vendredi 31 mai 2013

Haute-Saône : happé dans une cuve, il perd sa jambe

Le dramatique accident de travail s’est noué vers 7 h, ce vendredi à la Société Industrielle Fromagère située à Charmoille (70). Dans des circonstances qui restent à déterminer, un employé de 37 ans s’est fait happer dans une cuve servant à mélanger le fromage. Arrivés très vite sur place, les secours - pompiers de Vesoul et SMUR - ont dû prendre toutes les précautions nécessaires pour le sortir de ce piège de métal, notamment constitué de deux grosses vis sans fin. L’une des jambes de la victime a été sectionnée, et l’autre sévèrement abîmée. Médicalisé et stabilisé à l’hôpital de Vesoul, l’employé mutilé a ensuite été transporté à Besançon par voie terrestre, l’hélicoptère Dragon 25 étant indisponible. Une cellule psychologique a été mise en place en mairie de Charmoille pour les six salariés présents au moment du drame, tous très choqués

http://www.estrepublicain.fr/economie/2013/05/31/haute-saone-happe-dans-une-cuve-il-perd-sa-jambe

Haute-Corse : un homme tué par balles

Un homme a été tué par balles sur la commune de San Nicolao en Haute-Corse. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'homme a été retrouvé mort vers 11 heures, touché par des balles au thorax et à la tête.

Le journal
Corse-Matin indique que le corps de l'homme a été découvert dans une voiture. Selon le journal, il s'agirait de François Masini, un homme âgé de 48 ans, connu des services de police. Il se trouvait au volant d'un véhicule qui porte des impacts de chevrotine.

Un autre véhicule incendié a été découvert à quelques kilomètres de là. Cet homicide est le 11e perpétré depuis le début de l'année en Corse, dont la population est de 315.000 habitants. Il intervient alors que le ministre de l'Intérieur Manuel Valls devrait se rendre dans l'île lundi et mardi.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/31/97001-20130531FILWWW00388-haute-corse-un-homme-tue-par-balles.php

jeudi 30 mai 2013

Uchacq-et-Parentis (40) : un camionneur retrouvé mort au volant de son poids lourd

C'est le transporteur, basé à Clermont-Ferrand, qui, inquiet de ne pas avoir de nouvelles de son chauffeur, a donné l'alerte. C'est un autre camionneur de l'entreprise qui a fait la macabre découverte mercredi soir.
Le poids lourd manquant était arrêté sur le bord de la D 834 à Uchacq-et-Parentis. Dans la cabine fermée de l'intérieur, le chauffeur polonais âgé de 41 ans. Le médecin qui a examiné le corps n'a rien repéré de suspect. L'homme a visiblement été victime d'un problème cardiaque. Le corps va être rendu à la famille. 

http://www.sudouest.fr/2013/05/30/uchacq-et-parentis-40-un-camionneur-retrouve-mort-au-volant-de-son-poids-lourd-1069365-3452.php

Vosges : Accident mortel sur l'A31, un père de famille tué, un enfant gravement blessé

En fin d'après-midi ce mercredi sur l'A31 à hauteur de Balléville (88) dans le secteur de Châtenois, une voiture allemande, avec quatre personnes à bord, est venue percuter un camion au niveau du basculement de chaussée dans la zone de travaux.
Le poids lourd s'est ensuite couché sur la chaussée. Son chauffeur n'a été que légèrement touché.
C'est dans la voiture que la situation était bien plus critique : Le conducteur, un jeune père de famille a été tué sur le coup. Les pompiers ont ensuite dû désincarcérer l'un des deux enfants présents à l'arrière. Gravement blessée, la jeune victime d'une dizaine d'années a été héliportée à Nancy. Le second enfant, ainsi que sa mère, ont eux été évacués vers l'hôpital de Neufchâteau.

Cet accident a bloqué pendant plusieurs heures en soirée la circulation sur l'autoroute, le temps de dégager les carcasses des véhicules.


http://www.magnumlaradio.com/les-infos/actu-regionale/faits-divers.html

mercredi 29 mai 2013

Un chef d'entreprise désespéré

En larmes, enchaîné à un pilier du Crédit agricole, un cutter sous la gorge. Philippe Georges n'élève pas la voix, il voudrait presque que les passants ne le remarquent pas. Il répète, tremblant : « Je peux mourir dans cinq minutes, je me fous de tout. Je veux juste travailler. Je n'en peux plus du manque de confiance ».

Ce chef d'entreprise de 57 ans, demeurant à Estrées-Mons (près de Péronne), a d'abord passé un coup de fil vers 8 h 45 au Courrier picard avant de s'effondrer devant l'agence bancaire, en plein centre- ville. Seul, il est tendu, désespéré mais calme. Il retrace son parcours.

Au chômage depuis 4 ans, sans revenu depuis 14 mois, il vit chez son père. Il a voulu monter une société spécialisée dans les énergies renouvelables. Le franchisé à qui il a payé 10 000 € a fait faillite. Il a investi ses économies dans cette entreprise, soit 30 000 €. Ses comptes sont bloqués, les huissiers le somment de régler. « J'ai demandé un prêt de 25 000 €, pour pouvoir rebondir sur une autre affaire. La banque me l'a refusé. J'ai trois maisons, dont les loyers sont saisis », dévoile-t-il. Je ne commets pas ce geste seulement pour moi, mais pour tous ceux que les banques étouffent ».

Quand la police municipale arrive, vers 9 h 10, Philippe Georges sort un cutter de sa veste et le maintient sur son cou. L'arrivée des gendarmes, des pompiers et du sous-préfet ne le dissuade pas tout de suite. Un climat de confiance s'établit avec un agent municipal puis avec l'un des militaires, ce qui l'amène, vers 9 h 40 à, se détacher et à s'isoler. Il baisse son cutter quelques minutes après. Il est reçu jusque vers 13 heures par des responsables de la banque, en compagnie des gendarmes et avec des pompiers prêts à intervenir.

Il a pu rentrer chez lui. Contacté en fin de journée, il se montrait soulagé : « Je vais être reçu par le directeur régional du Crédit agricole, pour qu'on réexamine mon cas. Je ne regrette pas ce que j'ai fait. Je me bats depuis trop longtemps ».


http://www.courrier-picard.fr/region/un-chef-d-entreprise-desespere-ia0b0n93853

Il meurt dans l’incendie de sa maison

Un habitant d’Eulmont a péri dans l’incendie de sa maison, située au 52, rue du Château, lundi au petit matin, malgré l’intervention rapide des sapeurs pompiers.
Le feu, dont on ignore pour l’heure les causes, a pris au premier étage dans les chambres. L’enquête a été confiée aux gendarmes de la communauté de brigades Pompey-Frouard. Des techniciens de l’identité judiciaire sont intervenus dans la journée de lundi. Le maire Serge Marchal s’est rendu sur place ainsi que le colonel Horb du SDIS (service départemental d’incendie et de secours). Alain Lamy était âgé de 66 ans.

http://www.estrepublicain.fr/meurthe-et-moselle/2013/05/29/il-meurt-dans-l-incendie-de-sa-maison

Hautes-Alpes : un pilote se tue dans le crash de son aéronef

Le pilote d'un avion de tourisme a été tué mercredi matin dans l'accident de son appareil à Gap. Il avait lancé un appel de détresse pour un feu dans la cabine, avant que le centre de sauvetage ne perde le contact radio.

Il était seul à bord. Le pilote d'un avion de tourisme a été tué mercredi matin dans l'accident de son appareil à Gap, dans les Hautes-Alpes. L'engin, un aéronef de type Piper PA28, avait décollé peu avant 10 heures de l'aérodrome de Gap-Tallard et s'est écrasé peu après dans le golf de Gap Bayard, a précisé la préfecture.
Le pilote avait lancé un appel de détresse auprès du Centre de coordination de sauvetage(RCC) de Lyon Mont-Verdun pour un feu dans la cabine. Les autorités ont perdu le contact radio avec le pilote. Le plan SATER, mis en place au niveau départemental pour rechercher des aéronefs en détresse, a alors été déclenché par la préfecture.
Les pompiers, informés par un témoin de l'accident, ont désincarcéré le corps de la victime de la carlingue, a ajouté cette même source. L'enquête a été confiée à une unité spécialisée dans les accidents aériens de la police aux frontières (PAF) de Marignane (Bouches-du-Rhône). Elle est menée conjointement avec la police du commissariat de Gap.
 

Accident mortel à Mensignac : tout un village sous le choc

Benjamin, 17 ans, est décédé dans la nuit de lundi après un accident de la route dimanche. Il a été percuté par une voiture alors qu'il était au volant de son cyclomoteur. C'est la deuxième victime de la route de moins de 24 ans dans le département depuis le début de l'année.
De la boulangerie au salon de coiffure, en passant par le supermarché et le tabac-presse : tout le monde parle de l'accident de Benjamin. Le jeune homme de 17 ans qui devait fêter son anniversaire la semaine prochaine était connu des commerçants. Tant pour sa passion de l'agriculture (il devait passer son BAC au lycée agricole de Coulounieix-Chamiers) que pour sa gentillesse et son tempérament calme. "Quand je l'ai appris j'ai eu froid dans le dos" confie Sonia, celle qui le coiffait régulièrement. Plus bas, au Spar, à quelques mètres de la maison familiale de Benjamin, une vendeuse a même éteint la musique dans le magasin, en signe de soutien et de deuil. Les clients du tabac-presse de Marie-José aussi parlent beaucoup de l'accident. "J'ai moi même des filles qui conduisent, je leurs dit toujours de faire attention à ce carrefour". Un carrefour où la visibilité est réduite et considéré comme dangereux par plusieurs habitants.
Les obsèques de Benjamin auront lieu vendredi matin à Mensignac.
"Il faut qu'on parle aux jeunes des accidents mortels de la route pour qu'ils comprennent"
Paroles de Georges Martin, un père de famille qui a perdu son fils de 17 ans en janvier 2007. Son fils rentrait de boîte de nuit avec deux autres amis. Tous les trois sont morts dans l'accident. Ensuite, Georges Martin a décidé d'intervenir auprès des lycéens pour leurs faire prendre conscience "qu'il ne s'agit pas de ne pas faire la fête, mais de la faire en toute sécurité"
Dans le département, Benjamin est la deuxième victime de moins de 24 ans à perdre la vie sur la route.

http://www.francebleu.fr/personnes/france-bleu-perigord-152971

mardi 28 mai 2013

Blayais (33) : une femme et une enfant tuées dans une collision avec un camion

Deux personnes ont été tuées ce mardi matin dans un accident de la route sur la D137, au niveau de la commune de Saint-Caprais-de-Blaye, au lieu-dit Ferchaud. La conductrice de la voiture, âgée d’'une soixantaine d’'années, et la passagère, une mineure de 13 ans, sont mortes sur le coup. Leur voiture, une Citroën C4 engagée sur la D23, a été percutée par le camion qui roulait sur la D137.
Les circonstances exactes restent encore indéterminées.

Les deux victimes sont originaires de Charente-Maritime. Une déviation a été mise en place entre 8h30 et 10h45 pour permettre au secours d'’intervenir. L'’hélicoptère dragon 33 de la Sécurité civile s’est rendu sur place. L'’intersection de la D24 et de la D137 est particulièrement accidentogène. Des travaux d'’aménagement du carrefour doivent être mis en œœuvre l’'an prochain avec la création de deux "tourne à gauche".

http://www.sudouest.fr/2013/05/28/saint-caprais-de-blaye-33-deux-morts-dans-une-collision-avec-un-camion-1067006-3084.php

Emporté par sa tondeuse, un retraité se noie dans le Madon

Deux gendarmes de la communauté de brigades de Mirecourt-Dompaire ont tenté en vain hier après-midi, de retrouver un homme disparu avec sa tondeuse autoportée dans le Madon, la rivière qui coule derrière sa propriété sise route de Vittel, en face de l’usine MVM à Mattaincourt.
Les deux militaires ont même tenté de plonger pour apercevoir le septuagénaire au fond de l’eau. Quelques minutes plus tard, les sapeurs-pompiers de Mirecourt et Dompaire, aidés ensuite par leurs collègues plongeurs de Vittel, Mandres-sur-Vair et Épinal prenaient le relais.
Alertés à 17 h 21, les sauveteurs parvenaient à découvrir le corps du retraité à 17 h 55. Roland Gremillet, âgé de 74 ans, avait choisi de tondre sa pelouse tout autour de sa maison. Une manœuvre qu’il avait l’habitude d’entreprendre avec sa tondeuse tracteur. C’est donc au milieu de l’après-midi que le drame est survenu.
Malgré le très long moment d’immersion, l’équipe du SAMU a tenté l’impossible pour ramener la victime à la vie. Malheureusement sans succès

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/05/28/un-retraite-se-noie-dans-le-madon

Albi. Marche blanche pour Valentin, un an après sa mort tragique

C'est dimanche 2 juin que la famille et les amis de Valentin Rivié organisent une marche blanche, un an presque jour pour jour après la mort tragique de l'étudiant albigeois. La marche partira à 14 h 30 du boulevard Carnot (devant le lycée Sainte-Marie) et rejoindra la place Sainte-Cécile où 25 ballons seront lâchés. 25, comme le nombre d'années qu'aurait dû fêter Valentin.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/28/1636257-albi-marche-blanche-valentin-an-apres-mort-tragique.html

lundi 27 mai 2013

Carcès: après le drame, l'hommage à Anne, Lise et Sylvie

Au lendemain de l'incendie qui a coûté la vie à Sylvie, Anne et Lise, une mère et ses deux petites filles, des anonymes et des camarades de classe sous le choc rendent hommage aux disparues, et apportent leur soutien au père, Ludovic, seul survivant. La commune toute entière est secouée par ce drame survenu la veille de la fête des mères.
Spontanément, fleurs, photos, messages et dessins ont été déposés sur le portail de l'école Jules-Ferry où les deux filles étaient scolarisées, et à leur domicile.
Ce lundi matin, la rentrée s'annonce particulièrement triste à l'école. Une cellule psychologique sera mise en place.

http://www.nicematin.com/faits-divers/carces-apres-le-drame-lhommage-a-anne-lise-et-sylvie.1272942.html

Feu meurtrier de Montauban. Le bilan des victimes aurait pu être plus élevé

Hier matin, non seulement dans le quartier des Chênes, mais ailleurs dans la cité ce qui revenait le plus dans les conversations - une fois l'épisode rugbystique évacué - c'était le dramatique incendie survenu samedi après-midi dans un petit pavillon de l'impasse Nicolas Poussin (.
Incendie meurtrier qui s'est soldé par la mort d'un ado de 12 ans semble-t-il en cours d'identification samedi en soirée et de cinq blessés. Une jeune fille d'une douzaine d'années grièvement brûlée et dirigée sur le CH Purpan à Toulouse et l'unité spécialisée s'y trouvant au sein de l'hôpital des enfants.
Trois autres jeunes victimes de 18 ans (une jeune fille) et deux garçons de 14 et 8 ans plus légèrement brûlés ou blessées ont été dirigés par les VSAB des pompiers de Montauban, Albias et Corbarieu sur le CH de la ville, tout comme un homme de 52 ans qui sembla vouloir porter secours au plus fort du brasier. Car c'est bien le terme qu'il faut employer quand soudainement ce petit bâtiment s'embrasa vers 14 h 40 dans le début d'une après-midi apaisée et presque printanière.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/27/1635412-feu-meurtrier-montauban-bilan-victimes-aurait-pu-etre-plus-eleve.html

Le feu provoqué semble - t-il par des produits inflammables et de l'hydrocarbure eut un effet de souffle style napalm soulevant les tuiles du garage où ils se trouvaient au moins cinq (c'est le nombre de personnes comptées comme victimes : un mort et quatre blessés) par les pompiers, dès le début de leur lutte contre les flammes et surtout causant les terribles dégâts humains que l'on sait dans ce petit local. Ce qui est sûr c'est que les conclusions de l'enquête conduite par les membres de la brigade de sûreté urbaine (BSU) du commissariat et l'équipe d'experts de la police scientifique devront déterminer de façon exacte quel fut l'élément déclencheur.
De cet incendie meurtrier qui affecte une fratrie importante et affecte totalement ce secteur pavillonnaire faisant suite aux logements locatifs des Chênes.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/27/1635412-feu-meurtrier-montauban-bilan-victimes-aurait-pu-etre-plus-eleve.html

dimanche 26 mai 2013

Incendie mortel à Biarritz

Deux personnes ont trouvé la mort la nuit dernière dans un incendie, d'origine encore indéterminée, qui a ravagé un immeuble du centre de Biarritz (Pyrénées-Atlantiques), selon les secours et le parquet.

Les pompiers, alertés par un passant, ont été mobilisés vers 4H35 ce matin, pour le feu qui s'est déclaré dans une petite résidence de trois étages. L'incendie a été maîtrisé en près de deux heures, et deux corps calcinés ont été découverts par les sauveteurs dans les décombres d'un appartement au deuxième étage.

Sept personnes, qui habitaient dans d'autres appartements de l'immeuble, ont été relogées.

Il s'agit du troisième incendie meurtrier relevé depuis le début du week-end.

Samedi matin, nous apprenions que dans le Var
une mère et ses deux enfants avaient succombé au feu de leur châlet. Ce dimanche, il est fait état de trois décès après un feu dans une ancienne usine dans le Nord.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/26/97001-20130526FILWWW00060-incendie-mortel-a-biarritz.php

Douarnenez. Un enfant percuté par une voiture en courant après un ballon

Un enfant âgé de 5 ans a été grièvement blessé, hier soir vers 19 h, sur l'axe Quimper-Douarnenez, au lieu-dit Landanet. La conductrice d'une Peugeot 206, une Concarnoise âgée de 51 ans, circulait en direction de Douarnenez sur cet axe limité à 90 km/h, lorsque l'enfant qui jouait dans une cours a surgi, derrière un ballon. Elle n'aurait pas eu le temps de freiner, percutant le petit garçon.
Peu avant 20 h, Dragon 29 , l'hélicoptère de la Sécurité civile s'est posé sur la D765 coupée à la circulation pour prendre en charge la victime, médicalisée par le Smur. Il devait être transporté à l'hôpital Morvan de Brest. Choquée, l'automobiliste a été prise en charge par les pompiers pour être transportée au centre hospitalier de Douarnenez.

http://www.letelegramme.fr/local/finistere-sud/ouest-cornouaille/douarnenez/douarnenez-percute-par-une-voiture-un-enfant-grievement-blesse-25-05-2013-2114554.php

samedi 25 mai 2013

Var: deux enfants et une femme meurent dans un incendie

Un motard tué dans un choc frontal

Les routes vosgiennes ont connu un nouveau drame de la route, hier après-midi, du côté de Deycimont. Hervé Perroy, un homme de 39 ans résidant au Roulier, a perdu la vie au guidon de sa moto.
L’accident s’est produit sur les coups de 16 h 20, sur la route départementale 44. Juste avant le drame, un homme de 89 ans, habitant à Lépanges-sur-Vologne, est au volant de son véhicule et circule dans le sens Docelles – Lépanges-sur-Vologne. Il arrive alors à une intersection qui lui donne accès à la commune de Deycimont. Il prend sa voie de gauche et chevauche ensuite la voie inverse pour prendre l’axe routier l’emmenant à Deycimont. Sauf que dans le sens inverse circule une moto avec Hervé Perroy au guidon et son fils de 13 ans sur le siège arrière. Le choc frontal ne peut malheureusement pas être évité et projette le père de famille et son fils à plusieurs mètres de hauteur avant de retomber sur le bas-côté de la chaussée.
Dans le flot de véhicules qui circule sur cet axe au moment de l’accident se trouve un gendarme adjoint volontaire de Corcieux. Ce dernier alerte immédiatement les secours et prodigue les premiers soins aux victimes. À ce moment-là, le motard est déjà en arrêt cardio-respiratoire. Le jeune garçon de 13 ans est grièvement blessé, tandis que l’octogénaire souffre d’un traumatisme facial. Arrivés sur les lieux, les pompiers ainsi que deux équipes du SAMU d’Épinal, vont prendre en charge les victimes. Mais malheureusement, après une heure et quart de massage cardiaque, les secours ne peuvent que constater le décès du motard.
Son fils, lui, souffre d’un enfoncement de la cage thoracique avec une suspicion d’hémorragie interne. Il a également un poumon touché et souffre d’une atteinte neurologique. Les secours décident alors d’appeler un hélicoptère du Samu Lorraine afin de le transporter à l’hôpital Central de Nancy.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/05/25/un-motard-se-tue-dans-un-choc-frontal

Var: deux enfants et une femme meurent dans l'incendie d'un chalet

Deux enfants agés de 7 et 8 ans et une femme sont morts dans la nuit de vendredi à samedi dans l'incendie d'un chalet, dont l'origine reste à déterminer, à Carcès, près de Brignoles dans le Var, a-t-on appris de source proche de l'enquête. 
L'incendie s'est déclaré vers 23h 30 dans une habitation de structure légère de type chalet, selon les premiers élements de l'enquête. Les pompiers ont été appelés par l'occupant des lieux, un homme de 45 ans qui a indiqué que les victimes étaient sa femme et ses deux enfants. 
A l'arrivée des pompiers, le chalet était totalement embrasé. Ils ont découvert sur place les corps carbonisés. Le père de famille est sorti sain et sauf de l'incendie et transporté à l'hôpital de Brignoles, a indiqué le chef d'escadron de Brignoles, Éric Lavagna. 
"L'habitation de structure légère a été détruite extrêmement rapidement", a précisé le commandant. Le feu a été maîtrisé vers 02h00 par une trentaine de pompiers. 

En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/societe/var-deux-enfants-et-une-femme-meurent-dans-l-incendie-d-un-chalet_1251667.html#okYVAZDa3LqpihME.99

vendredi 24 mai 2013

DOULLENS (80) Son bras a été complètement transpercé par un couteau

Une violente dispute a éclaté au sein d'un couple jeudi, à 21 h 20, dans un appartement rue des Neuf Moulins à Doullens, au nord d'Amiens. Fou de rage, l'homme, âgé de 33 ans, s'est saisi d'un couteau de cuisine avec une longue lame, et il s'est donné un coup de couteau dan le bras. L'arme a traversé son bras de part en part. Le trentenaire a été évacué à l'hôpital d'Amiens nord avec le couteau toujours planté dans le bras. Ses jours ne sont pas en danger.

http://www.courrier-picard.fr/region/doullens-80-son-bras-a-ete-completement-transperce-ia201b0n89883

jeudi 23 mai 2013

Une femme écrasée par une remorque

Hier en milieu d'après-midi, une quadragénaire a été tuée par une remorque de forain qui s'est détachée d'un camion.
ELLE traversait la route ? Marchait sur le trottoir ? Ou attendait-elle tout simplement le bus ? Ce sont entre autres les questions auxquelles devront répondre les enquêteurs du commissariat de Tergnier après l'accident mortel survenu hier, en milieu d'après-midi, rue Jean-Jaurès à Tergnier.
Il était presque 15 heures lorsqu'une remorque s'est détachée du camion d'un forain et s'est mise à dévaler à contresens la légère pente de la rue en sens unique. Sur son parcours, une Ternoise de 48 ans a été percutée et tuée sur le coup. L'engin a ensuite été stoppé par un abri de bus et le mur d'enceinte d'un jardin.
Rapidement les secours se sont déplacés sur les lieux. Un périmètre de sécurité a été établi par les forces de l'ordre et les services de l'identification judiciaire ont fait leur travail. Outre la déviation mise en place pendant presque deux heures, les policiers ont dû disperser les nombreux badauds, dont des forains, puisque tous roulaient en convoi.

Aucune certitude
Le corps de la mère de famille originaire de la cité a été découvert gisant au milieu des bonbons. La remorque contenait en effet une boutique de confiserie. Elle avait servi lors de la fête de la Pentecôte le week-end dernier à Tergnier. Le conducteur du camion, domicilié dans l'Oise, a été choqué. Il a néanmoins fait l'objet d'un contrôle d'alcoolémie qui s'est avéré négatif.
La remorque et le camion ont été placés sous scellés afin de déterminer précisément les causes du drame. Hier soir, en effet, les enquêteurs n'avaient aucune certitude sur les circonstances entourant ce terrible accident. La dame marchait-elle sur le trottoir ? Attendait-elle le bus ? A-t-elle vu arriver la remorque ? Cette dernière était-elle bien attachée ? Des investigations précises vont être menées dans les prochains jours afin de reconstituer le scénario. Les traces laissées sur le bitume par la remorque, son examen par les policiers ainsi que l'audition des témoins de l'accident sont et seront des éléments importants permettant de faire toute la lumière sur ce fait divers tragique.
 
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/une-femme-ecrasee-par-une-remorque-de-forain

Arles: la baigneuse retrouvée morte

Une baigneuse de 13 ans recherchée depuis lundi a été retrouvée sans vie jeudi matin, au large de la plage de Piemançon près d'Arles (Bouches-du-Rhône) où elle avait disparue.Selon les premiers éléments de l'enquête, c'est un promeneur qui a donné l'alerte en voyant un corps à la surface de l'eau.

D'importants moyens avaient été mobilisés lundi dont un hélicoptère de la sécurité civile, la vedette de la Société Nationale de Sauvetage en Mer de Port-Saint-Louis-du-Rhône, trois embarcations des sapeurs-pompiers et une vedette de la gendarmerie.

La plage de Piemançon s'étend sur plus de 25 kilomètres de long sur le littoral méditerranéen de Salin-de-Giraud à l'ouest de l'embouchure du grand Rhône.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/23/97001-20130523FILWWW00390-arles-la-baigneuse-retrouvee-morte.php

mercredi 22 mai 2013

Bar-le-Duc : Marche blanche pour Agnès

Agnès aurait 31 ans aujourd’hui. Elle serait sans doute fière de son petit garçon, Benjamin, 10 ans, scolarisé en CM2 à l’école de Tréveray. Mais Agnès n’aura jamais cette chance. La jeune maman, 20 ans, est décédée quelques heures après un accouchement difficile, le 5 octobre 2002, au service de gynécologie-obstétrique du centre hospitalier de Bar-le-Duc.
Son mari, Stéphane Hocquet, et toute sa famille, ont toujours voulu savoir ce qui s’était passé ce soir-là. En saisissant la justice, en qui ils avaient pleine confiance. L’instruction de ce douloureux dossier a duré presque dix ans. Pour finalement déboucher sur le renvoi du médecin-anesthésiste devant le tribunal correctionnel de Bar-le-Duc, où ce dernier devait répondre d’homicide involontaire. Les deux gynécologues présents ce soir-là ont bénéficié d’un non-lieu.
En rendant son délibéré le 16 octobre 2012, le tribunal barisien a relaxé le prévenu, pourtant mis en cause par deux des trois collèges d’experts qui avaient pointé du doigt, dans leurs conclusions, la « prise en charge tardive de la patiente », décédée à 21 h 40 des suites d’une hémorragie interne. Premier choc pour la famille Hocquet-Simonin, qui saisit alors le procureur de la République Yves Badorc, seul compétent pour relever appel de la décision. Une voie choisie par ce dernier, compte tenu de la nature très sensible de l’affaire.
Pourvoi en cassation et procédure administrative contre l’hôpital de Bar-le-Duc
La sérénité renaît lors du deuxième procès devant la cour d’appel de Nancy, le 6 mars dernier. D’autant que la parquetière, contrairement à sa collègue de Bar-le-Duc, qui n’avait requis aucune peine, requiert 12 mois de prison avec sursis et 10.000 € d’amende à l’encontre du médecin-anesthésiste, qui a toujours martelé « avoir fait son métier sans négligence ».
Le coup de poignard survient le 10 avril au moment du délibéré qui confirme la décision initiale, la relaxe du prévenu. Motivation de l’arrêt : « eu égard à l’état des connaissances médicales au moment de l’intervention, il n’existe pas d’éléments suffisants pour démontrer l’existence d’éléments constitutifs du délit d’homicide involontaire ».
L’incompréhension est totale pour la famille d’Agnès, comme pour leur avocat nancéien, Me Claude Bourgaux. « Aujourd’hui, on n’a toujours pas compris, c’est dur à avaler. Il y a une faille quelque part, c’est sûr… », confie Stéphane Hocquet.
Pour honorer la mémoire de son épouse Agnès, pour montrer à son fils Benjamin que le combat ira jusqu’à son terme et pour « ne pas laisser des erreurs impunies sans coupable », Stéphane a décidé de formuler un pourvoi en cassation, « la dernière chance au niveau judiciaire ». Il a aussi lancé une procédure administrative contre l’hôpital de Bar-le-Duc, « qui avait sous sa responsabilité le médecin-anesthésiste ».
« On invite la population à partager notre douleur »
Dans cette spirale énergique, la famille d’Agnès veut encore marquer les esprits en organisant une marche blanche, samedi 25 mai à 14 h 30 au départ du hall des Brasseries, à Bar-le-Duc. « Nous avons choisi une date symbolique, la veille de la fête des mères », indique Ghislaine Burkarth, l’une des sœurs d’Agnès. « On invite la population à partager notre douleur, pour montrer à Benjamin que personne n’a oublié sa maman, pour que justice soit faite et surtout pour qu’une telle négligence n’arrive plus jamais », ajoute Stéphane, qui espère un bel élan de solidarité.
Le cortège passera par le boulevard de la Rochelle avant de rejoindre, via le pont Triby, l’entrée de l’hôpital où des tracts seront distribués. « Aujourd’hui, je n’en veux pas personnellement au médecin. Pour nous, il y avait une équipe et il y a eu des erreurs dans les prises de décision. Je regrette en revanche que l’hôpital ne nous ait jamais contactés pour nous réconforter. C’est scandaleux. Ils ont fait comme s’il ne s’était rien passé. Et nous, on ne veut pas que le décès d’Agnès soit la faute à pas de chance », conclut Stéphane.

http://www.estrepublicain.fr/meuse/2013/05/22/marche-blanche-pour-agnes

Suicide de Dominique Venner à Notre-Dame: les témoins racontent la scène - 22

mardi 21 mai 2013

Suicide à Notre-Dame: "un drame sans précédent" pour Valls - 21/05

Haute-Loire. Un kayakiste se noie dans l'Allier

Un kayakiste de 65 ans est mort noyé lundi après-midi en Haute-Loire. Les opérations de secours ont été perturbées par un incident survenue à l'hélicoptère de reconnaissance, ont annoncé les gendarmes ce mardi.
Le drame est survenu vers 15h30. Le sexagénaire, qui faisait du kayak sur l'Allier en crue, a été pris dans les tourbillons de l'eau près du barrage de Cerzat. Des touristes allemands, voyant le kayakiste en difficulté, ont alerté les secours. Les plongeurs du Service départemental d'incendie et de secours (SDIS 43) n'ont malheureusement pas pu intervenir immédiatement en raison des remous. Un hélicoptère de la sécurité civile a alors été appelé en renfort.
Ce dernier a localisé le corps du kayakiste non loin de son embarcation gonflable, mais les pales de l'appareil ont sectionné des lignes à moyenne tension, endommageant l'appareil, sans toutefois faire de blessé. Le corps de la victime a finalement été remonté vers 20 heures, selon les secours.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/21/1631104-haute-loire-un-kayakiste-se-noie-dans-l-allier.html

lundi 20 mai 2013

Billy-Montigny: une voiture percute un poids lourd en stationnement: cinq blessés dont deux graves

Une voiture a percuté un poids lourd en stationnement dans la rue du Muret à Billy-Montigny, ce dimanche vers 16 h 30.

Ce sont pas moins de cinq ambulances qui se sont rendues sur les lieux pour porter secours aux cinq personnes que transportait la voiture. Les sapeurs-pompiers d’Hénin-Beaumont, Harnes, Lens, Avion et l’infirmier sapeur-pompier de Liévin ont ainsi pris en charge trois blessés légers et deux blessés graves, dont un qui était piégé à l’arrière du véhicule et a dû être désincarcéré. Ils ont été transportés, médicalisés pour certains par le SMUR de Lens, vers les hôpitaux d’Hénin-Beaumont, Lens et Arras.
Autre problématique liée à ce sinistre : le poids lourd, poussé par la violence du choc avec la voiture, est allé percuter une autre voiture en stationnement, alimentée au GPL. Un fourgon pompe tonne a donc été appelé en renfort en attendant la dépanneuse. Une sécurité en raison du risque de fuite de gaz au moment de l’enlèvement des véhicules.

http://www.lavoixdunord.fr/region/billy-montigny-une-voiture-percute-un-poids-lourd-en-ia35b0n1261769

Chessy-les-Mines : un homme grièvement brûlé dans l'incendie de sa maison

Un violent incendie s'est déclaré dans la nuit de dimanche à lundi, vers 2 heures, dans une résidence principale du hameau de "Combouleau", sur la commune de Chessy-les-Mines.
Les propriétaires, un couple de sexagénaires, ont pu donner l'alerte et s'extraire de la maison. Mais, l'époux, grièvement brûlé, et son épouse choquée, ont été évacués à l'hôpital Edouard-Herriot, à Lyon. Une cinquantaine de soldats du feu étaient sur place et ont veillé à ce que l'incendie ne se propage pas à la maison mitoyenne dans laquelle vit une famille de quatre personnes qui a été évacuée

http://www.leprogres.fr/rhone/2013/05/20/chessy-les-mines-deux-blesses-dont-un-grave-dans-l-incendie-d-une-maison

dimanche 19 mai 2013

Carvin: un SDF de 39 ans décède d’une blessure à l’arme blanche

 Peu avant 8heures ce dimanche matin, les secours ont été appelés à intervenir dans une habitation de la cité Notre-Dame à Carvin. Un homme blessé par arme blanche est décédé sur les lieux. Une enquête est ouverte et les officiers de police judiciaire et la police technique et scientifique sont actuellement sur place.
À l’arrivée des secours, l’homme sans domicile fixe, âgé de 39 ans perdait beaucoup de sang, explique la police lensoise. Il souffrait d’une blessure par arme blanche au niveau de la gorge. Malgré les soins prodigués par les sapeurs-pompiers d’Oignies et le SMUR de Lens, l’homme est décédé sur les lieux.
Une enquête est ouverte afin de déterminer les circonstances de ce décès. « Il venait régulièrement chez cette dame et ils se disputaient très souvent », glisse un riverain. On ignore pour l’heure si quelqu’un a été interpellé. « Une personne se trouvait dans le domicile à l’arrivée des secours », confirme néanmoins la police.

http://www.lavoixdunord.fr/region/carvin-un-sdf-de-39-ans-decede-d-une-blessure-a-ia35b0n1260490

Plouhinec. L’homme tombé à la mer est mort noyé

Des promeneurs ont trouvé un bateau de 3,50 m échoué sur la plage de Magouero à Plouhinec, devant la ria d’Etel, ce dimanche matin, vers 8 h. Des recherches ont été engagées par la SNSM et Dragon 56, l’hélicoptère de la sécurité civile. Un homme a été retrouvé deux heures plus tard en mer par Dragon 56. Il flottait sur le dos à un mille de la côte. Les pompiers ont tenté de le réanimer, en vain.
L’homme est décédé. Âgé d’une soixantaine d’années, il serait parti seul à la pêche ce matin à bord de son petit bateau de plaisance, le Dinalahé III. Celui-ci se serait retourné et l’homme serait tombé à la mer.
 

samedi 18 mai 2013

Chute mortelle à Notre-Dame-du-Mont

Peu après minuit, dans la nuit de jeudi à vendredi, un homme d'une quarantaine d'années a fait une chute mortelle en basculant par la fenêtre de son domicile, au deuxième étage d'un immeuble de la rue Château-Payan à Marseille (6e). Selon plusieurs témoignages, l'homme en état d'ébriété après avoir notamment consommé dans un bar voisin, dont il avait été chassé, est tombé alors qu'il réclamait un peu de silence aux fêtards sortis fumer devant l'hôtel-restaurant Mama Shelter, situé juste en face.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2361015/chute-mortelle-a-notre-dame-du-mont.html

vendredi 17 mai 2013

Audincourt (25) : « On nous a enlevé notre pilier »

Exceptionnelle audience. Exceptionnelle ambiance. Gens exceptionnels. Les dossiers d’accident de la route débouchant sur la mort d’un homme ou d’une femme mettent en exergue des sentiments extrêmes. La confrontation avec celui ou celle qui a ôté cette vie cristallise la douleur et les rancœurs.
Jeudi après-midi, la famille Bensemcha a fait preuve d’une dignité absolue. Quand Claude, le chauffeur de bus responsable de la mort du patriarche de cette famille de dix enfants et 25 petits enfants s’avance et leur tend la main, les membres de la famille l’acceptent. Comme ils échangeront à l’issue de l’audience dans une communion exemplaire.
Le président Troilo l’avait dit d’emblée : « Aujourd’hui, nous ne sommes pas dans le cas d’un chauffard. Il n’y a ni alcool, ni vitesse excessive. Juste un concours de circonstances ». Le 12 mars dernier vers 16 h 40, Abdelkader Bensemcha, 78 ans, traverse la route sur un passage protégé, place du Temple, à Audincourt.

Un instant rarissime

Soudain, le bus redémarre de son emplacement. Claude, 56 ans, chauffeur pour le compte de la CTPM depuis 23 ans, dit ne pas avoir vu le piéton. Il ne se cherche aucune excuse. « J’étais dans mon boulot à 100 %. J’avais fini de regarder dans mes rétroviseurs. La seule explication que je puisse voir, c’est que le monsieur se trouvait dans l’angle mort quand j’ai redémarré ». Selon un témoin de la scène, le septuagénaire traversait la chaussée sur les clous, l’attention captivée par des tickets à gratter. Il aurait marqué un arrêt au milieu de la route avant de repartir. Une conjonction de circonstances, comme le disait le président, qui aboutit au drame. Lorsqu’une passagère crie au chauffeur, il est déjà trop tard. La tête d’Abdelkader Bensemcha vient de heurter le bus. La chute est lourde. Les conséquences irréversibles. Les détails énoncés par le président ravivent la douleur de la famille.
Invitée par le magistrat à la barre, l’une des filles vient parler de son père. « On n’accepte pas la façon dont il est parti. On reste sur ces larmes-là. Et moi qui lui disais toujours de faire attention. De bien traverser sur les passages piéton… » Elle parle avec amour de ce père aimant, enjoué et de cette cruelle absence. « On nous a enlevé notre pilier », dit-elle sobrement. Mais pas de haine. Ni de demande de réparation. « Parce que notre papa n’aurait pas voulu cela ». L’instant est poignant.
La procureur circonscrit les faits par « un délit non intentionnel aux conséquences gravissimes. Dramatiques ». Elle requiert un mois de prison avec sursis, une suspension du permis de conduire pendant quatre mois et une amende. Avant de se retirer pour délibérer avec ses deux assesseurs, avec infiniment d’humanité et de tact, Alain Troilo prépare la famille Bensemcha en lui expliquant la manière d’appréhender la chose du point de vue de la justice : « Plus la faute est grave, plus la sanction est lourde. C’est cela que juge le tribunal. Plus la faute apparaît vénielle, moins la sanction est importante. Je voulais vous l’expliquer ».
La famille l’avait compris. Le chauffeur de bus est condamné à 1 600 € d’amende avec sursis. Ni prison avec sursis, ni suspension du permis. « Parce que la faute était vénielle », répète le président.
Encore fallait-il trouver une famille en capacité de l’entendre et le comprendre. L’audience était exceptionnelle à tous les égards. Comme il est rarissime de voir les deux parties quitter la salle et se prenant dans les bras les uns des autres.
http://www.estrepublicain.fr/justice/2013/05/17/audincourt-(25)-on-nous-a-enleve-notre-pilier

Collision à Orgelet : deux blessés graves sur la RD 109

Une collision frontale entre une Dacia et une 106 Peugeot s’est produite vendredi matin, vers 7h50 sur la commune d’Orgelet. L’accident est survenu sur la RD109 entre Orgelet et Arinthod. Les deux jeunes conducteurs des deux véhicules ont été blessés dont l’un plus sérieusement.

 Les secours ont été contraints de bloquer la RD 109 le temps des opérations. Un hélicoptère est actuellement attendu sur les lieux . La circulation devrait-être rétablie en fin de matinée

http://www.leprogres.fr/jura/2013/05/17/collision-a-orgelet-deux-blesses-graves-sur-la-rd-109

jeudi 16 mai 2013

Haute-Saône. Par dépit amoureux, elle noie ses deux enfants

Une mère de famille a alerté les gendarmes mercredi soir à Ronchamp, en Haute-Soâne, depuis son domicile. Elle s’est accusée d’avoir elle-même noyé ses deux enfants, une fillette de deux ans et demi et un garçon de huit mois. Les deux petits corps ont été découverts sans vie dans la baignoire par les gendarmes.
Une enquête pour infanticide a été ouverte au parquet de Vesoul et la mère a été hospitalisée d’office. Selon les premiers éléments de l’enquête, elle aurait agi par dépit amoureux.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/16/1627646-haute-saone-par-depit-amoureux-elle-noie-ses-deux-enfants.html

mercredi 15 mai 2013

Accident mortel à la sortie de la ville

Un accident mortel s'est produit cet après-midi vers 17h50 avenue Jacques Brel, à Cavaillon. Pour une raison encore indéterminée, une voiture a percuté un camion qui arrivait en sens inverse. Le conducteur de la voiture, une AX, a été tué sur le coup.
Le chauffeur du poids lourd a été légèrement blessé, ainsi qu'une autre conductrice. La victime n'est pas encore identifiée.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2356154/accident-mortel-a-la-sortie-de-la-ville.html

Le corps d'un homme découvert dans le canal

Il n'était pas encore midi, hier, lorsqu'un ancien gendarme adjoint volontaire qui passait à pied le long d'un canal à Sorgues a remarqué un corps flottant dans l'eau. Il a immédiatement donné l'alerte et les sapeurs-pompiers d'Avignon se sont rendus sur les lieux (route de Vedène) tandis que les plongeurs étaient chargés de ramener le corps jusqu'à la berge.

Les gendarmes de Sorgues et de la brigade des recherches de la compagnie d'Avignon ont ensuite pris le relais avant qu'un technicien en identification criminelle ne les rejoigne. Tous se sont affairés autour du cadavre, celui d'un homme, qui aurait séjourné plusieurs jours dans l'eau.

D'après leurs premières constatations, aucun élément relevé sur le corps de ce monsieur (qui serait âgé d'une cinquantaine d'années, mesurerait 1,70 m environ et serait de forte corpulence) ne permettrait pour l'heure d'émettre une quelconque hypothèse sur l'origine de sa mort. Selon nos informations, aucune trace suspecte n'aurait néanmoins été détectée qui orienterait les enquêteurs sur la piste d'une mort violente.

Si une autopsie sera pratiquée prochainement sur le corps de cet homme, les gendarmes vont, de leur côté, s'employer à identifier la victime. Des recherches vont ainsi être effectuées dans le fichier des personnes signalées disparues car la victime n'avait pas de papiers sur elle.

Les gendarmes de la brigade de Sorgues lancent un appel à témoin afin d'identifier la victime au 04 90 39 20 31.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2355695/le-corps-dun-homme-decouvert-dans-le-canal.html

mardi 14 mai 2013

Gravement brûlé, un père de famille décède

La commune de Villers-le-Sec avec sa petite centaine d'habitants est aujourd'hui endeuillée. Jérôme Colinon, 35 ans, père de trois enfants, est décédé samedi dernier des suites de ses blessures.
Le 4 mai dernier, vers 18 heures, après une belle journée ensoleillée, il décide d'allumer un barbecue dans son jardin. Le feu ayant dû mal à prendre, son père âgé de 54 ans veut lui donner « un coup de fouet » en versant de l'alcool à brûler. S'ensuit alors un retour de flammes.
Jérôme Colinon, qui se trouvait devant le barbecue, est blessé au second degré sur 30 % du corps environ.
Près d'une dizaine de sapeurs-pompiers de Vitry-le-François, Sermaize-les-Bains et Vanault-les-Dames, ainsi que le Smur de Vitry-le-François, sont dépêchés sur place. C'est dans un état grave que le père de famille est transporté par hélicoptère au centre interrégional des grands brûlés de Metz.
Son père, qui souffre de brûlures au troisième degré au niveau du bras, est conduit, lui, au centre hospitalier de Vitry-le-François, avant d'être évacué deux jours plus tard à Metz.
Selon le maire du village Christian Burgain, Jérôme Colinon était « un homme apprécié ».
« Il ne faisait pas partie d'associations mais il participait à toutes les animations, indique-t-il. Il était investi dans la commune. » Ses obsèques seront célébrées demain mercredi, à 15 heures, en l'église de Sermaize-les-Bains.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/gravement-brule-un-pere-de-famille-decede

Le routier écrasé en changeant une roue sur l'autoroute

Un chauffeur de poids lourd d'origine roumaine est décédé lundi matin, lors d'un accident sur l'autoroute A 28, dans le sens Abbeville-Rouen, à hauteur de Saint-Riquier-en-Rivière, près de Blangy-sur-Bresle (Seine-Maritime). Victime d'une crevaison, ce routier s'était arrêté sur la bande d'arrêt d'urgence pour changer sa roue. Alors qu'il se déplaçait sur le côté droit de la chaussée, il s'est fait percuter et écraser par un autre poids lourd.

En voulant éviter ce piéton, le conducteur d'un second poids lourd a donné un coup de volant. Il s'est déporté sur la chaussée et a coincé une voiture qui était en train de le doubler dans la rambarde de sécurité. C'est en se rabattant qu'il a tué sur le coup le chauffeur roumain, âgé de 41 ans. Les quatre occupants de la voiture, eux, ne sont que légèrement blessés. Les dépistages d'alcoolémie et de stupéfiants se sont révélés négatifs.

Après cet accident, un embouteillage de plusieurs kilomètres s'est formé. La circulation a été rétablie vers 14 heures. Les gendarmes du peloton motorisé de Neufchâtel-en-Bray, les services de la Dirno, les pompiers de Blangy-sur-Bresle, Foucarmont et Neufchâtel-en-Bray étaient sur place.
 

http://www.courrier-picard.fr/region/le-routier-ecrase-en-changeant-une-roue-sur-l-autoroute-ia0b0n80646

Roubaix : un homme de 21 ans tué hier, en fin d'après-midi

Hier, il était 16h lorsque les sapeurs-pompiers sont appelés pour secourir une personne blessée dans une habitation du quartier de la Gare.

Malgré la médicalisation, le jeune homme de 21 ans, de nationalité algérienne, décède vers 17h. Retrouvé entre le palier et la porte du logement qu'il habitait, il a reçu six coups de couteau aux jambes et présente un traumatisme crânien.
Deux hommes qui se trouvaient sur les lieux et qui avaient prévenu les secours ont été placés en garde à vue dès hier soir. L'un d'eux était sous l'emprise de l'alcool quand les policiers roubaisiens sont intervenus.
Aucune trace d'effraction n'a été découverte sur la porte de l'appartement. Le couteau qui a causé les blessures aux jambes n'a pas été retrouvé.

http://www.lavoixdunord.fr/region/roubaix-un-homme-de-21-ans-tue-hier-en-fin-d-apres-midi-ia24b0n1248468

Un motard trouve la mort près de Matafelon

La collision s'est produite vers 7h30 mardi matin à la sortie du village de Matafelon, à proximité de l'embranchement de la route du hameau de Chougeat, dans une courbe dont la configuration de la route et la hauteur du talus masque la visibilité.
La conductrice de la voiture domiciliée à Matafelon, se rendait à son lieu de travail à La Cluse, à bord de sa voiture, une Renault Mégane. Le jeune motard, père de famille, domicilié à Sonthonnax-la-Montagne, pilotait une moto Buell, et se rendait à son travail. Il circulait en sens inverse.

Dans la courbe, bien que la voiture se soit serrée au maximum contre le talus de pierres, le motard n'a pu éviter la collision.

Le motard, projeté dans le pré en contrebas de la route, a sans doute été tué sur le coup.

Légèrement blessée par les débris de son parebrise, la conductrice a été évacuée par les sapeurs-pompiers du centre de secours d'Izernore.
Un motard a également trouvé la mort lundi soir à Saint-Etienne sur Reyssouze


http://www.leprogres.fr/ain/2013/05/14/un-motard-trouve-la-mort-pres-de-matafelon

lundi 13 mai 2013

Saint-Martial-de-Mirambeau (17): perte de contrôle mortelle

Un retraité âgé de 80 ans, Michel Godichaud, demeurant à Saint-Bonnet-sur-Gironde, a trouvé la mort ce lundi matin, sur la RD149, à Saint-Martial-de-Mirambeau, sur cette route qui relie Mirambeau à Saint-Bonnet-sur-Gironde. L’accident a eu lieu à 8h15, à la sortie d’une légère courbe à gauche.La voiture est allée percuter le mur de clôture d’une maison située à gauche du sens de circulation du retraité.
Malgré l’intervention des secours sur place, les pompiers de Mirambeau et les médecins du Smur de Jonzac ne sont pas parvenus à réanimer le conducteur. Les gendarmes de Mirambeau, renforcés par les motards de la Brigade motorisée de Jonzac, ont mis en place un sens de circulation alternée, le temps de l’intervention des secours.
Faute de témoin, il est impossible pour le moment d’établir les circonstances de cet accident qui serait peut-être la conséquence d’un malaise.


http://www.sudouest.fr/2013/05/13/saint-martial-de-mirambeau-17-perte-de-controle-mortelle-1052189-1391.php

Un cycliste mortellement percuté

Un papi de 83 ans est décédé ce matin peu avant 7h, avenue François-Lascour au Pontet. L'octogénaire était au guidon de son vélo lorsqu'il a été percuté par une voiture conduite par une jeune femme qui ne l'aurait pas vu sur le côté de la route. Le vieux monsieur a fait l'objet de multiples tentatives de réanimation des sapeurs-pompiers d'Avignon et des médecins  du Smur de l'hôpital Henri-Duffaut qui ne sont pas parvenus à le ramener à la vie

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2352317/un-cycliste-mortellement-percute.html

dimanche 12 mai 2013

Meuse : un détenu se suicide en prison

Un homme, en détention provisoire à la maison d'arrêt de Bar-Le-Duc pour le double meurtre de sa femme et d'un de ses fils, s'est suicidé dans sa cellule, a-t-on appris dimanche auprès du parquet. Ce père de famille de 61 ans a été retrouvé mort en fin de matinée.
Les premiers éléments de l'enquête accréditent la thèse d'un suicide, selon le parquet de Bar-le-Duc. Le parquet et la direction de la maison d'arrêt se sont refusés à donner le moindre détail supplémentaire, dans l'immédiat, sur les circonstances exactes du décès.
Mis en examen pour assassinats, l'homme avait reconnu avoir tué son épouse et un de ses fils avec un fusil de chasse début mars à leur domicile de Brillon-en-Barrois (Meuse). L'homme n'avait pas opposé de résistance lors de son interpellation, survenue peu après le double meurtre.
 

A Cannes, il se tue à scooter sur le boulevard du Midi

Un pilote de scooter s'est tué cette nuit, entre 3 et 4 heures du matin, boulevard du Midi à Cannes.
L'homme, dont l'identité n'a pas été révélée, serait âgé d'une bonne quarantaine d'années, et se serait tué seul au guidon de son 125.
Il aurait percuté un poteau électrique pour des raisons inconnues.

http://www.nicematin.com/cannes/a-cannes-il-se-tue-a-scooter-sur-le-boulevard-du-midi.1253488.html

Biterrois : une femme décède après une embardée

Un nouveau drame de la route s'est produit, ce samedi après-midi, sur le Biterrois, cette fois-ci à Capestang. La passagère d'une auto est décédée après une sortie de route. La conductrice et un troisième occupant, sa fille, sont également blessées.
Samedi en fin d'après-midi, une femme âgée de 85 ans et qui habite à Quarante, dans le Minervois héraultais, est décédée, vraisemblablement sur le coup, après l'embardée de la voiture dans laquelle elle se trouvait.
La conductrice héliportée


Le drame s'est déroulé sur la commune de Capestang, sur la route Minervoise, à la sortie de la commune en direction de Carcassonne.
La victime décédée était passagère avant-droite de l'automobile, dans laquelle se trouvaient deux autres occupants. La conductrice a dû être désincarcéré et a été hospitalisée, conduite à l'hôpital de Montpellier par l'hélicoptère du Samu.
Le dernier passager a également été blessé mais moins grièvement. Il s'agit de la fille de l'octogénaire décédée. Elle a été hospitalisée sur Béziers.

http://www.midilibre.fr/2013/05/11/biterrois-une-femme-decede-apres-une-embardee,694845.php

samedi 11 mai 2013

La voiture chute dans la Loire en crue : 3 morts, dont 2 enfants

Un homme et ses enfants de 4 et 8 ans sont morts dans une voiture tombée d'un pont à Tours dans la nuit de vendredi à samedi. Le véhicule a chuté sur 8 à 10 mètres avant de s'enfoncer dans la Loire, qui est actuellement en crue et accuse un fort débit.
Un premier bilan faisait état de 2 morts mais, selon La Nouvelle République, un autre enfant était dans la voiture. Un homme de 32 ans, son fils de 8 ans, et selon La Nouvelle République une fillette de 4 ans sont morts dans la nuit de vendredi à samedi, après que la voiture dans laquelle ils se trouvaient a chuté dans la Loire du haut du pont Mirabeau à Tours, ont indiqué samedi les pompiers. L'accident s'est produit peu avant 2h samedi.

Le véhicule a, pour une raison non déterminée, franchi les rambardes du pont et a chuté sur 8 à 10 mètres avant de s'enfoncer dans la Loire, qui est actuellement en crue et accuse un fort débit. Une trentaine de pompiers ont été mobilisés, dont des plongeurs, mais ils n'ont pu que constater le décès des deux occupants du véhicule. 
 

Il décède après être tombé de son voilier

Un sexagénaire, tombé de son voilier au large de la Ciotat (Bouches-du-Rhône), est décédé ce soir, a-t-on appris auprès de la préfecture maritime de Méditerranée. Le plaisancier, en arrêt cardio-respiratoire, n'a pu être réanimé malgré l'intervention rapide du navire de la SNSM de la Ciotat et de l'hélicoptère de la sécurité civile de Marseille, a précisé la même source.

La préfecture maritime indique "que le vent continuera à souffler au large des Bouches du Rhône et du Var jusqu'à dimanche, tout en se renforçant", renouvelant ses conseils de prudence aux usagers de la mer "au cours de leurs sorties au large".


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/10/97001-20130510FILWWW00559-il-decede-apres-etre-tombe-de-son-voilier.php

vendredi 10 mai 2013

Il meurt après avoir été happé par un 38 tonnes

Les secours se seront battus pendant près de deux heures pour tenter de sauver un piéton dont les deux jambes étaient prisonnières du semi-remorque d'un 38 tonnes qui l'a renversé ce vendredi en début de matinée sur la route de La Turbie à Roquebrune-Cap-Martin (Alpes-Maritimes).
La victime est décédée peu après 13 heures d'un arrêt cardiaque, rapporte le site de Nice-Matin.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2348012/il-meurt-apres-avoir-ete-happe-par-un-38-tonnes.html

Drame de la Réunion : "L’homme n’est pas une proie pour le requin"

Compagnon de Cousteau, François Sarano plonge souvent avec les grands squales. Il réagit au drame de La Réunion.
Tué sous les yeux de sa femme alors que le couple était en voyage de noces. Comment peut-on prendre le parti des requins après ça ?
C’est horrible en effet comme tous les drames, que ce soit un drame de la montagne, un drame de spéléologie, un drame de la circulation... Chaque fois que se produisent des faits horribles dans des circonstances qui nous déconcertent, nous sommes bouleversés. Mais l’émotion ne doit pas conduire une politique.


C’est-à-dire ?
Le surf est une activité à risque comme beaucoup de pratiques de plein air. On doit donc apprendre le risque, bien connaître les conditions dans lesquelles on peut se livrer à l’activité dans un lieu donné. Ce n’est qu’après avoir mesuré le risque que l’on décide.
Ce qui s’est passé à la Réunion était-il évitable ?
Bien sûr. Les autorités locales avaient averti. Elles avaient vivement déconseillé de pratiquer le surf. Les conditions étaient très défavorables.
En quoi ?
D’après ce que je sais, l’eau était trouble et agitée, des requins avaient été signalés. Dans la houle, les requins sont plus nombreux et plus excités.
Pourquoi ?
Parce que ce sont les conditions idéales pour la prédation. Les proies sont sans doute plus faciles à attraper.
L’attaque a eu lieu à cinquante mètres du rivage. Cela vous interpelle-t-il ?
Non. Les requins s’approchent très près des côtes. On peut en trouver dans un mètre d’eau.
Des voix s’élèvent à la Réunion pour que l’on réduise la population des requins par des prélèvements. Est-ce la solution ?
On n’éliminera jamais le risque. La vie, par essence, est risquée. Il faut vivre avec les risques. Le pire serait de laisser croire aux gens qu’on va supprimer les requins et qu’il n’y aura plus d’accident. Quand des skieurs hors piste sont emportés par une avalanche, on ne rase pas les montagnes pour autant !
Cependant la multiplication de tels drames montre bien que le requin est dangereux pour l’homme...
Tout est dangereux pour l’homme et le requin n’est pas le pire des dangers, au contraire. Le nombre d’accidents qu’il provoque chaque année dans le monde est négligeable : une centaine environ. D’un point de vue statistique, les guêpes sont beaucoup plus dangereuses pour l’homme que le requin et ne parlons pas de la chasse ou de la voiture. Si les accidents augmentent à La Réunion, c’est qu’on y pratique le surf beaucoup plus qu’avant. Il faudrait se demander si l’île est un lieu qui convient pour le surf de masse. L’océan n’est pas Disneyland.
L’homme est-il une proie naturelle pour le requin ?
Non. S’il l’était, il y aurait quotidiennement des accidents. Il y a tous les jours des millions des gens qui nagent dans des eaux où il y a des requins.
Comment faites-vous pour plonger sans risque avec les grands squales ?
Encore une fois, le risque zéro n’existe pas. Mais lorsque nous sommes en plongée, le requin nous identifie parfaitement. Il sait que nous ne sommes pas une proie. Il fait la différence entre un plongeur et une otarie. Comme nous l’attirons en mettant des appâts à l’eau, il peut arriver, au pire, qu’il nous prenne pour un concurrent. Les accidents ne se produisent que lorsqu’il y a confusion. Dans des eaux de surface agitées.

http://www.midilibre.fr/2013/05/09/l-homme-n-est-pas-une-proie-pour-le-requin,693736.php

jeudi 9 mai 2013

L'enfant de trois ans n'a pas survécu

Le petit garçon de trois ans qui a chuté dans la piscine est décédé ce matin à l'hôpital de Montpellier où il était en réanimation. Les faits se sont déroulés dans la propriété de Saint-Geniès-de-Comolas (Gard rhodanien) et c'est sa soeur de 10 ans qui l'a sorti de la piscine hors-sol et qui a eu le réflexe, malgré son jeune âge, de tenter de débuter un massage cardiaque. Échappant quelques instants à la vigilance de sa maman qui se trouvait dans la maison, l'enfant est très probablement parvenu à gravir les escaliers qui mènent à cette piscine avant de chuter dans l'eau. La piscine était visiblement équipée d'une alarme qui n'aurait pas fonctionné.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2346624/lenfant-de-trois-ans-na-pas-survecu.html

Somme: suspicion d'un cas de ménignite

Un cas de méningite est soupçonné dans la mort d'une jeune fille de 17 ans, élève d'un lycée professionnel de Friville-Escarbotin (Somme), dans la nuit d'hier à aujourd'hui à la suite d'un "purpura fulminans", a annoncé aujourd'hui la préfecture de la Somme.

"Cette nuit, une jeune fille de 17 ans est décédée au Centre Hospitalier d'Abbeville (80) suite à un purpura fulminans, avec une suspicion de méningite", a informé la préfecture dans un communiqué.

Les résultats des analyses médicales confirmant le cas de méningite devraient être connus vendredi après-midi, a-t-on appris auprès de la préfecture.

Les proches de la victime ont été pris en charge par le centre hospitalier d'Abbeville, et ont reçu un traitement antibiotique préventif, selon la même source.

Le lycée étant fermé en fin de semaine, l'Agence Régionale de Santé (ARS) de Picardie, en lien avec les services de l'État et la direction des services académiques de la Somme, prend contact téléphoniquement avec les camarades de classe de la jeune fille et leurs familles, pour déterminer s'ils doivent bénéficier d'un traitement antibiotique préventif, précise le communiqué.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/09/97001-20130509FILWWW00344-somme-suspicion-d-un-cas-de-menignite.php

Moirax. Le bras coincé sous une vasque, un homme dans un état grave

Un accident grave s'est produit hier au lieu-dit «Cachat» sur la commune de Moirax, chez un particulier. Pour une raison qui reste à déterminer précisément, mais qui pourrait avoir pour origine l'affaissement d'une dalle soutenant une vasque florale de 500 kg, un homme de 60 ans s'est retrouvé avec un bras coincé sous la vasque. L'accident a eu lieu à 10 h 45 et ce n'est que deux heures plus tard, après de gros efforts tout en protégeant la victime, que celle-ci a pu être dégagée et transportée dans un état grave au centre hospitalier d'Agen.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/09/1622514-moirax-bras-coince-sous-vasque-homme-etat-grave.html

mercredi 8 mai 2013

Var : un militaire mortellement poignardé lors d'une rixe

Un militaire du 54e régiment d'artillerie de Hyères a été poignardé mortellement au cours d'une rixe dans la nuit de mardi à mercredi dans une cité HLM de Draguignan (Var), a-t-on appris de sources judiciaires. Le jeune engagé volontaire de 18 ans accompagnait un ami pour régler un différend lié à un scooter quand il a été pris à partie. Un homme, qui dans un premier temps lui avait intimé de ne pas "se mêler de cette histoire", a sans raison apparente sorti un couteau et frappé le jeune homme avant de prendre la fuite. La victime est décédée à son arrivée à l'hôpital, selon des sources concordantes. L'agresseur présumé, âgé lui aussi de 18 ans, s'est rendu au commissariat de Draguignan quelques heures après les faits, où il a été placé en garde à vue. Il doit être présenté au parquet jeudi dans la journée.

http://www.lepoint.fr/societe/var-un-militaire-mortellement-poignarde-lors-d-une-rixe-08-05-2013-1664831_23.php

Il tue sa femme et se suicide

Si certains parlent de suicide assisté, pour Yves Badorc, procureur de la République à Bar-le-Duc, les faits qui se sont produits dans la nuit du 26 au 27 avril – mais qui ne sont connus que depuis hier – chez un couple d’octogénaires à Bonnet (Meuse) sont judiciairement un homicide suivi du suicide de l’auteur.
En ce samedi 27 avril au matin, comme elle a coutume de le faire, l’aide à domicile du couple sonne au 5, rue de Ribeaucourt, là où vivent Michelle et Serge Beylier, 81 et 86 ans. Sauf que ce matin-là, personne ne vient lui ouvrir. Tandis qu’un voisin appelle les occupants depuis l’extérieur, l’aide à domicile se rend chez la femme de ménage du couple, sachant que celle-ci possède une clé de la maison. C’est d’ailleurs cette dernière qui a fait la macabre découverte. Il est un peu plus de 8 h. Dans la chambre à coucher, elle découvre les deux corps allongés, sans vie.
Aussitôt avertis, les gendarmes ont procédé aux premières constatations en identifiant l’arme du crime, un pistolet de 1880, celle dont s’est servi le mari pour mettre fin aux souffrances de son épouse et en finir en même temps qu’elle.
Ils ont aussi rapidement trouvé une lettre rédigée par le mari dans laquelle il expliquait son geste, la maladie de sa femme, ses souffrances, la délivrance commune qu’il avait choisie pour eux. Non loin, des contrats obsèques avec toutes les indications concernant leur inhumation.
Selon le procureur, l’octogénaire devait être en grande détresse, contraint de faire face à la maladie de sa femme, alitée presque en permanence, nécessitant des soins. Un quotidien lié à la vieillesse qu’il vivait de moins en moins bien. « Une situation pas rare d’une personne qui tue l’être aimé et se tue ensuite », rapportait le procureur.
Si l’action de la justice ne s’éteindra qu’une fois tous les résultats attendus en possession du procureur, pour celui-ci « tout converge vers l’homicide et le suicide. Il n’y a pas de caractère suspect avec intervention extérieure. »

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/05/08/il-tue-sa-femme-et-se-suicide-blye

Le Carcassonnais noyé victime d’un pari stupide ?

Lundi après-midi, le corps d'un homme a été repêché dans l'Aude. Toutes suspicions de crime ont été écartées, il s'agirait d'un pari qui aurait tourné au drame.
Si le procureur de la République n’a pas ordonné l’autopsie du corps du Carcassonnais de 38 ans repêché entre le quartier de La Prade et la Fajeolle, lundi après-midi, c’est que toutes suspicions de crime ont été écartées. C’est ce qui ressort de l’examen médico-légal du cadavre, réalisé mardi au centre hospitalier de la ville.
En revanche, le mystère persiste sur l’origine de sa noyade. Un suicide ? Sans doute pas, selon nos informations. En fait, le Carcassonnais, domicilié au quartier La Conte, serait la victime d’un jeu, d’un pari stupide ! Celui de traverser l’Aude à la nage...

Les secours alertés lundi vers 15 h 30
Le corps dérivant avait été aperçu par un témoin, traversant le Pont-Vieux à ce moment-là, et jetant par hasard, un coup d’œil par-dessus le parapet. Il alertait immédiatement les secours. Il était 15 h 30 environ.
Les plongeurs du centre de secours principal de Carcassonne récupéreront le cadavre, une petite demi-heure plus tard, en face le stade Albert-Domec, soit plusieurs centaines de mètres en contrebas.
En revanche, il est impossible de dire à quel endroit précis la victime est tombée - ou plutôt s’est jetée - à l’eau...
Le petit jeu a tourné au drame
Le personnel médical du Smur et les pompiers, malgré leurs efforts répétés, n’arriveront pas à ramener le noyé à la vie.
Reste à éclaircir deux ou trois points désormais. Identifier l’homme (ou la femme) avec qui la victime aurait relevé le défi de traverser l’Aude à la nage. Et pourquoi celui-ci (ou celle-ci) n’a pas tenté de lui porter secours ? Car le petit jeu a tourné au drame. Un homme de 38 ans est mort.
Victime d’un pari stupide.

http://www.midilibre.fr/2013/05/07/le-carcassonnais-noye-victime-d-un-pari-stupide,692600.php

mardi 7 mai 2013

« On ne peut pas tout prévoir »

Ils ont comme point commun d’être des animateurs télé d’un jeu d’aventure. Denis Brogniart pour Koh-Lanta et Stéphane Rotenberg pour Pékin Express doivent gérer les risques liés au principe même de ces émissions. Invité du Grand Journal, Stéphane Rotenberg a partagé son sentiment sur le double drame de Koh-Lanta, la mort de Gérald Babin et le suicide du médecin de l’émission.

L’animateur a confié qu’il avait été particulièrement ébranlé par ce qui s’est passé sur Koh-Lanta. « Déjà parce que 70 % des équipes qui font Koh-Lanta font Pékin, le médecin avait fait Pékin, donc forcément on y pense, a-t-il expliqué. On pense déjà aux personnes qui ont perdu la vie, ce qui est fou parce que bien sûr rien ne justifie ça (…) Tout ça devient dérisoire après. »

L’animateur qui a subi
un accident spectaculaire sur Pékin Express parle ensuite de la sécurité de ces émissions. « C’est très compliqué d’assurer la sécurité. D’un autre côté je sais que quand moi, je suis sur Pékin, je suis plus en sécurité que lorsque je pars en vacances, parce qu’on n'a pas, quand on part nous en vacances, un médecin qui nous suit partout. Mais on ne peut pas prévoir tout, le risque zéro si on nous le demande, je ne sais pas qui peut le garantir. »

Sur le silence, puis
la prise de parole de Denis Brogniart, il n’hésite pas une seconde et soutient son collègue. « C’était compliqué parce qu’au début, il a fait ce que je crois était nécessaire, c’est-à-dire qu’il est resté en retrait, et comme ça partait dans tous les sens, ensuite il a décidé de prendre la main. Je pense que la meilleure solution, c'est de se taire. Mais quand ça part dans tous les sens, qu'est-ce qu'on fait ? On se tait ? Même le silence devient suspect ! Je reconnais que c’est ingérable ce genre de choses. »

http://www.voici.fr/news-people/actu-people

lundi 6 mai 2013

Suicide d'un détenu à Mont-de-Marsan

Un détenu de 33 ans s'est pendu dans la nuit de samedi à dimanche dans sa cellule du centre pénitentiaire de Mont-de-Marsan, dans les Landes, ont indiqué aujourd'hui des sources judiciaire et syndicale. L'homme, qui était détenu à Mont-de-Marsan "depuis le début de l'année", a été retrouvé lors d'une ronde pendu "avec ses draps", samedi "peu avant minuit", a indiqué le parquet de Mont-de-Marsan, confirmant une information de Sud Ouest.

L'homme était seul dans sa cellule et "nous avons recueilli des éléments selon lesquels il aurait fait part de son intention" de mettre fin à ses jours, a ajouté la source. Selon Sébastien Cellier, secrétaire local du syndicat pénitentiaire UFAP et délégué de région Aquitaine, sa compagne lui avait signifié il y a quelques jours, lors d'un parloir, son intention de mettre fin à leur relation. Il avait été ensuite placé sous surveillance spéciale par les services médicaux de l'établissement, selon le syndicaliste.

"Les collègues (surveillants) ont fait leur boulot (...) Cela n'a malheureusement pas empêché" son suicide, a-t-il ajouté. Conformément à la procédure, une enquête a été ouverte et une autopsie doit avoir lieu demain, selon le parquet.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/06/97001-20130506FILWWW00718-suicide-d-un-detenu-a-mont-de-marsan.php

Gravement brûlés en allumant le barbecue

Avec les beaux jours, reviennent également les barbecues. L'empressement des premières cuissons ne doit pas faire oublier la prudence et la sécurité. Exemple à Villers-le-Sec où un père et son fils ont été brûlés.
C'EST un accident assez rare qui s'est produit samedi soir à Villers-le-Sec, village d'une centaine d'habitants situé à une vingtaine de kilomètres au nord-est de Vitry-le-François.
Vers 18 heures, après une belle journée ensoleillée, un père et son fils décident d'allumer le barbecue dans le jardin. Le feu ayant dû mal à prendre, le père âgé de 54 ans veut lui donner « un coup de fouet » en versant de l'alcool à brûler. Résultat : un retour de flammes et des blessures au second degré, sur 30 % du corps environ, pour le fils âgé de 35 ans qui se trouvait face au barbecue.

Alertée, près d'une dizaine de sapeurs-pompiers de Vitry-le-François, Sermaize-les-Bains et Vanault-les-Dames a été dépêchée sur place. Ainsi que le Smur de Vitry-le-François. Le jeune homme a été transporté par hélicoptère au centre interrégional des grands brûlés de Metz. Le père, lui, souffre de brûlures au second degré, au niveau des bras et des mains. Il a été conduit à l'hôpital de Vitry-le-François. Il doit être évacué aujourd'hui à Metz.
A l'approche de l'été, les soldats du feu rappellent qu'il faut éviter d'utiliser de l'alcool à brûler, ou tout autre liquide inflammable, pour allumer le barbecue. Ils recommandent de recourir plutôt à des « allume-barbecues », « très pratiques et pas dangereux ». D'une manière générale, pour éviter les accidents et les incendies, il faut installer le barbecue dans un endroit abrité du vent, loin de la végétation, sur un sol bien plat ; et ne jamais le laisser sans surveillance, notamment si des enfants circulent à proximité.


http://www.lunion.presse.fr/article/region/gravement-brules-en-allumant-le-barbecue

Anglars-Saint-Felix. Renversé par une voiture, le piéton décède

Un drame de la route s'est noué hier matin sur le CD 1 vers 6 heures du matin. Un homme âgé de 28 ans, domicilié à Brive, a été renversé par un véhicule alors qu'il marchait au milieu de la chaussée. A l'arrivée des pompiers de Montbazens, du SMUR de l'hôpital de Villefranche et des gendarmes de la brigade de Rignac, le jeune homme était déjà décédé des suites de ses blessures. La prise de sang effectuée sur le conducteur aveyronnais domicilié à Escandolières et âgé de 34 ans qui partait travailler n'a révélé aucune prise d'alcool. Celle faite sur la cadavre devrait livrer son verdict dans quelques jours. Evidemment choqué, le conducteur n'a pas souhaité être pris en charge par les secours. Le corps du piéton décédé a été pris en charge par les pompes funèbres Pradyrols de Rignac. Les gendarmes ont ouvert une enquête sur les circonstances de cette collision mortelle.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/06/1620553-anglars-saint-felix-renverse-par-une-voiture-le-pieton-decede.html

dimanche 5 mai 2013

Ens: chute mortelle d'un parapentiste

Hier, à 14 heures, un parapentiste qui avait décollé sur l'aire de Ens, au-dessus de Saint-Lary, face au col d'Azet, est tombé. Il a été retrouvé sur une crête près de l'ancienne ardoisière où les gendarmes du PGHM de Pierrefitte-Nestalas se sont portés à son secours. Mais il devait succomber à ses blessures quelques instants après leur arrivée. A bord de l'hélicoptère avaient pris place un médecin du Samu et deux secouristes. La victime est un homme de 30 ans, domicilié à Boutx Le Mourtis (31), qui disputait une compétition régionale de parapente à laquelle une trentaine de pilotes participaient. Il s'agissait d'une épreuve de distance nécessitant un bon niveau.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/05/1620107-ens-chute-mortelle-d-un-parapentiste.html

samedi 4 mai 2013

78: un homme fauché par deux voitures

Un homme de 67 ans est mort vendredi soir à Mantes-la-Ville (Yvelines) après avoir été percuté par deux voitures dont les chauffeurs ont pris la fuite.

La victime, qui traversait la rue hors des passages pour piétons vers 22h45 vendredi soir, a succombé sur place. Les conducteurs ne se sont pas arrêtés.

Selon les premiers éléments, les deux automobilistes, qui roulaient à très vive allure, étaient en train de se doubler. Ils auraient pu se livrer à une course poursuite.

Le commissariat de Mantes-la-Jolie a lancé un appel à témoins. Toute personne susceptible d'apporter des informations peut contacter les enquêteurs au 01.30.94.82.10.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/04/97001-20130504FILWWW00363-78-un-homme-fauche-par-deux-voitures.php