Ils étaient environ 600 personnes, de tous les âges, de tous les quartiers, à s’être déplacées jusqu’à l’hôpital américain pour participer à la marche blanche organisée en hommage à ce petit garçon, victime de mauvais traitement chronique.
La plupart des personnes présentes avait une rose blanche à la main. Le cortège s’est rendu jusqu’à la place des Argonautes, là où vivait l’enfant avec sa mère et son beau-père. Dépôts de gerbes, de bougies mais aussi un lâché de ballons et de lanternes avant un long moment de recueillement
http://www.lunion.fr/node/848349
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vendredi 2 décembre 2016
jeudi 17 novembre 2016
Accident de Bavincourt : une marche blanche organisée pour la conductrice du bus décédée
L'émotion est vive dans le village de Gouy-en-Artois, où résidait Francine Lesage. Cette conductrice de bus de 47 ans est décédée lundi 14 novembre dans un dramatique accident entre le car scolaire qu'elle conduisait et un poids lourd au niveau de Bavincourt
"Je pense que beaucoup d'enfants du village ont été transportés dans son car. C'est un événement douloureux" explique un habitant de Gouy-en-Artois.
Pour rendre hommage à Francine Lesage, ses proches, ses amis, sa famille et toutes les personnes qui le souhaitent sont invités à participer à une marche blanche dimanche 20 novembre dans la petite commune de 500 habitants.
Le départ s'effectuera symboliquement depuis la cour de l'école du village à 10h. Le cortège se rendra en silence jusqu'à la chapelle pour un moment de recueillement. Les funérailles de Francine Lesage seront célébrées le samedi 19 novembre à 10 heures dans l’église de Gouy-en-Artois.
Un endormissement du conducteur du poids lourd pourrait être à l'origine de la collision entre le camion et un car scolaire. Des analyses toxicologiques et sanguines du chauffeur sont toujours en cours, a précisé le parquet.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/pas-de-calais
"Je pense que beaucoup d'enfants du village ont été transportés dans son car. C'est un événement douloureux" explique un habitant de Gouy-en-Artois.
Pour rendre hommage à Francine Lesage, ses proches, ses amis, sa famille et toutes les personnes qui le souhaitent sont invités à participer à une marche blanche dimanche 20 novembre dans la petite commune de 500 habitants.
Le départ s'effectuera symboliquement depuis la cour de l'école du village à 10h. Le cortège se rendra en silence jusqu'à la chapelle pour un moment de recueillement. Les funérailles de Francine Lesage seront célébrées le samedi 19 novembre à 10 heures dans l’église de Gouy-en-Artois.
L'hypothèse de l'endormissement du chauffeur
Le chauffeur du camion impliqué dans l'accident de Bavincourt, âgé de 35 ans et hospitalisé au CHRU de Lille, est toujours entre la vie et la mort tout comme un garçon de 13 ans, hospitalisé au CH d'Amiens et présentant plusieurs fractures ouvertes. Une autre passagère du bus scolaire âgée de 13 ans, plus légèrement blessée, est toujours en observation au CH d'Arras.Un endormissement du conducteur du poids lourd pourrait être à l'origine de la collision entre le camion et un car scolaire. Des analyses toxicologiques et sanguines du chauffeur sont toujours en cours, a précisé le parquet.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/pas-de-calais
samedi 24 septembre 2016
Lorraine : l’hommage des parents de Julien, l’adolescent mort des suites d’une agression à Nancy
Les obsèques de Julien, le lycéen vosgien mort des suites d’une agression au centre de Nancy, auront lieu lundi 26 septembre à 14 h 30 en l’église de Saint-Nabord. Une enquête est toujours en cours pour élucider les circonstances de son décès.
Vendredi 16 septembre, à 4 h, l’adolescent avait été pris en charge par les pompiers, pont des Fusillés à Nancy, après une rixe. Il portait des marques au visage. Le jeune Vosgien avait été dirigé vers les urgences de l’hôpital central avant de regagner, dans la matinée, le domicile familial à Saint-Nabord. Plus tard dans la journée, sa mère le retrouvait inconscient, dans sa chambre. Transporté dans un état critique, Julien est décédé mardi, en début d’après-midi.
Les premiers éléments de l’enquête semblent confirmer un échange de regards tendus en discothèque avec un autre groupe. Groupe dont Julien aurait croisé la route, un peu plus tard, place de la République où un coup de poing au visage lui a été asséné. Devant les nombreuses zones d’ombre planant encore sur ce dossier, les résultats de l’autopsie étaient attendus par les enquêteurs. Celle-ci n’aurait, finalement, rien donné de vraiment probant, des analyses étant toujours en cours. Parallèlement, les investigations se poursuivent, les enquêteurs du SRPJ de Nancy n’écartant aucune piste.
« Julien avait 17 ans. Il était jeune, plein de vie, débordait d’énergie même, si l’on en croit ses amis et tous ceux qui un jour ont croisé son chemin.
Comme Calogero l’a écrit, il était un jour au mauvais endroit. Son destin foudroyé nous plonge dans le désarroi. Il était la joie de vivre personnifiée, il était comme un aimant qui rassemble, qui rapproche dans son sillage.
Il était aimant. Il aimait la vie, il aimait les gens. Toujours prêt pour partager un bon moment entouré de ses proches, de ses amis, le sourire accroché à ses lèvres, il était joueur, parfois taquin et fidèle. Quand vous étiez dans sa liste, vous y restiez.
Aujourd’hui disparu, nous voici contraints à te dire au revoir, toi l’être aimé qui rejoindras les anges à coup sûr ».
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-ville/2016/09/24/lorraine-l-hommage-des-parents-de-julien-l-adolescent-mort-des-suites-d-une-agression-a-nancy
Vendredi 16 septembre, à 4 h, l’adolescent avait été pris en charge par les pompiers, pont des Fusillés à Nancy, après une rixe. Il portait des marques au visage. Le jeune Vosgien avait été dirigé vers les urgences de l’hôpital central avant de regagner, dans la matinée, le domicile familial à Saint-Nabord. Plus tard dans la journée, sa mère le retrouvait inconscient, dans sa chambre. Transporté dans un état critique, Julien est décédé mardi, en début d’après-midi.
Les premiers éléments de l’enquête semblent confirmer un échange de regards tendus en discothèque avec un autre groupe. Groupe dont Julien aurait croisé la route, un peu plus tard, place de la République où un coup de poing au visage lui a été asséné. Devant les nombreuses zones d’ombre planant encore sur ce dossier, les résultats de l’autopsie étaient attendus par les enquêteurs. Celle-ci n’aurait, finalement, rien donné de vraiment probant, des analyses étant toujours en cours. Parallèlement, les investigations se poursuivent, les enquêteurs du SRPJ de Nancy n’écartant aucune piste.
« Il aimait la vie »
En attendant, les parents de Julien nous ont communiqué un court texte nécrologique, une sorte d’ultime d’hommage à leur fils :« Julien avait 17 ans. Il était jeune, plein de vie, débordait d’énergie même, si l’on en croit ses amis et tous ceux qui un jour ont croisé son chemin.
Comme Calogero l’a écrit, il était un jour au mauvais endroit. Son destin foudroyé nous plonge dans le désarroi. Il était la joie de vivre personnifiée, il était comme un aimant qui rassemble, qui rapproche dans son sillage.
Il était aimant. Il aimait la vie, il aimait les gens. Toujours prêt pour partager un bon moment entouré de ses proches, de ses amis, le sourire accroché à ses lèvres, il était joueur, parfois taquin et fidèle. Quand vous étiez dans sa liste, vous y restiez.
Aujourd’hui disparu, nous voici contraints à te dire au revoir, toi l’être aimé qui rejoindras les anges à coup sûr ».
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-ville/2016/09/24/lorraine-l-hommage-des-parents-de-julien-l-adolescent-mort-des-suites-d-une-agression-a-nancy
dimanche 14 août 2016
La grande famille des motards pleure un des siens
Le parvis de l'église Notre-Dame était ceinturé d'une centaine de motos. Jeudi matin, ils étaient venus très nombreux pour rendre un dernier hommage à Serge Tronco, enlevé, deux jours plus tôt, à l'affection des siens. Lorsqu'un amoureux de la moto disparaît, les motards savent se mobiliser et se retrouver pour lui dire adieu. Ce pur Valencien avait toujours adoré la moto. Dès l'âge de 15 ans, il chevauchait déjà une Motobécane spéciale TT, et très vite, il est passé à une cylindrée plus importante, une 750 Honda. Serge Tronco, issue d'une famille connue et estimée dans la cité valencienne, adorait les courses de motos. Il a participé à de nombreuses épreuves, notamment des coupes d'endurance Ducati, sous les couleurs de son club de Golfech. Le circuit de Nogaro, il le connaissait bien pour l'avoir fréquenté durant de très nombreuses années. C'était là qu'il aimait se retrouver, avec ses amis chevronnés de motos de compétition comme lui, et c'est là-bas qu'il s'est éteint soudainement, après avoir passé quelques heures sur son bolide. Un signe peut être...
Professionnellement, Serge Tronco a passé toute sa vie comme agent SNCF, et avant de prendre sa retraite il y a un an, il conduisait encore une locomotive d'un train qui effectue des travaux sur les rails. Un garçon aimable, discret, toujours souriant, qui va manquer à ses proches et à ses amis.
http://www.ladepeche.fr/communes/valence,82186.html
http://www.ladepeche.fr/communes/valence,82186.html
samedi 18 juin 2016
mercredi 15 juin 2016
vendredi 27 mai 2016
Hommage à Elise à Rumigny (Ardennes)
Le drame a bouleversé la petite commune ardennaise. Le 11 mai dernier, la petite Elise, 5 ans, est morte noyée devant son domicile après avoir chuté dans une canalisation. L'eau était soudainement montée suite à un violent orage. Effondrée, la famille d'accueil en charge de l'enfant a décidé de lui rendre hommage. Elle organise un moment de recueillement ce vendredi à 14h30 dans l'église de Rumigny (Ardennes).
Rappelons que dans cette triste affaire, le procureur de la République a ouvert une information judiciaire pour homicide involontaire contre X afin de faire toute la lumière sur les responsabilités.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/champagne-ardenne/ardennes/hommage-elise-rumigny-ardennes-1007455.html
Rappelons que dans cette triste affaire, le procureur de la République a ouvert une information judiciaire pour homicide involontaire contre X afin de faire toute la lumière sur les responsabilités.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/champagne-ardenne/ardennes/hommage-elise-rumigny-ardennes-1007455.html
jeudi 5 mai 2016
Marche blanche pour Fabrice, agent municipal ayant mis fin à ses jours
80 à 100 personnes, agents municipaux en activité ou retraités, ont participé, hier après-midi, à une marche blanche en hommage à Fabrice Acoul-Vabre, agent municipal decazevillois ayant mis fin à ses jours en fin de semaine dernière et dont les obsèques ont eu lieu mardi matin, en présence d'une foule immense. Cette marche blanche, à laquelle participait la veuve du défunt, est partie des ateliers municipaux où travaillait ce père de trois enfants. Puis le cortège a défilé en ville pour rejoindre le parvis de la mairie, où une banderole montrant des portraits de Fabrice Acoul-Vabre a été posée sur la façade de l'édifice. Une minute de silence a été observée, tout comme la veille, lors de l'assemblée générale des municipaux. Après plusieurs minutes chaleureuses de soutien à la famille le rassemblement s'est terminé. Cette marche intervient à l'issue de deux jours de deuil, lundi et mardi, et un jour de retrait des agents, lesquels ont rencontré, hier matin, les professionnels de santé d'une cellule de soutien psychologique.
Les représentants de l'intersyndicale CGT-FO, qui avaient alerté à plusieurs reprises le maire sur le mal-être au travail de nombreux agents municipaux, ont demandé la tenue d'un CHSCT extraordinaire. Le maire les a reçus hier matin pour fixer la tenue de ce CHSCT, mercredi 11 mai.
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2016/05/05/2338288-marche-blanche-pour-fabrice.html#V6TEEgJkVpyJvXtZ.99
dimanche 24 avril 2016
Famille décimée à Cestas (33) : 800 personnes pour la marche blanche
La marche blanche organisée en mémoire d'Angélique Pradier décédée lundi avec ses deux enfants a réuni plus de 800 personnes aujourd'hui samedi au Barp
Plus de 800 personnes se sont réunies aujourd'hui, samedi, en début d'après-midi devant l'église du Barp. Autour de la famille d'Angélique Pradier, des amis, des proches et bien d'autres encore ont témoigné de leur chagrin après la mort de cette jeune Barpaise de 39 ans et de ses deux enfants de 6 et 9 ans, lundi dernier dans un accident de voiture causé par un chauffard ivre
http://www.sudouest.fr/2016/04/23/famille-decimee-a-cestas-33-800-personnes-pour-la-marche-blanche-2339736-2941.php
http://www.sudouest.fr/2016/04/23/famille-decimee-a-cestas-33-800-personnes-pour-la-marche-blanche-2339736-2941.php
dimanche 14 février 2016
dimanche 3 janvier 2016
Emotion et recueillement à la marche blanche pour Angélique
Environ 300 personnes s'étaient donné rendez-vous ce samedi à 14h parmi lesquelles beaucoup de jeunes,les élus,amis et proches de la famille pour la marche blanche en hommage à Angélique Texeira, décédée tragiquement le 26 décembre dernier à l'âge 18 ans.Parti de l'Allée Saint-Martin,le cortège s'est rendu en silence jusqu'au lieu dit Lascombe,où la jeune fille a perdu la vie dans un tragique accident de voiture.Chacun a déposé une rose blanche sur la stèle et le prêtre de la paroisse a célébré une messe en sa mémoire.
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2016/01/03/2248972-emotion-et-recueillement-a-la-marche-blanche-pour-angelique.html#y4VD9alAOrXeKgKL.99
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2016/01/03/2248972-emotion-et-recueillement-a-la-marche-blanche-pour-angelique.html#y4VD9alAOrXeKgKL.99
dimanche 29 novembre 2015
mercredi 25 novembre 2015
Le dernier adieu à Anne-Laure Arruebo, tuée dans les attentats
C'est aujourd'hui, à 14h30, que se dérouleront les obsèques d'Anne-Laure Arruebo, en l'église de Quint-Fonsegrives. La jeune femme sera ensuite inhumée dans le caveau familial, au cimetière de Salonique, à Toulouse. Anne-Laure Arruebo est cette Quint-Fonsegrivoise tombée sous les balles des terroristes, cetriste13 novembre, à Paris. Elle avait 36 ans. Comme beaucoup de Parisiens, après une semaine de travail, elle avait choisi un café rue de Charonne pour profiter de la douceur automnale, autour d'un verre. Anne-Laure s'était installée à sa terrasse en compagnie d'une très bonne amie et collègue, Cécile Coudon Peccadeau de l'Isle. Les deux femmes n'ont pas réchappé à l'assaut des fanatiques (1).
Anne-Laure Arruebo était inspectrice à la Direction générale des Douanes et des Droits indirects. Après avoir gravi les marches, elle était devenue responsable du contrôle des valises diplomatiques. Selon un proche de la famille, «elle se consacrait beaucoup à sa vie professionnelle». Mais elle profitait aussi de la vie parisienne qu'elle avait appris à aimer sans pour autant renier son doux village de Qunt-fonsegrives. C'est là qu'elle avait passé son enfance avec sa famille, ses deux sœurs et ses parents. Tous doivent aujourd'hui surmonter une peine insoutenable. Ils savent cependant qu'ils auront à leur côté de nombreux amis et une famille unie comme jamais.
«Nous avons toujours été, et resterons, très soudés et plus particulièrement dans ce moment difficile», a confié Bernard Andreu, l'oncle d'Anne-Laure. Ce Toulousain était proche de sa nièce. Il se remémore cette «jeune femme qui aimait la littérature, les concerts, les arts, les spectacles… Nous lui offrions toujours le prix Médicis ! Nous l'aimions et la voyions souvent, notamment à Noël car notre famille se réunit souvent pour ces fêtes. Ce qui s'est passé est un drame immense…»
La ville de Quint-Fonsegrives a rapidement témoigné des marques d'affection à la famille. Un soutien quasi-quotidien. Le maire Bernard Soléra s'est à maintes reprises dit «très touché par cette disparition». Il a annoncé qu'une gerbe serait déposée. Le drapeau français sera également déployé lors de la cérémonie.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/11/25/2224157-le-dernier-adieu-a-anne-laure-arruebo.html
Anne-Laure Arruebo était inspectrice à la Direction générale des Douanes et des Droits indirects. Après avoir gravi les marches, elle était devenue responsable du contrôle des valises diplomatiques. Selon un proche de la famille, «elle se consacrait beaucoup à sa vie professionnelle». Mais elle profitait aussi de la vie parisienne qu'elle avait appris à aimer sans pour autant renier son doux village de Qunt-fonsegrives. C'est là qu'elle avait passé son enfance avec sa famille, ses deux sœurs et ses parents. Tous doivent aujourd'hui surmonter une peine insoutenable. Ils savent cependant qu'ils auront à leur côté de nombreux amis et une famille unie comme jamais.
«Nous avons toujours été, et resterons, très soudés et plus particulièrement dans ce moment difficile», a confié Bernard Andreu, l'oncle d'Anne-Laure. Ce Toulousain était proche de sa nièce. Il se remémore cette «jeune femme qui aimait la littérature, les concerts, les arts, les spectacles… Nous lui offrions toujours le prix Médicis ! Nous l'aimions et la voyions souvent, notamment à Noël car notre famille se réunit souvent pour ces fêtes. Ce qui s'est passé est un drame immense…»
La ville de Quint-Fonsegrives a rapidement témoigné des marques d'affection à la famille. Un soutien quasi-quotidien. Le maire Bernard Soléra s'est à maintes reprises dit «très touché par cette disparition». Il a annoncé qu'une gerbe serait déposée. Le drapeau français sera également déployé lors de la cérémonie.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/11/25/2224157-le-dernier-adieu-a-anne-laure-arruebo.html
jeudi 19 novembre 2015
Recologne-Doubs : hommage à Lucie, victime des attentats de Paris
Montbéliard. Elle est tombée sous les balles du commando dit « des terrasses », l’une des trois équipes ayant semé la terreur en ce terrible vendredi 13 novembre 2015 à Paris.
Après avoir tué quinze personnes quelques minutes plus tôt dans le Xe arrondissement, mitraillant les abords du restaurant Le Petit Cambodge et du Carillon, les assassins ont ensuite fait feu au niveau du restaurant la Bonne Bière dans le XIe arrondissement, à l’angle des rues Fontaine-au-Roi et du Faubourg-du-Temple. Faisant, ce soir-là vers 21h32, cinq nouvelles victimes.
Parmi elles, Lucie Dietrich, une Doubienne d’origine qui habitait le quartier. Elle avait 37 ans, était indépendante et joyeuse. Créatrice de bijoux, infographiste, maquettiste, elle était diplômée de l’Institut d’études supérieures des arts (IESA) depuis 2013. Du reste, Marc-François Mignot-Mahon, le président de Studialis, du nom d’un réseau d’écoles auquel appartient l’IESA, lui a rendu hommage dans un communiqué.
Le plus bel hommage, cependant, lui vient de son frère aîné Emmanuel, fondateur de la marque horlogère Dietrich, installée en Suisse. Lequel va réaliser une (superbe) montre en série limitée de treize exemplaires, réservée à la famille et aux proches : l’OT-13 affichera du bleu, du blanc et du rouge comme pour remettre à l’heure les valeurs de la République. Et contribuera à faire tourner, toujours et encore, les aiguilles de la vie de sa sœur Lucie.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-besancon/2015/11/18/recologne-doubs-hommage-a-lucie-victime-des-attentats-de-paris
Après avoir tué quinze personnes quelques minutes plus tôt dans le Xe arrondissement, mitraillant les abords du restaurant Le Petit Cambodge et du Carillon, les assassins ont ensuite fait feu au niveau du restaurant la Bonne Bière dans le XIe arrondissement, à l’angle des rues Fontaine-au-Roi et du Faubourg-du-Temple. Faisant, ce soir-là vers 21h32, cinq nouvelles victimes.
Parmi elles, Lucie Dietrich, une Doubienne d’origine qui habitait le quartier. Elle avait 37 ans, était indépendante et joyeuse. Créatrice de bijoux, infographiste, maquettiste, elle était diplômée de l’Institut d’études supérieures des arts (IESA) depuis 2013. Du reste, Marc-François Mignot-Mahon, le président de Studialis, du nom d’un réseau d’écoles auquel appartient l’IESA, lui a rendu hommage dans un communiqué.
Le plus bel hommage, cependant, lui vient de son frère aîné Emmanuel, fondateur de la marque horlogère Dietrich, installée en Suisse. Lequel va réaliser une (superbe) montre en série limitée de treize exemplaires, réservée à la famille et aux proches : l’OT-13 affichera du bleu, du blanc et du rouge comme pour remettre à l’heure les valeurs de la République. Et contribuera à faire tourner, toujours et encore, les aiguilles de la vie de sa sœur Lucie.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-besancon/2015/11/18/recologne-doubs-hommage-a-lucie-victime-des-attentats-de-paris
mercredi 11 novembre 2015
Une marche blanche en hommage à Grégory tué à Echirolles
Une marche blanche est organisée, ce mercredi 11 novembre, en hommage à Grégory, 18 ans, tué à Echirolles par un piéton qui l'a attaqué à l'arme blanche. L'agresseur est toujours recherché. La police a lancé un appel à témoins
La marche blanche est partie à 14 heures du stade Pablo Picasso, à Echirolles. Les proches et les amis de Grégory avaient d'abord envisagé de rendre cet hommage dimanche dernier, le jour anniversaire du jeune étudiant qui allait avoir 19 ans.
Grégory a été tué le 5 novembre, à 12h45, alors qu'il venait tout juste d'avoir un accident à un feu de signalisation, avenue de Grugliasco, à Echirolles. Le jeune homme était rentré dans une ambulance alors que le feu passait au vert. Juste après l'incident, un piéton est intervenu et a eu une altercation avec le jeune conducteur. Il a l'a frappé à quatre reprises avec un tournevis, avant de s'enfuir. La victime est décédée de ses blessures.
La police a lancé un appel à témoins.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/grenoble/une-marche-blanche-en-hommage-gregory-tue-echirolles-849715.html
La marche blanche est partie à 14 heures du stade Pablo Picasso, à Echirolles. Les proches et les amis de Grégory avaient d'abord envisagé de rendre cet hommage dimanche dernier, le jour anniversaire du jeune étudiant qui allait avoir 19 ans.
Grégory a été tué le 5 novembre, à 12h45, alors qu'il venait tout juste d'avoir un accident à un feu de signalisation, avenue de Grugliasco, à Echirolles. Le jeune homme était rentré dans une ambulance alors que le feu passait au vert. Juste après l'incident, un piéton est intervenu et a eu une altercation avec le jeune conducteur. Il a l'a frappé à quatre reprises avec un tournevis, avant de s'enfuir. La victime est décédée de ses blessures.
La police a lancé un appel à témoins.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/grenoble/une-marche-blanche-en-hommage-gregory-tue-echirolles-849715.html
lundi 2 novembre 2015
Il y a 45 ans, le drame de la discothèque du 5-7 à Saint-Laurent-du-Pont, en Isère
Le 1er novembre 1970, 146 personnes, en majorité des jeunes, étaient prises au piège dans l'incendie du dancing le 5-7, à Saint-Laurent-du-Pont (Isère). 45 ans plus tard, les proches se sont souvenus.
Ouvert au printemps 1970, le 5-7 était à la mode en Isère. On venait de loin pour y danser jusqu'à ce sombre 1er novembre. Les experts ne sont jamais parvenus à déterminer l'origine du sinistre dans ce hangar. On sait seulement que les danseurs ont tenté de fuir, mais les tourniquets se sont bloqués. Les issues de secours étaient verrouillées. Des jeunes ont réussi à ouvrir une porte, mais avec l'appel d'air c'est toute la discothèque qui s'est embrasée.
Deux ans après, lors du procès, le maire de Saint-Laurent-du-Pont, le gérant et les installateurs du système de chauffage sont condamnés à des peines de prison assortis de sursis. Il faudra attendre d'autres tragédies pour que soit modifiée la réglementation en matière d'incendies.
45 ans après, les proches des 146 victimes se sont retrouvées pour une messe au Biollay, à Chambéry. Puis, devant la stèle de Saint-Laurent-du-Pont l'heure était au recueillement devant ces noms dont 144 étaient des jeunes de 15 à 25 ans.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/il-y-45-ans-le-drame-de-la-discotheque-du-5-7-saint-laurent-du-pont-en-isere-842137.html
Ouvert au printemps 1970, le 5-7 était à la mode en Isère. On venait de loin pour y danser jusqu'à ce sombre 1er novembre. Les experts ne sont jamais parvenus à déterminer l'origine du sinistre dans ce hangar. On sait seulement que les danseurs ont tenté de fuir, mais les tourniquets se sont bloqués. Les issues de secours étaient verrouillées. Des jeunes ont réussi à ouvrir une porte, mais avec l'appel d'air c'est toute la discothèque qui s'est embrasée.
Deux ans après, lors du procès, le maire de Saint-Laurent-du-Pont, le gérant et les installateurs du système de chauffage sont condamnés à des peines de prison assortis de sursis. Il faudra attendre d'autres tragédies pour que soit modifiée la réglementation en matière d'incendies.
45 ans après, les proches des 146 victimes se sont retrouvées pour une messe au Biollay, à Chambéry. Puis, devant la stèle de Saint-Laurent-du-Pont l'heure était au recueillement devant ces noms dont 144 étaient des jeunes de 15 à 25 ans.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/il-y-45-ans-le-drame-de-la-discotheque-du-5-7-saint-laurent-du-pont-en-isere-842137.html
samedi 31 octobre 2015
Drame familial d'Haubourdin : plus de 300 personnes pour la marche blanche
Place des Acacias à Haubourdin ce vendredi en fin d'après-midi, entre 300 et 400 personnes étaient réunies pour une marche blanche en hommage à la famille Piette. Les corps des trois enfants de la famille et des parents avaient été découverts mercredi 21 octobre, par la tante et la nourrice des enfant
La thèse du drame familial est privilégiée. Les enfants et leur mère ont probablement été tués par leur père, qui avait laissé une lettre expliquant son geste avant de se donner la mort. La famille aurait rencontré des difficultés financières.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/drame-familial-d-haubourdin-plus-de-300-personnes-pour-la-marche-blanche-841559.html
Une marche organisée par la municipalité
La marche blanche de vendredi a été organisée par la mairie, à la demande de nombreux habitants d'HaubourdinLa thèse du drame familial est privilégiée. Les enfants et leur mère ont probablement été tués par leur père, qui avait laissé une lettre expliquant son geste avant de se donner la mort. La famille aurait rencontré des difficultés financières.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/drame-familial-d-haubourdin-plus-de-300-personnes-pour-la-marche-blanche-841559.html
lundi 26 octobre 2015
La cérémonie de mardi sera "laïque mémorielle et sans cercueil
Mardi, François Hollande se joindra à une nouvelle cérémonie d'hommage laïque, mémorielle et sans cercueil, prévue mardi à 10h30 à Petit-Palais. Dans le village et aux alentours, on prépare la venue du chef de l'Etat qui arriverait vers 9h30 à Puisseguin avec six ministres.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/aquitaine/gironde
Préparation de la cérémonie
http://france3-regions.francetvinfo.fr/aquitaine/gironde
Préparation de la cérémonie
dimanche 27 septembre 2015
L'émotion des proches de Vanina, décédée cet été dans le terrible accident de la Prom
Une trentaine de proches s'est rassemblée ce samedi soir, pour rendre hommage à Vanina, Cagnoise de 19 ans tristement décédé dans un accident de voiture, le 5 août dernier.
Scène de désolation. C’était dans la nuit du 5 août sur la Promenade Corniglion-Molinier (sur le bord de mer à la hauteur de l’aéroport Nice Côte d’Azur). Vanina, Cagnoise de 19 ans, et Bryan, un Philippin de 35 ans, ont perdu la vie sous la violence de l’impact. La BMW, roulant à une allure folle, avait percuté un pin.
Samedi soir, une trentaine de proches s’est rassemblée pour une marche blanche en hommage à Vanina. "Une fille bien".
"J’ai hésité à organiser l’hommage pour les trois autres victimes. Mais, je ne connais pas les familles, alors je ne me suis pas engagée", explique Eva Pons, l'amie de Vanina.
http://www.nicematin.com/nice/lemotion-des-proches-de-vanina-decedee-cet-ete-dans-le-terrible-accident-de-la-prom.2350489.html
Scène de désolation. C’était dans la nuit du 5 août sur la Promenade Corniglion-Molinier (sur le bord de mer à la hauteur de l’aéroport Nice Côte d’Azur). Vanina, Cagnoise de 19 ans, et Bryan, un Philippin de 35 ans, ont perdu la vie sous la violence de l’impact. La BMW, roulant à une allure folle, avait percuté un pin.
Samedi soir, une trentaine de proches s’est rassemblée pour une marche blanche en hommage à Vanina. "Une fille bien".
"J’ai hésité à organiser l’hommage pour les trois autres victimes. Mais, je ne connais pas les familles, alors je ne me suis pas engagée", explique Eva Pons, l'amie de Vanina.
http://www.nicematin.com/nice/lemotion-des-proches-de-vanina-decedee-cet-ete-dans-le-terrible-accident-de-la-prom.2350489.html
jeudi 24 septembre 2015
Pyrénées-Orientales : l'hommage de la Nation à Patricia Filippi
Patricia Filippi, la femme pompier tuée dans un violent incendie à Cerbère (Pyrénées-Orientales), a reçu hier les hommages de la Nation, le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve saluant «l'abnégation» des sapeurs-pompiers.
«Malgré la perte de votre camarade, vous continuez d'assurer votre mission avec le même courage», a déclaré M. Cazeneuve dans un discours prononcé devant le cercueil de la défunte et 3 000 personnes dont 600 soldats du feu et de nombreux dignitaires, réunis sur un terrain de sports du Boulou, commune toute proche de Cerbère où résidait Patricia Filippi.
Patricia Filippi, 48 ans, mère de trois enfants, a succombé vers 2 heures vendredi dernier alors qu'elle luttait contre un violent incendie qui a ravagé 130 hectares de garrigue sur les hauteurs du village de Cerbère, à la frontière espagnole.
Une enquête est en cours sur l'origine de l'incendie, à la vitesse de propagation surprenante.
«Tombée au feu, elle est demeurée fidèle jusqu'au bout à la noble devise des sapeurs-pompiers : sauver ou périr», a poursuivi le ministre, avant de citer les mots qu'elle avait prononcés lors de son entrée dans le corps, le 12 octobre 2009 : «C'est une vocation depuis toujours (...) Pour le meilleur et pour le pire», avait-elle dit.
Les quelque 194 000 sapeurs-pompiers volontaires effectuent «près des deux tiers des interventions aux côtés des pompiers professionnels», a-t-il rappelé.
Sous les roulements de tambour, les galons de caporal ont été remis à l'ancienne sapeur-pompier de première classe, également faite chevalier de la légion d'honneur à titre posthume
http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/24/2183705-pyrenees-orientales-l-hommage-de-la-nation-a-patricia-filippi.html
«Malgré la perte de votre camarade, vous continuez d'assurer votre mission avec le même courage», a déclaré M. Cazeneuve dans un discours prononcé devant le cercueil de la défunte et 3 000 personnes dont 600 soldats du feu et de nombreux dignitaires, réunis sur un terrain de sports du Boulou, commune toute proche de Cerbère où résidait Patricia Filippi.
Patricia Filippi, 48 ans, mère de trois enfants, a succombé vers 2 heures vendredi dernier alors qu'elle luttait contre un violent incendie qui a ravagé 130 hectares de garrigue sur les hauteurs du village de Cerbère, à la frontière espagnole.
194000 pompiers volontaires en France
Le caporal Filippi se trouvait parmi un groupe de pompiers pris au piège des flammes quand une rafale de vent a brusquement tourné, les prenant à revers. Ses collègues ont réussi à s'extirper mais pas elle.Une enquête est en cours sur l'origine de l'incendie, à la vitesse de propagation surprenante.
«Tombée au feu, elle est demeurée fidèle jusqu'au bout à la noble devise des sapeurs-pompiers : sauver ou périr», a poursuivi le ministre, avant de citer les mots qu'elle avait prononcés lors de son entrée dans le corps, le 12 octobre 2009 : «C'est une vocation depuis toujours (...) Pour le meilleur et pour le pire», avait-elle dit.
Les quelque 194 000 sapeurs-pompiers volontaires effectuent «près des deux tiers des interventions aux côtés des pompiers professionnels», a-t-il rappelé.
Sous les roulements de tambour, les galons de caporal ont été remis à l'ancienne sapeur-pompier de première classe, également faite chevalier de la légion d'honneur à titre posthume
http://www.ladepeche.fr/article/2015/09/24/2183705-pyrenees-orientales-l-hommage-de-la-nation-a-patricia-filippi.html
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