Originaire de Saint-Aubin, dans l'Aube, Dominique Bereau s'est très vite passionné pour la cuisine. Aux fourneaux d'un restaurant du Montmartre parisien, d'abord, et à La Tour Montlhery, avant de venir s'installer à Montpellier, rue des Teissiers, au tout début des années 2000.
C'était un patron dur. Mais il savait tout faire"
Son enseigne Chez Doumé y devint très vite incontournable. On y partageait le plaisir de la table sur des nappes à carreaux, au coude à coude. Il y avait un petit côté bouchon à la lyonnaise dans cet établissement où le vin se vendait à la ficelle. La terrine maison, l'andouillette, la tripe et le fromage blanc : tout y était si bon. Comme l'accueil que Doumé voulait chaleureux et joyeux.
Ces dernières années, il connut quelques expériences professionnelles plus douloureuses, notamment à Palavas. Sa santé devint chancelante. Un ami restaurateur disait, hier, de lui : "C'était un patron dur. Mais il savait tout faire. Il m'a tout appris, c'était mon mentor." On ne saurait dire mieux, à propos de cet homme de caractère finalement si tendre.
http://www.midilibre.fr//2014/10/16/et-doume-s-en-est-alle,1066792.php
C'était un patron dur. Mais il savait tout faire"
Son enseigne Chez Doumé y devint très vite incontournable. On y partageait le plaisir de la table sur des nappes à carreaux, au coude à coude. Il y avait un petit côté bouchon à la lyonnaise dans cet établissement où le vin se vendait à la ficelle. La terrine maison, l'andouillette, la tripe et le fromage blanc : tout y était si bon. Comme l'accueil que Doumé voulait chaleureux et joyeux.
Ces dernières années, il connut quelques expériences professionnelles plus douloureuses, notamment à Palavas. Sa santé devint chancelante. Un ami restaurateur disait, hier, de lui : "C'était un patron dur. Mais il savait tout faire. Il m'a tout appris, c'était mon mentor." On ne saurait dire mieux, à propos de cet homme de caractère finalement si tendre.
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