samedi 30 novembre 2013

Roubaix : Des policiers sauvent in extremis un désespéré qui tentait de faire exploser son logement

Il est un peu plus de 15h45, jeudi, quand un habitant de la rue de Lannoy, compose le « 17 » pour faire part à « police-secours » de ses envies suicidaires. Au bout du fil, un policier tente d’établir un semblant de dialogue et alerte immédiatement les patrouilles en présence dans le quartier. Soudain, le désespéré raccroche et reste sourd aux contre-appels du 17. Une patrouille du commissariat de Roubaix se rend alors sur place.

Muni d’un allume-gaz, il tente d’allumer une flaque de white-spirit

« Les fonctionnaires ont réussi à pénétrer par l’arrière de l’habitation, une porte n’était pas fermée, dit-on au commissariat central. Après avoir décliné leurs qualités, un des policiers a eu l’attention attirée par un bruit pouvant ressembler au clic d’un briquet. Il a tout de suite fait le lien avec l’odeur pestilentielle qui régnait dans la maison, un mélange de white-spirit et de gaz ». Et pour cause. Dans le salon, les policiers découvrent, assis dans son canapé, un homme en sanglots. Il venait d’ouvrir le gaz, s’était aspergé de liquide inflammable et, à l’aide d’un allume-gaz, tentait d’incendier une flaque de white-spirit présente à ses pieds. Tout en prenant le maximum de précautions, les fonctionnaires de police ont réussi à maîtriser le Roubaisien puis à couper le gaz. L’homme a été conduit aux urgences du CH Victor-Provo. Son chien, lui, a été confié à une voisine. Il n’y a pas eu de blessés.

http://www.nordeclair.fr/accueil/roubaix-des-policiers-sauvent-in-extremis-un-desespere-ia0b0n319412

Avignon : un cadavre retrouvé dans une tente

Son corps reposait sous une tente sur l’Ile de La Barthelasse à Avignon. Un homme âgé d’environ 25 ans a été découvert aux environs de 13 heures. Policiers et pompiers étaient sur place.
D’après nos informations, une personne est auditionnée en ce moment par les enquêteurs. La piste criminelle n’est pas retenue à ce stade des investigations.

http://www.ledauphine.com/vaucluse/2013/11/30/avignon-un-cadavre-retrouve-dans-une-tente

Bernard Mazzer, figure du SU Agen, a perdu son dernier match

On le savait malade, mais on espérait que la robustesse qui avait fait merveille sur les terrains de rugby lui permettrait de faire un dernier pied de nez à la mort. Il n’en est rien et Bernard Mazzer a quitté, jeudi 28 novembre, sa famille et ses copains. Il avait 50 ans. Formé à l’école de rugby de Colayrac, il avait bénéficié d’une dérogation de deux ans pour pouvoir jouer en cadets avec son frère Patrick, futur agenais lui aussi. A son arrivée au SUA, il remporte le titre de champion de France avec les cadets. Par la suite, équipier modèle, seconde ligne de devoir, il disputa trois finales en 1986, 1988 et 1990, dont une seule gagnée en 1988 et ramena le challenge Yves-du-Manoir en 1992, toujours seconde ligne aux côtés de Patrick Pujade, Dominique Erbani ou Abdel Benazzi.
Il fut également champion de France en 1991 avec ses copains de Nationale B, ces copains qu’il retrouvait le premier jeudi du mois à la pétanque du Pont de la Garde.
Parmi ses amis, Philippe Sella se souvient : «Je l’ai découvert alors que nous étions cadets, lui à Colayrac, moi à Clairac et j’ai tout de suite compris qu’il valait mieux l’avoir avec soi que contre. Il s’est vite révélé un équipier modèle. Discret en dehors du terrain, il créait du lien autour de lui. Sur le terrain, il jouait pour les autres, se battant pour gagner un ballon avec lequel les autres pouvaient s’amuser. Le match qu’il a livré ces dernières années était trop difficile, même pour un garçon courageux comme lui. A La Rochelle ce soir, en son honneur, on jouera avec un brassard noir.»
Daniel Dubroca quant à lui ne veut se souvenir que de son courage : «C’était un grand bonhomme. Ses copains ont essayé de l’entourer jusqu’au bout, on se retrouvait tous les mois pour l’aider à supporter l’insupportable. Ces quatre dernières années, il jouait une finale tous les jours, et puis il a perdu…»
Michel Murat, son compagnon des «Charlots» ne veut pas croire à sa mort : «Comment accepter que ce putain de crabe puisse avoir le dessus sur cette carcasse, ce robuste au cœur si généreux ? L’abnégation était sa vertu, la loyauté son rempart contre la médiocrité, soyons heureux de l’avoir côtoyé.»
Toute l’équipe du journal adresse ses sincères condoléances à son épouse Valérie et ses enfants Salomé et Samuel, à son frère Patrick et à l’ensemble des proches et amis de Bernard Mazzer.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/30/1764618-bernard-mazzer-a-perdu-son-dernier-match.html

vendredi 29 novembre 2013

Fillette noyée à Berck-sur-Mer : une femme interpellée

La mère de la fillette retrouvée morte sur une plage de Berck-sur-Mer le 20 novembre serait entre les mains de la police. Une femme correspondant à son signalement a été arrêtée ce vendredi soir.

C'est peut-être l'épilogue d'une traque qui aura duré neuf jours. Selon nos informations, une femme, soupçonnée d'être la mère de la fillette retrouvée morte sur une plage de Berck-sur-Mer, a été arrêtée ce vendredi soir à Saint-Mandé dans le Val-de-Marne par la police judiciaire de Lille. Des vérifications, et notamment des analyses ADN , sont en cours afin de déterminer avec certitude s'il s'agit bien de la mère de l'enfant, indiqué Nathalie Bagny, procureur adjoint de Boulogne. Depuis la découverte du corps de la fillette,  le 20 novembre, la police recherchait une femme noire d'environ trente ans.
Des images de vidéosurveillance prises à la gare du Nord à Paris montrent la mère et l'enfant en route pour Berck, le mardi 19 novembre, puis la mère, seule, au retour, le mercredi 20, quelques heures après la découverte du cadavre.
Le parquet de Boulogne-sur-Mer a ouvert jeudi une information judiciaire pour "meurtre sur mineur". Un appel à témoins avait été diffusé dans toute la France et notamment dans le métro parisien et le RER sous forme d'affichettes comportant trois photos de la mère. Ces affichettes de format A4 étaient visibles "sur les points de vente, à chaque station de métro et de RER" à la demande de la préfecture de police de Paris.
Une marche blanche est prévue samedi à 14 heures à Berck-sur-Mer en hommage à la fillette, dont le nom est toujours inconnue. Entre 100 et 200 personnes sont attendues selon la mairie, qui citent les organisateurs, un collectif d'anonymes qui s'est formé sur les réseaux sociaux.
 

Encore un mort sur la RN31

La nuit était déjà tombée, jeudi après-midi, lorsque la collision s’est produite sur la Route nationale 31, à hauteur de Jonchery-sur-Vesle. Une voiture a très violemment percuté un poids lourd qui arrivait en sens inverse. Le conducteur de celle-ci, un homme âgé d’une trentaine d’années, est décédé sur le coup. Celui du poids lourd, moralement très choqué par l’accident, en est sorti physiquement indemne.
D’après les premiers éléments recueillis par les gendarmes et les pompiers, la victime de l’accident se serait légèrement déportée sur l’autre voie avant d’aller percuter frontalement le poids lourd. Sous l’impact, celui-ci a enfoncé le rail de sécurité. Sur place, les secours, une fois le décès constaté, ont longuement tenté de désincarcérer le corps de la victime. Par ailleurs, cette collision a entraîné, en cette heure de pointe, une très nette perturbation de la circulation, les gendarmes organisant des déviations afin de fluidifier le trafic.

La RN 31 avait déjà tué le 16 septembre

Ce tragique accident reposera inévitablement la question de la sécurité de cet axe routier sur lequel de très nombreux accidents ont déjà été recensés.
Le 16 septembre, un homme âgé de 56 ans avait perdu la vie au petit matin sur cette même RN31 alors qu’il conduisait son véhicule, à proximité immédiate de… Jonchery-sur-Vesle. Au cours des derniers mois, d’autres collisions se sont produites, faisant de nombreux blessés.
Le 17 septembre, le maire de Muizon Germain Renard, s’exprimait à ce sujet dans ces mêmes colonnes : « Cela fait quarante ans que la question se pose, qu’on milite pour une déviation. » Michel Caquot, conseiller général et militant de longue date pour le réaménagement de cette nationale où circulent 20 000 véhicules au quotidien, expliquait également : « Depuis qu’une autoroute a été réalisée entre Reims et Rouen, la nationale n’est plus prioritaire. »
Malgré des récents crédits débloqués pour refaire une partie du survêtement de la route, les faits d’hier, aussi simples que cruels dans leur chronologie, sont venus, de la plus brutale des manières, remettre ce constat à l’ordre du jour.

http://www.lunion.presse.fr/accueil/encore-un-mort-sur-la-rn31-ia0b0n259147

Maleville. Il trouve la mort près de chez lui

Hier vers 15 h 50, un septuagénaire circulait sur le CD1 dans le sens Villefranche-Lanuéjouls lorsque, pour une raison encore indéterminée, son véhicule - une ZX Citroën break de couleur blanche - a fait une embardée. La voiture s’est déportée sur la droite. Là, elle a d’abord mordu le bas-côté, avant de sectionner un pylône de télécommunications. Suite à quoi, le véhicule plongea vers le ruisseau situé en contrebas et se retourna pour se retrouver, quasiment, sous le pont. C’est lors de la sortie de route que le malheureux conducteur a été éjecté. Sur place, hier après-midi les enquêteurs de la compagnie de gendarmerie de Villefranche-de-Rouergue, autour de leur commandant Jean-Stéphane Viallefont, semblaient privilégier la thèse d’un malaise. «Pour l’instant ce n’est qu’un conditionnel», nuançait le patron de la compagnie. En pays Villefranchois, chacun le sait, le CD1, en particulier dans sa portion de «Printegarde», où s’est noué le drame, est une route considérée comme particulièrement accidentogène. La présence du train arrière de la ZX, retrouvé dans un pré de l’autre côté de la voie, à une cinquantaine de mètres de là, témoigne aussi de la violence du choc. Un élément qui aurait pu engendrer des conséquences plus dramatiques encore si, par malheur, un autre véhicule était arrivé au moment de l’accident.
Quant à la victime, elle vivait seule dans une maison du lieu-dit «la Tarenquie» sur la commune de Lanuéjouls. Un hameau se situant à à peine quelques hectomètres du lieu de l’accident. Durant les opérations, un important dispositif de sécurisation de l’axe avait été mis en place.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/29/1763582-il-trouve-la-mort-pres-de-chez-lui.html

Hérault : un homme gravement brûlé en allumant un feu de feuilles

Un octogénaire est tombé dans un feu de feuilles qu’il venait d’allumer, semble-t-il, avec du carburant, dans son jardin, à Bédarieux, jeudi, en fin de matinée, à l’heure de la sortie des classes. La victime a été très gravement brûlée sur l’ensemble du corps
Jeudi, en fin de matinée, à l’heure de la sortie des classes, un octogénaire est tombé dans un feu de feuilles qu’il venait d’allumer, semble-t-il, avec du carburant, dans son jardin, à Bédarieux. L'homme a été très gravement brûlé sur l’ensemble du corps et a été évacué en hélicoptère via le Dragon34 dans un service spécialisé de Lapeyronie. Il avait auparavant été pris en charge par les pompiers de Bédarieux.
Un ado de 11 ans tente de le secourir


C’est un jeune garçon de 11 ans, Alix, sortant du collège, qui a donné l’alerte et qui a tenté, seul dans un premier temps, de venir au secours du vieil homme, boulevard Jean-Moulin. En vain. Voyant qu’il ne parvenait pas à éteindre l'homme transformé en torche vivante, il est ressorti dans la rue pour alerter du monde.
Il est alors tombé sur sa propre mère qui arrivait en voiture et qui a appelé les pompiers qui sont aussitôt intervenus et ce, alors que la femme de l’octogénaire essayait, elle aussi, de secourir son époux sans parvenir à obtenir quelque résultat que ce soit.
Ses chaussures étaient en feu
Selon nos informations, l’octogénaire a été soufflé par l’explosion du produit qu’il avait utilisé pour allumer un tas de feuilles qu’il souhaitait détruire. Il s’est retrouvé projeté au sol alors que ses baskets étaient en feu. Puis ce dernier s’est propagé à son pantalon et à ses sous vêtements. Selon un témoin, la victime se consumait alors qu’elle n’avait plus de vêtements et que le petit Alix faisait tout son possible pour la calmer en attendant les secours.
Pendant que d'autres passaient sans lui venir en aide...
Le jeune garçon a été très choqué par l’accident. Il a tout de même voulu retourner au collège pour finir sa journée. En revanche, il a été très perturbé par l’attitude de certains adultes et autres jeunes qui passaient devant lui sans s’arrêter et sans venir en aide à la victime. "Il est très marqué par leurs attitudes devant le drame qui se jouait. Il n’a pas encore admis de voir que personne ne leur venait en aide et que les passant préféraient se moquer et afficher un large sourire devant ce drame" a expliqué la mère de l'adolescent.
http://www.midilibre.fr/2013/11/28/81-ans-il-tombe-dans-un-feu-de-feuilles,789777.php

jeudi 28 novembre 2013

JONCHERY-SUR-VESLE (51). Accident mortel sur la RN 31

Un accident survenu vers 18 heures sur la RN31, à hauteur de Jonchery-sur-Vesle et dans le sens Reims-Soissons, a causé la mort d'une personne. D'après les premiers éléments, une collision s'est produite entre une poids lourd et une voiture. La circulation reste encore très largement pertubée sur cet axe.

Plus d'informations demain...

http://www.lunion.presse.fr/region/region-en-direct

Un collégien de 11 ans se tue lors d'activités péri-scolaires près de Lyon

Encadré par deux adultes, l'élève de 6e a perdu l'équilibre et a chuté sur un mur d'escalade de 15 m à Vaulx-en-Velin. 
Un collégien de 11 ans s'est tué mercredi après-midi en chutant de 15 mètres d'un mur d'escalade, lors d'activités péri-scolaires, à Vaulx-en-Velin, a-t-on appris auprès des pompiers et de la mairie.
Elève en 6ème, l'adolescent grimpait sur le mur d'escalade lorsque pour une raison indéterminée il a perdu l'équilibre et a chuté, a indiqué le maire de la commune Bernard Genin, précisant que l'activité était encadrée par deux adultes.


Décédé à son arrivée à l'hôpital
L'enfant est décédé à son arrivée à l'hôpital. Une enquête de police a été ouverte pour déterminer les circonstances de l'accident. Dans l'attente des résultats de l'enquête, la ville de Vaulx-en-Velin a suspendu les activités sur cet équipement municipal.

http://www.midilibre.fr/2013/11/27/un-collegien-se-tue-en-chutant-d-un-mur-d-escalade-pres-de-lyon,789352.php

mercredi 27 novembre 2013

Père infanticide à Toulouse : un homme «normal» face à un crime fou

Hospitalisé d’office lundi en fin de journée, l’homme accusé du meurtre de son fils ne s’est pas vraiment expliqué. Et sa personnalité n’est pas celle d’un homme violent.
Au-delà de l’horreur, les questions. Au lendemain de la mort du petit garçon de 4 ans, tué lundi au cœur de la nuit à Toulouse, beaucoup s’interrogent sur ce geste fou et sur l’homme soupçonné, le propre père de la victime. Âgé de 40 ans, David G. est depuis lundi soir entre les mains des équipes de soins de l’hôpital Marchant comme nous l’annoncions dès hier.
Cette décision médicale n’entraîne, pour l’instant, ni la fin de l’enquête, ni la fin des poursuites. En effet l’expert psychiatre mandatée, Geneviève Peresson, a estimé la garde à vue incompatible en raison du danger «pour lui-même et autrui» du suspect. Mais l’expert a pris le soin de ne pas se prononcer sur l’état de cet homme au moment du drame. Une précaution qui laisse des poursuites possibles, surtout si cet homme retrouve son esprit.

Marijuana et, ou, drogue de synthèse

Aussi incroyable que cela puisse paraître, cet ambulancier sans histoire qui voulait ouvrir une salle d’arts martiaux vietnamien - il est ceinture noire 4e dan de Vo Thuat - n’a jamais fait parlé de lui avant la nuit tragique. Inconnu du fichier police STIC, service de traitement des infractions constatées, son casier judiciaire est vierge. Il n’a jamais été hospitalisé pour des problèmes de comportement. «Inconnu de tout le monde», glisse un proche du dossier.
Du côté des enquêteurs qui essayent de reconstituer sa vie, aucune mauvaise surprise pour l’instant. Même s’il s’en est défendu face aux policiers, David G consommerait de la drogue. Est-ce là l’explication ? Une décompensation après avoir fumé de la marijuana est possible. Les enquêteurs pensent davantage à la consommation d’une drogue de synthèse. Seuls les résultats des analyses, qui pourraient prendre du temps, permettront d’éclairer cette partie importante de l’enquête.
Aujourd’hui, le parquet de Toulouse va ouvrir une information judiciaire. Probablement pour «homicide aggravé sur mineur de moins de 15 ans, crime puni de la réclusion criminelle à perpétuité. Philippe Colson, doyen des juges d’instruction, va être saisi. Il aura la charge de progresser dans la compréhension de l’incompréhensible.
Comprendre comment un homme que ses voisins décrivent comme «normal» a ainsi pu basculer. Séparé depuis juillet 2012 de la mère de la petite victime, il a été décrit par une ancienne petite amie croisée pendant l’été comme «plutôt gentil». Loin de l’individu en furie avec lequel les policiers ont dû littéralement se battre avant d’enfin le maîtriser. Un homme aujourd’hui soupçonné d’avoir tué son propre fils, dans une scène dont la violence effraie tous les témoins du crime.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/27/1762011-pere-infanticide-toulouse-homme-normal-face-crime-fou.html

mardi 26 novembre 2013

Limay : l'enfant retrouvé pendu est mort

Un enfant de 11 ans - et non 12 comme annoncé initialement - a été retrouvé pendu ce lundi soir, peu après 18 h 30, dans sa chambre, à son domicile de Limay (Yvelines).

Le garçon était hébergé dans une famille d'accueil. Ce sont les parents de cette famille qui l'ont découvert.

Il a été rapidement pris en charge par les secours et transporté à l'hôpital dans un état désespéré. 


 
L'enfant est décédé dans la soirée.

On ne connait pas encore les raisons de son geste.
                                                 

Aucamville. En aidant son fils, il meurt écrasé au cimetière

Un homme âgé de 64 ans, retraité, est mort hier en milieu de journée dans le cimetière d’Aucamville, près de l’église. Les pompiers ont été alertés à 13 h 20 mais malgré leur intervention, et la présence sur place d’une équipe du Smur pour le ranimer, l’homme n’a pas pu être sauvé.
La victime aidait son fils qui est marbrier à réaliser des travaux sur un caveau du cimetière quand une lourde plaque de béton a glissé et l’a écrasé contre une autre tombe. Malgré les tentatives de son fils pour le dégager, puis les soins des secours, le retraité n’a pas pu être dégagé

http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/26/1761224-aucamville-en-aidant-son-fils-il-meurt-ecrase-au-cimetiere.html

lundi 25 novembre 2013

Une adolescente de 15 ans tente de suicider à Villard-de-Lans (Isère)

Ce n'est pas dans l'habitude de la presse d'évoquer les tentatives de suicide. Un acte privé, désespéré. Mais quand il concerne les enfants, le fait bascule dans un phénomène de société. Chaque année, 50.000 français de 12-20 ans tentent de se suicider. Une ado a voulu passer à l'acte en Isère. 
Ce dimanche 24 novembre, en fin d'après-midi, les pompiers sont intervenus à Villard-de-Lans, officiellement pour un accident avec une arme de biathlon. Une fois sur place, ils ont trouvé une adolescente de 15 ans, victime d'un tir porté au thorax. La fille a aussitôt été prise en charge par l'hélicoptère de la sécurité civile, pour un transport jusqu'au CHU de Grenoble-La Tronche. Sur le lieu du drame, après enquête, les gendarmes ont conclu à une tentative de suicide.

Un phénomène de société


Le suicide est la deuxième cause de mortalité chez les jeunes en France, après les accidents de la route. Chaque année, il y aurait environ 600 décès.

Les spécialistes n'arrivent pas à établir un profil type d'adolescents suicidaires. Les éléments déclencheurs sont souvent un malaise lié à l'adolescence, la dépressivité et la dépression. Le harcèlement et les conflits sont aussi des causes fréquentes. L'adolescent se retrouve dans une impasse et ne voit pas d'autres solutions que le suicide.

Les changements manifestes laissant présager un suicide sont très rares. Mais on peut tout de même repérer un repli sur soi, une baisse des résultats scolaires, un élan vital plus faible, de la tristesse, un mutisme. 

http://alpes.france3.fr/2013/11/24/une-adolescente-de-15-ans-tente-de-suicider-villard-de-lans-isere-364283.html

dimanche 24 novembre 2013

Une femme se suicide en gare de Nice, perturbations sur le réseau SNCF

Alors que sur la voie B, un train de 13h50 arrivait en gare de Nice-Ville, une femme de 58 ans s’est jetée sur les rails.
Le conducteur n’a rien pu faire pour l’éviter. Le drame s’est produit sous les yeux de nombreux voyageurs qui attendaient sur le quai. Tous ont été extrèmement choqués.
Les voies A et B sont restées coupées à la circulation ferroviaire pendant plusieurs heures, entraînant quelques pertubations, notamment sur la ligne Grasse-Vintimille.

http://www.nicematin.com/nice/une-femme-se-suicide-en-gare-de-nice-perturbations-sur-le-reseau-sncf.1521927.html

Décès d’Abdallah Jiqqir, notre confrère de France 3 Meuse

C’était un vrai amoureux de l’image et du travail bien fait. Perfectionniste, Abdallah Jiqqir, notre confrère de France 3 en Meuse, nous a brutalement quittés hier.
Toujours en mouvement, toujours drôle et amical, la répartie rapide et bien sentie, il arborait en toutes circonstances un inaltérable sourire. Curieux de tout, attentif aux autres, Abdel (comme tout le monde l’appelait) avait cette capacité d’inspirer la confiance et de se lier avec tous les gens qu’il rencontrait. Tout en douceur.
Il possédait des amis solides dans tous les milieux et des liens très forts avec ses confrères journalistes qu’il rencontrait à l’occasion de reportages ou de façon amicale. Des confrères qui sont sous le choc, depuis l’annonce de son décès.
Né à Kénitra, au Maroc, le 7 mars 1958, il avait intégré la faculté des Lettres de Nancy au début des années 1980.
Abdallah Jiqqir était marié à Nicole avec qui il avait eu deux filles, Léa et Inès, actuellement étudiantes et dont il était très fier.
Habitant Dieue-sur-Meuse, à quelques kilomètres de Verdun, il avait travaillé et développé la télévision locale « Télé Dieue » et réalisait en même temps des reportages pour France 3, entreprise pour laquelle il a travaillé exclusivement à partir du milieu des années 1990. Pendant des années, il avait fait équipe avec Floréal Torralba et avait sillonné les routes de la Meuse en tous sens. Depuis quelque temps, il était en tandem avec Christophe Bodin.
Abdallah Jiqqir repose à la maison funéraire Gaillard de Verdun. Ses obsèques auront lieu le mardi 26 novembre à 15 h, en l’église de Mangiennes.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/11/24/deces-d-abdallah-jiqqir

Anne Alassane (MasterChef) touchée par un nouveau drame

Près de deux ans après un dramatique incendie, où elle avait perdu ses filles, un nouveau sinistre a touché la ferme-auberge d'Anne Alassane, la gagnante de MasterChef en 2010 sur TF1.
Un incendie accidentel a touché, lundi 18 novembre, «La Pays'Anne», l'établissement que la jeune femme possède près de Montauban (Tarn-et-Garonne). Une information rapportée par le site de La Dépêche.
Cette fois, le feu n'a pas trouvé son départ dans le bâtiment principal, mais dans une petite habitation située à côté. L'incendie s'est déclaré dans une cuisine, où un tas de bois de chauffage était entreposé. Les pompiers ont transporté au centre hospitalier de la ville une dame de 68 ans, incommodée par la fumée, et un homme de 59 ans, légèrement brûlé aux mains et au visage.
Le 2 janvier 2012, la vie de l'ex-candidate de la saison 1 de MasterChef avait basculé après avoir perdu, dans un précédent sinistre, ses deux filles Louise et Rose, âgées de quatre et deux ans, intoxiquées par les dégagements de fumée. Anne Alassane a ouvert son établissement fin 2010, après sa victoire dans le concours culinaire de TF1.

http://tvmag.lefigaro.fr/programme-tv/articles-type/Tous-les-articles-news.html

samedi 23 novembre 2013

Suicide d'un détenu en semi-liberté à Bayonne : ses proches accusent la prison

Au Centre de formation de l’Afpa, Olivier M. (1) était un stagiaire parmi d’autres. Sauf qu’à la fin de sa journée de cours, il ne rentrait pas chez lui. L’étudiant en comptabilité poussait les lourdes portes de la maison d’arrêt de Bayonne où il redevenait un détenu parmi d’autres. Un détenu en semi-liberté.
Mais le 22 septembre dernier, ce Lyonnais de 32 ans ne regagne pas sa cellule. Le vendredi suivant, son corps sans vie est retrouvé dans l’Adour.

« Il a choisi de se suicider par noyade, comme un homme libre. Entre quatre murs, il avait certainement peur de ne pouvoir aller jusqu’au bout de son geste », tente d’expliquer Me Mathieu Oudin. Hier, l’avocat du jeune homme a voulu dénoncer la part de responsabilité de l’administration pénitentiaire dans ce drame qui reflète les carences du régime de semi-liberté : manquement au niveau de l’accompagnement humain et sévérité du règlement interne de la prison.
L’avocat décrit Olivier M. comme un fils de bonne famille ayant commis un homicide à l’âge de 19 ans et condamné pour cela à 18 ans de prison.
Après une décennie passée dans une cellule du centre de détention de Muret (Haute-Garonne), il demande un aménagement de peine. « Derrière les barreaux, il s’était lié d’amitié avec des Basques. C’est pour cela qu’il avait choisi Bayonne pour se réinsérer. »
Le centre de semi-liberté est une aile de la maison d’arrêt. Les prisonniers en fin de peine sont censés y préparer le retour à l’autonomie et à la liberté. « Sauf que ce centre, comme beaucoup d’autres - il existe 760 places en France réparties sur 11 sites -, n’est pas adapté au régime de ces prisonniers », constate amère Gabi Mouesca, ex-président de l’Observatoire international des prisons (OIP). « On a juste changé l’étiquette. Mais ce sont les mêmes bâtiments et le même règlement absurde », critique l’ancien prisonnier.
Au bout de douze années de détention, Olivier M. ne supportait plus le climat carcéral. La promiscuité d’une cellule partagée avec un inconnu. Pis, l’humiliation des fouilles intégrales, trois fois par semaine. Alors que le caractère systématique de ces contrôles est interdit depuis novembre 2009. L’administration pénitentiaire a d’ailleurs été condamnée pour cela en juillet dernier par le Tribunal administratif de Pau.
« D’autre part, la juge d’application des peines lui avait signifié que s’il n’avait pas de CDD ou de CDI avant novembre 2013, il retournerait en prison. Pour quelqu’un qui a passé la moitié de sa vie derrière les barreaux et n’a connu sa première expérience professionnelle qu’à 32 ans, c’est terrible à entendre », assène Me Mathieu Oudin. L’ultimatum de trop, sans doute.
Le contrôleur général des lieux de privation de liberté a été saisi. Pour l’instant, la famille ne souhaite pas porter plainte mais attend des explications de l’administration pénitentiaire.
(1) Sa famille n’a pas souhaité communiquer le nom de famille du jeune homme.
http://www.sudouest.fr/2013/11/23/les-carences-du-regime-de-semi-liberte-1237854-4018.php

Horgues. Un dirigeant du foot meurt sur la route

«C’est beaucoup de tristesse pour tout le club. C’était notre supporter n° 1.» Président de Horgues/Odos Football-Club (HOFC), Jean-Pierre Peres exprime l’émotion de l’ensemble de ses sociétaires après le décès de Christian Dulac, 52 ans, sur la route de Pau à Ger (64). Sur une chaussée détrempée par une pluie battante, dans des conditions de visibilité médiocres, à la nuit tombée, un conducteur au volant d’une voiture immatriculée dans le Gers est entré en collision avec le malheureux cycliste, jeudi, vers 18 h 15. En arrêt cardiaque au moment de l’arrivée des secours, ces derniers, malgré les nombreux massages prodigués, n’ont pu le réanimer. Que faisait Christian Dulac aussi loin de son domicile ? Jean-Pierre Peres tente une explication : «C’était l’un de ses parcours favoris pour ses sorties à vélo».
«Comme il n’avait pas le permis de conduire, c’était son principal moyen de locomotion», précise le maire de Horgues, Jean-Michel Ségneré, encore sous le choc de ce nouveau drame pour la commune. Au HOFC, tout le monde connaissait Christian Dulac, surnommé «Dune». Jean-Pierre Peres lui a rendu un vibrant hommage sur le site internet du club de foot : «C’était un dirigeant fidèle à son club depuis sa création en 1984. Il était toujours présent aux entraînements et aux matchs, il suivait les résultats de ses équipes avec beaucoup d’assiduité, affichant régulièrement les classements. Il a apporté sa pierre à l’édifice du club, modestement, mais avec beaucoup de conviction, réalisant bourriches et vente de calendriers». Quant aux circonstances précises de l’accident, elles n’ont pas encore été élucidées par l’enquête de gendarmerie

http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/23/1759245-horgues-un-dirigeant-du-foot-meurt-sur-la-route.html

vendredi 22 novembre 2013

Un jeune homme de 23 ans grièvement blessé dans une sortie de route

Un accident de la route a fait un blessé grave ce vendredi à Rhinau (Bas-Rhin). Vers 17h20, une voiture qui circulait sur la RD 203 en direction de Friesenheim est sortie de la route puis a percuté un arbre. Le conducteur, un jeune homme de 23 ans, a dû être désincarcéré par les pompiers avant d'être transféré à l'hôpital, en état d'"urgence absolue

http://www.lalsace.fr/actualite/2013/11/22/un-jeune-homme-de-23-ans-grievement-blesse-da

Collision frontale à Delme: un mort et un blessé

Un dépassement dangereux est à l’origine d’une collision survenue jeudi soir sur la RD 955 non loin de Delme. Sous le choc, un jeune homme de 25 ans originaire du Saulnois a été tué sur le coup. La conductrice de la voiture percutée a été blessée.

http://www.republicain-lorrain.fr/actualite/2013/11/22/collision-frontale-a-delme-un-mort-et-un-blesse

Incendie à Valentigney : le doyen de l’Aéro-club entre la vie et la mort

Crash à l’atterrissage, coup de couteau dont il réchappe par miracle, accident de voiture et courage dans des conditions extrêmes, le nonagénaire a souvent côtoyé la mort. Félix Chantreuil, 94 ans, a été retrouvé inanimé, hier soir, dans son appartement de Valentigney. Son pronostic vital est engagé.
Un corps allongé dans le salon avec une sérieuse blessure à l’arrière de la tête. « Le pronostic vital de la victime est engagé », confie le capitaine Frédéric Puel, qui dirige les quelque 25 pompiers sur le pont, hier soir, au n° 30 du lotissement Pézole à Valentigney.
Il est 16 h 44, quand le centre opérationnel d’incendie et de secours (CODIS) du Doubs est alerté. Un incendie est signalé au premier niveau d’un bâtiment en comportant quatre. « Quand nous sommes arrivés, une épaisse fumée noire se dégageait du balcon », détaille un soldat du feu.
Une lance est installée, à l’extérieur de l’immeuble, pour combattre le sinistre. Une autre sera nécessaire pour éteindre le brasier, à l’intérieur.

« Ça me fait mal au cœur »

L’origine de l’incendie reste à déterminer. Toujours est-il que le feu s’est cantonné à l’appartement occupé depuis une quarantaine d’années par Félix Chantreuil, ancien taxi à Audincourt et aviateur depuis plus de sept décennies.
À 94 ans, il est le doyen des aviateurs de l’Aéro-club du Pays de Montbéliard (lire l’encadré). Une passion et des ailes éternellement chevillées à son corps comme en atteste sa pratique assidue. Régulièrement, il vole dans son Jodel D18, un appareil classé dans la catégorie des ULM.
Lors de ces sorties, il est accompagné de Fred Petit. « On a dû voler ensemble il y a moins de quinze jours. Félix est conscient de ses limites et il a besoin de quelqu’un pour aller avec lui. Je vais aussi régulièrement le voir chez lui. La nouvelle que vous m’apprenez me fait mal au cœur », dit l’instructeur dont l’école est basée sur la plateforme de Courcelles-lès-Montbéliard.
Félix Chantreuil, sujet à des pertes d’équilibre, a-t-il chuté et sa pipe est-elle à l’origine de l’incendie comme d’aucuns le suggéraient ? C’est l’une des questions à laquelle tenteront de répondre les enquêteurs, présents sur les lieux.
Tandis qu’ils luttent contre le feu, les pompiers font également évacuer la dizaine d’occupants de l’immeuble, réunis au centre de loisirs de Pézole, le temps de procéder aux nécessaires opérations de ventilation et de vérifications. « On a relevé des traces de monoxyde de carbone au niveau des combles », indique le capitaine Puel. Le nonagénaire lui est en chemin vers l’hôpital de Montbéliard.
« Félix a connu de sacrés soucis. À un moment, il ne pouvait plus marcher et il s’est rétabli. C’est quelqu’un qui a un moral incroyable et qui a horreur des hôpitaux », note Fred Petit. Une force de caractère dont il risque d’avoir sérieusement besoin…
« C’est pas vrai ! » Édouard Mihaly tombe des nues en apprenant la nouvelle. La mémoire vivante de l’Aéro-club du Pays de Montbéliard (dont il vient d’écrire l’histoire) rafraîchit ses souvenirs.
« Félix, c’est un homme qui a connu tellement de pépins au cours de sa vie. Avec un nombre incalculable d’accidents dont il s’est toujours sorti. Et il fallait l’entendre les raconter. C’était un conteur hors pair ! Un jour, il prend un coup de couteau et sa vie est miraculeusement sauvée grâce à son portefeuille. Une autre fois, il se fait renverser par une voiture à Pontarlier.
Je me souviens aussi de ce fameux crash qu’il a vécu à l’atterrissage, sur le terrain de Courcelles au début des années 80 avec l’avion de course qu’il venait d’acheter. Dans sa vie, il a dû comptabiliser une quinzaine d’appareils. Un vrai passionné ! »
Édouard Mihaly évoque aussi cette tragique Ascension 1961. Une journée noire au cours de laquelle Jean Traget, alors moniteur au club, se tue. « Félix a été le seul à avoir le courage d’aller ramasser la dépouille. Il fallait du cran pour ça. Il est passé au travers de tellement d’épreuves… »
En espérant que celle d’hier connaîtra le même heureux dénouement que les précédentes.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2013/11/22/le-doyen-de-l-aero-club-entre-la-vie-et-la-mort

jeudi 21 novembre 2013

Un cycliste mortellement percuté par un camion à Laveyron

Aujourd’hui jeudi, vers 14h30, un cycliste a été mortellement percuté par un camion sur la commune de Laveyron. Le dramatique accident de la circulation s’est produit à proximité de la société Emin Leydier. Gendarmes et sapeurs-pompiers sont toujours sur place.

http://www.ledauphine.com/drome/2013/11/21/un-cycliste-mortellement-percute-par-un-camion-a-laveyron

Castelnaudary. L'émouvant adieu au jeune sapeur-pompier Julien Schneider

L’émotion était grande, hier matin, au centre de secours chaurien où avait lieu le dernier adieu à Julien Schneider, jeune sapeur-pompier emporté par une maladie fulgurante. Amis, proches ou simples anonymes se sont pressés, nombreux, pour cet ultime hommage à celui qui, depuis 2002, servait au centre de secours chaurien. Des camarades sapeurs-pompiers venus de tout le département, jusqu’à Narbonne, Coursan, Leucate… et leur «patron», le colonel Bénédittini ou encore le commandant Gourdon, ancien chef de corps du centre de secours chaurien, qui avait eu le sapeur 1re classe sous ses ordres. Des personnalités aussi, Philippe Greffier, représentant le maire ainsi que de nombreux élus de Castelnaudary et des édiles des villages alentours, venus présenter les condoléances de toute la population. Les Lions étaient également nombreux pour cet adieu à l’un des leurs.
«Tu as été nommé 1re classe le 1er janvier 2003, c’est le signe de ton engagement et la reconnaissance de ta compétence. Même avec une vie professionnelle très active, tu as répondu rapidement présent à chaque appel du bip. Tu as suivis les formations liées à la qualification d’équipier, conducteur avec succès», a rappelé le capitaine Grau, actuel commandant du centre de secours.
«Un caractère bien trempé dans une tête bien pleine te destinait à un avenir certain au sein de notre caserne. La médaille d’honneur du mérite départemental échelon or, qui vient de t’être décernée, est la preuve de la valeur de tes convictions et de ta soif de servir. C’est le signe d’un engagement reconnu au plus haut niveau», a salué le capitaine Grau. «Engagé, tu as su partager ta vie professionnelle en deux, une carrière de sapeur-pompier volontaire et une volonté de créer et d’entreprendre, malheureusement stoppée net beaucoup trop tôt. Au nom de tous tes amis sapeurs-pompiers de Castelnaudary merci pour tout ce que tu nous as apporté. Adieu l’ami, adieu Julien».
Julien sera inhumé à Porcelette, en Moselle, son village natal, là où, en 2000, il avait décidé de servir les autres en s’engageant comme pompier. Depuis, jamais, il n’a failli.
Une délégation de quatorze sapeurs-pompiers chauriens, emmenée par le lieutenant Gasparotto, adjoint au chef de centre accompagnera le jeune homme jusqu’à sa dernière demeure.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/21/1757297-castelnaudary-l-emouvant-adieu-a-julien-schneider.html

Neige : 15 départements en alerte orange, deux morts

Mort d'un technicien ERDF appelé en renfort en Auvergne. L'homme, âgé de 41 ans et basé à Montluçon, dans l'Allier, a été électrocuté vers 18h30 alors qu'il réparait des lignes basse tension à Celles-sur-Durolle, dans le Puy-de-Dôme. "Il était en dépannage sur le réseau basse tension, en renfort de ses collègues de l'agence de Thiers", dans le Puy-de-Dôme" suite aux importantes chutes de neige, a précisé ERDF à l'AFP. Les pompiers n'ont pas réussi à le ranimer
Accident de la route en Haute-Marne : un mort, deux blessés grave. Un car en provenance du Maroc a été accidenté sur l'autoroute A31 près d'Aprey en raison de "conditions difficiles" due à la neige. L'accident s'est produit vers minuit et demi dans le sens Dijon-Nancy alors que la Haute-Marne faisait partie des 25 départements placés mercredi en vigilance Orange. C'est la neige qui est en cause, selon la gendarmerie. La victime est une femme. Les deux blessés graves ont été évacués vers les hôpitaux de Dijon et Chaumont. Il y a une dizaine de blessés légers, qui ont été transportés à l'hôpital de Langres.
 
Des centaines de véhicules bloqués une grande partie de la journée sur l'A48 entre Grenoble et Lyon.  Certains automobilistes ont été coincés toute la journée de mercredo de part et d'autre du col de la Rossatière, certains sans eau, ni chauffage ni nourriture. L'autoroute a été dégagée en début de soirée. "Tous les véhicules ont pu quitter la zone concernée, il n'y a plus aucun automobiliste ou conducteur de poids-lourd qui soit bloqué sur l'autoroute", a annoncé Area, concessionnaire de l'autoroute mercredi à 20h. L'A48 devait être rouverte à la circulation mercredi soir "aux alentours de 21 h 30". La préfecture de l'Isère avait interdit la circulation à tous les véhicules sur cette autoroute, l'ensemble du trafic étant détourné par l'A43 via Chambéry ou par l'A49 via Valence.Des transports collectifs sont aussi restés coincés de nombreuses heures. Des pompiers étaient sur place pour aider les personnes qui pourraient être prises de malaise.
 

mercredi 20 novembre 2013

Accident mortel sur la RN7

Un accident impliquant un camping-car immatriculé dans la Drome et une voiture sans permis a été fatal à la conductrice de la voiture, une Tourvaine âgée de 30 ans. Les circonstances de l'accident restent pour le moment inconnues mais le choc, quasiment frontal entre les deux véhicules, a été particulièrement violent et a entrainé le deploiement important de secours. La circulation sur la Nationale 7 a été coupée dans les deux sens et une deviation a été mise en place par la D1 vers Rougiers et la N560 vers Tourves

http://www.varmatin.com/actu/brignoles

Un homme se pend après avoir tué sa mère à Draguignan

Un homme d'une quarantaine d'années a tué sa mère avant de se pendre à son domicile, au 747 avenue de la Grande armée à Draguignan.
Le drame a eu lieu ce vendredi matin à 7h10. Sur place, les policiers du commissariat, avec à leur tête le commissaire Atlan, ont effecté les constatations d'usage.
Selon les premiers témoignages, la mère inquiète de me pas avoir des nouvelles de son fils depuis plusieurs jours, se serait rendu à son domicile. A peine arrivée, elle aurait été mortellement frappée à la tête par un objet contondant avant de s'écrouler dans le jardin jouxtant l'habitation.
Son fils, placé sous tutuelle depuis des années et souffrant de troubles mentaux, se serait alors retranché dans son logement. Il aurait ensuite mis fin à ses jours en se pendant.

http://www.nicematin.com/derniere-minute/un-homme-se-pend-apres-avoir-tue-sa-mere-a-draguignan.1517982.html

Brest. Des policiers manifestent après le suicide d’un collègue

Plus d’une centaine de policiers se sont rassemblés silencieusement ce midi devant le commissariat central de Brest.
Tous syndicats confondus, ils exigent une enquête « indépendante » menée par l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) après le suicide, vendredi, d’un major. Les syndicats établissent une relation entre ce suicide et des reproches qui auraient été adressés par sa hiérarchie à ce policier qui était âgé d’une cinquantaine d’années.
Indicateur d’un profond malaise au sein du commissariat, les officiers étaient nombreux parmi les manifestants qui comptaient des policiers de la Sécurité publique, de la Sûreté urbaine, et des personnels administratifs.

http://www.ouest-france.fr/brest-des-policiers-manifestent-apres-le-suicide-dun-collegue-1726282

mardi 19 novembre 2013

Six morts dans un crash dans l'Yonne

Six personnes sont mortes mardi matin dans le crash d'un avion de tourisme dans l'Yonne, d'après le parquet d'Auxerre.
L'accident s'est produit peu après 11h sur la commune de Mouffy, au lieu-dit Les Moulins, selon les pompiers.
Les occupants se rendaient dans les Yvelines depuis la Haute-Savoie. L'accident s'est déroulé alors que la zone était plongée dans un épais brouillard d'après FranceTVInfo.
 

Jeu du foulard. « Nous nous battrons jusqu’au bout »

Maurice et Gwen Trépos ont perdu leur fille, Marie, en mai 2009 à cause d’un jeu dangereux. Vendredi, le tribunal correctionnel de Quimper (Finistère) a relaxé un internaute qui incitait à cette pratique. Le procureur de la République fait appel de cette décision.
« Abasourdis et abattus. C’est notre réaction quand on a appris par la presse que cet internaute qui incitait à pratiquer le jeu du foulard était relaxé, affirme le couple. On avait déposé une plainte le 6 juin 2012. Depuis, aucune nouvelle du tribunal. Il paraît que l’on nous a envoyé un courrier pour nous informer de l’audience. On ne l’a jamais reçu. »

Prévention dans les écoles

Depuis le décès de leur fille, Marie, ces Quimpérois se battent aux côtés de l’association des parents d’enfants accidentés par strangulation (Apeas). « Nous effectuons inlassablement de la prévention dans les établissements scolaires. Le mois dernier, à l’invitation de la direction départementale des services de l’Éducation nationale, nous avons témoigné à Quimper et à Brest devant près de 200 médecins scolaires, conseillers pédagogiques, infirmières, assistantes sociales… L’objectif : mettre en garde contre les dangers d’internet. »
Ce procès était, pour eux, l’occasion unique de pointer du doigt l’irresponsabilité de certains grands hébergeurs qui encouragent les jeunes à mettre en ligne des vidéos aux effets destructeurs. On peut y voir des exercices pratiques sur le jeu du foulard présenté comme une activité « incontestablement ludique pour les jeunes collégiens en manque de sensations ». Ce sont les termes utilisés par cet internaute marseillais qui comparaissait vendredi et qui a été relaxé.
Le procureur de la République a déclaré qu’il ferait appel de cette décision.

http://www.ouest-france.fr/jeu-du-foulard-nous-nous-battrons-jusquau-bout-1723152

RHÔNE. Un CRS se suicide avec son arme de service

Un mois après le suicide d’un policier au palais de justice, un autre fonctionnaire a mis fin à ses jours  lundi matin. Agé de 51 ans, ce major de la CRS autoroutière Rhône-Alpes Auvergne n’était pas à son poste à 9 heures...
S’inquiétant de son retard, ses collègues se sont rendus à son domicile dans l’Isère puis l’ont recherché au cantonnement de Chassieu.
C’est sur une route éloigné des bâtiments qu’ils ont trouvé son corps. Le policier s’était tiré une balle dans la tête avec son arme de service dans son véhicule personnel.
En instance de divorce, ce père de deux enfants souffrait selon sa hiérarchie de problèmes personnels. Il travaillait au bureau de sécurité routière de la CRS et était plus particulièrement chargé des PPI du couloir de la chimie (plans particuliers d’intervention).
L’IGPN de Lyon a ouvert une enquête sur instruction du parquet de Lyon.


http://www.leprogres.fr/rhone/2013/11/18/un-crs-se-suicide-avec-son-arme-de-service

lundi 18 novembre 2013

Nancy : marche blanche pour Maxime mercredi

Une marche blanche pour Maxime, mort en tombant d'une grue, sera organisée mercredi soir à Nancy. L'autopsie du corps du jeune homme aura lieu ce mardi.
Une marche blanche pour Maxime, mort en tombant d'une grue, sera organisée mercredi soir à Nancy. L'autopsie du corps du jeune homme aura lieu ce mardi. Trois personnes qui se trouvaient avec lui au moment des faits ont été entendues par les enquêteurs et remises en liberté.
La marche blanche partira à 17 h 30 du parvis de l'école d'architecture de Nancy et des lampions seront lâchés sur le parvis.


http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/11/18/nancy-marche-blanche-pour-maxime-mercredi

La dispute familiale vire au drame

Au cours d’une dispute, un jeune homme a blessé son beau-père au moyen d’une arme blanche avant de prendre la fuite, paniqué.
Une dizaine de minutes plus tard, il a finalement décidé de se rendre à la gendarmerie, où il a été placé en garde à vue, tandis que le blessé était évacué vers le centre hospitalier.
Aucun de ses organes vitaux n’a été atteint. Ses jours ne sont pas en danger.

http://www.lunion.presse.fr/region/la-dispute-familiale-vire-au-drame-ia18b0n252068

Bar-le-Duc. Une mère soupçonnée d’avoir étouffé ses trois enfants

Terrible drame familial à Bar-le-Duc dimanche soir : trois enfants ont été découverts morts étouffés au domicile de leur mère. Cette dernière a été placée en garde à vue.
Alertés par la famille d’accueil qui devait récupérer les enfants à l’issue du week-end, les policiers ont retrouvé les deux fillettes et le petit garçon de cette femme de 39 ans, inanimés dans leurs lits.
La mère « était séparée du père des enfants et vivait seule à Bar-le-Duc. Elle avait un droit de visite et d'hébergement pour le week-end, mais n'a pas rendu les enfants à 18 heures comme prévu », a indiqué le commandant de police Gilles Hubain avant d’ajouter : « En garde à vue, elle parle un petit peu, mais c'est flou ».
Selon une source proche du dossier, la mère aurait tenté de se suicider, en vain, après avoir tué ses enfants âgés de 2, 3 et 5 ans. Les policiers l'ont en effet découverte « assise sur le canapé, le regard hagard », sous l'emprise de somnifères et à proximité d'un couteau.
Le procureur de Bar-le-Duc, Rémi Coutin, a indiqué qu'une conférence de presse se tiendrait en fin de journée ce lundi.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/18/1755258-bar-duc-mere-soupconnee-avoir-etouffe-trois-enfants.html

dimanche 17 novembre 2013

CUTS (60) Un octogénaire retrouvé mort chez lui

Un homme de 86 ans a été retrouvé mort, ce samedi soir vers 21 heures chez lui, dans sa maison du hameau de Gizancourt, à Cuts à 10 km au sud de Noyon (Oise).
Ce sont ses voisins, inquiets de ne plus le voir, qui ont donné l’alerte après la découverte du corps. Une autopsie a été effectuée ce dimanche après-midi. La mort, apparemment naturelle, remonte à plusieurs semaines.


http://www.courrier-picard.fr/region/cuts-60-un-octogenaire-retrouve-mort-chez-lui-ia201b0n241620

L'horreur à Livron: les enfants retrouvés pendus à la rambarde de l'escalier

Tard ce samedi soir, le procureur de la République de Valence, Antoine Paganelli a tenu une conférence de presse. En présence, notamment du colonel André-Marc Hébert, commandant le groupement de gendarmerie de la Drôme. "Les enfants (une fillette âgée de 3 ans, son frère de 18 mois) ont été retrouvés pendus à la rambarde de l'escalier dans l'appartement. Tous les indices font penser à des décès par pendaison. Leur père a été retrouvé conscient, mais avec l'impossibilité de se mouvoir et de s'exprimer, à proximité des corps" a livré Antoine Paganelli. "La découverte d'écrits émanant du père laissent penser à une préparation concernant un suicide" a-t-il ajouté. Poursuivant: "Le père de famille qui aurait absorbé des barbituriques a été hospitalisé. Il n'a pas été auditionné pour l'heure par les gendarmes de la brigade de recherches de Valence en charge de l'enquête". Selon le procureur, "le drame s'est produit dans un contexte de séparation familiale. Les enfants étant momentanément confiés au père. Les voisins ont entendus les enfants pour la dernière fois vendredi soir". Hier soir, la mère et la grand-mère des enfants ont été pris en charge dans un centre hospitalier. "Le père n'est pas connu de nos services. Vingt gendarmes de la compagnie de Valence, renforcés par des techniciens en identification criminelle et des militaires de la Section de recherches de Grenoble multiplient leurs investigations. Une enquête de voisinage est par ailleurs en cours" a confié le colonel Hébert. 

http://www.ledauphine.com/drome/2013/11/17/l-horreur-a-livron-les-enfants-retrouves-pendus-a-la-rambarde-de-l-escalier

Un corps retrouvé à Comberjon

Ce samedi en milieu d’après-midi, un chasseur a retrouvé un corps sur le territoire de la commune de Comberjon. Des éléments matériels à proximité laissent à penser qu’il pourrait s’agir du pompier disparu depuis le 14 août. De vastes recherches avaient d'ailleurs été engaées et plus de 200 persones avaient participé aux opérations dans la deuxième quinzaine d'août .  Le pompier professionnel de Vesoul, âgé de 48 ans, avait disparu de son domicile , après avoir appris le décès de sa mère. Il était parti de chez lui à VTT dans la soirée et n’était jamais réapparu.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2013/11/16/un-corps-retrouve-a-comberjon


Voir les articles de la disparition DU POMPIER sur ces liens....
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/08/31/vers-une-impasse
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/08/23/pompier-disparu-l-interminable-attente
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/08/22/pompier-disparu-a-vesoul-les-recherches-restent-vaines

samedi 16 novembre 2013

Accident ferroviaire mortel

Un jeune homme est décédé hier soir après avoir été heurté vers 19 h 45 par un train à proximité de l’arrêt Mullerhof (près d’Urmatt, dans la vallée de la Bruche).
Les pompiers d’Urmatt, de Schirmeck et de Molsheim étaient sur place, ainsi qu’une équipe du Samu. Une enquête menée par les gendarmes de Schirmeck est en cours. Le train, qui assurait la dernière liaison ferroviaire du soir entre Strasbourg et Saâles, comptait quelque 70 passagers. La plupart ont été pris en charge par des proches venus les chercher en voiture, ont expliqué les agents de la SNCF. Les derniers usagers, une demi-douzaine, ont terminé leur trajet grâce à un bus affrété par la SNCF.

http://www.dna.fr/edition-de-molsheim-schirmeck/2013/11/16/accident-ferroviaire-mortel

Un motard se tue dans un accident sur l'A570

Un motard est mort ce matin vers 7h dans un accident sur l'A570, dans le sens Toulon-Hyères, au niveau de la sortie Bastide verte. A leur arrivée sur place, les sapeurs-pompiers ont retrouvé l'homme décédé, couché sur la chaussée.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2625232/un-motard-se-tue-dans-un-accident-sur-la570.html

Montauban. L'émouvant adieu à Philippe Gaubens

Ils étaient plusieurs centaines, massés hier en début d’après-midi, sur les marches de la cathédrale Notre-Dame ou sur la place Roosevelt, à attendre en silence et pour certains les yeux embués que ne débutent les obsèques religieuses.
En fait l’ultime adieu à leur mari, père, frère, fils, équipier ou ami : Philippe Gaubens.
Un géant dont la bravoure et le charisme marquèrent les prés emplis de cette herbe de vérité du département où l’on pratique le rugby.
Le seconde ligne, ancien du CAC XV, de Caussade et Nègrepelisse mais aussi en suivant éducateur ou entraîneur de diverses formations à Finhan, Beaumont, Montauban, Castelsarrasin est parti un matin de novembre à juste 54 ans.
Vaincu par ce que pudiquement on nomme une longue maladie. Dans le froid quasi hivernal d’hier après-midi c’est donc plus que la grande famille du rugby Tarn-et-Garonnais qui est venue témoigner par sa présence auprès d’Isabelle et Pierre et toute leur famille.
Montrer que l’on ne peut oublier un tel homme et surtout savoir unanimement avec ferveur partager les moments de célébration spirituelle en la cathédrale Notre-Dame lors de l’office célébré par l’archiprêtre Jean-Michel Poirier.
Et écouter les hommages, paroles et homélie qui guidèrent ces instants. Avant l’ultime voyage vers le jardin où se mêlent à tout jamais souvenirs et cendres. Mais qui ne s’oublient jamais.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/16/1753786-montauban-l-emouvant-adieu-a-philippe-gaubens.html

vendredi 15 novembre 2013

VECQUEMONT (80) Une octogénaire décède dans l'incendie

Une maison de 150 m² a été détruite par les flammes au cours de la nuit de vendredi, à 3 h 30, à Wecquemont, commune de la Somme située près de Corbie. Dans les décombres, les pompiers ont retrouvé le corps d'une dame de 88 ans. Elle était dans son lit médicalisé. Le sinistre serait d'origine accidentelle.

http://www.courrier-picard.fr/region/vecquemont-80-une-octogenaire-decede-dans-l-incendie-ia201b0n239264

Castres. Le policier sauve une désespérée qui se défenestrait

Grâce à l’intervention rapide et coordonnée de policiers du commissariat de Castres, une Castraise de 29 ans qui a tenté de se suicider a pu être sauvée in extremis. Mercredi vers 21 h 30, une patrouille composée d’un équipage de trois policiers de la Brigade anticriminalité (Bac) circule dans le quartier Bisséous à Castres. Lorsque les policiers se présentent au niveau du 102 du boulevard Maréchal-Joffre, ils sont interpellés par un groupe de personnes rassemblées en pied d’un immeuble et visiblement affolées. Une jeune femme, en larmes, menace de sauter d’un balcon situé au troisième étage d’un immeuble. Rapidement, elle passe une jambe par-dessus la protection du balcon.

Carrément ceinturée

Immédiatement, l’un des trois hommes de la BAC sécurise le périmètre ; un second tente d’engager un dialogue avec la désespérée, mais n’y parvient guère ; pendant ce temps, le troisième monte les marches d’escalier quatre à quatre ! Il se précipite dans l’appartement dont la porte est restée heureusement ouverte. Au moment où il entre dans la pièce il aperçoit la désespérée : elle vient tout juste de passer sa seconde jambe par-dessus la balustrade du balcon. D’instinct, le policier n’hésite pas une seconde : il plonge et parvient à ceinturer l’infortunée ! Il la tire vers lui et la ramène au sol à l’intérieur de l’appartement. La jeune femme a la vie sauve ! Entre deux sanglots nerveux, elle raconte «vouloir en finir avec les humiliations de son compagnon». Dans la foulée, elle a été hospitalisée au centre hospitalier Castres-Mazamet Pays d’autan. À noter qu’au moment du drame qui a bien failli se nouer, les trois enfants de la jeune femme dormaient. Âgés de 6, 4 et 3 ans, ils ont été confiés au foyer pour l’enfance d’Albi. On l’espère, provisoirement.
En ce qui concerne le compagnon, introuvable pour l’instant, il n’a pas pu encore être entendu. Il devra sans doute expliquer la vie chaotique de son couple, manifestée par plusieurs mains courantes au commissariat, qui a conduit une jeune femme à vouloir en finir avec la vie… malgré la présence de ses enfants à quelques mètres d’elle !
http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/15/1753068-castres-le-policier-sauve-une-desesperee-qui-se-defenestrait.html

jeudi 14 novembre 2013

Lot-et-Garonne: un homme de 44 ans tué par balle, une jeune de 15 ans a donné l'alerte

Les gendarmes ont découvert mercredi soir le corps sans vie d'un homme de 44 ans, non loin d'Agen, victime d'au moins un tir, au côté d'une jeune fille de 15 ans qui a donné l'alerte.

On ignore encore le degré d'implication de l'adolescente. Mercredi soir, une jeune fille de 15 ans était aux côtés du corps sans vie d'un homme de 44 ans, victime d'au moins un tir, lorsqu'il a été découvert par la gendarmerie non loin d'Agen. Selon une source proche du dossier, c'est elle qui a donné l'alerte en appelant son frère qui a lui-même contacté la gendarmerie.

Les gendarmes ont atteint les lieux, un chemin de terre non loin de la localité de Caudecoste (Lot-et-Garonne) à 16 km au sud-est d'Agen, vers 20h00 et découvert le corps sans vie de la victime, qui a reçu un coup de fusil. La jeune fille, qui le connaissait, était elle en état de choc et a été hospitalisée. La source n'a pas livré d'informations sur le degré d'implication ou non dans les faits de cette adolescente, refusant aussi d'indiquer s'il s'agit d'un suicide ou d'un homicide. Dans l'après-midi, des proches de la jeune fille s'étaient inquiétés de ne pas avoir de ses nouvelles.
Contacté par un correspondant de l'AFP, le parquet d'Agen n'a pas non plus souhaité commenter l'affaire. Selon Sud-Ouest cependant, le décès n'a rien d'accidentel.
 

Suicide d'une adolescente harcelée : les parents portent plainte contre les auteurs et le collège

Marion, 13 ans, victime de harcèlement au collège s'est pendue en février. Ses parents ont décidé de sortir du silence et de porter plainte contre l'établissement scolaire et contre les harceleurs "pour que chacun soit face à ses responsabilités".

C'est un témoignage poignant. Celui d'une mère, Nora Fraisse, dont la fille de 13 ans, victime de harcèlement au collège, s'est pendue le 13 février 2013. Après deux plaintes à la gendarmerie puis auprès du parquet d'Evry, ses parents ont décidé jeudi de déposer à Paris une nouvelle plainte avec constitution de partie civile afin qu'un juge enquête. Une plainte pour "violences", "homicide involontaire" et "non-assistance à personne en danger". Sur Europe 1, la mère de la jeune Marion revient sur ce jour terrible.
La jeune fille, scolarisée en 3e au collège Jean-Monnet, à Briis-sous-Forges, dans l'Essonne, a laissé des lettres. "Elle disait que sa vie a dérapé, a basculé. Personne ne l'a compris. Elle décrit les principales insultes, les principales menaces. Elle donne les noms des principaux harceleurs. Elle garde cette douceur et cette sensibilité qui la caractérisaient. Elle trouve les mots justes, les mots doux, malgré sa souffrance. Et elle nous dit adieu. Et elle remercie, elle dit : "Merci pour ceux qui m'aimaient pour ce que je suis et non pas ce que je ne suis pas.", relate sa maman, la voix étranglée par l'émotion.
"Elle a été humiliée, rabaissée, menacée de mort"
Les parents de Marion veulent aujourd'hui la nomination d'un juge pour "faire toute la lumière sur ce qui s'est passé parce que nous avons, du fait de notre enquête personnelle, trouvé des preuves accablantes contre le collège, démontrant un grave dysfonctionnement, et nous portons plainte contre les élèves qui sont nommés dans la lettre".  Scolarisés dans la classe de 4e de sa fille, mais aussi dans d'autres classes, ils n'ont jamais été inquiétés après la mort de Marion. "Malgré tout l'amour qu'on lui portait, elle a été humiliée, rabaissée". Le jour de son
suicide, elle avait été violentée dans la cour de récréation, en présence des surveillants.
"Elle m'a appelée, elle s'était réfugiée aux toilettes, en me disant : "Je ne vais pas bien, il faut que je rentre (....) elle a eu de vraies menaces de mort. (Le jour de son décès) elle était attendue au collège par ses harceleurs pour lui faire la peau", explique Nora Fraisse. Et de poursuivre ; "Je dis aux harceleurs : ce que vous avez fait est intolérable, inadmissible, inexcusable. Ca doit être sanctionné de manière très sévère. Il n'y a pas d'excuse de minorité. Quand on a 14 ans, que délibérément on pousse quelqu'un au suicide, on l'anéantit, on lui fait perdre l'estime de soi, et bien on se met face à ses responsabilités".

Double faute de l'Education nationale
Cette démarche judiciaire, les parents de Marion ont décidé aussi de la mener pour dénoncer le "silence" et "le mépris" de l'Education nationale. "Je peux vous dire aujourd'hui : 9 mois après le décès de Marion, aucun enseignant n'a pris contact avec nous. Aucun n'a donné un mot de condoléances", témoigne Nora Fraisse. Dénonçant dans un courrier des "carences et des lacunes gravissimes dans l'encadrement des élèves et la discipline", ils demandent à Vincent Peillon une inspection approfondie de l'établissement.
Pour Me Père, l'avocat des parents, l'administration a commis une double faute dans cette affaire. "La première, d'ordre pénal, tient aux manquements de l'Education nationale à ses obligations de surveillance dans le collège. La seconde faute est morale car l'Education nationale nous oppose depuis le drame un silence dédaigneux", a déclaré Me Père à l'AFP. Nathalie Kosciusko-Morizet, députée de l'Essonne, a également écrit à  Vincent Peillon pour lui demander d'apporter des réponses aux parents de Marion.

"Il vaut mieux rater une année que rater sa vie" 
Cette démarche, Nora Fraisse la fait aussi pour tous "les autres enfants" qui se trouvent dans cette situation. Pour leur dire qu'il existe des tas de recours. "Je dis aux enfants qui nous écoutent : si vous avez peur, dites-le. Si vous ne voulez plus aller à l'école, n'y allez plus ! Il vaut mieux rater une année d'école que rater sa vie".

mercredi 13 novembre 2013

.L'ancien pilote de la "Carte au Trésor" se tue dans un crash d'hélicoptère

Mardi vers 9h30, un crash d'hélicoptère au-dessus du domaine skiable de Serre-Chevalier (Hautes-Alpes) a fait deux morts. Le pilote, Pascal Oliviero, 53 ans, connu pour avoir piloté l'hélicoptère de l'ancienne émission de France 3 la "Carte au Trésor"  et son copilote, 54 ans, sont décédés.
Selon le procureur de la République de Gap, Raphaël Balland, "l'une des hypothèses de l'enquête serait qu'une pale de l'appareil soit rentrée en contact avec un câble alors que l'hélicoptère effectuait des travaux sur le domaine skiable". Plus tôt, plusieurs sources souhaitant garder l'anonymat avaient précisé que l'appareil se serait pris les pales dans un câble de téléphérique. 
L'hélicoptère, qui appartient à la société Héli-Max de Saint-Crépin (Hautes-Alpes), effectuait des rotations pour acheminer du matériel sur le domaine skiable.
"Je suis très triste" et "très surpris", a réagi Sylvain Augier, qui animait l'émission de France 3, sur Europe 1. "Il avait des milliers d'heures de pilotage entre les mains".

http://www.sudouest.fr/2013/11/13/l-ancien-pilote-de-la-carte-au-tresor-tue-dans-un-crash-d-helicoptere-1228162-7.php

Un cycliste tué dans une collision avec une voiture

Ce matin, vers 4h40, un cycliste venant de Salon, a été percuté par un véhicule à hauteur de Lamanon. L'homme âgé d'une cinquantaine d'années se rendait à son travail en vélo. Sans lumière pour signaler sa présence, le véhicule n'a pu l'éviter et l'a percuté de plein fouet. Sous la violence du choc, le cycliste est décédé sur le coup.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2620572/un-cycliste-tue-dans-une-collision-avec-une-voiture.html

Montauban. Un motard sérieusement blessé dans une collision avec une voiture route de Léojac

Hier, un homme de 50 ans a été grièvement blessé dans une collision entre sa moto et une voiture qui s’est produite, en milieu de journée, sur la route de Léojac, à Montauban. L’engin à deux roues a percuté le véhicule qui arrivait en sens inverse. le choc a été très violent, comme en témoigne la carcasse de la moto qui a été projetée dans le fossé.
Domicilié à Léojac, le motard a été grièvement blessé dans cet accident de la circulation. Il souffrait notamment du bassin et de multiples contusions. Les sapeurs-pompiers et le SAMU de Montauban sont intervenus sur les lieux de cette collision.
Après les premiers soins prodigués sur place, la victime a été évacuée vers le centre hospitalier de Montauban.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/13/1751657-montauban-un-motard-serieusement-blesse-sur-la-route-de-leojac.html

mardi 12 novembre 2013

Drame de Collobrières: hommage à Audrey Bertaut

En présence de sa famille et du préfet du Var, une plaque à son nom portant la mention « mort pour le service de la Nation » a été dévoilée hier sur le monument aux morts de Pierrefeu
Mort pour le service de la Nation ». Il est des jours pour se souvenir. Se rappeler que des femmes et des hommes ont défendu leur pays au péril de leur vie. Il y a bientôt 100ans, lors de la première guerre mondiale dont on commémorait hier l’armistice, en même temps que tous ceux qui, depuis, sont « morts pour la France »(1). Pendant la seconde guerre mondiale. En Algérie, en Indochine, en Afghanistan, au Mali. Mais aussi loin, bien loin, de ces zones de conflits armés. Près, tout près de nous. Dans un pays que l’on dit en paix. Il y a un peu plus d’un an, cette nuit du 17 juin 2013, deux « combattantes » du quotidien ont en effet laissé leur vie lors d’une « banale » intervention, à Collobrières : le maréchal des logis-chef Audrey Bertaut, 35ans, et l’adjudant Alicia Champlon, 28ans, de la brigade de gendarmerie de Pierrefeu, sont « tombées » sous les balles d’un assassin qui n’a pas encore été jugé. « Mortes pour le service de la Nation ».
Alicia Champlon à Belrupt-en-Verdunois
Hier au cimetière de Pierrefeu, lors d’une cérémonie en présence du préfet du Var, Laurent Cayrel, des élus, des autorités(2), des associations d’anciens combattants et de leurs porte-drapeaux, une plaque au nom d’Audrey Bertaut mentionnant cette phrase, a ainsi été dévoilé sur le monument aux morts. Celui d’Alicia Champlon est quant à lui désormais inscrit sur celui de sa ville, Belrupt-en-Verdunois. Deux noms apposés sur des stèles symboles de courage. D’engagement. Symboles de la nation.
« Ce monument honore tout simplement la France, notre patrie, une France qui combat pour le droit contre la barbarie, une France fière de son histoire et de ceux qui ont contribué à l’écrire avec leurs larmes et leur sang. Nos soldats sont la sentinelle de l’histoire au même titre que ces monuments sont les gardiens de la mémoire collective », a indiqué le maire de Pierrefeu, Patrick Martinelli. Face à lui, les élèves de l’école Anatole-France et du collège de Cuers ont pris part activement à cette cérémonie. C’est eux qui ont, entre autres, procédé à l’appel aux morts qui s’est achevé par le nom… d’Audrey Bertaut, « morte pour le service de la Nation ». Une phrase comme un « cri » étouffé, qui résonnera longtemps dans le cimetière de Pierrefeu.
Reconnaissance et solidarité
De nombreuses gerbes ont ensuite été déposées par les élus et les autorités au bas de la plaque au nom de la gendarme dont une par son mari, tandis que ses parents assistaient également à cette cérémonie.
Interrogé en marge de celle-ci, le préfet, représentant l’ensemble des ministres et plus particulièrement Manuel Valls et Jean-Yves le Drian (qui ont décidé de l’attribution de la mention «mort pour le service de la Nation » sur l’acte de décès des deux gendarmes avec possibilité d’inscrire leurs noms sur le monument aux morts de leur commune), a souligné : « C’est un drame épouvantable: deux femmes extraordinaires ont été abominablement prises à l’affection des leurs. Je suis présent pour dire que l’on n’oublie pas. Et comment en serait-il autrement? Je viens témoigner à la famille, à leurs collègues et à la population la reconnaissance et la solidarité de la nation ». Il est des jours pour se souvenir. Mais, face à un tel drame, comment oublier… « Mort pour le service de la Nation ».

http://www.varmatin.com/actu/gapeau

MACABRE DÉCOUVERTE DANS UN PARKING SOUTERRAIN DE NANCY

Le corps d’un homme sans vie a été découvert dimanche soir dans le parking souterrain d’une résidence de Nancy, au 105 avenue du Général-Leclerc.
Le parquet de Nancy a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances du décès. Un « examen de corps » a été demandé, le médecin qui l’a effectué ayant émis « un obstacle à l’inhumation ». Le corps ne portait aucune trace de coups.
La victime, qui n’habite pas la résidence, a pu être identifiée hier dans la journée. Il s’agit d’un Nancéien de 42 ans, domicilié dans un foyer d’insertion de l’agglomération. La police a informé sa famille.
Ce toxicomane notoire avait déjà été victime d’une overdose, il y a quelques semaines, rapportent les services de police. Et une seringue se trouvait à proximité du corps, s quand un habitant de la résidence a fait la macabre découverte.
Ce parking souterrain est connu comme étant un lieu où les toxicomanes viennent se « shooter » en toute discrétion, au grand dam des résidents.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/11/12/mort-par-overdose

lundi 11 novembre 2013

Monteux : un motard grièvement blessé

Un grave accident de la circulation s’est produit ce lundi 11 novembre à Monteux, dans le quartier Saint-Hilaire. Une moto et une voiture se sont percutées aux environs de 15 heures. Le motard, grièvement blessé, est actuellement pris en charge par les pompiers et les médecins du Smur de Carpentras. Un hélicoptère est attendu sur place pour transporter la victime.

http://www.ledauphine.com/vaucluse/2013/11/11/monteux-un-motard-grievement-blesse

dimanche 10 novembre 2013

REIMS (51). Un piéton renversé par un bus entre la vie et la mort

Un piéton a été renversé par un bus, samedi soir, boulevard Dieu-Lumière. L’accident s’est produit vers 21 h 20. La victime, un homme de 40 ans, a été transportée au CHU dans un état grave. Son pronostic vital était engagé samedi soir, il est toujours vivant ce matin. On ne connaît pas encore les circonstances de l’accident sinon que les conditions météorologiques étaient mauvaises à cause de la pluie. La conductrice va être entendue par la police dans la journée. Les tests d’alcoolémie sont négatifs.

http://www.lunion.presse.fr/region/reims-51-un-pieton-renverse-par-un-bus-entre-la-vie-et-ia3b24n247643

Drame faubourg Bonnefoy: une BMW noire mystérieuse

Un accident peu arriver à n’importe qui. D’accord. Mais enfin, après, on réagit, on réalise, on affronte…» Un proche d’Arthur Maillard, mort sur le bitume du faubourg Bonnefoy ne comprend pas. Et il n’est pas le seul. Dimanche dernier, Arthur Maillard alias Df le M. Chill, rappeur du groupe toulousain I2C est mort après avoir été heurté par une voiture qui roulait très vite selon les témoins. Une aide-soignante qui se trouvait à proximité a très vite alerté les secours mais les pompiers et l’équipe médicale du Smur 31 n’ont pas pu sauver ce Toulousain, rappeur à la voix chaude qui dimanche matin dernier rentrait chez lui.

Une information judiciaire contre X

Vendredi le parquet a ouvert une information judiciaire pour «homicide involontaire». «Contre x», souligne le procureur Michel Valet qui suit les investigations de très près. Les appels à témoin largement diffusés par les médias en début de semaine ont permis aux enquêteurs de la brigade des délits routiers, au commissariat central, de progresser. Les témoins et l’analyse des pièces du véhicule, retrouvées sur les lieux du drame après un choc qui a été extrêmement violent ont conforté les témoignages.
La voiture responsable de l’accident était une BMW noire, avec des vitres surteintées. Une série 1, puissante, dont le pare-brise a été brisé par l’impact mais également la calandre avant, côté droit. Cette voiture n’a pas été retrouvée brûlée ce qui écarte l’hypothèse d’une voiture qui aurait été volée.
Seulement les vérifications habituelles, notamment du côté des garagistes et des carrossiers n’ont pas permis d’aller au-delà de ces informations rapidement réunies. Et la nouvelle numérotation des plaques d’immatriculation, un fichier désormais national, interdit les recherches ciblées par département.
L’information judiciaire, confiée au juge Philippe Guichard, va permettre aux enquêteurs de s’inscrire dans la durée. La brigade des accidents, qui a travaillé sur les constatations et les auditions des témoins, a passé le dossier à la sûreté départementale. La brigade criminelle va poursuivre les investigations ce qui ne remet pas en cause la thèse accidentelle de ce drame.
Les témoins peuvent encore appeler la police au 05 61 12 77 77

http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/10/1749884-une-bmw-noire-bien-mysterieuse.html
http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/10/1749884-une-bmw-noire-bien-mysterieuse.html

samedi 9 novembre 2013

Val-d'Oise : un enfant chute de trois étages à Courdimanche

Un enfant de 11 ans est tombé de la fenêtre de sa chambre vendredi soir à Courdimanche (Val-d'Oise). La chute de douze mètres de haut est survenue peu avant 21 heures dans la rue du Trou Tonnerre. La victime, très gravement blessée, souffre de multiples fractures aux bras et aux jambes mettant sa vie en danger. Le garçonnet a été pris en charge à l’hôpital Necker à
L’incident demeure pour le moment inexpliqué.

http://www.leparisien.fr/val-d-oise-95/un-enfant-chute-de-trois-etages-a-courdimanche-09-11-2013-3301385.php