mercredi 30 avril 2014

REIMS (51). Chute mortelle du deuxième étage

Mercredi matin, vers 3 h 30, le corps d’un homme en robe de chambre a été retrouvé au pied d’un immeuble du quartier Croix-Rouge à Reims, dans le secteur Eisenhower. Une fenêtre était ouverte au deuxième étage. Il s’agissait de l’appartement de la victime. Les constatations policières ont permis de conclure à un suicide.

http://www.lunion.presse.fr/region/reims-51-chute-mortelle-du-deuxieme-etage-ia231b0n340162

Le jeune homme brûlé hier dans l'incendie d'un foyer de jeunes travailleurs de Limoges est décédé ce matin à Bordeaux

L'homme âgé d'une vingtaine d'années qui avait tenté de s'immoler n'a pas survécu à ses blessures.
Très gravement blessé lors de l'incendie il avait été transféré hier soir au service des grands brûlés du CHU de Bordeaux.
C'est là qu'il est décédé dans la matinée.


http://limousin.france3.fr/2014/04/30/le-jeune-homme-brule-hier-dans-l-incendie-du-grand-seminaire-de-limoges-est-decede-ce-matin-bordeaux-468705.html

Une octogénaire retrouvée pendue dans une maison de retraite

Une femme âgée de 80 ans a été découverte pendue ce mercredi matin, vers 7h, dans les locaux de la maison de retraite Home Saint-Josepb située à Thal-Marmoutier (Bas-Rhin). Les secours n'ont pas pu la réanimer, la victime a été déclarée décédée par le médecin présent sur place.

http://www.lalsace.fr/actualite/2014/04/30/une-femme-de-80-ans-retrouvee-pendue-dans-les-locaux-de-la-maison-de-retraite

Paris : à 80 ans, il meurt dans un incendie

Au square de la porte de Vanves (XIVe), un octogénaire est décédé ce matin vers 04h10 dans l'incendie de son appartement, rapporte Le Parisien.

Son appartement de 60m², au neuvième étage, était fermé de l'intérieur et en état d'insalubrité. C'est suite à l'intervention des pompiers, quelques minutes plus tôt, pour un dégagement de fumée, et lors de la reconnaissance de l'appartement sinistré, que le corps de la victime aurait été découvert.

Une enquête a été ouverte, et l'autopsie du corps du défunt devrait avoir lieu demain.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/04/30/97001-20140430FILWWW00111-paris-a-80-ans-il-meurt-dans-un-incendie.php

Le directeur de l’Intermarché est mort

Cela faisait presque quinze jours que l’homme était hospitalisé, d’abord à Thonon, puis à Annecy. Le directeur de l’Intermarché situé avenue d’Évian est décédé hier matin après sa chute de 5,80 mètres survenue le 15 avril dernier. Ce jour-là, le quinquagénaire était monté sur le toit de la grande surface pour colmater des infiltrations lorsqu’une plaque de fibrociment avait cédé sous son poids. La victime serait alors passée au travers du plafond, chutant au beau milieu des rayons du magasin. Le corps doit être autopsié demain à l’hôpital de Grenoble.

À l’heure actuelle, la grille du supermarché est toujours close. Des travaux doivent être entrepris pour sécuriser le bâtiment dont la vétusté est pointée du doigt. Le service communication d’Intermarché ne donne aucune information concernant l’accident, la rénovation du magasin et son éventuelle réouverture qui d’après nos informations n’aura pas lieu avant, a minima, la semaine prochaine


http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2014/04/30/le-directeur-de-l-intermarche-est-mort

mardi 29 avril 2014

Prison de Valenciennes : un détenu se suicide dans sa cellule

Le prisonnier, incarcéré depuis trois semaines, a été retrouvé pendu à l'aide de draps dans sa cellule mardi soir vers 23 heures. Son co-détenu, endormi, n'avait rien entendu.

Tanguy Nempont, 31 ans, avait été jugé coupable de violences conjugales après avoir brisé une bouteille de vodka sur la tête de sa concubine en février, puis l'avoir frappée début avril. Il avait écopé de 6 mois de prison ferme et était en état de récidive légale.

Lors de son jugement ce lundi 28 avril, il avait reconnu les faits tout en manifestant "le désir de poursuivre le concubinage avec la victime. Cette dernière signifiait clairement qu'elle voulait se séparer de son compagnon" a précisé le procureur de Valenciennes.

La peine d'un an de prison dont six mois avec sursis prononcée à l'encontre de Tanguy Nempont était assorti d'une "mise à l'épreuve pendant 24 mois avec interdiction d'entrer en relation avec la victime, obligations de soins et de travail".

Tanguy Nempont avait déjà été condamné en novembre 2012 à 1 an de prison dont 5 mois avec sursis pour violences conjugales et rébellion. 


http://nord-pas-de-calais.france3.fr/2014/04/29/prison-de-valenciennes-un-detenu-se-suicide-dans-sa-cellule-468149.html

Accident mortel au Cap de Nice: le parquet veut incarcérer le conducteur

Un passager de 34 ans tué, un autre dans un état critique. Le bilan de l'accident de voiture survenu samedi vers 3 h 45 du matin boulevard Maeterlinck au Cap de Nice, est très lourd.
Le conducteur d'une Mercedes, un jardinier de 33 ans, domicilié à Nice, interpellé cinq heures après le drame par les policiers du Quart, a été déféré lundi au parquet.
Le procureur Hervé Leroy a demandé le placement en détention du conducteur mis en examen pour homicide involontaire. L'homme avait pris deux passagers en auto-stop avant de perdre le contrôle de sa voiture. Après une embardée, le véhicule a percuté de plein fouet le mur d'enceinte d'une villa. Le conducteur roulait sans assurance.
>> RELIRE. Terrible perte de contrôle à Nice: un mort et deux blessés dont un grave
Dans l'accident, un cuisinier comorien de 34 ans a été tué sur le coup. L'autre passager est, d'ores et déjà, tétraplégique. Hier, les parents du chauffard, des Albanais depuis peu en France, attendaient, anxieux, le sort que la justice allait réserver à leur fils. L'homme a été entendu plusieurs heures par un juge d'instruction. Il devait comparaître hier soir devant le juge des libertés et de la détention.

http://www.nicematin.com/nice/accident-mortel-au-cap-de-nice-le-parquet-veut-incarcerer-le-conducteur.1716788.html

Grisolles. Le jeune pêcheur victime d'hydrocution se trouve toujours plongé dans le coma

Un jeune homme de 19 ans -domicilié dans la région toulousaine -est plongé dans le coma depuis dimanche soir après avoir été victime d'une noyade sur le lac privé de Labarthe à Grisolles, un plan d'eau qui se trouve non loin de la route qui part en direction d'Ondes et de Grenade (notre édition d'hier page 10).
Il venait participer à une partie de pêche avec son oncle, membre de la Gaule traminote de Toulouse, autorisé à emmener deux personnes sur ce lac par le biais du comité d'entreprise de Tisséo.
Embarqués sur un bateau, les passionnés de pêche ont décidé d'aller ferrer le poisson au centre du lac. Il était aux alentours de 17 h 30 et trois personnes se trouvaient sur l'embarcation lorsque le drame est survenu et qu'elle a chaviré. On ne sait pour quelle raison… fragilité de l'esquif, faux mouvement d'un des trois occupants de l'embarcation…

Hydrocution ?

Nageur pourtant aguerri, le jeune homme a, semble-t-il, été victime d'une hydrocution, et, malgré l'assistance des témoins, il n'a pu regagner la berge sain et sauf. Gêné de plus par son habillement chaud.
Les sapeurs-pompiers de Grisolles et Montauban et le Samu 82 sont arrivés rapidement sur place et lui ont prodigué les premiers soins au bord du lac. La victime a ensuite été transportée dans un état grave au centre hospitalier de Montauban où il se trouvait, hier, plongé dans le coma. Les personnes qui l'accompagnaient ont été extrêmement choquées. «Ils sont sous le choc et traumatisés», décrivait, hier, un proche.

Enquête ouverte

Les conditions météorologiques, dimanche, ont favorisé l'issue dramatique de ce chavirement. Le vent allié à une eau froide aurait provoqué l'hydrocution (et peut-être une hypothermie majeure ?) du jeune homme. Chaudement habillé pour cette partie de pêche, il aurait en outre été handicapé par son équipement inadapté à la nage.
Une enquête a été ouverte et confiée à la gendarmerie de Grisolles afin de déterminer les circonstances exactes de cet accident. Les militaires ont recueilli les témoignages des personnes présentes lors de l'accident et ont procédé aux premières constatations sur place.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/04/29/1872180-grisolles-jeune-pecheur-victime-hydrocution-trouve-toujours-plonge-coma.html

lundi 28 avril 2014

Perpignan : Un jeune motard se tue dans un accident

Un jeune homme a perdu la vie ce dimanche soir dans un accident de la circulation survenu rue Alfred Sauvy à Perpignan. Selon les premiers éléments, la victime circulait sur une moto quand un animal aurait traversé la chaussée. Le pilote du deux roues, âgé de 27 ans, a perdu le contrôle et a lourdement chuté sur la route.

Les sapeurs-pompiers ont été immédiatement dépêchés sur les lieux et lui ont prodigué les premiers soins. Malgré tous leurs efforts, le jeune homme a succombé à ses blessures. 
Un second motard, qui le suivait, s'est également couché sur la chaussée pour l'éviter et aurait fini sa course contre un arbre. Blessé, il a été transporté au centre hospitalier de Perpignan où il se trouvait toujours ce lundi. Une enquête, menée par les services de police, est en cours. 

http://www.lindependant.fr/2014/04/28/perpignan-un-jeune-motard-se-tue-dans-un-accident,1877342.php

L'accident de voiture dans le Jura fait une deuxième victime

Un des passagers a succombé à ses blessures samedi dans un hôpital bâlois, a annoncé la police jurassienne dimanche. Un autre, également assis à l'arrière, était décédé sur les lieux de l'accident.
Six personnes de la région, toutes âgées de 19 à 21 ans, se trouvaient à bord de la voiture. Pour une raison inconnue, celle-ci est sortie de la route dans un virage à droite vers 21h30 et a fini sa course 40 mètres en contrebas.
Un passager arrière est décédé peu après. Le conducteur et un deuxième passager arrière, gravement blessés, ont dû être transportés à l'hôpital par hélicoptère. Le deuxième passager est mort à Bâle samedi soir alors que le conducteur, hospitalisé à Berne, est dans un état stable.
Les trois autres passagers avaient quant à eux été pris en charge par des ambulances et amenés sur les sites de Delémont et de Porrentruy de l'hôpital du Jura. Ils sont hors de danger.

http://www.lematin.ch/faits-divers/

dimanche 27 avril 2014

Une résistante décède pendant la veillée de la déportation

REIMS (51). La veillée de la déportation qui se tenait ce samedi, à partir de 21 h 15 à Reims, autour du monument des martyrs de la Résistance situé sur les Promenades, a été endeuillée. Alors que ce temps du souvenir à la mémoire des hommes, des femmes et des enfants qui ont péri dans les camps de concentration et d’extermination nazis venait de débuter, Mme Yvonne Chatelain, 88 ans, ancienne déportée-résistante qui participait à cette cérémonie comme chaque année, s’est brutalement affaissée.
Immédiatement, une équipe de secouristes de la Croix-Rouge présente sur le site lui a apporté les premiers soins tandis que l’équipe médicale d’une antenne mobile du Samu se rendait sur place. Malgré tous les efforts conjugués des secours, Mme Yvonne Chatelain n’a pas pu être réanimée. Ce drame a créé une vive émotion parmi les participants à cette veillée parmi lesquels se trouvaient des collégiens et des lycéens qui avaient déjà pu converser avec cette dame qui témoignait dans des établissements scolaires de son vécu dans les camps. Elle participait toujours à la vie associative du monde combattant. Le député-maire Arnaud Robinet et plusieurs élus ont soutenu des proches de Mme Chatelain qui étaient bouleversés.
Secourue par une équipe de la Croix Rouge bientôt renforcée par l’équipe médicale d’une antenne mobile du Samu, elle n’a pas pu être réanimée. Son décès en cet instant a crée un véritable choc parmi l’assistance.
Yvonne Bridoux-Chatelain était née à Soissons (Aisne) le 3 mars 1926 mais c’est en région parisienne à Alfortville qu’elle se trouve pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle choisit de s’opposer au gouvernement de Vichy et à l’occupant. Comme bien des combattantes, elle est malheureusement victime de la gestapo et est arrêtée.
Après avoir malmenée puis enfermée notamment au Fort de Romainville, elle est déportée dans un convoi comprenant 417 femmes au départ de la gare de l’Est à Paris le 18 avril 1944. Elle parvient à jeter un message pour sa famille alors que le train passe en gare de Pantin : “Prévenir Mme Bridoux, 26, rue du Pont d’Ivry à Alfortville. Fille partie en direction inconnue, a quitté le stalag 122 avec un bon moral”. Récupéré par un cheminot, ce message est bien transmis. Le 22 avril 1944, le convoi stoppe. Les wagons sont ouverts. Les femmes sont emmenées vers une destination inconnue. C’est Ravensbruck.
Le 4 juin 1944, la jeune femme alors âgée de 18 ans, intègre le kommando d’Holleischen qui dépend du camp de Flossenbourg dans la région des Sudètes. Elle va porter le matricule 35 324 et subir la dure vie de déportée et subit la longue déshumanisation orchestrée par les nervis nazis. Elle ne désespère jamais.
Le 14 juillet 1944 avec ses camarades, elle porte une cocarde tricolore en rejoignant le kommando 137 où elle est astreinte à la finition et à l’expédition d’obus de DCA. A 9 heures, le travail s’arrête dans l’atelier et les femmes chantent la Marseillaise. Les gardiens sont médusés. C’est un acte de Résistance, une expression patriotique pour défier les bourreaux nazis. Il fallait oser. Elles ont osé. Elles reçoivent en récompense une pluie de coups mais il n’y aura pas de représailles, l’interprète ayant expliqué que c’était le 14 juillet, jour de la fête nationale en France et que ces femmes la célébraient comme tout bonne citoyenne.
Yvonne Chatelain est libérée le 5 mai 1945 par des partisans tchèques et polonais. La jeune femme est très affaiblie mais libre. En 2005, pour le soixantième anniversaire de la Libération des camps, elle est retournée avec des camarades au Kommando d’Holleischen pour l’inauguration d’une stèle en mémoire de toutes les martyres tombées dans cette ferme transformée en camp de concentration.
Envie d'en savoir plus sur le parcours de cette Résistante ? Cliquez ici

http://www.lunion.presse.fr/accueil/une-resistante-decede-pendant-la-veillee-de-la-deportation-ia0b0n338473

Corps retrouvé au bord de la route : les hypothèses

Le corps d'un homme a été retrouvé sans vie ce matin au bord de la route de Carpentras à Pernes-les-Fontaines (Vaucluse).

Les gendarmes de la compagnie de Carpentras et les techniciens en identification criminelle sont actuellement sur place pour tenter de comprendre comment cet homme est mort.

Son corps a-t-il été déposé au bord de la route ? A-t-il été renversé par une voiture ? Pour l'instant, les militaires démarrent leur enquête


http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2855968/corps-retrouve-au-bord-de-la-route-les-hypotheses.html

samedi 26 avril 2014

Le Mesnil-en-Thelle : une marche silencieuse en hommage au couple tué

Une silencieuse était organisée ce samedi après-midi en hommage au couple de retraités, tué à coups de couteau, il y a une semaine à son domicile du Mesnil-en-Thelle (Oise). Leur fils, suspect du double , a été mis en examen. Près de 120 personnes, venues de Presles (Val-d’Oise), du Mesnil-en-Thelle ou encore de Chambly, ont fait le déplacement à cette occasion.
Parti de la mairie, le cortège s’est recueilli devant la maison des victimes avant de se disperser.



http://www.leparisien.fr/oise-60/le-mesnil-en-thelle-une-marche-silencieuse-en-hommage-au-couple-tue-26-04-2014-3797129.php

Accident mortel à Pontault-Combault

Un accident mortel s'est produit dans la nuit de vendredi à samedi à Pontault-Combault (Seine-et-Marne). Vers 5h30, une voiture transportant trois personnes s'est retournée sur le toit alors qu'elle circulait dans le quartier du Pavé. Le passager arrière est décédé. Quant au conducteur, il a été transporté dans un état grave dans un hôpital parisien.
  Une est en pour déterminer les causes de l'accident.

http://www.leparisien.fr/pontault-combault-77340/accident-mortel-a-pontault-combault-26-04-2014-3796711.php

Tavernay : mort calciné dans l’accident

En pleine ligne droite, une voiture s’est écartée et a arraché un poteau en béton avant de s’enflammer. L’occupant est mort à l’intérieur.
«La voiture s’est immobilisée. On a commencé à voir de la fumée sortir par la plage arrière puis les flammes ont pris sur les côtés. Il y a des gens qui ont voulu s’approcher mais ils n’ont pas pu car il y avait des étincelles qui se mélangeaient aux flammes. » Ce conducteur du Jura a été témoin de l’accident qui a coûté la vie à un automobiliste, hier vers 14 heures dans la ligne droite entre La Comaille et La Celle-en-Morvan.
Dans une file de voitures, l’une d’elle s’est écartée sur le côté droit et a percuté de plein fouet un poteau électrique en béton. Malaise, assoupissement ? Les circonstances de cet accident sont encore mystérieuses.

De l’électricité dans les flammes

Toujours est-il que le feu s’est déclaré dans les secondes qui ont suivi le choc et que l’unique occupant, un habitant du Sud Morvan d’une cinquantaine d’années, n’est pas sorti de sa voiture. Quand les pompiers d’Autun et d’Anost, sous la responsabilité du chef de groupe Hervé Rateau, sont arrivés, ils étaient confrontés à une intervention à la lance à eau dangereuse car il fallait se prémunir d’un éventuel arc électrique. C’est donc à l’extincteur à poudre qu’ils ont pu stopper l’incendie au bout de 20 minutes. Le conducteur était-il déjà mort sous le choc avant l’incendie ? Difficile de le savoir, toujours est-il que les secours et les pompes funèbres ont eu la délicate charge de sortir le corps carbonisé de la voiture. Un bout de la plaque d’immatriculation a été retrouvé dans les débris et a pu aider les gendarmes autunois à identifier le propriétaire du véhicule. Le médecin-légiste a examiné le corps afin de confirmer l’identité du défunt.
L’électricité a été coupée durant plus d’une heure dans le quartier de Polroy et la route rouverte à la circulation vers 16 h 45.

http://www.bienpublic.com/faits-divers

vendredi 25 avril 2014

FEUQUIERES (60): Il fait un arrêt cardiaque au volant

Un homme âgé de 63 ans et domicilié à Cempuis dans l’Oise a perdu la vie ce vendredi 25 avril vers 11 heures du matin sur la commune de Feuquières. L’homme était au volant de son véhicule quand il a été pris d’un malaise cardiaque. Son véhicule a quitté la route et a terminé sa course dans un champ. Les secours n’ont malheureusement pas pu le réanimer.

http://www.courrier-picard.fr/region/feuquieres-60-il-fait-un-arret-cardiaque-au-volant-ia201b0n356066

Femme renversée à Jaux : la piste criminelle écartée

On en sait un peu plus sur le décès tragique d’une jeune femme de 28 ans, survenu mercredi, vers 23 heures. Elle était tombée d’un pont, puis avait été fauchée par une voiture sur la D 1031, reliant Beauvais à Compiègne, à hauteur de Jaux. La thèse de l’acte criminel, un temps évoquée, est désormais écartée. La jeune femme, qui demeurait, avec sa mère, dans un village au nord de Compiègne, était, en effet, connue pour ses tendances suicidaires.
 
Elle aurait donc, selon toute vraisemblance, mis fin volontairement à ses jours.

http://www.leparisien.fr/informations/femme-renversee-a-jaux-la-piste-criminelle-ecartee-25-04-2014-0.php

La plongée tourne au drame : un Romillois de 44 ans se noie en Martinique

Arrivé en Martinique mercredi dernier, David Gouteux domicilié à Romilly-sur-Andelle (27) est mort noyé hier jeudi, à l’occasion d’une partie de plongée. En voyage avec son épouse de 41 ans et sa fille de 13 ans, le père de famille devait fêter ses 44 ans aujourd’hui vendredi. Le destin en a décidé autrement.

Selon les informations de nos confrères locaux, l’alerte a été donnée vers 10 h 30 par l’hôtel Marouba au Carbet, dont dépend le centre de plongée en charge de cette sortie. Présenté comme un plongeur aguerri, le Romillois était parti pour une plongée en bouteille à moins de sept mètres, en compagnie de deux autres personnes qui l’auraient perdu de vue en remontant à la surface.
D’importants moyens ont aussitôt été mis en place pour retrouver le plongeur, dont deux hélicoptères et deux vedettes. Le corps sans vie du malheureux était finalement découvert une heure plus tard, près des rochers, à seulement trois ou quatre mètres de profondeur.  Des auditions ont aussitôt été menées par la gendarmerie et une enquête est ouverte pour déterminer les circonstances de ce drame et d’éventuels manquements en matière de sécurité. Une autopsie a également été réclamée par le parquet afin de déterminer les causes précises de la mort.
Originaire de Pont-de l’Arche où il a grandi, David Gouteux s’était installé à Romilly-sur-Andelle avec sa famille il y a quelques années. Une commune qu’il connaissait aussi pour y avoir travaillé, chez Centaure de 1995 à 1998 et EMSM de 2003 à 2006. Entre 1998 et 2000 il avait rejoint l’entreprise Holophane aux Andelys. Actuellement, il occupait les fonctions de responsable logistique au sein de l’entreprise Embaltec du Val de Reuil.

http://www.limpartial-andelys.fr/category/faits-divers/

Il meurt dans un accident de tracteur

Un dramatique accident a coûté la vie à un habitant résidant à La Roche-sur-le-Buis, dans le sud de la Drôme, hier après-midi.
Armand Barnouin, agriculteur et éleveur ovin d’une cinquantaine d’années dans ce petit village des Baronnies provençales, travaillait sur son exploitation située sur les hauteurs de la commune, au-dessus du centre équestre de La Viste.
Pour des raisons qui restaient encore à éclaircir hier soir, alors qu’il circulait sur un chemin, le tracteur sur lequel il se trouvait a basculé et l’a entraîné dans sa chute. Il aurait alors été écrasé par l’engin qui aurait fait deux tonneaux.
Il était environ 15 heures lorsque les secours, composés des sapeurs-pompiers de Buis-les-Baronnies et Mollans-sur-Ouvèze et d’une équipe du Smur de Vaison-la-Romaine, sont arrivés. L’homme était en arrêt cardio-respiratoire et les premiers soins lui ont été donnés sur place, sans qu’il puisse être réanimé. Il est décédé sur les lieux de l’accident.
Sa disparition a provoqué une intense émotion dans les communes de La Roche-sur-le-Buis et de Buis-les-Baronnies hier en fin de journée, où il était connu et comptait de nombreux amis.

http://www.ledauphine.com/drome/2014/04/24/il-meurt-dans-un-accident-de-tracteur

jeudi 24 avril 2014

Jaux : une femme fauchée décède

Une femme de 28 ans a perdu la vie hier soir vers 23 heures, dans la ZAC de Mercières à Jaux. Elle a été renversée sur la D1031 dans le sens Beauvais-Compiègne après être tombée d’un pont. Selon nos informations, la chute ne serait pas due à un acte criminel. A l’arrivée des secours, la victime était décédée. Une a été ouverte par la police

http://www.leparisien.fr/oise-60/jaux-une-femme-fauchee-decede-24-04-2014-3792015.php

Accident dans le Calvados. Un enfant gravement blessé à Bourguébus

Un enfant de 2 ans a été gravement blessé dans un accident de la circulation à Bourguébus (Calvados), ce jeudi 24 avril 2014, au sud de Caen.

Deux voitures se sont percutées, vers 8 h 15. La mère de l'enfant ainsi que la seconde conductrice ont également été blessées.

http://www.ouest-france.fr/normandie/calvados/bourguebus-14540#from-breadcrumb

Un jeune conducteur de deux-roues décédé à Nice

Un jeune homme de 17 ans est décédé mardi à Nice des suites d'un accident de deux-roues survenu lundi soir.
>> RELIRE. Deux conducteurs de deux-roues gravement blessés à Nice
Au guidon de son deux-roues, Sabry, 17 ans, avait percuté une voiture vers 21 heures route de Saint-Pierre-de-Féric à Nice.
Il avait été transporté aux urgences inconscient et médicalisé par un médecin du SMUR, avant de décéder de ses blessures quelques heures plus tard.

http://www.nicematin.com/nice/un-jeune-conducteur-de-deux-roues-decede-a-nice.1710712.html

mercredi 23 avril 2014

La mort au bout de la galère pour deux jeunes SDF

REIMS (51). À dix jours d’intervalle, deux jeunes hommes, âgés de 32 et 28 ans, se sont pendus sur le site abandonné du Sernam, depuis des années devenu le domicile des sans-domicile
Ils s’appelaient Julien Da Silva Alves et Terry Batteux. Étaient âgés de 28 et 32 ans. Vivaient dans la rue depuis des années. La conséquence de ruptures diverses et variées. Le premier s’est suicidé voici une dizaine de jours. Le second en a fait de même dans la nuit de jeudi dernier. Deux morts par pendaison. Les corps ont été découverts sur l’immense site du Sernam, laissé à l’abandon depuis des années et squatté par des sans-domicile-fixe impossibles à recenser. Lundi soir, la jeune association Maraude citoyenne rémoise, née en janvier, organisait une marche blanche à la mémoire des disparus. Une seconde marche, initialement programmée ce mercredi après-midi par le service départemental de prévention rattaché au conseil général, a été annulée hier, faute de nouvelles de la sous-préfecture.
Lundi soir, donc. Rendez-vous était fixé devant une enseigne de la place d’Erlon. Là où Terry Batteux avait pour habitude de jongler. Dans le cortège, une cinquantaine de personnes est recensée. À peu près autant de bénévoles de Maraude citoyenne rémoise que de sans-domicile. Parmi ces derniers, hormis quelques vieux routards de la rue, beaucoup de jeunes hommes. Quelques femmes aussi. « Ne prends pas de notes », nous avait dit l’une d’elles. La marche commence derrière une banderole : « Aidez-nous à les aider. » Les visages sont ceux des jours mauvais. Mines grises et chuchotements. Julien Da Silva Alves et Terry Batteux sont morts. Et pour la plupart de ceux qui sont là, c’est impossible.
« Terry, il n’allait pas bien. Il était usé. Mais quand je l’ai vu jeudi soir, il riait encore », peine à expliquer Zahia Nouri, fondatrice de l’association. Une autre bénévole se souvient : « Quelques jours avant sa mort, il m’avait demandé si on allait continuer à venir cet été. Il avait pris le repas de notre maraude et avait l’air plutôt en forme. »
Le cortège passe devant la fête foraine, de laquelle montent des cris d’enfants aux prises avec les manèges. Et on y arrive, sur ce site du Sernam, devenu depuis le départ des derniers trains de marchandises le domicile des sans-domicile-fixe. Des milliers de mètres carrés sur lesquels, au fil des ans, le végétal a regagné du terrain. Un peu partout sur le site, des piaules ont été sommairement aménagées. Depuis combien de temps les SDF se sont-ils approprié ce lieu ? « Depuis qu’on a vu qu’on pouvait y vivre », nous répond un homme pressé d’abréger la conversation. Personne ne sait combien ils sont, ni même sans doute qui ils sont. Quelques associations comme le Secours populaire ou le Secours catholique (la liste ne se veut pas exhaustive) œuvrent encore, sur place ou à proximité : l’une propose des repas et quelques produits d’hygiène, l’autre lave le linge contre un prix symbolique et dérisoire et c’est à peu près tout. Il était une fois la dégringolade sociale…

« Comment peut-on encore avoir de l’espoir ? »

Avec deux pierres, un drapeau du Portugal, le pays de Julien Da Silva Alves, est fixé à même le sol. Ambiance lourde. Un proche du jeune suicidé s’énerve et disparaît. Quelques mots sont griffonnés au marqueur sur la banderole. Les bénévoles écoutent ceux qui veulent parler. Les autres se taisent. Dents serrées et larmes aux yeux pour certains. Tout ce petit monde repart. Terminus de la marche blanche devant le dernier domicile de Terry Batteux. Quelques-uns y entrent. Zahia Nouri nous propose d’y aller également. « C’est la première poutre, celle avec laquelle il s’est pendu », nous souffle-t-on. Une entrée minuscule ouvre sur un intérieur sombre. Matelas en mousse, petite table et détritus. Collé au mur, deux photos. L’une montre une femme nue, la seconde Terry Batteux, visage fin et sourire XXL. L’image unique que nous aurons de lui. Le marqueur passe de main en main pour un dernier hommage. Son dernier colocataire est dévasté. Une jeune femme tente : « Il avait quand même une sacrée gueule de c…, Terry ! » Une autre pleure en souriant.
Dehors, un jeune SDF, jetant sa canette de bière, en apostrophe un autre : « Tu crois que t’es le seul à dérouiller ? » D’autres vont le calmer. Ceux qui ne vivent pas là décident de s’en aller. Sur le retour, une bénévole soupire : « On a beau y venir, on n’imagine pas ce que c’est de vivre là ! Sans même parler de trouver un boulot ou je ne sais quoi, comment peut-on encore avoir de l’espoir quand on en est arrivés à vivre là ? Mourir si jeune, quand même ! »

http://www.lunion.presse.fr/region/la-mort-au-bout-de-la-galere-pour-deux-jeunes-sdf-ia3b24n336482

Week-end meurtrier sur les routes du Languedoc-Roussillon

Deux  tués sur les routes de l'Hérault en trois jours : triste bilan de ce week-end pascal. Depuis début janvier on compte 17 décès sur les routes de l'Hérault. Et ce en dépit de nombreux contrôles. Dans le Gard et dans les Pyrénées-Orientales, il n'y a eu aucun accident mortel
Deux conducteurs ont trouvé la mort ce week-end dans l'Hérault. Un habitant de Lunel âgé de 23 ans, a fait une sortie de route dans un platane. Un motard est mort près de St Pons de Thomières sur une départementale à la sortie d'un virage.

Au cours du week-end, ce sont 95 contrôles qui ont été menés dans le département, contrôles ciblés sur les excès de vitesse ou d’alcoolémie.
40 dépistages pour alcoolémie positifs, 12 dépistages de stupéfiants positifs et 40 usages de téléphone au volant ont été réalisés.
Les forces de l’ordre ont par ailleurs procédé à près de 30 rétentions de permis pour des infractions graves.

En revanche dans le Gard, département réputé dangereux, aucun mort n'est à déplorer cette année. Le bilan des  9 accidents enregistrés entre vendredi et lundi soir est relativement léger : 9 blessés et aucune hospitalisation.

Dans les Pyrénées-Orientales 115 infractions ont été relevées par l'escadron départemental de sécurité routière au cours du long week-end Pascal.
Il s'agit principalement d'excès de vitesse, le record étant détenu par un automobiliste barcelonais qui a été contrôlé à 216 km/h sur l'autorouite A9.
D'autre part au cours de la nuit de samedi à dimanche, des contrôles d'alcoolémie ont entraîné 12 retraits immédiats du permis de conduire.
Il faut ajouter également 2 cas de conduite après usage de stupéfiants.

Les mêmes contrôles seront mis en place les week-end prochains.
Les forces de l’ordre de l'Hérault vont effectuer entre 120 et 140 contrôles par jour du vendredi au dimanche soir.
- vitesse : radars mobiles nouvelle génération, et contrôles vitesse traditionnels
- alcoolémie en sortie de discothèques et fêtes vôtives
- contrôles police route traditionnels avec les véhicules de gendarmerie et banalisés


http://languedoc-roussillon.france3.fr/2014/04/23/week-end-meurtrier-sur-les-routes-du-languedoc-roussillon-464125.html

Accident mortel de tram à Bordeaux : le père de la victime dépose une nouvelle plainte

Il ne fait pas ça pour l'argent ni en désespoir de cause. C'est un cri d'alarme. Il veut juste éviter à d'autres parents de perdre un enfant dans de telles circonstances. Mardi matin, Lucien Facchino a déposé une plainte avec constitution de partie civile pour homicide involontaire auprès du doyen des juges d'instruction de Bordeaux. Contre X.
Il veut que la justice recherche si quelqu'un, personne physique ou morale, a, « par une violation manifestement délibérée d'une obligation de sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le règlement, ou par la commission d'une faute caractérisée et qui exposait autrui à un risque d'une particulière gravité qu'il ne pouvait ignorer, involontairement causé la mort » de sa fille Juliana.
Le 4 novembre dernier, en plein milieu d'après-midi, la jeune fille avait été heurtée par un tramway de la ligne B puis happée et coincée sous la rame de tête, à hauteur du 60, cours Pasteur à Bordeaux. Elle n'avait à l'évidence ni vu ni entendu le tram à l'approche. L'étudiante de 24 ans n'avait pas survécu à ses blessures.
« Des témoignages racontent le calvaire vécu par la victime avant qu'elle ne rende son dernier souffle », souligne son avocat Me Christophe Cariou-Martin. C'était le dixième accident mortel depuis la mise en service du tramway bordelais en décembre 2003.
Classée sans suite
Une première plainte adressée au procureur de la République a été classée sans suite en février. Motif : « Infraction insuffisamment caractérisée ». La décision a choqué Lucien Facchino. « Il ne supporte pas qu'on mette cet accident sur le compte de la fatalité », fait valoir son avocat.
Pire, le père éploré n'a pas apprécié que Kéolis réponde à cet accident par une campagne sur… la vigilance des piétons.
D'après les statistiques de l'exploitant de TBC, les erreurs de comportement, comme le franchissement d'un feu rouge, la marche sur la plateforme, les traversées intempestives, l'attention détournée par un casque ou un téléphone, seraient en effet à l'origine de la grande majorité des accidents survenus ces dernières années. « C'est comme si on lui disait que c'est sa fille qui avait commis une imprudence ! », traduit le conseil. Me Cariou-Martin déplore les carences de l'enquête et souhaite en fait obtenir des investigations plus poussées qui, peut-être, établiraient l'existence de fautes caractérisées de nature à engager une responsabilité.
« Sécuriser davantage »
L'avocat pointe du doigt l'absence de barrière ou de garde-corps permettant à cet endroit de guider les piétons vers une zone sécurisée, la vitesse du tramway sur cette aire piétonne, l'aspiration de la victime sous le tramway en l'absence de jupe de protection ou du fait de l'inefficacité du système de chasse-corps devant empêcher tout corps étranger de glisser sous la rame et les essieux. « Autant d'éléments qui, au vu de précédents accidents survenus et des mesures correctives existant dans d'autres communes, ne pouvaient être ignorés », accuse l'avocat.
Lucien Facchino a volontairement attendu la fin de la campagne pour les municipales et l'issue des élections pour déposer cette plainte avec constitution de partie civile. Il ne voulait pas de récupération politique de son malheur. « Il veut juste qu'on recherche vraiment les responsabilités dans ce drame. Pour que soient mis en œuvre des moyens nouveaux pour sécuriser davantage ce transport en commun », plaide déjà Me Christophe Cariou-Martin.
Le père n'exclut pas d'agir en responsabilité au civil devant le tribunal de grande instance et le tribunal administratif de Bordeaux pour les carences en matière de sécurité.

http://www.sudouest.fr/2014/04/23/une-plainte-deposee-apres-l-accident-1533043-2780.php

Un motard se tue ce matin à La Croix-Valmer

Un jeune motard de 25 ans, domicilié à La Croix-Valmer,  a trouvé la mort ce mardi matin sur la commune.
L'accident s'est produit vers 7h30, alors que le jeune homme arrivait au  rond-point du centre-ville, venant de Cavalaire.
Selon les premiers éléments, le motard a brutalement perdu le contrôle de son deux-roues et a percuté de plein fouet un panneau de signalisation.
En dépit des premiers soins portés très rapidement par des témoins, le jeune-homme est décédé.
Les gendarmes ont ouvert une enquête.

http://www.varmatin.com/la-croix-valmer/un-motard-se-tue-au-petit-matin-a-la-croix-valmer.1659365.html

mardi 22 avril 2014

Il se suicide après avoir tué sa fillette de 2 ans

Plus de quarante-huit heures après la découverte du drame, des zones d'ombre persistent. En fin de semaine dernière, les gendarmes de l'Arbresle ont découvert le corps d'un homme, pendu à proximité de sa voiture. Et, dans le coffre du véhicule, ils ont trouvé le corps sans vie de sa fillette de 2 ans. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'homme âgé d'une cinquantaine d'années, qui vivait à Bourg- Saint-Maurice (Savoie), ne supportant pas la séparation avec sa compagne, aurait emmené son enfant avec lui dans un bungalow, situé dans un camping près du lac D'Annecy (Haute-Savoie). C'est là qu'il aurait probablement étranglé sa fille, avant de prendre la route et de s'arrêter à l'Arbresle. Des traces de sang auraient été découvertes dans le bungalow. Mais, jusque-là, le parquet d'Annecy, saisi de l'affaire, s'est refusé à toute précision supplémentaire.

http://www.20minutes.fr/lyon/

SOMME. Une fillette meurt écrasée par un téléviseur

Une fillette est décédée dans la nuit de dimanche à lundi après avoir été écrasée par un poste de télévision au domicile de sa famille, à Long, près d’Abbeville (Somme), a-t-on appris mardi de sources concordantes.
Selon une source proche de l’enquête, l’enfant, dont l’âge n’a pas été précisé, a été grièvement blessée dans un «accident domestique» survenu dimanche soir, avant de décéder au centre hospitalier d’Amiens-Nord.
«C’est une télévision» qui a causé la mort de l’enfant en l’écrasant, a indiqué sans plus de précisions le parquet d’Amiens, qui a demandé l’autopsie du corps de la victime
 

lundi 21 avril 2014

La Chapelle d'Armentières : un mort et deux blessés graves dans une collision entre une moto et une voiture

Une violente collision s'est produite la nuit dernière à La Chapelle d'Armentières entre une moto et une voiture, rapporte ce dimanche La Voix du Nord. L'un des deux passagers du deux-roues est décédé. 
L'accident s'est produit dans une légère chicane, rue Victor-Vigneron, à La Chapelle d'Armentières (Nord). Il était environ minuit quand une Citroën AX et une moto Honda de grosse cylindrée sont entrées en collision dans des circonstances qui restent encore à éclaircir. Il y avait deux personnes sur le deux-roues, dont l'une est décédée. Les pompiers, alertés à 0h06, ont tenté en vain de le ranimer. Selon La Voix du Nord, son corps a été projeté à plus de 30 mètres. 
L'autre passager de la moto et conducteur de la voiture, qui a du être désincarcéré, ont été hospitalisés dans "un état grave", selon les pompiers d'Armentières. Une enquête de police est en cours.


http://nord-pas-de-calais.france3.fr/2014/04/20/la-chapelle-d-armentieres-un-mort-et-deux-blesses-graves-dans-une-collision-entre-une-moto-et-une-voiture-463037.html
La Chapelle d’Armentières : un mort et deux... par lavoixdunord

dimanche 20 avril 2014

Du nouveau sur le père qui s'est suicidé, pendu près de Lyon, après avoir tué sa fille à Annecy

Nous vous rapportions cette information hier, samedi. Jeudi soir, un homme d'une cinquantaine d'années, domicilié à Bourg-Saint-Maurice (Savoie), a été retrouvé pendu à L'Arbresles, en région lyonnaise. Tout près, dans sa voiture, le corps de sa fille de 2 ans gisait. Il l'aurait tué dans un camping au bord du lac d'Annecy et le drame semblait être lié à sa séparation d'avec sa femme.

Ce dimanche, France 3 Alpes a pu obtenir de nouvelles informations et en corriger une : l'enfant n'aurait pas été étranglé mais plutôt tuée avec un couteau. Le meurtre s'est déroulé dans un bungalow d'un camping d'Annecy, dans la nuit du mercredi 16 au jeudi 17 avril.

La veille, la mère de l'enfant avait lancé une procédure de disparition inquiétante. Elle avait prévenu la brigade de Bourg-Saint-Maurice, la commune où elle vivait encore avec son époux. Elle n'avait plus de nouvelles de sa fille.

Un chef d'entreprise


On en sait également un tout petit peu plus sur le père. C'était un chef d'entreprise de 52 ans. Il était artisan dans les travaux en cordée, en Savoie. Et même s'il vivait encore avec elle, il était en cours de séparation d'avec sa femme, avec qui il aurait eu plusieurs disputes.

L'homme avait de la famille dans le Rhône, département où il a conduit le corps de sa fille (retrouvé sur la banquette arrière de sa voiture) et s'est suicidé. Il s'est pendu à un arbre, près de la caserne des pompiers de L'Arbresles, dissimulé sur le parking en contre-bas.

L'enquête de la brigade des recherches d’Annecy devrait s'accélérer mardi, après Pâques et avec le résultat des autopsies.


http://alpes.france3.fr/2014/04/20/du-nouveau-sur-le-pere-qui-s-est-suicide-pendu-pres-de-lyon-apres-avoir-tue-sa-fille-annecy-463213.html

Sainte-Bazeille. Malaise cardiaque fatal au volant

Un retraité de 80 ans est décédé à la suite d'un malaise cardiaque hier, vers 10 heures, aux abords d'une stations-service de Sainte-Bazeille. Un malaise cardiaque fatal puisque les secours n'ont pas été en mesure de le ranimer. Il a perdu le contrôle de sa voiture qui a fait des embardées avant de finir sa course dans la cabine d'un fourgon

http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=24108&WS=291720_2501986&WA=4634

samedi 19 avril 2014

Meuse : découverte du corps d'un quadragénaire qui avait disparu

Un appel à témoins avait été lancé par les gendarmes de la communauté de brigades de Saint-Mihiel à la suite de la disparition depuis le 10 avril de Jean-Marie Beauer, 42 ans. Son corps a été découvert par des kayakistes hier vers 19 h à Saint-Mihiel, à hauteur du pont Patton. Un examen du corps est prévu dans la journée. La piste du suicide pourrait être privilégiée.

http://www.estrepublicain.fr/meuse/2014/04/19/qui-a-vu-jean-marie-beauer

Marmande. Un motard décède à l'hôpital

Hier vendredi, vers 12h10, boulevard Meyniel à Marmande, un accident de la circulation s'est produit à hauteur de la gendarmerie. Une moto, a, pour une raison encore indéterminée, percuté violemment un lampadaire qui se trouvait situé sur le terre-plein. Le choc a été effroyable, et le pilote de la moto âgé d'environ 25 ans et demeurant à Gaujac, a été grièvement blessé. Les secours, pompiers de Marmande et médecins du SMUR sur les lieux, ont procédé à un massage cardiaque de près d'une heure sur le pilote, qui a été transporté à l'hopital dans un état désespéré. Sur sa lancée, la moto a continué sa route pour s'immobiliser près de cent mètres plus loin. Les gendarmes ont régulé la circulation le temps que les secours opèrent. Le pilote de la moto, Jonathan Duban, 26 ans, est finalement décédé vers 15 heures à l'hopital de Marmande des suites de ses blessures.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/04/19/1866534-marmande-un-motard-decede-a-l-hopital.html

vendredi 18 avril 2014

Lyon. Un motard décède le lendemain de son accident, contrôles renforcés ce week-end

Tôt vendredi matin, le motocycliste de 35 ans, victime d’une collision jeudi à 14 heures 30 à l’angle de l’avenue Tony-Garnier et de l’avenue Jean-Jaurès à Lyon (7e) a succombé à ses blessures.
Il n’avait pu éviter une voiture qui lui a coupé la route et, après le choc, sa moto est retombée sur lui.

Ce week-end , la Sécurité publique va multiplier les contrôles dans l’agglomération lyonnaise. Quarante points de contrôles sont prévus, ciblant spécifiquement les axes accidentogènes comme, à Lyon, l’avenue Jean-Jaurès, l’axe Nord-Sud, la route de Genas et la rue Duguesclin


http://www.leprogres.fr/rhone/2014/04/18/lyon-un-motard-decede-le-lendemain-de-son-accident-controles-renforces-ce-week-end

Nancy : alerte enlèvement pour un bébé de 4 mois

Un bébé de 4 mois et demi a été enlevé aujourd'hui au Centre maternel de Nancy. Une alerte enlèvement a été diffusée: "Miah, bébé de sexe féminin, âgée de 4 mois et demi, de santé fragile a été enlevée vers 23 heures le 17 avril 2014 au centre maternel de Nancy", selon le site gouvernemental dédié à l'alerte-enlèvement. L'enfant porte un pyjama.

"La suspecte est la mère de l'enfant, âgée de 36 ans et déficiente mentale. Elle mesure 1 m 75, porte des lunettes gros foyer, a des cheveux châtain foncé ondulés et légèrement grisonnants. Elle porte une veste polaire beige avec un imprimé géométrique dans les tons rose et bleu ainsi qu'un pantalon et des baskets noires. Elle est montée avec l'enfant dans un véhicule qui l'attendait à la sortie du centre maternel".

"Si vous localisez l'enfant ou le suspect, n'intervenez pas vous-même, appelez immédiatement le 0805.200.200 ou envoyez un courriel à
alerte.enlevement@interieur.gouv.fr


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/04/18/97001-20140418FILWWW00210-nancy-alerte-enlevement-pour-un-bebe-de-4mois.php

Ain. D1084 à Pont-d’Ain : une motarde de 40 ans se tue dans une collision

La route qui relie Pont-d’Ain et Poncin, peu après le magasin Super U, a été le théâtre d’un dramatique accident, jeudi en milieu d’après-midi.
Selon les premières constatations, peu avant 17 heures, le conducteur d’une Range Rover, un septuagénaire, a voulu emprunter la D12 qui conduit à Saint-Jean-le-Vieux où il réside. C’est alors que son véhicule et une moto que pilotait une habitante de Poncin, se sont percutés.
La motarde, âgée de 40 ans et employée du magasin Super U, est morte dans l’accident malgré l’intervention rapide des pompiers pondinois.
L’enquête des gendarmes de la communauté de brigades de Pont-d’Ain-Poncin devra établir les responsabilités dans ce nouveau drame de la route qui s’est déroulé à une heure où la circulation était pourtant très faible.

http://www.leprogres.fr/ain/2014/04/17/une-motarde-de-40-ans-se-tue-dans-une-collision-sur-la-d1084

jeudi 17 avril 2014

Un ouvrier meurt dans une raffinerie Total

Un ouvrier a été tué aujourd'hui sur le site de la raffinerie Total de Donges (Loire-Atlantique) par un câble de nettoyage sous haute pression.

L'intervenant, employé par ADF, un sous-traitant de Total, travaillait sur une aire de lavage lorsqu'il a reçu au visage le câble sous haute pression, a déclaré à l'AFP une porte-parole de la raffinerie. Il a été mortellement blessé. La gendarmerie s'est rendue sur les lieux ainsi que le Service mobile d'urgence et de réanimation (Smur).


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/04/17/97001-20140417FILWWW00256-un-ouvrier-meurt-dans-une-raffinerie-total.php

Deux trains retardés en raison d'un suicide

Ce mercredi 16 avril, deux trains assurant la liaison entre Paris et Granville sont arrivés à destination avec du retard en raison d'un suicide, près de Vire.
Selon nos confrères de Tendance Ouest, un suicide serait à l'origine de cet arrêt à proximité de la gare de Vire, dans le Calvados. Un homme de 60 ans s'est donné la mort sous le pont de Martilly à proximité de Vire. Son corps a été découvert par des riverains. L'incident est survenu à 12 h 20. Le trafic a repris à 13 h 50.
Un premier train, parti de Paris à 10 h 55 et dont l'arrivée était prévue à 13 h 50 à Granville, a été retenu pendant 60 minutes à hauteur d'Argentan (61). Il est arrivée à Granville à 14 h 50. 50 personnes se trouvaient à bord.
Un second train, parti lui de Granville à 12 h et attendu à Paris, a quant à lui accusé un retard de 80 minutes après avoir été retenu à proximité de la gare de Vire. Il transportait 180 personnes.

http://www.lamanchelibre.fr/granville/actualites.html

Un médecin saint-quentinois dans un état critique après un accident de moto

Un médecin de Saint-Quentin et son épouse ont eu un grave accident de moto jeudi dernier alors qu’ils se trouvaient en vacances en Guadeloupe.
Joël Devendeville et son épouse venaient de louer une moto pour une balade. Le praticien, qui pilotait, a perdu le contrôle de l’engin dans un virage. La moto est venue violemment percuter un 4X4 qui arrivait en face. Le docteur âgé d’une soixantaine d’années a été très grièvement blessé et héliporté vers l’hôpital de Pointe-à-Pitre.
Selon nos informations, il aurait fait un arrêt cardiaque. Sauvé par ses confrères guadeloupéens, il est depuis placé sous coma artificiel. Son épouse a également été blessée mais ses jours ne seraient pas en danger.

http://www.aisnenouvelle.fr/region/un-medecin-saint-quentinois-dans-un-etat-critique-apres-ia44b0n53356

Accident de Monieux : « Il y a eu un crash terrible »

C’était il y a une semaine. Le jeudi 10 avril, au col des Abeilles à Monieux, une moto sort de sa trajectoire. Elle finit par en percuter une autre qui arrive en face.
Le bilan est lourd. Sur le premier engin, Maria-Belen Cremona, 35 ans, domiciliée à Mazan, est tuée. Jérôme, son mari, 35 ans, est grièvement blessé. Sur l’autre grosse cylindrée, Marinette Menoud, 56 ans, originaire de Châteauneuf-les-Martigues, ne survit pas. Son ami Jean-Pierre, âgé de 57 ans, est légèrement blessé. La plaie la plus profonde est psychologique.
Actuellement, une enquête est en cours à la gendarmerie afin d’établir les circonstances de cette tragédie. La vitesse excessive est une fois de plus pointée du doigt.

« J’ai vu surgir de la route en face de nous une moto en perdition »

Ce jour-là, Yvon Germanangue était lui aussi sur une moto. Il roulait à cent mètres derrière celle où se trouvait son amie Marinette Menoud. « J’ai vu surgir de la route en face de nous une moto en perdition qui arrivait vite. J’ai tout de suite vu que ça n’allait pas », confie le motard. À ce moment-là, lui, roule en direction de Villes-sur-Auzon. « Je pensais vraiment que mon ami allait l’éviter. Mais la moto qui est arrivée en face s’est couchée et elle a attrapé la roue avant de celle de Jean-Pierre et de Marinette. Il y a eu un crash terrible. Elle a été éjectée au-dessus de la barrière de sécurité. J’ai juste eu le temps d’éviter les débris. Jean-Pierre a eu moins de deux secondes pour réagir. Il n’a rien pu faire. »
Revivre ce court laps de temps rappelle à Yvon Germanangue qu’il a eu beaucoup de chance. « C’était impressionnant. Et traumatisant. Hier (mardi, Ndlr), nous étions aux obsèques de notre amie. Maintenant, il va falloir faire avec. »

http://www.ledauphine.com/vaucluse/2014/04/16/une-semaine-apres-la-tragedie-un-temoin-se-confie-il-y-a-eu-un-crash-terrible

mercredi 16 avril 2014

Faits divers à Vire. Un suicide engendre des retards de trains

Un homme s'est donné la mort ce mercredi midi d'un pont au-dessus de la voie ferrée à Vire.

Les trains de la ligne Paris-Granville vont accuser du retard ce mercredi. Ils ont été à l'arrêt durant 1 h 30 en raison du suicide d'un homme à hauteur de la rue de la Cavée, vers 12 h 30. La victime s'est pendue d'un pont et son corps est tombé sur la voie. Après l'intervention des secours et des forces de l'ordre, le trafic des trains a repris vers 14 h.

http://www.ouest-france.fr/faits-divers-vire-un-suicide-engendre-des-retards-de-trains-2188625

Ghyvelde : un piéton mortellement renversé par une voiture

Lundi 14 avril, vers 22h00, un piéton a été fauché par une voiture route de Furnes, entre Dunkerque et La Panne en Belgique, sur la commune de Ghyvelde. 
La gendarmerie aurait été prévenue selon La Voix du Nord d'un possible accident par un tiers puisqu'un piéton zigzaguait sur la route. Le temps que les militaires se mettent en route et l'homme était percuté par une voiture dont le conducteur, de nuit, ne l'avait pas vu.

La voiture et le piéton se dirigeaient vers la Belgique, le corps du piéton a été retrouvé sans vie, dans le fossé. Ironie du sort, le conducteur ayant écrasé le piéton est
le même conducteur qui avait écrasé un homme allongé sur la route le 13 novembre 2010. Une information confirmée par la gendarmerie.

Il s'agit d'un chauffeur de taxi, qui a été placé en garde à vue par les gendarmes de Ghyvelde. Il n'avait pas consommé d'alcool ni de produits stupéfiants. Le parquet décidera des suites à donner à cette affaire.  


http://nord-pas-de-calais.france3.fr/2014/04/15/ghyvelde-un-pieton-mortellement-renverse-par-une-voiture-460113.html

Meurtre dans le quartier gare : les habitants sous le choc


Meurtre rue de Wasselone : un quartier sous le... par StrasTv

Une figure gimontoise se tue au volant de son camion en Dordogne

Thérèse Marestaing, une figure de Gimont, bien connue pour son magasin de découpe de bois et son rôle de conseillère municipale depuis de longues années, a trouvé la mort sur une route de Dordogne, lundi vers midi. Elle circulait à bord d'un camion à Lavaur, entre Villefranche-du-Périgord et Fumel, dans le Lot-et-Garonne. Selon les premiers éléments, Thérèse Marestaing a perdu le contrôle de son véhicule, qui s'est couché sur la voie annexe. Son chargement de piquets de bois était-il mal arrimé ? A-t-elle mordu sur un accotement en ciment, réputé pour déporter les véhicules sur la voie d'à côté ? A-t-elle été victime d'un malaise ? La gendarmerie locale a ouvert une enquête.
Thérèse Marestaing travaillait dans la scierie familiale, route de Toulouse à Gimont, où elle savait gérer les commandes aussi bien que débiter des planches ou conduire des poids lourds. Aujourd'hui, le sort de cette PME de 5 personnes est en suspens. Cette travailleuse acharnée venait d'être élue au conseil municipal avec Pierre Duffaut pour la troisième fois depuis 2001. Très affecté, à l'image de l'ensemble du conseil, par la disparition de ce «pilier de la bastide», qu'il connaissait depuis toujours, le maire salue une personne «qui s'était impliquée et appliquée» dans ses fonctions, «disponible, compétente et simple».
Ses obsèques auront lieu ce vendredi à 10 h 30 à Gimont.

http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=23791&WS=291720_2501986&WA=4574

mardi 15 avril 2014

Suicide : un homme de 47 ans se jette devant le Saint-Germain - Paris

Un homme de 47 ans, domicilié à Chatou, s’est jeté sur les voies à l’arrivée du train circulant dans le sens Saint-Germain-en-Laye – Paris, lundi 14 avril, vers 18 h 30, en gare du Vésinet. La circulation a été rétablie à 21 heures. La vidéo surveillance confirme le suicide. Le corps a été pris en charge par les pompes funèbres et transporté à la morgue de l’hôpital de Garches (Hauts-de-Seine).
http://www.lechorepublicain.fr/eure-et-loir/actualite/pays/yvelines.html

Vive émotion après la mort tragique du vétérinaire d'Antibes

Le Dr Rémi Bonopéra était un des vétérinaires les plus connus d'Antibes, notamment pour avoir un temps travaillé étroitement avec le vétérinaire de Marineland. Lundi, dans le quartier de l'avenue Pasteur à Antibes où il exerçait, l'émotion était palpable.
Ses voisins commerçants, comme sa secrétaire ont appris la nouvelle de sa mort tragique sur le mont Malinvern en Italie, en lisant le journal.
« C'était quelqu'un de très serviable, et un homme très proche des gens et de ceux qui aimaient les bêtes. J'avais moi-même un chien qu'il soignait », souligne un agent immobilier.

Jon Kershaw, directeur animalier au parc Marineland était le voisin biotois de Rémi Bonopéra. « C'était quelqu'un de très apprécié aussi à Biot où il vivait. C'était un fou de montagne et un ami. Il nous en parlait tout le temps. Il nous arrivait de travailler avec lui au Marineland en collaboration avec notre propre vétérinaire. Sa femme dentiste et ses trois enfants étaient nos plus proches voisins. Nous sommes très tristes aujourd'hui ».
Hier, la famille du défunt s'est rendue en Italie. Elle n'a pas souhaité s'exprimer sur le drame. Aucune information n'a filtré sur la date des obsèques, ni sur les suites de l'enquête à Valdieri. Selon un témoin randonneur, le vétérinaire du Club alpin français de Cannes, aurait perdu l'équilibre pour une raison encore inconnu et glissé sans parvenir à saisir son piolet pour éviter sa chute mortelle dimanche matin sur le versant italien du Malinvern.
Un portrait sur Google+
Sur Google+, Rémi Bonopéra se présentait ainsi : « Docteur des poules, enfant de la mer, rien ne me prédisposait à la montagne, si ce n'est mon nom d'origine savoyard et pourtant je suis né de l'autre côté de la Méditerranée, à Alger en 1961 ».Puis, il poursuivait en précisant ses plus belles réussites :« trois enfants et une femme qui accepte ma passion… »
La passion de cet Antibois, c'était bien évidemment son métier et la défense des animaux. « C'était aussi un idéaliste qui nous a beaucoup soutenus. Aujourd'hui, je pleure un ami. C'est un sacré choc », souligne Thésy Paule Marchisio, correspondante de la Ligue française des droits de l'animal.
Jean Marc Roullet, président de l'ordre des vétérinaires dans les Alpes-Maritimes s'est déclaré « très touché »par cette tragique disparition :« Nous avions fait notre année de préparation véto ensemble à Nice. Depuis, nous étions restés des amis. C'était un excellent vétérinaire respectueux de notre éthique et très investi dans son travail », dit-il. « Il exerçait seul dans son cabinet. Nous veillons actuellement à ce qu'un confrère maintienne la clientèle et préserve les intérêts de la famille » (hier, le cabinet du Dr Rémi Bonopéra était ouvert, ndlr).

http://www.nicematin.com/antibes/vive-emotion-apres-la-mort-tragique-du-veterinaire-dantibes.1698804.html

Fondamente. Il meurt écrasé par son tracteur

Un exploitant agricole est décédé ce dimanche à 18h45 écrasé par son tracteur. Le drame s'est déroulé au lieu-dit Saint-Julien. L'agriculteur de 53 ans était en train d'épandre de l'engrais dans un champ en pente lorsque, lors d'une manœuvre, il a perdu le contrôle de l'engin agricole. Ce dernier a fait plusieurs tonneaux et a écrasé l'exploitant agricole. L'enquête a été confiée aux gendarmes de la brigade de Saint-Affrique.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/04/15/1863946-fondamente-il-meurt-ecrase-par-son-tracteur.html

lundi 14 avril 2014

Haute-Garonne : une jeune femme de 24 ans tuée sur la route

Un dramatique accident s'est produit tôt ce lundi sur la D12 à Miremont en Haute-Garonne. Deux véhicules se sont percutés dans un accident très violent. 
Une jeune femme de 24 ans a été tuée dans un accident de la route ce lundi matin vers 6h30 sur la commune de Miremont près de Muret en Haute-Garonne. Une deuxième personne a du être désincarcérée et a été transportée, grièvement blessée, par hélicoptère au CHU de Toulouse.

Le choc entre les deux véhicules a semble-t-il eu lieu à une intersection. 


http://midi-pyrenees.france3.fr/2014/04/14/haute-garonne-une-jeune-femme-de-24-ans-tuee-sur-la-route-458843.html

Trois jeunes haut-Saônois se tuent sur la route en Haute-Marne

Leur voiture a été découverte ce matin dans un ravin. Les jeunes étaient partis samedi soir rejoindre une discothèque à Bourbonne-les-Bains. 
Les familles avaient signalé ce matin la disparition des trois jeunes à la gendarmerie de Combeaufontaine en Haute-Saône.

Les gendarmes de Bourbonne-les-Bains ont effectué des recherches sur le trajet que les jeunes avaient pu emprunter dans la nuit de samedi à dimanche.

La voiture de type "Mercedes classe C" a été découverte vers 11 heures ce matin dans un ravin à Fresnes-sur-Apance. Elle n'était pas visible depuis la chaussée.

Les victimes sont des jeunes de Port-sur-Saône et Combeaufontaine. Les jeunes avaient 19,20 et 21 ans.

L'enquête déterminera si l'accident a eu lieu avant l'arrivée à la discothèque. Ou sur le trajet retour.



http://franche-comte.france3.fr/2014/04/14/trois-jeunes-haut-saonois-se-tuent-sur-la-route-en-haute-marne-459167.html

Seraucourt-le-Grand : une sexagénaire décède lors de sa promenade à vélo

Alors qu’il effectuait sa balade habituelle, un cycliste âgé de 65ans a été retrouvé mort ce dimanche vers 14heures. C’est un automobiliste qui a averti les secours, le voyant allongé en contrebas de la chaussée, sur la route de Contescourt. Originaire de Seraucourt-le-Grand, le sexagénaire était un habitué du vélo. Vraisemblablement pris d’un problème physique, il est décédé d’une mort naturelle selon les pompiers et la police, qui n’ont en effet trouvé aucune trace d’un éventuel accident.

http://www.aisnenouvelle.fr/region/seraucourt-le-grand-une-sexagenaire-decede-lors-de-sa-ia44b0n52267

Une fillette dans un état grave après avoir été renversée à Bollène

Un dramatique accident de la circulation vient de se produire à Bollène, vers 19h15. Dans des circonstances qui restent à déterminer, une fillette âgée d'une dizaine d'années a été renversée sur l'avenue Giono par une automobiliste, aux abords de la cité du Vélodrome.
Inconsciente et dans un état grave, la fillette devrait être héliportée vers un hôpital marseillais.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2837606/une-fillette-dans-un-etat-grave-apres-avoir-ete-renversee-a-bollene.html

dimanche 13 avril 2014

Un enfant gravement brûlé dans un incendie

Un enfant de 9 ans a été gravement brûlé hier soir dans un incendie à Verteuil-sur-Charente.

Il était 22 heures hier soir lorsqu'un incendie s'est déclaré dans un édifice agricole à Verteuil-sur-Charente. Un enfant de 9 ans a été griévement brûlé, il a été transporté au centre hospitalier de Poitiers.

http://poitou-charentes.france3.fr/2014/04/13/un-enfant-gravement-brule-dans-un-incendie-458533.html

Une femme tuée par un train

Ce matin, vers 10h, une femme a été happée par un train de marchandises à Courthézon. La malheureuse victime a été tuée dans l'accident, survenu à proximité de l'avenue de l'Europe. Pour l'heure, les gendarmes n'ont pas réussi à l'identifier. On ne sait non plus s'il s'agit d'un accident ou d'un suicide.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2837440/une-femme-tuee-par-un-train.html

Accident de voiture mortel hier soir dans les Alpes

Hier soir, il était près de 22h quand les services de gendarmerie sont intervenus entre le lieu dit le Caboulot et l'aérodrome de Vaumeilh. Un Polonais de 34 ans est décédé après avoir perdu le contrôle de son véhicule qui a effectué plusieurs tonneaux.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2837416/accident-de-voiture-mortel-hier-soir-dans-les-alpes.html

Auch. Mort seul à 48 ans, chez lui, avec ses chiens

Drame de la solitude à Auch. Le corps sans vie d'un homme de 48 ans a été découvert vendredi soir, vers 23 heures, dans un immeuble de l'avenue de l'Yser. Laurent vivait seul, dans un appartement du rez-de-chaussée, avec pour compagnons quatre chiens. Une voisine, qui habite au second étage, se souvient avoir entendu les chiens aboyer une nuit, en début de semaine. «Je connaissais Laurent, qui militait avec moi dans l'association AC ! 32 (N.D.L.R. : Agir ensemble contre le chômage est une association qui lutte contre la précarisation sociale), et je lui ai téléphoné quand j'ai entendu les chiens, mais je suis tombé sur le répondeur. Je m'en veux, je me dis qu'il a peut-être appelé au secours, qu'on aurait pu faire quelque chose.» C'est un jeune homme qui loue au 3e étage qui a appelé la police car il trouvait qu'il y avait une mauvaise odeur dans la cage d'escalier. L'appartement étant fermé de l'intérieur, pompiers et policiers ont dû forcer une fenêtre, côté cour. Ils découvriront le corps du quadragénaire, décédé de mort naturelle comme l'a confirmé le médecin requis sur les lieux. Le parquet n'a pas demandé d'autopsie. Le décès pourrait remonter à une semaine, voire un peu plus si l'on en juge par le courrier amassé dans la boîte à lettres. Les quatre chiens, vivants, ont été confiés à un chenil. Laurent avait perdu son travail suite à un pépin de santé. Il était père d'une fille qui venait régulièrement le voir. Sa fierté était de l'amener au cinéma, le complexe de Ciné 32 était tout proche de son domicile.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/04/13/1862604-auch-mort-seul-48-ans-chez-chiens.html

samedi 12 avril 2014

Faits divers à Vire. Appel à témoin après l'accident mortel

Les gendarmes de Vire lancent un appel à témoin pour tenter d'éclaircir les circonstances du drame qui a coûté la vie à une piétonne de 87 ans, vendredi en fin de matinée.

Vendredi vers 11 h 30, une personne âgée a été heurtée par un camion alors qu'elle traversait la rue du Général-Leclerc. La gendarmerie de Vire recherche des témoins afin d'établir les circonstances exactes de l'accident. La dame âgée de 87 ans n'a pas survécu au choc.
Contact : Gendarmerie de Vire, 1 rue des Tribunaux. Tél. 02 31 59 19 40

http://www.ouest-france.fr/normandie/calvados/vire-14500#from-breadcrumb

Le maire décède dans un accident tragique

Les habitants et les élus sont sous le choc après l'accident tragique du maire, hier matin, dans son exploitation agricole.

« On est abasourdis. » Hier, la nouvelle du décès du maire Jean-Yves Mainguy s'est rapidement répandue dans la petite commune. « On est sous le choc », poursuit cette habitante.
Hier, vers 9 h, dans son exploitation agricole, le maire épand du lisier sur ses parcelles avec l'aide d'un chauffeur d'une Cuma (Coopérative d'utilisation de matériel agricole), venu d'une commune voisine.
Après quelques rotations, le chauffeur du tracteur entame une marche arrière. Pour une raison indéterminée, l'exploitant s'est retrouvé derrière le tracteur et la tonne à lisier de plusieurs tonnes. Percuté, il a été tué sur le coup. Lors de la manoeuvre, le chauffeur n'a pu que constater le corps sans vie de l'exploitant.
Alertés, les pompiers de Plémet, le Samu de Pontivy et la gendarmerie de Merdrignac sont intervenus sur place pour tenter de la réanimer en vain. Une enquête a été ouverte par la gendarmerie de Merdrignac pour connaître les circonstances exactes de ce tragique accident.
« Une pensée pour sa famille »
Stéphanois d'origine, Jean-Yves Mainguy avait 52 ans. Il était marié, père de deux filles et agriculteur producteur de lait depuis près de trente ans.
Très impliqué dans la vie associative locale, il était présent dans la vie municipale de la commune depuis 1995 et maire depuis 2001.
« Tous les élus sont en deuil. C'était un super-collègue. Discret, dévoué avec beaucoup d'humour. Il savait tempérer les esprits quand cela chauffait un peu. Il était conseiller communautaire à la Cidéral depuis 19 ans et vice-président en charge des sports lors du dernier mandat. Il venait d'être réélu à ce même poste, mardi soir », témoigne Guy Le Helloco.
Pour Gérard Huet, Jean-Yves Mainguy était « un homme d'une très grande compétence. Je suis bouleversé par sa disparition. »
Jean-Noël Lagueux, maire du Cambout, connaissait bien également Jean-Yves Mainguy. « Quelques années nous séparaient. On s'est croisé à l'école tout petit. Nous sommes tous les deux agriculteurs. C'était un maire à l'écoute qui travaillait avec passion pour la collectivité et ses administrés. Cet accident dramatique fait très mal. J'ai une pensée très forte pour sa mère, sa femme et ses deux filles. »
Ses obsèques auront lieu ce samedi, à 14 h 30, à l'église.

http://www.ouest-france.fr/bretagne/cotes-darmor/saint-etienne-du-gue-de-lisle-22210#from-breadcrumb

Un éboueur tué par un chauffard récidiviste


vendredi 11 avril 2014

Un motard alsacien se tue sur la route de la Schlucht

Hier jeudi, en début de soirée, entre la Roche du Diable et Le Collet, sur la route menant au col de la Schlucht, un jeune homme a trouvé la mort après avoir perdu le contrôle de sa moto à la sortie d’un virage, indique notre confrère Vosges Matin sur son site internet. Jérôme Koch allait avoir 26 ans aujourd'hui... et devait enterrer sa grand-mère demain.
Malgré les efforts des secours, le jeune motard originaire d'Ingersheim est décédé.
"C'est absolument dramatique pour la famille, car sa grand-mère va être enterrée demain après-midi", a précisé Mathieu Thomann, le maire d'Ingersheim.

http://www.dna.fr/actualite/2014/04/11/un-motard-alsacien-se-tue-dans-les

Un repris de justice se suicide en fonçant en voiture sur le tram

L’homme, un ancien médecin de Chambray-lès-Tours âgé de 58 ans, a foncé délibérément vers midi sur une rame du tramway à proximité de la place Jean-Jaurès, à deux pas de l’hôtel de ville de Tours et du palais de justice. Un jerrycan d’essence se trouvait dans l’habitacle et le véhicule s’est embrasé, a relaté le magistrat.
La rame redémarrait lorsque le véhicule est venu la percuter à grande vitesse, la faisant dérailler, a indiqué un porte-parole de la société Keolis, l’exploitant des transports en commun de l’agglomération de Tours.
«Ce n’est ni un accident, ni un attentat, mais l’épilogue d’une affaire de droit commun. Le conducteur était sorti de prison le 20 mars après avoir intégralement purgé une peine de sept ans de prison qui lui avait été infligée pour agression sexuelle par concubin, menaces de mort, violences sur mineur par ascendant», a indiqué M. Beck à la presse. La peine de prison avait été assortie d’un suivi socio-judiciaire pendant cinq ans et l’ancien médecin avait rencontré récemment le juge d’application des peines dans ce cadre, «mais rien ne laissait prévoir une telle issue», a ajouté le procureur.
Jeudi soir, il a attendu son ex-épouse, également médecin, âgée de 53 ans, à la sortie de son travail à Chambray-lès-Tours et «l’a embarquée de force dans son véhicule avant de l’emmener en forêt». La femme séquestrée dans la voiture a pu s’échapper vendredi en milieu de matinée et demander du secours. Légèrement blessée et choquée, elle a été prise en charge et hospitalisée.
Entre-temps, le fils de la victime s’était inquiété de l’absence de sa mère et, après avoir découvert son véhicule à proximité de son lieu de travail, avait alerté la gendarmerie tard jeudi soir. Entre 60 et 70 gendarmes ont été mobilisés pendant la nuit pour des recherches dans le secteur de la disparition, a expliqué le commandant de la compagnie de gendarmerie de Loches (Indre-et-Loire) Yvan Santouil.
«Il s’agissait d’une basse vengeance : il a menacé son ex-épouse de la brûler vive place Jean Jaurès» à Tours, a commenté le procureur Jean-Luc Beck en soulignant que l’homme, qui niait les faits pour lesquels il avait été condamné, s’était vu refuser à «au moins deux reprises» une libération conditionnelle et était sorti de la prison de Poitiers-Vivonne en fin de peine.
Après la fuite de son ex-épouse, l’homme a repris le volant, et se rendant dans le centre de Tours, a mis un terme à son équipée en fonçant sur le tramway.
«Nous avons échappé au pire, il n’y a pas eu d’autre victime que le conducteur de la voiture», a commenté le magistrat, qui n’a pas souhaité révéler l’identité de la personne en cause afin de préserver la famille.
Le conducteur de la rame de tramway et quatre passagers, sous le choc, ont été hospitalisés pour des soins psychologiques, ainsi qu’un passant incommodé par les fumées de l’incendie.
Les 14,8 kilomètres de l’unique ligne de tramway de Tours ont été mis en service le 31 août 2013.
 

Le corps sans vie d'une femme découvert sur une plage de Mandelieu

Macabre découverte ce vendredi matin vers 8 heures pour des coureurs qui s'entraînaient sur le bord de mer. Parvenus à la hauteur de la plage Robinson sur la commune de Mandelieu, ils ont aperçu un corps flottant dans l'eau. 
Les sportifs ont immédiatement contacté la gendarmerie qui, une fois sur place, n'a pu que constater le décès d'une femme dont ils estiment l'âge entre 50 et 60 ans.
Celle-ci avait apparemment laissé ses affaires sur la sable avant d'entrer dans l'eau.
Les gendarmes, qui n'ont pas communiqué l'identité de la défunte, ont précisé qu'elle résidait dans le secteur.
Dépêchée sur place, l'identification criminelle de la gendarmerie a procédé aux premières constatations.
Ces dernières devraient permettre de préciser l'origine du décès.

http://www.nicematin.com/cannes/le-corps-sans-vie-dune-femme-decouvert-sur-une-plage-de-mandelieu.1693504.html

Aureilhan. Il menace le maire de s'immoler pour sa caravane

C'est sur fond d'un contentieux d'urbanisme que le conflit a démarré. Jonathan est un pasteur évangéliste de la communauté des gens du voyage. Inconnu de la justice, il se retrouve devant le tribunal pour acte d'intimidation commis à l'encontre du maire d'Aureilhan, Yannick Boubée.
«J'ai des enfants, les aires d'accueil des gens du voyage sont délabrées, souvent inondées», explique Jonathan. Sa cousine ayant un terrain privé sur la commune d'Aureilhan, il décide de s'y installer. Après les démarches pour avoir l'électricité, la mairie lui indique qu'il ne peut pas rester là. «C'est pour mes enfants, je suis prêt à payer l'électricité. Les aires d'accueils sont trop chères, je ne peux pas payer», ajoute-t-il. «Je regrette mes propos et je m'en excuse auprès du maire. D'ailleurs, je compte m'en excuser en personne». Car Jonathan a déraillé. Après plusieurs rendez-vous où les agents municipaux ont essayé de lui expliquer les raisons de leur refus, il s'est emporté. «Le maire a enregistré la conversation, vous n'avez pas nié les faits», précise la présidente. Face au refus de la municipalité de l'autoriser à s'installer sur le terrain familial, Jonathan a employé la menace. «Je viens, je mets ma caravane devant et personne ne rentre. Il y aura trois solutions : soit je distribue des tracts pour expliquer, soit je m'immole, soit je fais une grève de la faim. Vous pouvez envoyer les gendarmes, mais je sortirais les deux pieds devant», avait-il menacé.
«Je l'ai dit, je n'ai pas menacé le maire. Je venais de perdre un enfant à l'époque, j'ai eu un ras-le-bol», s'explique Jonathan.
Aujourd'hui, il n'est plus sur le terrain. «Ça n'ira pas plus loin. Je me suis enlevé», a-t-il ajouté.
Pour le procureur, «ce ne sont pas des paroles admissibles». Il requiert 4 mois de prison avec sursis. Mais pour le tribunal, Jonathan Demeter n'est pas coupable, il est relaxé.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/04/11/1861033-il-menace-de-s-immoler-pour-sa-caravane.html

jeudi 10 avril 2014

La Clusaz : un skieur britannique se tue en heurtant un rocher

Ce jeudi, vers 13h30, un skieur britannique qui évoluait sur le domaine skiable de la Clusaz, a effectué une sortie de piste et a heurté un rocher, après une chute de 5 mètres. Le vacancier évoluait sur la piste bleue de Balme et ne portait pas de casque.
L'homme a été pris en charge par le service des pistes avant l'arrivée de l'hélicoptère de la Sécurité civile d'Annecy. Médicalisé par l'équipage mixte (sapeur-pompier du groupe montagne et gendarme du peloton de haute montagne), il a été héliporté en urgence vers l'hôpital d'Annecy où il est décédé quelques minutes après son arrivée.

http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2014/04/10/la-clusaz-un-skieur-britannique-se-tue-en-heurtant-un-rocher

Accident mortel sur un passage à niveau de la ligne Paris-Limoges

L'accident a eu lieu vers 8h30 ce jeudi matin dans l'Indre. Un train "TER Centre" qui emprunte la ligne Paris - Limoges - Toulouse, et qui transportait une cinquantaine de passagers, a heurté un véhicule au niveau d'un passage à niveau sur la commune de Saint-Aoustrille, près d'Issoudun.

Le conducteur du véhicule, un homme âgé de 50 ans est décédé sur les lieux. Aucun blessé n'est à déplorer chez les passagers du train. Deux personnes choquées ont été prises en charge par un psychologue.
Tous les voyageurs ont ensuite été transportés par bus jusqu'à la gare de Vierzon où un accueil spécifique a été mis en place.

Une enquête est ouverte pour déterminer les circonstances de l'accident


http://limousin.france3.fr/sncf

Savines-le-lac: retrouvé mort après plusieurs jours

Les voisins ont donné l’alerte, mardi matin. Gendarmerie et sapeurs-pompiers de Savines-le-Lac se sont rendus sur place, au HLM Saint-Ferréol, vers 10 h 30. La personne, un homme âgé, n’avait plus donné signe de vie depuis trois semaines. Il a été retrouvé décédé à son domicile. Les techniciens en identification criminelle de la gendarmerie sont venus faire les constatations. La cause de la mort serait naturelle.

http://www.ledauphine.com/faits-divers/2014/04/09/retrouve-mort-apres-plusieurs-jours

mercredi 9 avril 2014

Il tue la fillette et se suicide

La piste du drame familial semble confirmée. Un homme, âgé de 33 ans et une fillette de 6 ans avaient été retrouvés morts, lundi, dans leur domicile de Locquignol, près du Quesnoy. Le père aurait tué l'enfant avant de se donner la mort à l'arme blanche. La mère, interrogée par les enquêteurs, a expliqué que son concubin l'a appelé peu avant le drame. « L'homme avait des tendances suicidaires et des crises de jalousie, selon la mère de la fillette », explique le procureur de Valenciennes à France Bleu.

http://www.20minutes.fr/lille/

Questembert : un homme décède dans l'incendie de son appartement

Vers 4 h ce mardi matin les pompiers sont intervenus pour un incendie dans un appartement à Questembert (56). L'occupant des lieux, un homme de 65 ans, est décédé. 
A l'arrivée des pompiers sur les lieux, vers 4h du matin, les fumées s'échappaient de la toiture du petit immeuble de trois étages place Louis Herrou à Questembert. L'incendie s'était déclaré dans un appartement du 3ème étage.

Trois personnes ont été mises en sécurité dont l'occupant de l'appartement en feu. Malheureusement, cet homme de 65 ans n'a pas survécu.

Les pompiers de Questembert et de Vannes s'étaient rendu sur place.


http://bretagne.france3.fr/2014/04/08/questembert-un-homme-decede-dans-l-incendie-d-un-appartement-455011.html

Incendie meurtrier

Une femme de 29 ans est morte dans l'incendie de sa caravane hier soir dans un camp de gens du voyage près de Grenoble, a-t-on appris aujourd'hui auprès de la police, qui privilégie la piste accidentelle. L'incendie s'est déclaré vers 22h30 dans le camp de gens du voyage de La Tronche, dans l'agglomération de Grenoble, selon la même source confirmant une information du Dauphiné Libéré.

Il aurait été provoqué par un court-circuit dans l'installation électrique sauvage alimentant la caravane ou par une cigarette mal éteinte. La jeune femme avait été vue en état d'ivresse par d'autres habitants du camp quelques heures avant le déclenchement de l'incendie. Son compagnon était absent au moment de l'accident.
Une autopsie devait avoir lieu ce matin.



http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/04/09/97001-20140409FILWWW00113-grenoble-une-femme-meurt-calcinee.php

L’enfer, c’est ici…

Mortel Nouvel an. Anthony, un L’Islois de 26 ans, est mort d’une overdose, mélange de cocaïne et de médicaments, le 1er janvier dernier. Il se trouvait dans un appartement de la rue du Général-Herr, à Pont-de-Roide. Un appartement qui était l’objet d’une surveillance toute particulière de la part des gendarmes, depuis le mois de juillet précédent. Dans le viseur, Sébastien Darmanin, soupçonné d’être un gros dealer.
Tout était parti d’une banale affaire de vol, concernant Jérôme, un « client » habituel de la cité, abonné à la rubrique des faits divers. Un petit voleur qui, en l’occurrence, avait livré le nom de son fournisseur en drogue. Un certain Sébastien M.
À partir de là, des écoutes téléphoniques sont mises en place. En l’espace de deux mois, 4.828 appels sont recensés sur le portable du suspect. Avec comme interlocuteur privilégié Darmanin, alias « le gros » ou encore « Chiboune ». Il apparaît comme le principal fournisseur de toute une population de toxicomanes alentours. L’homme, aujourd’hui âgé de 32 ans, est un vieux cheval sur le retour. Le tribunal de Melun l’avait déjà condamné en 2008 pour son implication dans une affaire de stups.
La planque des gendarmes permet de mettre en lumière un manège incessant. Avec jusqu’à sept clients quotidiens qui venaient chercher leur came et qui ont été immortalisés (photos à l’appui) lors de transactions à l’extérieur de l’immeuble.
L’étau se resserrait autour de Sébastien Darmanin. Jusqu’à ce 1er janvier. À la suite du décès de celui qui se trouvait chez lui, il n’est plus revenu à Pont-de-Roide. « Ce type me faisait cocu avec ma copine. Moi, j’ai décidé de rester auprès de ma fille et de sa mère », dit-il. Cap sur Bray-sur-Seine. Nouvelle vie mais même vieux démons. C’est dans cette commune de Seine-et-Marne que les gendarmes l’ont interpellé le 1er avril. Chez lui, ils ont découvert 3.730 € en liquide, 908 grammes d’héroïne et 200 de cannabis. « Ce qui représentait une valeur marchande de près de 100.000 €», calcule Eléonore Tergoresse, la représentante du ministère public.
La procureur : « Ce sont des produits qui peuvent tuer. » La preuve…
Sébastien Darmanin a un mérite, c’est qu’il est franc. Il reconnaît tout. Oui, il admet avoir acheté près de cinq kilos d’héroïne et trois de résine de cannabis. Il dit avoir revendu les deux tiers de la première substance et consommé le tiers restant. Il dit tourner à « cinq à six grammes d’héro par jour ». Le président fait le calcul. Cela représenterait près de 3.000 € de budget mensuel. Avec le RSA comme seule source de revenus, il a vite compris qu’il lui fallait trouver une martingale pour financer sa drogue. D’où le trafic.
Quand le président lui agite le spectre de la prison, il répond : « C’est normal puisque j’ai fait du trafic. » Me Valérie Chassard s’infiltre dans la brèche. Elle parle de l’enfer vécu par ce garçon, littéralement livré à lui-même, au milieu d’une famille… particulière où la boisson et la violence ont rythmé son enfance.
La représentante du ministère public est dans son rôle. Elle dépeint un trafic d’ampleur avec Darmanin, au sommet de la pyramide, Sébastien M. et Martial B., à l’échelon en dessous et près de 25 clients en dessous. Elle assure que chacun aura à répondre de ses errements le moment venu mais que là, il convenait d’apporter une réponse immédiate. Elle en revient à la nocivité de la drogue. « Ce sont des produits qui peuvent tuer. » Implacable preuve avec l’épisode du 1er janvier. Elle constate la récidive et sollicite l’application de la peine plancher. À savoir cinq ans ferme.
Là encore, Me Chassard doit ramer à contre-courant pour tenter de juguler la cinglante vague qui se prépare. Elle parle de ce garçon malade, qui a perdu près de 30 kilos depuis qu’il a sombré dans la toxicomanie. Elle conteste la valeur exemplaire que pourrait revêtir le jugement. « On parle de coup de filet, moi je parle de coup d’épée dans l’eau. Les efforts de répression sont vains. Combien de consommateurs ont déjà retrouvé un fournisseur. L’héroïne n’apporte aucun plaisir. C’est le corps qui le réclame. Sébastien Darmanin a vécu dans les brumes les plus totales. Oui il doit payer mais votre sanction doit prendre une portée sanitaire, l’assortir d’une partie de mise à l’épreuve pour l’aider à préparer sa sortie. Sinon, il retombera. »
Message reçu par le tribunal. Le Rudipontain est condamné à quatre ans de prison dont trois ferme. La quatrième est assortie d’un sursis comportant notamment l’obligation de se soigner et l’interdiction de reparaître à Pont-de-Roide. L’interdiction de venir frayer dans les eaux locales, avec sa faune, ses suppôts et ses barons. Car comme le dit Me Chassard, « les vrais gros dealers sont au dessus et eux, ils ne se font jamais prendre ».

http://www.estrepublicain.fr/territoire-de-belfort/2014/04/09/l-enfer-c-est-ici