne plus croiser les locataires, mais "la mort pourrait remonter à plus d'une semaine", a déclaré à l'AFP cette source, confirmant une information du journal Le Parisien.

En pénétrant dans leur petit appartement situé à Souppes-sur-Loing, à une vingtaine de kilomètres de Fontainebleau (au sud de Paris), ils ont trouvé la mère et sa fillette "couchées côte à côte dans un lit", a-t-elle poursuivi.
Selon les premiers éléments de l'enquête, les corps ne portaient pas de traces de violence et la porte de l'appartement était fermée de l'intérieur. "Toutes les
pistes sont étudiées mais certains éléments font privilégier la piste d'un suicide de la mère. Elle aurait pu faire ingérer quelque chose à son enfant, puis faire
de même", a estimé la source.

Âgée d'une trentaine d'années, cette mère célibataire d'origine sénégalaise n'avait pas de famille en France et avait eu dernièrement des "problèmes avec la justice", a-t-elle ajouté, sans plus de précisions.

Une autopsie des corps doit être pratiquée en début de semaine. Elle pourrait donner des indications sur le jour de la mort et l'éventuelle présence de produits dans le sang. La brigade de sûreté urbaine de Nemours a été chargée de poursuivre les investigations

http://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/2014/11/28/une-mere-et-sa-fillette-decedees-hypothese-d-un-suicide-apres-infanticide-602314.html

Espace aquatique : une femme décède, les bassins fermés

Une femme de Bischoffsheim de 74 ans est décédée hier en début d’après-midi à l’espace aquatique L’O d’Obernai.
Jeanne Haberer se trouvait avec un ami dans le bassin d’activités, où la profondeur n’excède pas 1,20 mètre. Victime d’un arrêt cardio-respiratoire, elle a été immédiatement sortie du bassin par trois maîtres-nageurs qui ont entamé un massage cardiaque, a indiqué le maire, Bernard Fischer. Elle n’a malheureusement pu être réanimée.
Les pompiers, dont la caserne est située face à l’espace aquatique, étaient sur place, ainsi que l’hélicoptère de la sécurité civile.
Suite à ce drame intervenu peu après 14 h, l’espace aquatique a été fermé. Il le sera encore aujourd’hui toute la journée afin de préserver un personnel très marqué, a précisé le maire.

http://www.dna.fr/faits-divers/2014/11/28/espace-aquatique-une-femme-decede-les-bassins-fermes

Les serres de verre cèdent, sept blessés dont un grave

Rare, voire rarissime accident, hier, à Saint-Pardoux-du-Breuil, dans une exploitation agricole de production de fruits et légumes. Comme ailleurs dans le Marmandais et dans le département, l'ère est aux serres en verre et, malgré les apparences, ces structures de culture restent solides et sont adaptées à toutes les conditions météo. Mais pas à un incident de la main de l'homme. Selon les services de gendarmerie, c'est le déplacement d'étais pour faire entrer un véhicule par un accès de l'une des serres qui a provoqué l'effondrement de l'ensemble, c'est-à-dire de 2 hectares au total. Dessous, une vingtaine de salariés étaient à l'œuvre et les blessés ne se comptent pas sur les doigts d'une main seulement. Parmi eux, deux Marocains, trois Portugais et deux Français domiciliés dans le Marmandais. Tous sont touchés au dos, aux membres inférieurs, aux mains. Des blessures considérées comme légères mais qui ont nécessité leur transport vers les centres hospitaliers de Marmande, d'Agen et de Langon.
Sur place, des ambulances de pompiers en conséquence, vu le nombre de blessés potentiels, le sous-préfet de Marmande et un inspecteur du travail. Les gendarmes auront à charge de définir pourquoi cette serre s'est soudainement effondrée sur les salariés des établissements Bataner, spécialisés dans la production de tomates sous serres. Le préjudice est important pour l'exploitant agricole.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/28/2000801-les-serres-de-verre-cedent-sept-blesses-dont-un-grave.html

jeudi 27 novembre 2014

Saint-Martin-d'Arberoue (64) : un homme et sa soeur retrouvés morts dans une maison

Un homme handicapé et sa soeur, âgés respectivement de 45 et 46 ans, ont été retrouvés morts dans une maison calcinée de Saint-Martin-d'Arboue dans les Pyrénées-Atlantiques. Il pourrait s'agir d'un acte désespéré.
Les faits se sont déroulés peu avant 14h à Saint-Martin-d'Arberoue. Ce sont les voisins qui ont donné l'alerte lorsqu'ils ont vu la maison en feu.

Ils auraient eux même participé à l'extinction de l'incendie avant de pouvoir rentrer dans la maison qui était fermée. C'est en entrant dans les lieux calcinés qu'ils ont découvert les corps des deux personnes.

Il s'agirait d'un homme handicapé âgé de 45 ans et de sa soeur âgée, elle, de 46 ans.

Selon ces mêmes voisins, une lettre laissée sur place pourrait faire penser à la piste d'un acte désespéré.

Une enquête a été ouverte par la compagnie de gendarmerie de Bayonne pour déterminer les circonstances du drame.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/aquitaine/2014/11/26/saint-martin-d-arberoue-64-un-frere-et-sa-soeur-retrouves-morts-dans-une-maison-600824.html

Un couple de promeneurs écrasé lors d'un accident de bucheronnage

Les victimes sont deux septuagénaires. L'accident s'est produit à 16 heures dans un bois à la sortie de la commune de Chamesol près de Saint-Hippolyte (Doubs). 
Un bûcheron était en train de couper du bois. L'arbre a atteint deux promeneurs qui passaient à ce moment là. Dégagées, les victimes n'ont pu être réanimées. Il s'agit d'un couple du secteur, homme de 74 ans et un homme de 70 ans.

Le bûcheron fortement choqué a été transporté au CHU de Besançon. Avant d'être entendu. L'enquête sur cet accident est confiée à la gendarmerie de Saint-Hippolyte

http://france3-regions.francetvinfo.fr/franche-comte/faits-divers

mercredi 26 novembre 2014

Bébé tombé dans la Garonne : « Il lui a dit qu’elle ne reverrait plus jamais sa fille »

La mère de Yumi, la fillette tombée vendredi dans la Garonne, a fui Bordeaux. La ville où elle a vécu jusqu'à l'été dernier est devenue un cauchemar pour elle. « On ne peut passer un pont ni regarder le fleuve. On se dit qu'elle est là, quelque part, seule, au fond, dans le noir. » Improvisée porte-parole de la famille maternelle, Angélique, la tante de Yumi, est évidemment effondrée par cette disparition brutale.
Mais elle raconte aussi en quelque sorte la chronique d'un drame annoncé. Les siens n'ont repris pied avec la réalité des faits que lundi. « Nous nous sommes d'abord enfermés. » Dans leur chambre d'hôtel, dans leur chagrin et dans leur incrédulité. « Nous étions incapables de lire la presse ou de regarder la télévision. »

Sans nouvelles de Yumi

Angélique ne voudrait pas que sa sœur cadette paraisse la « méchante de l'histoire ». « Si elle vit maintenant à La Rochelle, c'est parce qu'en juillet, après la décision de rupture, elle a été mise à la porte de chez elle. Elle a dormi à droite et à gauche, et a finalement trouvé un logement et un travail, deux conditions essentielles pour récupérer la garde de sa fille. »
"Mais il lui a dit qu'elle ne reverrait plus jamais sa fille"
« Elle n'est pas la mère qui abandonne, maltraite ou néglige son enfant, telle que certains l'ont décrite », plaide Angélique. « Ma sœur est une fille douce, posée, discrète, parfois naïve, qui adore les enfants. » Elle en a fait son métier et a produit cet été de nombreuses attestations élogieuses de parents satisfaits de son comportement avec leurs enfants. Elle n'a d'ailleurs pas pu reprendre son travail auprès d'un garçonnet. « Ç'aurait été trop dur de le serrer dans ses bras
La séparation conjugale aurait été difficile pour le père de Yumi. « Il était fou d'amour pour ma sœur, reconnaît Angélique. Mais il lui a dit qu'elle ne reverrait plus jamais sa fille. » C'est ce qui s'est passé, puisque la jeune femme n'avait plus de nouvelles de Yumi depuis le mois d'août. « Et tous, nous lui avons demandé d'être patiente, on faisait confiance à la justice », regrette Angélique.
"Notre première réaction a été de ne pas y croire"
Elle était en plein dîner d'anniversaire, dans le Var où elle réside, quand la mère de Yumi l'a appelée, vendredi soir. « Notre première réaction a été de ne pas y croire. De penser qu'il voulait lui faire du mal et qu'il avait en fait confié Yumi à un tiers pour ne pas la rendre à sa mère. C'était tellement inconcevable. Puis nous avons eu les pompiers et police secours au bout du fil. Vers minuit, après plusieurs heures de recherches, on a perdu tout espoir de la retrouver vivante. »
Dimanche, Anthony Gaudry, qui bénéficie toujours de la présomption d'innocence à ce stade de la procédure, a été mis en examen pour homicide volontaire et incarcéré. Sacrifice à deux pas de l'ancien domicile parental ? Meurtre parfait maquillé en accident sans témoin ? La qualification pénale pour le moment retenue par la justice était « importante pour nous ».

Instrumentalisation

Même si elle n'a pas souvent vu Yumi, c'était sa nièce. « Ma sœur m'envoyait des photos. Mes enfants ont une cousine, elle était très concrète pour nous. On était sûrs de la voir à Noël après la décision du juge aux affaires familiales. » L'attribution de la garde de l'enfant à la mère serait, selon la justice, le mobile du crime.
« Ni la justice ni les services sociaux n'ont pris la mesure du danger que courait l'enfant en restant avec son père »
La famille maternelle de Yumi est dévastée par le drame. Et en colère. « Ni la justice ni les services sociaux n'ont pris la mesure du danger que courait l'enfant en restant avec son père », accuse Angélique. C'est même elle qui, lundi, a dû annoncer que Yumi était tombée dans la Garonne à l'employée de la PMI (protection maternelle infantile) qui leur avait fixé un rendez-vous pour « faire un point sur le dossier ».
« Toute leur histoire, ce n'était pas un accident, gronde Angélique. Le père avait imposé sa volonté d'interdire tout contact entre ma sœur et sa fille par mesure de rétorsion après une rupture conjugale qu'il refusait d'admettre. » Elle en veut aussi aux proches du père qui, selon elle, « plutôt que le raisonner, l'ont conforté dans ses divagations ».
« Depuis le départ, il a instrumentalisé sa fille, en a fait un objet dont il s'est débarrassé », déplore Me Hélène Poulou, l'avocate de la mère de Yumi, très à l'écoute de sa cliente. « En la laissant tomber dans la Garonne, il a privé sa famille du corps et de sépulture. Ils ne pourront jamais lui dire au revoir. »

http://www.sudouest.fr/2014/11/26/on-ne-peut-plus-regarder-le-fleuve-1748134-1391.php

Une septuagénaire décède suite à une sortie de route

Hier, en tout début d'après-midi, il n'était pas encore 14 heures, un dramatique, bien que peu spectaculaire, accident a coûté la vie à une dame de 77 ans, au rond-point de l'aéroport, à Louey. Selon toute vraisemblance, mais l'enquête diligentée par la gendarmerie se dirige vers ces conclusions, la conductrice a perdu le contrôle de sa voiture, une Nissan Micra, à la sortie du rond-point. Alors qu'elle semblait vouloir aller en direction de Lourdes, elle a subitement obliqué vers la gauche de la chaussée, puis sauté un petit terre-plein en forme de triangle, censé séparer les flux de circulation à la sortie du rond-point, puis traversé la voie opposée avant de rouler, vraisemblablement à une vitesse relativement modeste, sur une surface en herbe et de percuter un petit arbre. D'après les dégâts, assez minimes, sur la voiture, le choc n'a pas été d'une violence rare, d'ailleurs, la conductrice n'a pas été blessée. En revanche, sa passagère, qui n'était autre que sa sœur jumelle, n'a pas survécu, vraisemblablement victime d'un arrêt cardiaque.

Chaussée humide

En effet, le choc n'a pas été assez violent pour causer des dommages corporels entraînant la mort, l'habitacle n'a pas été déformé, et le pare-brise n'a pas été cassé.
Plusieurs facteurs ont sans doute provoqué cette perte de contrôle : la chaussée humide, qui a pu engendrer une glissade, l'herbe mouillée sur laquelle la voiture a roulé a empêché la conductrice de freiner, et enfin, le fait que ce soit une voiture à transmission automatique qui est privée de frein moteur. Enfin, il a fallu le facteur «malchance», la voiture est passée entre deux panneaux indicateurs, qui auraient pu la ralentir, mais n'a pas évité l'arbre, alors qu'il était isolé.
La victime, qui habitait Oroix, a été évacuée par les pompes funèbres Vasquez, et la voiture par le garage Grisenti.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/26/1998905-la-septuagenaire-decede-dans-l-accident.html

mardi 25 novembre 2014

Un piéton mortellement fauché sur l'A51

Un piéton a été mortellement percuté cette nuit sur l'A51 à hauteur de Luynes, commune d'Aix-en-Provence. Il était descendu de son véhicule et a été fauché par une autre voiture qui circulait dans le sens Aix-Marseille. Les sapeurs-pompiers sont intervenus de même que la police. Une enquête est ouverte.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3147089/un-pieton-mortellement-fauche-sur-la51.html

lundi 24 novembre 2014

RER D : une personne heurtée par un train à Montgeron, trafic perturbé

Une personne a été heurtée par un train en gare de Montgeron-Crosne (Essonne), ce lundi matin. L'accident entraîne des suppression de missions vers Melun via Combs-la-Ville (zaco et zico) en Seine-et-Marne.

«L'ensemble de la ligne D circule avec des retards allant jusqu'à 30 min», indique la
qui ne prévoit pas de retour à la normale avant 13 heures

http://www.leparisien.fr/essonne-91/rer-d-une-personne-heurtee-par-un-train-a-montgeron-trafic-perturbe-24-11-2014-4318291.php

Crash d'avion dans l'Hérault : Maulichères pleure Brigitte

L'avion qui s'est crashé samedi à Riols transportait Brigitte et Jacques Ducoq, un couple de Maulichères. Le pilote, Jean-Paul Vignel, était le cousin de Brigitte. Tous les deux sont décédés. Jacques a été opéré.
La terrible nouvelle est tombée samedi après-midi. L'avion de tourisme qui s'est crashé à Riols, au nord-ouest de Béziers, transportait trois personnes, dont deux Gersois (voir notre édition d'hier). Il s'agit de Brigitte et Jacques Ducoq, domiciliés à Maulichères, entre Riscle et Plaisance-du-Gers. Brigitte est décédée dans l'accident, tout comme Jean-Paul Vignel, le pilote audois, qui les avait embarqués le matin même sur le tarmac du Bas-Armagnac, à Nogaro, pour les emmener à Aix-les-Milles, l'aérodrome tout proche d'Aix-en-Provence.

Le pilote avait déjà eu un accident en 2013

Et Jean-Paul était surtout le cousin germain de Brigitte. Domicilié près de Limoux, dans l'Aude, il était un habitué de l'aéro-club de Carcassonne. Il avait déjà eu un accident à bord du même type d'avion, un Gardan, près de Lavelanet, dans l'Ariège, en avril 2013. Il n'a pas réchappé à celui de samedi.Seul Jacques a survécu.
La famille Ducoq est bien connue dans le secteur pour avoir longtemps travaillé dans l'agriculture. Les parents de Jacques vivent toujours à Sarragachies où leur fils est né il y a 54 ans. Brigitte était quant à elle âgée de 52 ans et originaire de Paris. Tous les deux s'étaient connus à Saint-Domingue peu avant les années 2000. Le Gersois tentait de monter une entreprise. La Parisienne était en vacances. En rentrant en France, ils se sont installés à Tours avant que Brigitte ne suive Jacques dans le Gers. Le couple a ouvert trois gîtes à Saint-Mont, Arblade-le-Haut et Maulichères, village où ils avaient posé leurs valises depuis quatre ans après avoir restauré une vieille bâtisse au cœur des vignes.
«C'était un couple très convivial», explique le maire du village, Éric Darroux, très proche de Brigitte et Jacques. «Ils ont été mes premiers voisins. C'étaient des amis : on se côtoyait tous les jours. C'est très perturbant. C'est la gendarmerie qui me l'a appris et je vous assure que ça a été un gros choc. Je n'arrive pas à m'y faire, les mots me manquent…», confie-t-il, bouleversé. Et comme beaucoup, Éric Darroux a plus qu'une pensée émue pour les cinq enfants de Brigitte, issus d'une première union. Le petit dernier, âgé de 18 ans, vivant encore avec eux. «Surtout à cet âge-là…», souffle-t-il. Très appréciés dans le secteur de l'Adour, les Ducoq avaient déjà été éprouvés par le décès du frère de Jacques, emporté par une grave maladie.

Transféré chez les grands brûlés

De l'aveu de tous, «tout le monde en parle» de Riscle à Nogaro en passant bien sûr - surtout - par Maulichères et Sarragachies. «Jacques a été élevé ici, il avait voulu revenir dans ses terres avec Brigitte… C'est trop brutal», glisse Éric Darroux. Ils n'étaient pas spécialement férus d'aviation. Alors peut-être qu'ils devaient juste passer quelques jours dans les Bouches-du-Rhône. L'enquête de la gendarmerie de Béziers et de la brigade aéronautique devrait pouvoir le déterminer.
D'après ce que l'on peut lire sur l'interface Internet de la location des gîtes, Brigitte, qui «avait fui le stress de la ville», menait une vie tranquille «d'écrivain public» entre la réception des visiteurs et ses occupations de fabrication de conserves et d'entretien du jardin. Jacques est toujours en activité comme commercial pour une entreprise d'assainissement des eaux. Pour eux, recevoir des gens était une vraie stimulation. Brigitte parlait même d'«un voyage immobile nous donnant le désir de découvrir le monde». Un accident d'avion aura brisé ce rêve.
Jacques est toujours pris en charge à l'hôpital Lapeyronie, le CHU de Montpellier, où il a été opéré des cervicales, dans la nuit de samedi à dimanche, avant d'être placé en réanimation au service des grands brûlés. Mais son pronostic vital ne serait pas engagé.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/24/1997591-maulicheres-pleure-brigitte.html

dimanche 23 novembre 2014

Contre un arbre : un mort

Un automobiliste a perdu la vie en percutant un arbre, ce samedi peu après 13h30 sur le ban communal de Nambsheim.
Cet homme de 83 ans circulait sur la RD 468 en provenance de Balgau et en direction de Heiteren, lorsque la voiture a quitté la chaussée. Des témoins puis les secours sont intervenus, mais les tentatives de réanimation sont restées vaines.
La route a été provisoirement coupée, puis une circulation alternée a été mise en place dès 15h.



http://www.lalsace.fr/actualite/2014/11/22/contre-un-arbre-un-mort

Le corps d'un Russe trouvé au pied d'une barre rocheuse en Savoie

Le corps d'un ressortissant russe, âgé d'une cinquantaine d'années, a été trouvé dans le secteur du Mont Jovet, en Tarentaise, selonune information du Dauphiné Libéré.
L'homme, qui résidait chez des amis près de Bozel, était porté disparu depuis vendredi soir
  Il n'avait plus donné signe de vie depuis qu'il était parti, seul, faire de la randonnée.

Les recherches menées par la CRS Alpes, aidé de l'hélicoptère du détachement aérien de gendarmerie de Modane, ont permis de retrouver son corps vers 3H00 du matin, au pied d'une barre rocheuse, non loin d'un chemin balisé.

Une
a été ouverte par le parquet d'Albertville pour déterminer les causes de l'accident
http://www.leparisien.fr/faits-divers/le-corps-d-un-russe-trouve-au-pied-d-une-barre-rocheuse-en-savoie-22-11-2014-4314343.php

samedi 22 novembre 2014

Peillac (56) : une femme décède suite à un feu de friteuse

Peu avant 2h ce samedi matin, une femme de 71 ans a été découverte sans vie à son domicile de Peillac dans le Morbihan. De très épaisses fumées dégagées par un feu de friteuse semblent être à l'origine du décès.
L'appel a été reçu par les pompiers à 1h42. C'est  au lieu-dit la Pommeraie à Peillac que le corps sans vie d'une femme de 71 ans a été découvert dans la cuisine par son neveu qui vivait avec elle. La maison était envahie par de très épaisses fumées dégagées par un feu de friteuse, cette dernière étant resté allumée.

A l'arrivée des 15 pompiers dépêchés sur place, le feu était éteint.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/2014/11/22/peillac-56-une-femme-decede-suite-un-feu-de-friteuse-597748.html

Jura. Un homme mort depuis des jours découvert à son domicile

Un Lédonien d'une trentaine d'années ne donnait plus de signe de vie depuis une semaine. Son voisin inquiet de ne plus le croiser, a donné l'alerte.
Les policiers sont intervenus à son domicile ce vendredi.
Ils ont découvert l'homme sans vie dans son appartement du cours Colbert. Un médecin était attendu dans la soirée pour un examen Jura.

http://www.leprogres.fr/jura/2014/11/21/un-homme-mort-depuis-des-jours-decouvert-a-son-domicile

vendredi 21 novembre 2014

Epinoy : une piétonne meurt renversée par une voiture

L’accident a eu lieu ce mercredi soir vers 18h. Une femme âgée de 79 ans, a été percutée par une voiture à Epinoy, face à l'épicerie du village. Les secours arrivés sur place n'ont pu la ranimer. Elle est décédée sur place.

La conductrice et sa passagère n'ont pas été blessées mais, en état de choc, ont été hospitalisées au CH de Cambrai,
selon La Voix du Nord. Une enquête pour éclaircir les circonstances de cet accident a été ouverte par la brigade de gendarmerie de Marquion
http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/2014/11/20/epinoy-une-pietonne-meurt-renversee-par-une-voiture-596634.html

L'institutrice tuée à cause d'un délire de «persécution»

À quelques heures des vacances, le vendredi 4 juillet dernier, une institutrice d'Albi a été poignardée et tuée par une mère de famille. Une nouvelle expertise confirme son irresponsabilité
Un lent processus sans porte de sortie. Une accumulation de petites choses et de grands manquements qui conduisent au pire. Ce vendredi 4 juillet, quand elle est entrée dans l'école Édouard Herriot d'Albi, Rachida, 47 ans, s'apprêtait à frapper Fabienne Terral-Calmels, 34 ans, l'institutrice de sa petite fille. Un coup de couteau fatal pour cette mère de famille, si souriante, si agréable, si investie auprès de ses élèves.
Cinq mois après ces minutes tragiques, les investigations continuent dans le cadre de l'instruction judiciaire désormais pilotée par la juge Florence Bru, au pôle criminel de Toulouse. Une magistrate qui vient de demander un cinquième avis sur l'état psychique de Rachida au moment du drame.
Cette mère, hospitalisée pendant plusieurs semaines, séjourne actuellement dans le quartier des femmes de la maison d'arrêt de Seysses. Une personne décrite comme «agréable» par ses avocats, Mes Pauline Godet et Alexandre Martin. Mais qui défaille dès qu'on lui parle du drame qu'elle a provoqué à Albi.
Désignés par la justice, les docteurs psychiatres Geneviève Peresson et Pierre Hecquet ont remis au juge d'instruction les conclusions de leur expertise, la deuxième après celle réalisée dans les heures qui ont suivi le drame. Un travail patient, réalisé après plusieurs visites auprès de Rachida, mise en examen pour «assassinat» le 5 juillet et incarcérée. Pour les deux experts, Rachida souffrait d'un délire de «persécution». Conclusion similaire aux premiers avis d'experts.
Cette femme seule, sans emploi depuis septembre 2013, s'est peu à peu auto-convaincue qu'on voulait lui enlever sa fille. Et dans son délire, l'enseignante est devenue l'ennemi, celle qui était responsable. Une obsession pathologique totalement éloignée de la réalité mais que Fabienne Terral-Calmels a payé de sa vie.
Une obsession qui est née au début de l'année 2014 et qui a sans doute été accélérée par le changement d'école imposée à sa fille en début d'année et l'enquête qui avait été réalisée suite à son absence à la rentrée des classes, début janvier. Soupçonnée de «séquestration», la maman a été placée en garde à vue par la police à son retour d'Espagne, où elle séjournait chez sa sœur à Madrid. Cette mesure s'est terminée par une hospitalisation d'office à l'hôpital du Bon-Sauveur, à Albi. Quand elle est sortie en avril 2014, Rachida n'était pas guérie. Elle devait être suivie. Elle ne l'a pas été. Selon les experts, ce manque a sans guère de doute facilité son tragique passage à l'acte.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/21/1995986-l-institutrice-tuee-a-cause-d-un-delire-de-persecution.html

jeudi 20 novembre 2014

Bastia : une policière se suicide avec son arme au commissariat

Immense émotion ce matin à Bastia (Haute-Corse). Selon nos informations, une femme d’une cinquantaine d’année, capitaine à la police judiciaire de Bastia, à mis fin à ses jours ce jeudi matin dans son bureau, en se tirant une balle dans la avec son arme de service.
Les constatations étaient toujours en
en fin de matinée, et les raisons de son geste n’étaient pas encore connues
D'après France 3 Corse, cette fonctionnaire de police était mère de deux enfants. Selon des chiffres officiels, plus de 40 policiers ont mis fin à leurs jours depuis le début de l'année 2014

http://www.leparisien.fr/corse/bastia-une-policiere-se-suicide-avec-son-arme-au-commissariat-20-11-2014-4307819.php

Versailles : incendie mortel dans un immeuble

Un homme de 54 ans a trouvé la , dans la nuit de mercredi à jeudi, lors de l' de son appartement à Versailles. Vers 22 heures, allée Gabriel Fauré, un incendie s'est déclaré au rez-de-chaussée de cet immeuble de six étages. Une quarantaine d'habitants sont sortis d'eux-mêmes de l'immeuble. Le locataire de l'appartement en feu a été tiré des flammes par les pompiers.

 
Il était brûlé sur 90 % du corps et les secouristes ont fait repartir son coeur. Il a été transporté en direction du service des grands brûlés de Tours (Indre-et-Loire) en ambulance. Mais il est décédé lors de son transport. La victime est connue pour souffrir de troubles psychiatriques. La thèse du et d'un incendie volontaire est privilégiée par les enquêteurs du commissariat de Versailles.

http://www.leparisien.fr/yvelines-78/versailles-incendie-mortel-dans-un-immeuble-20-11-2014-4307555.php

Berck : une association veille pour assurer la défense de la petite Adélaïde

Très vite, face au drame de Berck, l’association La Voix De l’Enfant s’est constitué partie civile. Sa présidente souligne la discrétion de son engagement autant que sa vigilance concernant la procédure judiciaire.

La Voix de l’Enfant est une fédération d’associations qui s’occupe des situations d’enfants en détresse. Lors de l’ouverture de la procédure judiciaire, La Voix de l’Enfant s’est constitué partie civile. Sa présidente, Martine Brousse, revient sur l’affaire un an après les faits.
– De quelle manière suivez-vous ce dossier sensible ?
« Nous tenons à rester discrets. Cette histoire demande beaucoup de sérénité et une certaine prise de distance. Nous voulons avant tout comprendre ce qui s’est passé chez cette mère qui a commis un acte criminel. C’est un drame épouvantable, tout le monde a envie de réagir, de porter un jugement, mais il faut laisser du temps à l’instruction pour qu’elle se fasse sur le fond. C’est un drame particulier, il faut éviter de s’emballer. »
– Comment avez-vous réagi en découvrant les déclarations de la maman de la fillette, qui a évoqué une influence extérieure pour expliquer son geste ?
« Jusqu’à un certain moment, il n’y avait aucun élément sur cette question. Et puis tout d’un coup c’est comme tombé du ciel. Ça nous a interpellés. Pourtant la maman a pris un train, elle a réservé un hôtel, puis elle est repartie chez elle. Elle n’a pas fait un geste, tout d’un coup, dans une perte d’autonomie de l’esprit. Cela semble différent d’une bouffée délirante. Sinon elle aurait pu jeter sa fille dans la Seine. »
– Cela vous mobilise pour la suite de la procédure judiciaire ?
« Nous allons rester très vigilants sur ce qui peut ressembler à des stratégies de défense. Dans cette affaire, il ne faut pas que les habituelles stratégies de défense apparaissent. La maman est présentée depuis le début comme quelqu’un d’intelligent. Or les gens manipulateurs sont intelligents. Il faudra faire attention. »

http://www.nordeclair.fr/info-locale/region

mercredi 19 novembre 2014

Adrien Chappat : une marche blanche va être organisée

Une marche blanche en mémoire d'Adrien Chappat, dont le corps a été retrouvé vendredi dans la Marque devrait avoir lieu ce dimanche à Marcq-en-Baroeul. L'horaire et l'itinéraire (probablement 10h au départ de la place Doumer) ne sont pas encore complètement déterminés. La famille d"Adrien Chappat a indiqué sur Facebook qu'elle attendait l'autorisation préfectorale. 
La Voix du Nord a révélé ce mardi que l’autopsie du corps d’Adrien Chappat "n’a pas permis de découvrir les causes de la mort du jeune homme." Des analyses toxicologiques vont être effectuées pour tenter d'en savoir plus. Suicide ? Accident ? Crime ? L’enquête menée par la Sûreté urbaine de Lille se poursuit.

Adrien Chappat, 20 ans, avait disparu le 30 octobre.
Il été vu pour la dernière fois boulevard Clemenceau à Marcq-en-Barœul, le jeudi 30 octobre à midi, près du Mc Donalds. Sa famille et ses mais avaient alors placardé des avis de recherche dans tout le Nord Pas-de-Calais. Le corps d'Adrien Chappat, en très mauvais état, a été repêché vendredi suite à un signalement fait à la police par des ouvriers. 
http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/2014/11/19/adrien-chappat-une-marche-blanche-va-etre-organisee-595178.html

Une femme de 22 ans décède dans une violente collision

Il était environ 14 h 30 quand les pompiers ont été appelés pour un accident de la route ce mardi 18 novembre. Une voiture venait d’entrer en collision avec la charrue d’un tracteur sur la RD 946 en direction de Seraincourt, sur la commune d’Écly. Le tracteur était sur le point de tourner dans le champ alors qu’il circulait sur la départementale quand le choc a eu lieu.
À son bord, deux femmes de 22 et 23 ans. La plus jeune, qui était passagère, est décédée. La conductrice a quant à elle été blessée au visage ainsi qu’aux membres supérieurs et transportée à l’hôpital de Rethel. L’homme de 26 ans qui conduisait le tracteur, en état de choc, a, lui aussi, été dirigé vers l’hôpital de Rethel. 17 pompiers venus de Château-Porcien, Rethel, Novion-Porcien et Asfeld sont intervenus sur les lieux. Le peloton motorisé de la compagnie de gendarmerie de Rethel, les personnels de la communauté de brigade d’Asfeld, de Novion-Porcien, le commandant et le capitaine de la compagnie étaient sur place et ont assuré une circulation alternée jusqu’à 16 heures. La voiture a ensuite été séparée du tracteur, et l’engin agricole récupéré par les parents du conducteur. La jeune femme décédée était domiciliée dans le Rethélois tout comme les deux autres personnes impliquées dans l’accident.

http://www.lunion.com/accueil/photos-video-une-femme-de-22-ans-decede-dans-une-ia0b0n442142

mardi 18 novembre 2014

Renversé par une voiture, le piéton est décédé

Un homme de 52 ans est mort après avoir été renversé par une voiture dans la soirée de lundi vers 20 h à Auenheim, petite commune de la bande rhénane dans le Bas-Rhin. Selon les premières constatations des gendarmes, l’homme, domicilié dans la localité, a été percuté alors qu’il traversait la chaussée sur un passage piéton. Gravement blessé, il a été transporté à l’hôpital de Hautepierre à Strasbourg par les secours. Il est décédé dans la nuit.
En état de choc, le conducteur du véhicule, un jeune homme de 19 ans, a été également pris en charge par les secours.
http://www.dna.fr/edition-de-haguenau/2014/11/18/pieton-renverse-pronostic-vital-engage

Drame familial à Graulhet : deux morts retrouvés dans une maison isolée

Les cadavres de deux personnes, un sexagénaire et une trentenaire ont été découverts hier par les gendarmes dans une maison isolée à Graulhet. Les enquêteurs ont trouvé un fusil de chasse à côté des corps des deux victimes.
Que s'est-il passé hier en milieu d'après-midi dans cette maison située en rase campagne au lieu-dit Dame rose, 30, route de Saint-Paul ? Comment Laurence Mathieu, cette mère de deux enfants a-t-elle trouvé la mort de façon aussi violente peut-être tuée à bout portant par un fusil de chasse ? A-t-elle été abattue de sang-froid par l'homme qui semble être son beau-père, résidant dans le petit village d'Ambres ? Pour quelles raisons le sexagénaire aurait-il tiré sur elle ? Existait-il une liaison passionnelle entre les deux ? Ce dernier s'est-il donné la mort après avoir froidement exécuté sa belle-fille avec son arme à feu ?..
Autant de questions auxquelles les enquêteurs de la Section de recherches de Toulouse et les gendarmes de la brigade de recherches de Castres placé sous l'autorité du parquet de Castres devront répondre dans les prochains jours.
Concernant le déroulement de l'opération des forces de gendarmerie, les faits semblent simples. Le lieutenant-colonel Sylvain Renier, commandant du groupement de gendarmerie du Tarn raconte. «Hier, en milieu d'après-midi, le centre opérationnel de gendarmerie du Tarn a reçu un appel de personnes parlant de personnes mortes à Graulhet. «Aussitôt, une trentaine de gendarmes mobiles et départementaux  se sont rendus sur la route de Saint-Paul sur la commune de Graulhet.»

Un fusil de chasse trouvé à côté des deux corps

Ayant affaire à une maison isolée, les gendarmes choisissent alors de progresser lentement et méthodiquement jusqu'à donner l'assaut de la maison. Aucun coup de feu ne semble avoir été tiré par les forces de l'ordre. «Dans la maison, on a découvert deux corps sans vie, souligne le patron des gendarmes du Tarn. Un homme d'une soixantaine d'années et une femme d'une trentaine d'années. A côté d'eux, un fusil de chasse. Ils sont vraisemblablement décédés de mort violente mais c'est l'enquête qui le déterminera.»
Hier soir, le vice-procureur de la République de Castres s'est rendu sur les lieux. Tous les accès au lieu du drame étaient barrés. Tandis que les enquêteurs procédaient aux premières constatations, Claude Fita, premier magistrat de la ville de Graulhet depuis sept ans était encore sous le choc.
«C'est un drame familial atroce. Je n'ai jamais vu une chose pareille depuis que je suis maire. Je me suis occupé du veuf et des deux enfants du couple. Le mari de la décédée est l'un de nos employés municipaux. Heureusement, aucun des trois n'était présent dans la maison au moment de faits. C'est un docteur du Samu qui s'est chargé d'annoncer la terrible nouvelle au mari et aux enfants. Je suis personnellement allé récupérer le fils lycéen et la jeune fille collégienne. Ils ont été confiés à des amis.»
La thèse qui revenait le plus souvent hier soir était que le beau-père sexagénaire aurait tué sa belle-fille avant de retourner son arme contre lui.
Une piste que les investigations des gendarmes se chargeront de démontrer ou non

http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/18/1993611-drame-familial-graulhet-deux-morts-retrouves-maison-isolee.html

lundi 17 novembre 2014

Paris : le cadavre d’un homme découvert dans une voiture

Le corps sans vie d’un homme a été découvert, ce lundi, dans une voiture stationnée rue du Grenier-Saint-Lazare, à , dans le IIIe arrondissement.

La victime, âgée de 70 ans, portait un sac plastique sur le visage.

Domicilié en Seine-et-Marne, cet homme ne faisait pas l’objet de recherches particulières.

 Toutes les hypothèses sont envisagées dont celle d’un . Une a été ouverte.
 

dimanche 16 novembre 2014

Rhône. Dardilly : un conducteur de 19 ans tué route de Paris

Vers 5 heures ce dimanche au petit matin, un jeune conducteur a perdu la vie dans un accident de la circulation. L’accident s’est produit route de Paris, à Dardilly, à hauteur du lieu-dit du Chêne Rond, quasiment à l’entrée de Charbonnières-les-Bains.
http://www.leprogres.fr/rhone/2014/11/16/dardilly-un-conducteur-de-19-ans-tue-route-de-paris

Accident mortel au Russey

Un accident a eu lieu hier vers 17 heures sur la route départementale 437, à hauteur du Russey.
Une camionnette et un véhicule léger se sont percutés de plein fouet.
Le conducteur de l'utilitaire, un homme de 45 ans, était décédé lors de l'arrivée des secours.
Celui du véhicule léger et son fils de 8 ans, légèrement blessés, ont été transportés à l'hôpital de Montbéliard. 


http://france3-regions.francetvinfo.fr/franche-comte/2014/11/16/accident-mortel-au-russey-592908.html

Un jeune homme se tue sur la voie rapide

Un jeune homme de 25 ans a trouvé la mort cette nuit peu avant 4h sur la voie rapide à Vedène, entre Avignon et Carpentras. Il aurait perdu le contrôle de son véhicule. Une enquête de gendarmerie est ouverte
http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3132640/un-jeune-homme-se-tue-sur-la-voie-rapide.html

samedi 15 novembre 2014

Hérault : à Montblanc, un sexagénaire a tué son voisin de plusieurs balles

D ans la nuit du vendredi 14 à ce samedi 15 novembre, un homme de 65 ans aurait tué son voisin de quatre ou cinq balles pour un conflit de voisinage, rue Stalingrad, à Montblanc (Hérault).
"Cette nuit de samedi, vers 4 h 30, un homme de 65 ans aurait tué son voisin de quatre ou cinq balles dans le corps", confirme le vice-procureur de Béziers, Jean-Louis Sire.
Les faits se sont produits dans la cour d'un mas agricole, rue Stalingrad, à Montblanc. La victime se serait rendue pour une question qui reste à déterminer chez son voisin lequel aurait tiré, sans doute avec une arme de poing, à plusieurs reprises sur son visiteur.
"Un conflit qui date avec des personnes alcoolisées"
"Les premières investigations sont en cours et menées par les gendarmes, a ajouté le procureur Sire. Nous sommes sur un conflit qui daterait de longue date et avec des personnes alcoolisées."
Pour l'heure les gendarmes n'auraient pas encore retrouvé l'arme qui aurait servi à tuer la victime. 

http://www.midilibre.fr//2014/11/15/montblanc-il-tue-son-voisin-de-plusieurs-balles,1081968.php

La Rochelle : il est retrouvé mort entouré de sa vingtaine de chats

Tout est calme derrière la porte bleue. Au fond de l'impasse Guynemer, voisine de la rue du même nom, dans le quartier de Tasdon, rien n'indique la macabre découverte que les pompiers ont faite en début de semaine.
C'est là que le corps de Thierry Gunti, un quinquagénaire qui vivait seul dans son appartement, dans une grande maison, a été retrouvé, sans vie depuis plusieurs jours. « C'était un monsieur très gentil, il disait bonjour à chaque fois qu'il passait devant chez nous dans la rue. Il disait venir d'Alsace, et je sais qu'il adorait les chats, il en avait beaucoup », signale un voisin.

Laissés sans nourriture

Certains animaux avaient commencé à se nourrir avec la dépouille
L'homme décédé abritait en effet un grand nombre de félins, une vingtaine en tout. C'est le détail atroce qui sort ce fait divers de l'ordinaire : quand les pompiers sont entrés dans l'appartement, certains animaux avaient commencé à se nourrir avec la dépouille. Mardi après-midi, le lendemain de l'enlèvement du corps, la brigade animalière de la police municipale est intervenue dans l'impasse Guynemer pour prendre les chats, avec l'aide de la Société protectrice des animaux (SPA) de Lagord.
« Visiblement, ça faisait trois jours que la litière des chats n'avait pas été changée. Ils sont sans doute restés sans nourriture pendant tout ce temps. Ils étaient tous affamés et apeurés. Nous avons pu en ramener 22, dont deux chatons, il en manque encore un, qu'on recherche », explique l'équipe de la SPA de Lagord, qui s'est vue confier le groupe de chats.
« Une fois qu'ils seront vaccinés, tatoués et stérilisés, nous allons les proposer à l'adoption. Hormis le fait qu'ils ont perdu leur maître, auquel ils étaient habitués, ils se portent plutôt bien. Il y a d'ailleurs de très jolis chats, quelques angoras », remarque la SPA.

http://www.sudouest.fr/2014/11/15/les-chats-etaient-affames-et-apeures-1737044-1391.php

Voiture emportée par les eaux dans le Gard: deux morts, un disparu

Deux personnes, une mère et son enfant de quatre ans, sont mortes, et un autre enfant d'un an est porté disparu après que leur voiture a été emportée dans un cours d'eau dans la nuit de vendredi à samedi, dans le nord du Gard, a annoncé la préfecture.
"A 6h45, le véhicule a été localisé en aval du pont. Les corps sans vie de la mère et d’un des deux enfants ont été retrouvés. Le père de famille a pu être secouru par les pompiers. Les recherches se poursuivent pour retrouver le plus jeune enfant", a indiqué la préfecture dans un communiqué.
La voiture s'était engagée vers 00h30 sur un pont submergé par la crue de la Droude, entre Cruviers-Lascours et Saint-Césaire-de-Gauzignan, dans les Cévennes. Le véhicule "est tombé huit mètres en contrebas et a été emporté par les flots", avait indiqué le secrétaire général de la préfecture du Gard, Denis Olagnon.
Des témoins du drame ont pu aider à sortir des eaux le père, fortement choqué, qui a été hospitalisé, mais ils ont vu la voiture disparaître dans le courant.
Les recherches se poursuivaient samedi matin pour retrouver le plus jeune enfant, âgé d'un an. Une cellule d'urgence médico-psychologique était en cours de déploiement pour assister les proches de la famille.
Le Gard n'était pas placé vendredi soir en vigilance orange pluies-inondations, contrairement à quatre départements du Sud-Est, les Bouches-du-Rhône, le Vaucluse, le Var et les Alpes-Maritimes. Il était en vigilance jaune où il est conseillé d'être "attentif" si l'on pratique "des activités sensibles au risque météorologique ou à proximité d'un rivage ou d'un cours d'eau".
Il s'agit d'un "épisode cévenol brutal" et très localisé, a indiqué M. Olagnon, qui a souligné que les pompiers gardois n'avaient effectué que 17 interventions dans la nuit.
Dans le secteur, des pluies diluviennes très localisées - environ 280 mm d'eau - sont tombées en quelques heures.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/15/1991859-voiture-emportee-eaux-gard-mort-2-disparus.html

vendredi 14 novembre 2014

Vendée : un agriculteur meurt attaqué par des frelons asiatiques

L'homme a été piqué une dizaine de fois. La présence de cet insecte est certaine dans un bonne partie de la France, dont le Languedoc-Roussillon.
Un agriculteur de Vendée est mort fin octobre après avoir été piqué par plusieurs frelons asiatiques. Selon Ouest France, l'homme était sur son tracteur dans un champ situé près de son domicile lorsqu'il a dérangé un nid frelons. Les insectes se sont alors rués dans la cabine et l'ont piqué à une dizaine de reprises, notamment au visage. Il est mort à l'hôpital quelques heures après l'incident. “Quand, il est parti, j'ai su que c'était fini, assure sa femme, cité par nos confrères. Il était gonflé, tuméfié.”
frelon asiatique est arrivé en France il y une dizaine d'années. Sa présence est certaine dans un bonne partie de la France, dont le Languedoc-Roussillon.
http://www.midilibre.fr//2014/11/14/vendee-un-agriculteur-meurt-attaque-par-des-frelons-asiatiques,1081518.php

jeudi 13 novembre 2014

Pyrénées-Atlantiques : sortie de route fatale pour un motard de 24 ans

Le choc a été d'une extrême gravité, hier mercredi vers 16 heures, sur la route. Un motard circule sur la RD 936, en direction de Bardos et Bayonne. Dans un virage, le pilote perd le contrôle de son véhicule. Celui-ci est éjecté de sa moto. Elle est propulsée d'un côté et le motard de l'autre. Le deux-roues effleure la voiture arrivant en sens inverse. Le choc frontal, d'une grande violence, se produit entre le corps du motard et la voiture.

Médecins voisins intervenus

Malgré son casque, le pilote, âgé de 24 ans qui gît sur la voie, souffre d'un traumatisme crânien. Il est aussi victime de multiples autres traumatismes. Dès les premiers instants suivant son accident, la victime est prise en charge par du personnel médical. Ainsi, un médecin de Sames, passant à proximité, s'arrête et prodigue les premiers soins. Puis, le médecin de la commune accourt. « La victime est tout de suite perfusée », témoigne un habitant du canton de Bidache.
Les secours s'emploieront pendant une heure et demie à faire « revenir » le polytraumatisé, en vain. Les sapeurs-pompiers des casernes d'Urt et de Bidache sont sur les lieux, sous la direction d'un chef de groupe. L'équipe du Smur arrive rapidement, par hélicoptère. Selon le Dr Tarak Mokni, responsable du Samu, les professionnels parviennent à ranimer le pilote, mais les blessures sont trop importantes et le jeune homme décède dans les 30 à 40 minutes suivant l'espoir suscité par la réanimation. La victime décède sur place.
Le lieu où l'accident s'est produit a déjà été le théâtre d'accidents, selon le maire de Bidache Michel Dallemane. « Il y a des courbes assez longues, donc assez rapides, et elles sont souvent à l'ombre », indique l'élu, qui mentionne la possibilité que le pilote ait glissé sur la chaussée. Selon le parquet de Bayonne, la vitesse du pilote pourrait expliquer les faits. L'enquête de gendarmerie permettra de déterminer les circonstances exactes du drame qui a coûté la vie à ce jeune homme de 24 ans.
Le motard était originaire de Charente-Maritime, habitait Puyoô (Béarn) et travaillait à Orthez.

http://www.sudouest.fr/2014/11/13/sortie-de-route-fatale-1734226-4011.php

Un enfant de 4 ans chute du 2e étage, son père l’avait laissé seul

Un enfant âgé de 4 ans a fait une chute, dans la nuit de mercredi à jeudi, du deuxième étage d’un immeuble situé boulevard Ambroise-Croizat à Vénissieux. D’après nos premières informations, l’enfant se trouvait seul dans l’appartement.
Un enfant âgé de 4 ans et demi a fait une chute, la nuit dernière, du deuxième étage d’un immeuble situé 69 boulevard Ambroise-Croizat à Vénissieux. On ignore encore la gravité des blessures du petit garçon, mais son pronostic vital n’est heureusement pas engagé.

D’après les premiers constats effectués par les policiers, l’enfant se trouvait seul dans l’appartement d'où son père s’était absenté.
L’enfant s’est-il réveillé et a-t-il paniqué ? Le père a-t-il dû s’absenter pour un cas de force majeure ? Agé de 31 ans, il a été interpellé par les policiers à 3 heures du matin, une demi-heure environ après la chute de l’enfant et l’alerte donnée par des riverains.

Il est actuellement entendu par les policiers afin d’éclaircir notamment la durée et les raisons qui l’ont poussé à s’absenter.


Var : un adolescent meurt percuté par un train

Un adolescent est mort happé par un train à grande vitesse ce mercredi soir, en gare de Fréjus, dans le Var. Selon Var Matin, ce drame a immédiatement provoqué l’arrêt du trafic ferroviaire entre Marseille et Nice.
L’accident a eu lieu vers 18h30 mercredi. Le jeune garçon âgé d’une quinzaine d’années traversait la voie SNCF quand il a été percuté par un train reliant Nice à Lyon. Selon les premiers éléments de l’enquête, la victime était accompagnée d’un ami et elle s’apprêtait à regagner son domicile. La circulation des trains a été interrompue dans les deux sens jusqu’à 19h45 et a été rétablie vers 20h30.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/13/1990440-var-un-adolescent-meurt-percute-par-un-train.html

L'ancien garagiste fauché mortellement sur son perron

Hier midi, un dramatique accident sur fond de délit de fuite a eu lieu à Cazaux-Savès, non loin de Samatan. L'ancien garagiste, Hubert Baron, a été fauché sur le pas de sa porte. Il est décédé de ses blessures dans le véhicule du Samu qui le transportait vers un établissement de soins. Selon les témoins, une voiture de couleur vert clair qui venait de Samatan l'a accroché alors qu'il se trouvait devant sa maison en bord de route. Hubert Baron était âgé de 99 ans. Il a été projeté contre sa porte et la voiture a pris la fuite en direction de Samatan. Dans l'atelier contigu à l'habitation se trouvait son fils, qui avait repris l'activité de son père il y a quelques années. Il a entendu le choc. «Mourir comme ça devant sa porte, c'est une aberration. J'espère de tout cœur qu'ils seront rattrapés ! On pensait fêter ses 100 ans l'an prochain. Et il y serait arrivé, j'en suis sûr...», confiait Jean-Claude Tournan, le maire, encore ému.
Le tragique décès d'Hubert Baron laisse sa femme, sa fille et ses deux fils dans la douleur. C'est le 19e accident sur les routes du Gers en 2014. Une enquête judiciaire doit être ouverte par la gendarmerie de Lombez pour homicide involontaire. D'après nos informations, le conducteur avait volé le véhicule un peu plus tôt à Samatan. Quelques heures après le funeste accident, un homme d'environ 30 ans a été interpellé dans le secteur et placé en garde à vue. Lors d'une cérémonie organisée hier soir à la préfecture, Jean-Marc Sabathé s'est exprimé sur le sujet en évoquant un «conducteur fou».
Pour rappel, la gendarmerie du Gers est toujours à la recherche d'un conducteur de poids lourd qui a fauché mortellement une nonagénaire à Gimont le 30 septembre dernier et qui avait continué sa route.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/13/1989964-l-ancien-garagiste-fauche-mortellement-sur-son-perron.html

mercredi 12 novembre 2014

Ozoir-la-Ferrière : le lycéen victime d’un malaise est décédé

Le lycéen du campus Sainte-Thérèse à Ozoir-la-Ferrière, victime d’un arrêt cardiaque vendredi dernier, est décédé dans la . Édouard, élève de terminale âgé de 18 ans, a eu un malaise lors d’une épreuve du sport-études sur le terrain de vers 16 h 30. Évacué en hélicoptère à l’hôpital Henri-Mondor de Créteil (Val-de-Marne), il n’a malheureusement pas pu être réanimé par les secours.
Un temps de recueillement a eu lieu sur le campus lundi dernier. Une cellule d’écoute est mise en place dès ce mercredi.
 

Nurlu (80) : accident mortel

Hier soir dans la commune de Nurlu près de Péronne dans la Somme, un cyclomoteur a heurté de plein un engin agricole. Le cyclomotoriste est décédé. 
Selon les gendarmes, le conducteur du deux roues âgé de 45 ans se serait déporté sur la voie d'en face sur laquelle circulait l'engin agricole pour une raison indéterminée
http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/2014/11/12/nurlu-80-accident-mortel-590156.html

Les Mureaux : battue par son conjoint, elle se jette par la fenêtre

L’issue de ces violences conjugales aurait pu être bien plus dramatique. Une jeune femme voulant échapper aux coups de son conjoint s’est jetée par la fenêtre de son appartement, situé au deuxième étage d’un immeuble de la rue Frédéric-Chopin aux Mureaux (Yvelines).

Par chance, elle ne présente aucune blessure suite à cette chute.
En revanche, elle présente des hématomes, des marques de strangulation et des traces de lacérations vraisemblablement provoquées par des coups de fil de fer.

La jeune femme de 20 ans a été conduite au centre hospitalier de Poissy. Son conjoint de 24 ans a été interpellé et placé en garde à vue.
 

Malaise à La Poste : «La tentative de suicide de trop»

Une tentative de suicide à La Poste par un agent sur son lieu de travail a mis le feu aux poudres pour les factrices et les facteurs. Une manifestation a été organisée.
«Nous protestons contre l'organisation qui a conduit à une tentative de suicide d'un de nos collègues sur son lieu de travail pour des raisons professionnelles». Hier après-midi, Didier Dejean du syndicat Solidaires Sud PTT expliquait ainsi le rassemblement qui a eu lieu ce week-end sur le quai de déchargement du courrier à Saint-Gaudens. «Le centre de distribution, poursuit-il, gère Saint-Gaudens et Aspet, Montréjeau et Barbazan, Luchon et Saint-Béat, Boulogne, Aurignac ou Saint-Martory avec la même direction. Nous voyons au fil des mois les conditions de travail se détériorer pour les factrices et les facteurs, nous allons de réorganisation en réorganisation, avec toujours des tournées plus longues, davantage de travail, et un accroissement des fonctions, même si la distribution baisse. Nous subissons un management par le stress et tous les agents ont noté la dégradation des conditions de travail au CHSCT. Les accrochages se multiplient sur le terrain, entre collègues et envers la hiérarchie, des objets volent, des menaces sont proférées».
Le jeudi 23 octobre, un agent du secteur effectue une tentative de suicide sur son lieu de travail. Il est, depuis lors en arrêt maladie. Pour Didier Dejean, c'est là le fait de trop : «Nous effectuons actuellement une enquête pour recueillir les doléances des salariés ainsi que des entretiens avec la médecine du travail. Nous incriminons formellement La Poste face à son management. Nous avons l'impression que le seul objectif est le chiffre et que l'humain est complètement oublié».
Le mouvement de grève et la manifestation de ce week-end trouveront leur prolongement dans de nouvelles actions. Et les postiers sont d'autant plus motivés qu'avec le geste de leur collègue, c'est un drame humain qui a été frôlé.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/12/1989570-la-tentive-de-suicide-de-trop.html

mardi 11 novembre 2014

Hérault : une octogénaire tuée sur la route, le chauffard en fuite

Une octogénaire a été tuée à Agde (Hérault) par un chauffard alors qu'elle sortait d'un supermarché. L'accident s'est produit lundi vers 18 heures, route de Sète selon Midi Libre qui précise que le commissariat d'Agde a lancé un appel à témoins pour retrouver le conducteur d'une Clio grise.

C'est un homme, d'environ cinquante ans selon des témoins de la scène, qui aurait renversé la vieille dame dont l'identité n'était pas révélée. La victime a été fauchée alors qu'elle venait de faire ses courses à l'Intermarché. Elle est décédée à Montpellier dans la après son transfert par hélicoptère.

Le chauffard était à bord d'une Clio immatriculée dans le Nord selon des témoins qui ont vu la scène; il a pris la fuite en direction du centre d'Agde. Dans la fuite, le cabas à roulettes de la victime est resté accroché sous le véhicule.

Chargé de l'
, le commissariat d'Agde lance ce mardi un appel à témoins pour retrouver l'auteur de l'accident. Tél. 04 67 01 01 73.

Suicide sur la voie ferrée à Boé : trafic bloqué pendant trois heures

Une jeune femme de 30 ans s'est donnée la mort cet après-midi, en se jetant sous un train de marchandises transportant des produits pétroliers assurant la liaison Bordeaux-Sète. L'accident s'est produit à 14h50 à Boé en périphérie d'agen. Selon l'enquête de police, la victime qui est Agenaise, souffrait de troubles psychologiques et de dépression. Le drame a entraîné des retards importants au niveau du transport de voyageurs. Un TGV est resté bloqué en gare de Montauban près de 3 heures. La circulation ferroviaire a repris à 17h30 sur l'axe Bordeaux-Toulouse et à 18 heures pour les trains rapides au départ de la gare de Toulouse-Matabiau

http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/10/1988603-suicide-voie-ferree-boe-trafic-bloque-trois-heures.html

lundi 10 novembre 2014

"On souhaite que le meurtre d'Ilana ne serve pas à rien"

Deux mois après le drame, place Théo-Lombard (8e), les proches se sont réunis hier
D'abord, l'annonce. Au beau milieu de la nuit du 28 au 29 août. Ilana n'est plus. À 17 ans, comment est-ce possible, pensable ? Puis, l'effondrement. Place Théo-Lombard (8e). La vision de cette petite voiture Smart dont son petit ami, Sacha L., 20 ans, s'est servie comme d'une arme de destruction, parce qu'il ne supportait pas d'avoir été quitté.
Les pompiers, la police, les pompes funèbres. Viennent alors la dépression, les nuits blanches, les heures passées sur le lit d'Ilana, dans sa chambre de la cité des Hirondelles (13e), à humer ses vêtements encore empreints de son parfum. Les obsèques - la famille était entourée de 400 personnes -, le temps du deuil. Si la plaie est encore béante, les proches d'Ilana s'efforcent de passer à l'étape de l'action.
Hier, sur le pilone au pied duquel Ilana a été écrasée, ils ont déposé des roses blanches, avec son prénom écrit sur les pétales, des bougies, une photo d'elle. Rayonnante. Malgré la pluie incessante, la famille et des amis étaient là. Une trentaine d'âmes en peine. "C'est bientôt son anniversaire, et je ne pourrai rien lui offrir. On veut agir parce qu'on souhaite que son meurtre ne serve pas à rien", glisse sa maman, Béatrice.

"Il a foncé sur ma fille"

Très bientôt, elle créera une association "pour aider les jeunes à exprimer leurs maux afin d'éviter que ce genre de drame ne se reproduise. On a l'impression, via les réseaux sociaux notamment, que nos jeunes s'expriment beaucoup, qu'ils communiquent, mais en fait tout cela est superficiel, ils ne parlent pas de leurs problèmes de fond. S'il le faut, je ferai le tour des écoles pour faire de la prévention..."
La cadette des trois soeurs, Chany, 13 ans, écrit des lettres à sa soeur disparue en les publiant, comme des bouteilles jetées à la mer, sur sa page Facebook. Le papa, Jean-Charles, ne décolère pas. "Quand vous êtes au volant, et qu'un chat traverse, vous faites tout pour l'éviter, non ? Et bien, lui, il a foncé sur ma fille", peste-t-il, alors que le jeune homme à l'origine de leur malheur est en détention provisoire et mis en examen pour "homicide volontaire".
Selon nos informations, l'expertise de la voiture devrait bientôt être rendue. Elle viendra ou pas confirmer les dires du jeune homme qui a assuré en garde à vue avoir vainement tenté de freiner. Une hypothèse à laquelle les avocats de la maman, Me Isabelle Terrin et Me Stéphane Labi, ne croient pas une seconde. "Son geste fut aussi barbare que celui des djihadistes qui coupent des têtes", lâche même l'avocate.

http://www.laprovence.com/article/actualites/3122859/on-souhaite-que-le-meurtre-dilana-ne-serve-pas-a-rien.html

Grièvement blessé, le conducteur de 73 ans a succombé

Un peu avant 16 h 30 vendredi, une terrible collision entre une voiture et un poids lourd s'est produite à l'entrée de la zone commerciale du Couquet à Capdenac-le-Haut. Selon les premières constatations des gendarmes figeacois, le conducteur du véhicule léger qui quittait la zone commerciale, n'aurait pas respecté le cédez-le-passage et se serait engagé sur la RD 840 en direction de Capdenac-Gare sans marquer d'arrêt. Une zone où l'insertion des véhicules est particulièrement dangereuse.
Malheureusement un camion remorque chargé de laine-de-verre qui roulait en direction de Figeac est arrivé à ce moment-là et n'a pas pu l'éviter. Grièvement blessé, le conducteur de la voiture, Francis Issanchou, âgé de 73 ans et originaire de Brommat dans l'Aveyron, transporté par le SMUR à l'hôpital de Figeac, est décédé au bloc opératoire. Agé de 32 ans, le chauffeur du poid lourd venant de Corrèze est sorti indemne mais choqué de l'accident. Sur place, en plus des pompiers de Figeac et de Capdenac-Gare, sept gendarmes de la Brigade territoriale de Figeac ont été mobilisés sous le commandement du capitaine Carrère.
La circulation a été dans un premier temps totalement interrompue puis un alternat a été mis en place jusqu'à 18 h 40, afin de permettre le dégagement du camion et de la remorque, ce qui a causé de fortes perturbations sur cet axe très fréquenté. Ce nouvel accident tragique porte à 15, le nombre de personnes tuées cette année sur les routes du Lot
http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/09/1987794-grievement-blesse-le-conducteur-de-73-ans-a-succombe.html

dimanche 9 novembre 2014

Meurtre d’une prostituée à Blyes : les raisons du drame

Vendredi une prostituée était retrouvée morte dans la camionnette où elle travaillait avec à ses côtés son meurtrier qui s’était donné la mort.
A l’origine de cette tragédie, une histoire d’amour qui s’est mal terminée. Depuis la peur règne parmi les prostituées de la plaine de l’Ain

http://www.leprogres.fr/ain/2014/11/08/meurtre-d-une-prostituee-a-blyes-les-raisons-du-drame

samedi 8 novembre 2014

Accident de Vinça : le conducteur blessé est décédé

Le conducteur du véhicule dont la passagère est décédée dimanche après une terrible collision a succombé à ses blessures jeudi soir à l'hôpital de Perpignan.
L'accident qui avait coûté la vie à une dame de 84 ans dimanche en fin de journée, sur la RN 116, à hauteur du lac, avait aussi fait trois blessés dont un grave : le conducteur de la Renault Kangoo où se trouvait la victime.

L'homme de 86 ans, originaire de Rigarda et ancien voisin de la dame décédée,  avait été transporté en urgence par hélicoptère à l'hôpital de Perpignan. Il n'a malheureusement pas survécu. 
Dans le second véhicule, un père de 51 ans, ainsi que son fils de 19 ans ont été légèrement blessés au cours de ce choc. 
http://www.lindependant.fr/2014/11/04/accident-le-conducteur-blesse-serait-hors-de-danger,1950655.php

vendredi 7 novembre 2014

Piéton tué pont Churchill : la police lance un appel à témoins

Une femme de 66 ans a été tuée par un chauffard qui a pris la fuite dans la nuit de jeudi à vendredi, entre 4h30 et 5 heures du matin, à Lyon 6e. Le terrible accident s’est produit à la sortie du pont Winston-Churchill, à l’angle du quai Charles de Gaulle (côté parc de la Tête d’or). La voiture du fuyard serait une Volvo selon les premiers éléments de l’enquête. Pour tenter d’éclaircir les circonstances de cet accident et retrouver le chauffard, les policiers de la Brigade des accidents et des délits routiers (BADR) du commissariat des 3e et 6e arrondissements, lancent un appel à témoins. 
Toute personne susceptible d’apporter des informations sur cet accident est priée de contacter le Major Sobieraj à la BADR Centre au 04 72 82 15 00 ou l’Hôtel de police au 04 78 78 40 40

http://www.leprogres.fr/rhone/2014/11/07/lyon-6e-pieton-tue-pont-churchill-la-police-lance-un-appel-a-temoins

Collision frontale à Arthenac (17) : un conducteur tué

Accident mortel tôt ce matin sur la D699, au niveau de la commune d'Arthenac en Charente-Maritime. Un conducteur de 21 ans est décédé des suites d'une collision frontale avec un autre véhicule
Le conducteur du deuxième véhicule n'est que blessé. Une déviation a été installée pendant toute la matinée pour permettre aux secours, venus de Jonzac, de travailler sur les lieux de l'accident

http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/2014/11/07/collision-frontale-arthenac-17-un-conducteur-tue-587458.html

Le Haillan (33) : un motard tué dans une collision

Un motard de 48 ans a été tué dans une collision avec une voiture survenue hier jeudi vers 18 h 15 avenue de Magudas. Sapeurs-pompiers et Smur se sont rapidement rendus sur les lieux mais le quadragénaire avait perdu la vie.
La conductrice et la passagère de la voiture, âgées de 44 et 49 ans, ont été choquées. Mais leur état n'a pas nécessité leur évacuation vers un hôpital
 

Un homme entre la vie et la mort après un incendie route de Fronton

Un homme est entre la vie et la mort à la suite d'un incendie qui s'est déclaré, mercredi soir, dans un pavillon abritant quatre appartements, 281 avenue de Fronton, dans le Nord de Toulouse. Il était 23 h 17 lorsque les secours ont été alertés par l'une des habitantes des lieux.
Cette femme, accompagnée de son enfant, s'était rendu compte que de la fumée se dégageait des parties communes. Tous les deux se sont réfugiés sur le toit du pavillon et ont donné l'alerte. Les sapeurs-pompiers sont rapidement intervenus afin de circonscrire le sinistre. À l'intérieur d'un des appartements, ils ont retrouvé un homme en arrêt cardio-respiratoire. Le médecin du Samu a pratiqué les gestes de réanimations pendant un bon quart d'heure avant que la victime puisse être transportée vers l'hôpital Purpan où il a été placé en déchocage médical. Hier soir, son pronostic vital était engagé.
Les services de police ont été appelés sur place afin de sécuriser les lieux et de procéder aux relevés d'usage. L'enquête, sur l'origine de l'incendie, a été confiée à la sûreté départementale.
Selon les premières constatations, la piste criminelle ne serait pas privilégiée. Le feu aurait pris dans les parties communes, à savoir la cage d'escalier entre deux appartements. Il s'agirait d'un problème électrique.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/07/1986835-homme-entre-vie-mort-apres-incendie-route-fronton.html

jeudi 6 novembre 2014

Framicourt (80) : l’homme soupçonné d’avoir tué son fils est décédé

Un homme est décédé mardi à l’hôpital d’Amiens. Le 7 octobre, il avait été retrouvé gravement blessé par balle à l'arrière de son pavillon.
Il était en soins intensifs à l’hôpital d’Amiens depuis un mois. L’homme, âgé de 83 ans, a succombé à sa blessure au visage. Il est décédé mardi.Il avait été retrouvé à l’arrière de son pavillon le 7 octobre. Il était très gravement blessé. Un fusil de chasse était posé à côté de lui.
La piste d'un homicide suivi d'un suicide avait été avancée. L’octogénaire aurait tué son fils avant de retourner l’arme contre lui. Son fils âgé de 48 ans avait été retrouvé mort à côté de lui.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/2014/11/06/framicourt-80-l-homme-soupconne-d-avoir-tue-son-fils-est-decede-586680.html

Chute mortelle : Gabriel va être autopsié

« Un événement dramatique.  » C’est en ces termes que Patrice Dutot, inspecteur d’académie et directeur des services de l’Éducation nationale (Dasen), s’est exprimé hier après que le décès d’un petit écolier rethélois a été prononcé. «  C’est compliqué de réagir comme ça  », a-t-il ajouté, «  autant pour la famille en état de choc que pour l’ensemble de la communauté éducative. Une enquête va être diligentée. Il faut faire confiance à tous ceux qui en ont la charge.  »Il est aux alentours de 11 heures, hier, quand Gabriel perd conscience à l’école publique Jean-Mermoz. Le petit de maternelle, particulièrement calme, est bousculé par l’un de ses camarades dans la cour de récréation. Le choc, qui n’est pas décrit comme violent, lui fait perdre l’équilibre. Le bonhomme de 3 ans tombe sur ses fesses. Puis se couche sur le flanc, en arrêt cardio-respiratoire.
Dépêchés sur place, les sapeurs-pompiers de Rethel entreprennent de le réanimer. L’urgentiste du Smur leur prête main-forte. Le pronostic vital de l’enfant est fortement engagé.
Escortée par deux motards de la gendarmerie, l’ambulance prend la route de Reims pour l’hôpital Américain. En vain. Malgré les efforts des secouristes, Gabriel n’est pas réanimé. Une chape de plomb s’abat sur sa famille, les écoliers et l’ensemble du personnel de l’Éducation nationale.

Deux hypothèses retenues

Les gendarmes de Rethel ouvrent une enquête. Deux hypothèses semblent retenues. La « collision » pourrait avoir provoqué l’arrêt cardio-respiratoire, à moins que l’enfant n’ait des problèmes de santé. «  Nous avons pris des réquisitions aux fins d’autopsie dans l’après-midi  », explique le procureur de la République de Charleville-Mézières, Daniel Bouriaud. Elle devrait être réalisée ce jeudi par un médecin de l’unité médico-légale de Reims. «  Les résultats nous apporteront un début d’explications, nous permettant de savoir si la mort de l’enfant résulte de l’une ou l’autre hypothèse.  »
Au vu de la violence du drame et des conséquences qu’il pourrait avoir sur les autres élèves de l’école maternelle et de son personnel, l’Éducation nationale y a mis en place une cellule d’écoute avec l’aide de la préfecture. Composée de quatre psychologues et de deux maîtres spécialisés en psychologie des enfants, l’équipe pluridisciplinaire recevra les parents, les enfants et les membres de la communauté scolaire qui en éprouveront le besoin. «  Nous communiquerons sur le dispositif dès demain matin  », indiquait hier Patrice Dutot, «  proposant des entretiens individuels à ceux qui en feront la demande  ».
Cent trente enfants, au total, fréquentent l’école publique Jean-Mermoz. Ils se répartissent dans six classes, dont quatre de primaire et deux de maternelle. Les jours à venir, difficiles, ne ressembleront en rien aux précédents, rythmés par des récréations animées de joyeux cris d’enfants.

http://www.lunion.presse.fr/region/chute-mortelle-gabriel-va-etre-autopsie-ia3b25n434871

Saint-Denis : un enfant de 2 ans renversé par une voiture

Un enfant, âgé de 2 ans se trouvait toujours en soins intensifs, ce mercredi 5 novembre au soir, à l’hôpital Delafontaine à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) après avoir été renversé ce matin par une voiture dans une rue de la ville.

Selon les premières investigations, la petite victime, laissée sans surveillance, a traversé la rue Ambroise-Croizat avant d’être percuté par un automobiliste.

Alertés par les des passants, les parents de l’enfant, domiciliés dans un camp de fortune à proximité des lieux des faits, l’ont aussitôt conduit à l’hôpital. Sous le choc, le conducteur du véhicule à l’origine de cet accident a été pris en charge par les pompiers.
http://www.leparisien.fr/saint-denis-93200/saint-denis-un-enfant-de-2-ans-renverse-par-une-voiture-05-11-2014-4268325.php

mercredi 5 novembre 2014

Cambrai-Proville : un homme retrouvé mort dans sa voiture, plongée dans le canal

Mardi soir vers 20h25, un joggeur s'étonne de voir les feux allumés d'une voiture dans le canal de Proville, juste à côté de Cambrai. Les feux arrières de la voiture sont encore allumés quand il appelle les secours, la police et les pompiers.

Trois pompiers et le joggeur, viennent en aide à la victime, un homme de 57 ans, inanimé à l'intérieur du véhicule. Les secours ne pourront pas le réanimer. Une autopsie va avoir lieu, à l'hôpital de Cambrai précise l'Hôtel de Police de Lille, pour déterminer la cause de la mort.

Suicide ? Malaise au volant ? Selon
La Voix du Nord, qui révèle l'information, la victime était au volant de son véhicule. 
http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/2014/11/05/cambrai-proville-un-homme-retrouve-mort-dans-sa-voiture-plongee-dans-le-canal-585712.html